Dans l’hypothèse d’une candidature Macron, l’ancien ministre de l’économie, en net recul, est crédité de 11% (-5,5) d’intentions de vote, derrière Alain Juppé (33%, +7), Marine Le Pen (26%, –2) et Jean-Luc Mélenchon (12%, +2). Emmanuel Macron devancerait cependant François Hollande, crédité de seulement 9% (=). L’ancien ministre (14%, –4,5) résisterait à peine mieux face à Nicolas Sarkozy (20%, +1) candidat de la droite. Dans cette hypothèse, Marine Le Pen sortirait en tête, avec 25% (-0,5) d’intentions de vote. Jean-Luc Mélenchon (12%, +1) et François Bayrou (10%, +3) devanceraient également François Hollande (9,5%, +0,5%).
Arnaud Montebourg, crédité de 9% à 10% d’intentions de vote selon les configurations, se situerait très loin du duo de tête, Marine Le Pen pour le FN et Alain Juppé ou Nicolas Sarkozy pour la droite.
Le chômage en tête des préoccupations
Au second tour, Alain Juppé (68%, +2) l’emporterait largement face à Marine Le Pen (32%, –2). Nicolas Sarkozy (58%, +2) s’imposerait également, mais un peu moins nettement, face à la candidate du FN (42%, –2). Le chômage (89%) arrive en tête des sujets qui pèsent le plus dans les intentions de vote, devant la sécurité (86%), la menace terroriste (82%), l’immigration (79%), la crise des migrants (78%), la laïcité (74%) et la loi Travail (72%).
François Hollande a tenu mercredi, à propos d'Eric Zemmour, à "faire la part des choses entre des poussées médiatiques (...) et la réalité de la France", et il a appelé les partis à installer le débat présidentiel sur "les sujets essentiels des Français".
Interrogé sur la montée du polémiste Eric Zemmour dans les sondages d'intentions de vote pour la présidentielle de 2022, l'ancien président a tenu à "faire la part des choses entre ce qui est des poussées médiatiques, des modes, hélas, qui ne sont pas forcément encouragées par les bons médias ou par les bonnes personnes, et ce qui est la réalité de la France".
"Il y a comme ça des pulsions qui arrivent dans des campagnes électorales, des traductions qui peuvent être conjoncturelles et qui ne sont pas forcément durables. Mais il y a le risque que les thèses extrémistes ou les thèses excessives soient finalement largement reproduites par d'autres et finissent par, si je puis dire, contaminer les propos politiques", a-t-il ajouté en marge d'une visite dans une exploitation maraichère à Saint-Martin-le-Beau (Indre-et-Loire).
Selon François Hollande la "bonne réponse" à Eric Zemmour consiste à "installer un débat politique sur les sujets essentiels des Français". "Et ça c'est le rôle des partis, le rôle des candidats d'imposer leurs thèmes et pas simplement être ou dans la dénonciation ou pire encore dans le suivisme".
Le chroniqueur Éric Zemmour raconte aussi, dans son nouveau livre à paraître mi-septembre, une partie d'un échange téléphonique avec Emmanuel Macron en mai 2020, après son agression à Paris.
Éric Zemmour sera-t-il candidat à la présidentielle de 2022? La question fait trembler les personnalités politiques de droite ces dernières semaines sur les plateaux de télévision. Si sa décision n'est officiellement pas encore prise, le chroniqueur s'apprête à sortir mi-septembre un nouvel ouvrage aux airs de livre de campagne, intitulé La France n'a pas dit son dernier mot.
Et dans les premiers extraits dévoilés ce jeudi par Le Figaro Magazine, Éric Zemmour n'épargne pas Emmanuel Macron. "Longtemps, j’ai pensé que Macron était un Sarkozy en moins vulgaire", écrit-il. "Pour la première fois, je comprends qu’il n’est qu’un Hollande en mieux vêtu."
"Il me dit: 'République', je lui dis 'France'"
Dans cet ouvrage, le polémiste revient également sur sa conversation téléphonique avec le président de la République, après son agression en pleine rue à Paris en mai 2020. À l'époque, Emmanuel Macron avait téléphoné à Éric Zemmour pendant environ 45 minutes pour lui faire part de son soutien.
