Le 30 septembre 2021 à 19:09:33 :
Le 30 septembre 2021 à 19:01:01 :
Suffit de me donner le titre de l'article les kheys.Tu pense quoi de PressReader ?
Je ne connais pas
Comment mieux accueillir les élèves transgenres à l'école: la circulaire préparée par Blanquer
INFO LE FIGARO - Le ministère de l'Éducation nationale s'apprête à publier un texte destiné à mieux accompagner les «transitions de genre» en milieu scolaire.
« Transgenres », « non binaires »* et « intersexes »**. Le ministère de l'Éducation nationale, après des mois de tergiversations, s'apprête à clarifier le rôle que doit tenir l'institution face à ces «transitions de genre» que de plus en plus d'élèves manifestent et souhaitent voir reconnues au sein de leur établissement scolaire. Après avoir auditionné les représentants de la communauté éducative, la rue de Grenelle va publier une circulaire intitulée « Pour un meilleur accueil des élèves transgenres en milieu scolaire ».
La version provisoire de ce texte, que Le Figaro s'est procurée, tente, tant bien que mal, de fixer les règles pour répondre aux demandes de changement de prénoms, mais aussi concernant les tenues vestimentaires et l'usage de lieux d'intimité, comme les toilettes, vestiaires et chambres d'internat. Car sur le terrain, d'un chef d'établissement à un autre, d'un professeur à un autre, la situation de ces élèves, qui fait écho à l'intime de chacun, est très variablement accueillie.
La question du changement de prénom
La question du changement de prénom et de l'utilisation de pronoms correspondant au genre, d'abord. Si l'élève est mineur, lorsque la demande est faite avec l'accord des deux parents, « il s'agit de veiller à ce que le prénom choisi soit utilisé par l'ensemble des membres de la communauté éducative », indique le texte. Ce « prénom d'usage » serait alors utilisé dans « tous les documents qui relèvent de l'organisation interne de l'établissement » : liste d'appel, carte de cantine, de bibliothèque et espaces numériques de travail (ENT). En revanche, il ne sera pas pris en compte pour les épreuves des diplômes nationaux, où seul le prénom inscrit à l'état civil est valide.
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Dans le cas où les parents d'un élève mineur s'opposent à l'utilisation du prénom d'usage demandé par leur enfant, « l'établissement ne peut pas modifier celui-ci » pose le texte. Une règle claire ? Sur le terrain, force est de constater qu'actuellement, les choses ne sont si simples. Dans un lycée de l'Oise, Hubert Salaün, représentant de la Peep, la 2e fédération de parents, raconte l'histoire de cette jeune fille qui a voulu se faire appeler d'un « prénom neutre ». «Les parents étaient séparés. Le père était d'accord, pas la mère , explique-t-il. Les enseignants, eux, avaient accepté d'utiliser le prénom d'usage. À l’exception de l'un d'entre eux. Il continuait de faire l'appel en utilisant le prénom de l'état civil. Et marquait systématiquement l'élève absent . Des lycéens ont alors signé une pétition contre l'enseignant, qui a menacé, lui, de porter plainte. »
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«Leur corps leur appartient»
Pour le représentant de la Peep, le débat le plus tendu porte sur « la question de savoir si l'école peut adopter le prénom choisi par l'élève sans que ses parents en soient avertis» car, après tout, « leur corps leur appartient ». Il ne le pense pas et plaide pour le dialogue avec les familles, pour qui ces situations sont la plupart du temps « un choc ».
Ce n'est pas l'avis de Sud Éducation, très en pointe sur le sujet de la transidentité. Dans un tract publié le 21 septembre dernier, le syndicat invite le personnel à mieux accompagner les élèves qui souhaitent changer de genre, sans en parler à leur famille. « Laissez les élèves, qui sont des enfants et/ou des adolescent·e·s se définir elles/eux-mêmes (...) Utilisez les pronoms et prénoms choisis par l'élève s'il ou elle vous le demande », écrit-il.
La jupe pour tous, mais pas les toilettes
Sur les tenues vestimentaires, le projet de circulaire indique qu'il s'agit de s'assurer que les règles « ne font pas l'objet de consignes différenciées selon le genre ». « Les vêtements et accessoires autorisés et interdits le sont pour tous les élèves sans distinction », pose-t-il. En d'autres termes, la jupe pour tous, mais pas forcément le «crop top», au nom de la décence.