Dans son livre, Éric Zemmour raconte qu'au cours de cet appel, les deux hommes s'adonnent à une joute verbale au sujet de la délinquance et de l'immigration: "Chacun avance ses arguments sans laisser à son interlocuteur le temps de reprendre son souffle", se souvient le journaliste. "Il me dit: 'République', je lui dis 'France'. Il me dit 'Minorité de racailles', je lui dis: 'Soutenue par une majorité, qu’elle aide à vivre et qu’elle soumet par son alliance avec la loi de l’islam'".
Selon Éric Zemmour, Emmanuel Macron aurait ensuite lancé au polémiste: "Au fait, votre plan, faites-moi une note". "Je fais mine de ne pas comprendre. Quel plan?", lui demande alors Éric Zemmour au cours de cet échange. Ce à quoi Emmanuel Macron aurait "enchaîné, amusé de (l)’avoir bousculé: 'Mais voyons, votre plan sur l’immigration, mon secrétariat vous contactera'".
La rivale d’Emmanuel Macron a dégringolé de dix points depuis juin, une première en neuf ans. « Marine a abandonné ses positions fortifiées et Eric occupe le terrain qu’elle a quitté », accuse le cofondateur du Front national, exclu du parti en 2015 et hostile depuis toujours à la dédiabolisation opérée par sa fille. Après les régionales, en juin, il appelait le Rassemblement national (RN) à retrouver sa « virilité ». A travers lui, c’est tout le vieux « Front » qui doute. Et qui regarde vers l’arc zemmourien, qui va de l’ancien RPR à la frange traditionaliste du RN. Dans les fédérations, les défections se sont déjà multipliées.
Bien décidé à s’exprimer « jusqu’au moment où [il finira] dans la caisse en bois », Jean-Marie Le Pen projette, soudain : « Si Eric est le candidat du camp national le mieux placé, bien sûr, je le soutiendrai. » Un virage de bord. Jusqu’à présent, il défendait Marine Le Pen et grognait contre la division du camp nationaliste, comparant, cet été, Zemmour aux trublions, voire aux « vedettes du spectacle ». « Va-t-il savoir encaisser ? C’est pas si évident que ça, et moi j’en sais quelque chose parce que j’ai commencé à 0,74 % », relève le finaliste d’avril 2002.
Bruno Le Maire reparle de la réforme des retraites depuis le Campus 2021 de LaREM
"Je pense que nous sommes tous d'accord, d'un bout à l'autre de la majorité, pour dire qu'une réforme des retraites est nécessaire", répète ce samedi Bruno Le Maire, interroge devant notre caméra depuis Avignon, où se déroulent ce week-end le Campus 2021 de La République en marche (LaREM).
Reste à savoir quand, une telle réforme pourra être mise en chantier, alors que la présidentielle approche et qu'elle pèse chaque jour un peu plus sur les débats. "C'est le président de la République, et lui seul, qui peut le décider", balaye le ministre de l'Économie.
Àsix mois de la présidentielle, la droite n’a toujours pas choisi son candidat. Pis, la voilà reléguée, médiatiquement, à suivre Éric Zemmour et à se positionner par rapport aux déclarations du polémiste. Les Républicains semblent pris en tenaille entre Emmanuel Macron, qui a capté une partie de leur électorat, et le bloc Zemmour-Le Pen. Ancien ministre de l’Intérieur, président de l’Assemblée nationale et du Conseil constitutionnel, Jean-Louis Debré regarde ce combat présidentiel avec distance, mais non sans intérêt et inquiétude. L’ami de Jacques Chirac déplore un manque de vision de candidats. Éloigné de la vie politique active, Jean-Louis Debré investit la scène en présentant un spectacle, Ces femmes qui ont réveillé la France, avec Valérie Bochenek, au théâtre de la Gaîté et les librairies avec Quand les politiques nous faisaient rire (édition Bouquins). Entretien.
Le Point : Comment jugez-vous la bataille pour la présidentielle dans votre ancienne famille politique ?
Jean-Louis Debré : D’abord, une précision, j’ai quitté la vie politique depuis 14 ans. Je regarde, j’observe, mais je ne participe plus. Quand on regarde l’Histoire, il y a eu très peu de moments où la société politique dans son ensemble n’a pas fait émerger de grands personnages. Clemenceau, Poincaré, de Gaulle, Mitterrand, Giscard, Chirac, Sarkozy structuraient leur camp et il y avait d’autres personnages qui les accompagnaient (Barre, Mauroy). Aujourd’hui, ni à droite ni à gauche n’émerge une personnalité. Ce qui est extrêmement dangereux pour la société. Nous sommes dans une époque où les idéologies ont disparu. Avant, la notion de droite et de gauche évoquait quelque chose ; aujourd’hui, personne ne sait plus ce que c’est. Avant, les présidents étaient élus sur une espérance, peu importe qu’elle soit réalisée ou pas : la France moderne de Giscard, les 110 propositions de Mitterrand, la fracture sociale de Chirac… Personne en 2021 n’est capable d’offrir de l’espoir. Enfin, la présidentielle est désormais le moment pour des personnalités de se faire repérer : pour certains candidats, il ne s’agit pas d’être élu, mais de montrer qu’on existe. Soit pour régler un conflit local, soit pour prendre date pour des fonctions futures. Si on ajoute que le président sortant n’a pas su créer de l’empathie avec le peuple, le panorama est très ouvert…
… et très indécis !
Oui, surtout qu’on ne connaît pas encore tous les candidats. Et les personnes qui sont actuellement en lice, soit déclarées ou non, ne sont pas certaines d’obtenir leurs 500 signatures. Ce n’est pas une épreuve facile, surtout depuis que les noms des parrains sont publics. Nous sommes dans le tour de chauffe. Pour être élu, aujourd’hui, il faut essayer de créer des alliances, mais cela semble impossible, car il y a une tension entre les différents partis.
À LIRE AUSSIPrimaire des Républicains : qui veut gagner des millions ?
La droite abandonne la primaire pour un congrès. N’est-ce pas un retour en arrière et un aveu de faiblesse, par rapport à la primaire de 2016 ?
On sait depuis toujours que les primaires sont une absurdité – en 2017, ceux qui les ont gagnées n’ont pas gagné les élections. Dans ce système médiatique qui est le nôtre, vous demandez à des candidats d’une même famille de se déchirer à la télévision. Comment voulez-vous dire après aux électeurs : « Nous sommes tous ensemble ! » Le problème n’est pas la primaire, mais l’absence de personnage faisant l’unanimité. Aucun président de parti n’a la légitimité et l’autorité pour y aller ou imposer son choix.
À LIRE AUSSIPrésidentielle – LR : la primaire est morte, vive le congrès !
Comment expliquez-vous qu’en cinq ans d’opposition, Les Républicains n’aient pas un projet avec des idées précises et nouvelles à présenter aux Français ?
Mais qu’est-ce que pense la gauche ? C’est la même chose ! Qui, aujourd’hui, peut prévoir demain ? Il y a deux ans, personne n’imaginait la pandémie. Toutes les certitudes du passé ont été bousculées. Le « en même temps » a tout cassé, de manière inquiétante. Ce qui permet aux extrêmes de monter. Il y a une idée porteuse et émergente qui pourrait structurer le débat : l’écologie. Sauf que les écologistes sont en train de la casser. Ils sont dans l’intolérance, l’incompréhension et la division.
Il n'y a aucun nom, ni aucune date dessus. Je n'en ai pas parlé au propriétaire parce qu'il est injoignable, et je ne peux pas contacter le (ou les) ancien(s) locataire(s) sans passer par lui... Si quelqu'un pouvait m'apporter un début de réponse quant à ce qu'il y a dans ce carnet, je lui en serais très reconnaissant.
Voici la retranscription de ce qui s'y trouve :
"Aujourd'hui, je suis descendu à la cave pour la première fois depuis que j'habite ici. Je voulais y amener mon vieux meuble-télé. Il n'est pas abîmé, mais j'en ai trouvé un qui me plaît mieux, alors j'ai voulu le descendre, des fois que je puisse le revendre ou le donner à quelqu'un.