Enfin, concernant l'usage des « espaces d'intimité » - toilettes, vestiaires, dortoirs - le texte liste « différentes options », en fonction de « la disponibilité des lieux ». En règle générale, l'élève peut choisir d'utiliser les toilettes et vestiaires « conformes à son identité de genre ». Même principe pour la chambre d'internat. L'élève peut utiliser des « toilettes non genrées », si l'établissement en dispose. L'établissement peut aussi « convenir avec l'élève de la mise en place d'horaires aménagés pour l'utilisation des vestiaires et douches collectives ». Des choix qui doivent, « dans la mesure du possible » s'appliquer lors des déplacements, sorties et voyages scolaires.
«Parcours de transition» dès le primaire
Cette circulaire de bonnes pratiques s'adresse à l'ensemble des personnels, du primaire au secondaire, car les « parcours de transition » commencent « dans le second degré et parfois même dès l'école élémentaire », explique-t-elle.
Le texte rappelle que l'Éducation nationale est engagée « depuis plusieurs années dans la lutte contre l'homophobie et la transphobie » et que cet engagement s'inscrit dans une dynamique interministérielle.
« Il convient de rappeler que la transidentité n'est pas une pathologie », pose-t-il en préalable. « Les institutions de santé, notamment l'OMS reconnaissent désormais que la non-congruence entre le genre de naissance et le genre vécu ne constitue pas un trouble psychiatrique (...) Le seul indicateur fiable de l'identité de genre d'une personne, quel que soit son âge, est son autodétermination ».
Le 30 septembre 2021 à 19:04:09 :
https://www.lepoint.fr/faits-divers/un-homme-soupconne-d-etre-le-grele-s-est-suicide-30-09-2021-2445587_2627.phpUn homme soupçonné d'être le « Grêlé » s'est suicidé
Après l'assassinat non élucidé du petit Grégory en 1984, la France s'était indignée de la mort de Cécile Bloch, une collégienne de 11 ans violée et tuée en 1986 dans son immeuble de la rue Petit, dans le 19e arrondissement à Paris. Comme pour le meurtrier de Lépanges-sur-Vologne, des générations d'enquêteurs, ici de la brigade criminelle du 36 Quai des Orfèvres, ont continué à traquer le moindre indice pour confondre l'auteur de ce crime abominable. Un homme que la presse surnommera le « Grêlé ».
Selon nos informations, un homme, soupçonné d'être le « Grêlé » et convoqué pour une audition en vue de son prélèvement ADN, ne s'est pas présenté aux forces de l'ordre. Il a finalement été retrouvé mort mercredi dans le sud de la France, au Grau-du-Roi, une station balnéaire à côté de Montpellier. À ce stade, peu d'éléments ont filtré quant à son identité. Tout juste a-t-on appris qu'il travaillait en région parisienne dans les années 1980 et jusque dans les années 1990, puis qu'il s'est installé dans le sud de la France, où il s'est marié et a eu deux enfants.
Une lettre qui explique son suicide
Selon nos informations, il a laissé une lettre expliquant son geste ultime, dans laquelle il évoquerait l'assassinat de la jeune fille et ses autres crimes : il est soupçonné de quatre meurtres et de six viols. Le « Grêlé » tient son surnom des traces d'« acné » que l'adolescence a laissées sur son visage. C'est le demi-frère de la petite Cécile qui avait aidé à dessiner le portrait-robot après avoir croisé dans l'ascenseur un homme le matin du crime. Après le meurtre, il a pu se souvenir des détails du suspect qu'il a vu ce jour-là. À ce jour, il est le seul survivant de la famille Bloch : sa mère et son beau-père sont décédés sans connaître la vérité.
À ce stade, on ignore comment la brigade criminelle, aidée des gendarmes, est remontée jusqu'à lui. Le demi-frère de Cécile, biologiste, s'était intéressé dans les années 1980 à l'apport des analyses ADN dans les enquêtes criminelles. Il avait tenté de convaincre le magistrat instructeur de l'intérêt de ce type de travaux dans la résolution du crime perpétré contre sa petite soeur. À l'époque, rappelle la journaliste Patricia Tourancheau, autrice d'une série sur le site Les Jours, la justice ne l'avait pas suivi.