En arrivant dans la cave, malgré le fait que la lumière soit très faible, j'ai trouvé mon box assez vite parce qu'il porte le numéro de mon appartement. Il était au fond du couloir, face à moi (pas comme les autres qui étaient disposés face à face, sur les côtés).
Juste avant d'ouvrir la porte, je me suis rendu compte qu'il y avait comme un ronflement qui venait de l'intérieur. J'ai attendu pendant au moins dix minutes, avant que ça s'arrête. À ce moment-là, j'ai regardé entre les planches de la porte, et j'ai vu quelque chose se déplacer à quatre pattes dans la largeur du box. Comme ses yeux reflétaient la lumière, j'ai pu voir que ça regardait vers moi. Ça respirait fort aussi, comme si ça avait la gorge prise.
Au bout d'un moment qui m'a paru long, c'est arrivé vers moi en rampant très rapidement, ça a collé sa tête à la porte, au niveau de la mienne, et ça m'a reniflé. Son haleine puait le rat mort, l'urine, et la terre humide. Je suis remonté chez moi à la vitesse de l'éclair. Je ne sais pas ce que c'est, mais ça me terrifie... Pourtant, j'ai tellement envie de savoir."
"Je n'arrive pas à arrêter d'y penser. Aujourd'hui, je suis redescendu à la cave avec une lampe-torche, pour essayer de voir un peu mieux cette chose à travers les planches de la porte. Quand je suis arrivé, j'ai regardé un premier coup sans la lampe. La chose était en boule, collée au milieu du mur du fond, et avait l'air de dormir. Ensuite, j'ai allumé la lampe et je l'ai collée contre la porte, à un endroit où les planches se séparent.
Je n'ai pu la voir qu'une ou deux secondes, avant qu'elle n'aille se réfugier dans un coin d'ombre, en rampant et en poussant un grognement. Une partie de la lumière lui était arrivée en plein dans les yeux et l'avait réveillée d'un coup.
Cette chose ressemble à une femme, vieille et desséchée. Sa peau est grise et craquelée, et elle est horriblement maigre, on dirait un cadavre ! J'ai même cru voir ses côtes et les os de ses coudes dépasser... Les ongles de ses mains sont noirs et cassés, pas étonnant vu qu'elle rampe en s'agrippant au sol et en poussant sur ses pieds. Mais le pire, ça reste son visage : son crâne est parsemé de touffes de cheveux longs et blancs, extrêmement fins. Tout le quart avant du côté droit de sa tête est dépourvu de peau. On voit son os dépasser, entouré par des bords de chair noire pourrie. Ses yeux n'ont pas de paupières, et ne sont que deux grosses billes noires luisantes, bien trop grosses, enfoncées dans son crâne. Elle n'a pas de nez non plus, pourtant la forme du trou qu'elle a à la place laisse penser qu'il devrait y en avoir un.
Et sa bouche... Mon Dieu, sa bouche ! Elle n'a pas de lèvres, et à peine quelques grosses dents cassées, jaunes ou noires, et très espacées. Certaines sont carrées, d'autres pointues, mais pas naturellement : comme si elle les avait cassées pour les rendre comme ça. En plus, elles ne sont pas du tout alignées.
Ses gencives sont rouge sombre et enflées, comme couvertes de tumeurs, et elles suintent d'un liquide à l'air poisseux, jaune sombre-vert, qui a l'air d'avoir fait comme une croûte à la base de ses dents.
L'expression sur son visage est une expression de colère, comme un prédateur qui s'apprêterait à attaquer... Cette chose a l'air dangereuse, je ne sais pas quoi faire ! De toute manière, qui me croira si j'en parle ?"
Bravo à nos ami californien d'avoir eu les couilles d'assumer ça.
Votons pour la solidarité et le monde meilleurs
Le 02 octobre 2021 à 15:24:45 :
il y a des pénuries de partout sauf pour les vaccinshttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/10/1488985137-1477039417-1ntq.png
Ah bon on était pas en pénurie de vaccin grâce à l'Europe au début ?