Le 30 septembre 2021 à 19:02:38 :
Comment tu fais ?
Abonnement de mon entreprise à Europress.
Éric Zemmour juge que vous «n'osez pas» débattre avec lui . Que lui répondez-vous ?
Je suis prêt à débattre avec lui... au deuxième tour de l'élection présidentielle, s'il est qualifié face à moi.
Mais vous refusez tout débat avec lui pendant la campagne ?
Je ne vais pas entretenir ce tumulte. Vouloir devenir président de la République, c'est aussi savoir résister et se tenir à l'écart de l'agitation politico-médiatique et ne jamais oublier que l'essentiel, c'est d'établir un dialogue direct avec les Français sur ce qui doit nous rassembler et notre avenir.
Xavier Bertrand au Figaro : «Je propose aux autres candidats que l'on se rencontre très rapidement»
EXCLUSIF - Le candidat à la présidentielle prévient qu'il ne se soumettra pas à «un congrès d'affrontement» ni à une primaire «sous une forme déguisée».
LE FIGARO. - Christian Jacob a demandé aux candidats de sa famille politique de faire «formellement» la demande de se présenter aux militants LR lors d'un congrès. Serez-vous présent au congrès du 4 décembre ?
Xavier BERTRAND. - J'ai toujours indiqué que je demanderai le soutien de ma famille politique. Je l'avais dit à Nîmes aux parlementaires LR. Je le redis aujourd'hui très clairement. Mais si un congrès de rassemblement a du sens, un congrès d'affrontement nous replongerait dans les divisions de la primaire de 2016. Plutôt que de s'opposer les uns aux autres, je propose aux autres candidats que l'on se rencontre très rapidement, avant le 13 octobre ( examen de l'admissibilité des candidatures par LR , ndlr) . Nous devons trouver la meilleure façon de parvenir à un congrès de rassemblement, pour créer une vraie dynamique. Ne nous racontons pas d'histoires, il y a urgence à se retrouver et à se rassembler : nous ne pouvons pas être les derniers à dire clairement qui sera le candidat de la droite et du centre. Ce n'est pas possible ! Les adhérents LR ont écarté la primaire, ce n'est pas pour en refaire une sous une forme déguisée. Les institutions de la Vème République ont prévu une élection à deux tours, pas à trois ni quatre.
Si on vous comprend bien, vous ne vous présenterez pas à un congrès où il y aurait plusieurs candidats ? Valérie Pécresse et Michel Barnier affirment pourtant ne pas vouloir se retirer...
Entre ce qui se dit aujourd'hui et ce qui se passera dans les prochaines semaines, de l'eau coulera sous les ponts. Je le dis clairement, je suis dans une logique d'unité et de rassemblement le plus rapidement possible. Je ne ménagerai pas mes efforts pour y parvenir. Comment imaginer que fin 2021, à quelques mois seulement du scrutin, on continue encore à s'affronter entre nous ? Ce qui est en jeu est fondamental et nous dépasse tous. C'est d'offrir aux Français une alternative entre l'impuissance et le choix de la division macronistes, et l'extrémisme.
Mais les militants LR veulent choisir leur candidat... Ils l'ont redit le week-end dernier.
Les militants ne veulent pas d'affrontements stériles et ravageurs à l'intérieur de notre famille politique. C'est pour cela qu'ils ont écarté la logique d'une primaire... Et ils veulent d'abord et avant tout, gagner. La solution qui sera trouvée devra être soumise aux adhérents, c'est évident. Je ne changerai pas, je ne me renierai pas, je ne renoncerai jamais à ma conception de l'élection présidentielle : la rencontre entre un candidat ou une candidate et les Français.
Si vous acceptez un congrès, ce serait plutôt sous la forme de celui de 2007 qui avait lancé la campagne de Nicolas Sarkozy ?
Par le passé, les congrès ont permis de se rassembler et de créer une dynamique. Et ce ne sera pas un congrès avec un seul vainqueur et des vaincus. Je suis celui qui peut battre Emmanuel Macron et Marine Le Pen. Les électeurs de la droite et du centre veulent l'emporter, et ouvrir un autre avenir pour la France ; ils savent que Marine Le Pen et Emmanuel Macron emmènent la France dans le mur. La responsabilité de notre famille politique est de répondre aux besoins de changement et d'unité.
À VOIR AUSSI - 2022: «Il n'y aura qu'un seul candidat», à droite, assure Xavier Bertrand
Mais alors votre argument pour convaincre vos concurrents repose surtout sur les sondages ?
Pas uniquement, je respecte chacun des candidats, ses idées, son programme, ses équipes. Mon projet, je veux le présenter à tous les Français. Et surtout je ne vais pas faire campagne contre ceux avec qui je vais gouverner. Cela n'a aucun sens ! Je n'ai pas d'adversaire dans ma famille politique.
Éric Zemmour juge que vous «n'osez pas» débattre avec lui . Que lui répondez-vous ?
Je suis prêt à débattre avec lui... au deuxième tour de l'élection présidentielle, s'il est qualifié face à moi.
Mais vous refusez tout débat avec lui pendant la campagne ?
Je ne vais pas entretenir ce tumulte. Vouloir devenir président de la République, c'est aussi savoir résister et se tenir à l'écart de l'agitation politico-médiatique et ne jamais oublier que l'essentiel, c'est d'établir un dialogue direct avec les Français sur ce qui doit nous rassembler et notre avenir.
À VOIR AUSSI - «On aura un débat, un vrai débat. Il va venir»: l'échange glacial entre Emmanuel Macron et Xavier Bertrand à Roubaix
Le 29 septembre 2021 à 21:30:05 :
Les gens de 18 ans qui te paraissaient être des dinosaures, des gens qui ont vécu plein de choses et qui ont plein de responsabilitéshttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png Alors que c'était juste des pyj qui savent à peine cuire des pâtes
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png
J'ai soufflé du nez
Le 29 septembre 2021 à 21:08:23 :
Le 29 septembre 2021 à 21:06:14 :
Le 29 septembre 2021 à 21:02:46 :
Le 29 septembre 2021 à 20:58:44 :
Genre en France tu peux être sans papier et toucher le RSA ? je vois pas comment c'est possibleun clandestins de merde touche 10 fois plus d'aide de l'état qu'un français prolos présent depuis plus de 2000 ans.
même dans les association à la base créée pour les français prolos, du genre restos du coeur sont maintenant réquisitionné pour servir aux clandestins en priorité. et je vous parlerais même pas des hôtels étoilé entièrement réquisitionné par l'état pour loger les clandestins pendant que toi tu peu crever la bouche ouverte sur le bord du trottoir.
le socialisme à clairement une volonté de nuire au peuple français. par tout les moyen et surtout financier."Un clandestin de merde" j'ai signal gouv pour incitation à la haine.
Toi mange ta ddb mon petit collaborateur
Je suis l'op du topic, mais on n'incite pas à la haine.
Le 29 septembre 2021 à 21:02:46 :
Le 29 septembre 2021 à 20:58:44 :
Genre en France tu peux être sans papier et toucher le RSA ? je vois pas comment c'est possibleun clandestins de merde touche 10 fois plus d'aide de l'état qu'un français prolos présent depuis plus de 2000 ans.
même dans les association à la base créée pour les français prolos, du genre restos du coeur sont maintenant réquisitionné pour servir aux clandestins en priorité. et je vous parlerais même pas des hôtels étoilé entièrement réquisitionné par l'état pour loger les clandestins pendant que toi tu peu crever la bouche ouverte sur le bord du trottoir.
le socialisme à clairement une volonté de nuire au peuple français. par tout les moyen et surtout financier.
"Un clandestin de merde" j'ai signal gouv pour incitation à la haine.
Le 29 septembre 2021 à 20:58:44 :
Genre en France tu peux être sans papier et toucher le RSA ? je vois pas comment c'est possible
Va cotiser pour les nouveaux venues l'esclave
Le 29 septembre 2021 à 20:54:38 :
l'extrême droite et son univers parallèleoui bien sur les étrangers ont le RSA
https://www.google.com/search?client=firefox-b-d&q=%C3%A9tranger+rsa hop
Le 29 septembre 2021 à 20:48:40 :
Bah c'est déjà le cas non?
Non.
Le 29 septembre 2021 à 20:45:56 :
pas de soin remboursé ni rsa aux immigrés, mais ils vont crever un peu partout sur les trottoirs, c'est impossible