Le 02 octobre 2021 à 15:15:15 :
Le 02 octobre 2021 à 15:13:39 TOURISTE_DU_CUL a écrit :
Le 02 octobre 2021 à 15:11:38 :
Donnons mon sang à des établissements qui me refuse de me soigner du à mon statuts vaccinale, cocasseLes 10% de non vax dans tous les cas, je pense pas qu'ils donnaient leur sang avant
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/6/1611395018-1609595374-laddbent-oups.png
C'est la vérité, ces gens sont des parasites, faut pas compter sur eux pour qu'ils se mettent à aller donner
Le 02 octobre 2021 à 15:14:40 :
Le 02 octobre 2021 à 15:12:24 :
Le 02 octobre 2021 à 15:09:49 :
Le 02 octobre 2021 à 15:08:16 :
Le 02 octobre 2021 à 15:02:27 :
Le 02 octobre 2021 à 15:01:02 :
Faudrait que ce soit payé, ou des avantages fiscaux, sinon ça sera toujours la pénurieJe crois qu'il y avait eu des études à ce propos et qu'au final rémunéré le don faisait baisser la participation
Ca me parait très bizarre et tiré par les cheveux
"Our results indicate that offering money or cash-equivalent incentives (such as tickets to an event) may have a negative effect on blood safety and blood donor contribution. Regarding the recent downward trend in blood collection and increasing demands for blood transfusions, our evidence suggests that selective nonmonetary incentives can be used among lapsed donors temporarily when shortages occur. These findings may assist blood banks to revise and optimize their blood donor recruitment programs and to adopt a long-term comprehensive policy with regard to consequences of offering incentives to blood donors."
Oui enfin super, une conclusion, mais tu sais très bien qu'on peut faire dire n'importe quoi, le papier ne refuse pas l'encre
Le petit souci c'est que si une conclusion ne t'arrange pas, c'est sur le fond que tu dois essayer de raisonner pour la réfuter, pas pleurer en disant que c'est qu'une étude.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2847338/Explique en quoi ses résultats ne sont pas valables, va y
Ah ba super, genre en Suède, ils payent 7$, ça équivaut à 5 centimes pour nous
L'autre c'est "peut être" gagner 1000$
Faut être sérieux 2 minutes, moi tu me dis je réduis tes charges fiscales de 2% j'y vais
Le 02 octobre 2021 à 15:11:38 :
Donnons mon sang à des établissements qui me refuse de me soigner du à mon statuts vaccinale, cocasse
Les 10% de non vax dans tous les cas, je pense pas qu'ils donnaient leur sang avant
Le 02 octobre 2021 à 15:09:49 :
Le 02 octobre 2021 à 15:08:16 :
Le 02 octobre 2021 à 15:02:27 :
Le 02 octobre 2021 à 15:01:02 :
Faudrait que ce soit payé, ou des avantages fiscaux, sinon ça sera toujours la pénurieJe crois qu'il y avait eu des études à ce propos et qu'au final rémunéré le don faisait baisser la participation
Ca me parait très bizarre et tiré par les cheveux
"Our results indicate that offering money or cash-equivalent incentives (such as tickets to an event) may have a negative effect on blood safety and blood donor contribution. Regarding the recent downward trend in blood collection and increasing demands for blood transfusions, our evidence suggests that selective nonmonetary incentives can be used among lapsed donors temporarily when shortages occur. These findings may assist blood banks to revise and optimize their blood donor recruitment programs and to adopt a long-term comprehensive policy with regard to consequences of offering incentives to blood donors."
Oui enfin super, une conclusion, mais tu sais très bien qu'on peut faire dire n'importe quoi, le papier ne refuse pas l'encre
Le 02 octobre 2021 à 15:02:27 :
Le 02 octobre 2021 à 15:01:02 :
Faudrait que ce soit payé, ou des avantages fiscaux, sinon ça sera toujours la pénurieJe crois qu'il y avait eu des études à ce propos et qu'au final rémunéré le don faisait baisser la participation
Ca me parait très bizarre et tiré par les cheveux