Messages de dbijnd893

Le 01 juillet 2021 à 05:40:02 :
30 ans ferme

Mais bon je suppose qu'il y aura altération du discernement comme ça pas de condamnation :)Ça serait vraiment un coup de CHANCE :)

Dans 5 ans ils sont dehors.

Origine de l'immeuble?
Karim l'astrophysicien

Le 01 juillet 2021 à 05:30:43 :
sah les gwer on fais du sale dans votre pays mglhttps://image.noelshack.com/fichiers/2016/50/1482086657-pnlademorire.png

Arnaud, tu veux retourner en zonzon? :)

Des remarques? :)
Des questions? :)

Le 01 juillet 2021 à 05:22:04 :

Elle l’avait rencontré une première fois, puis avait accepté de se rendre chez lui, là où ils avaient eu un premier rapport sexuel. Il y aura d’autres relations du même type jusqu’à ce que l’adolescente décide de mettre fin à cette histoire.L’accusé a ensuite utilisé une autre méthode. Il a envoyé une vidéo le montrant avec l’adolescente en plein acte, à sa sœur, une camarade de collège et à son ex-petit ami. Effondrée, la jeune fille de 14 ans est retournée le voir et s’est vu imposer d’autres rapports sexuels.

il est oú le viol ?

DDB, Gilbert viendra vérifier tes disques durs au cas où :)

surtout padamalgam, merci.

Le procès des meurtriers présumés d’Adrien Perez, le 29 juillet 2018, à la sortie de la boite le Phoenix, à Meylan, est entré dans sa deuxième semaine. L’audience d’hier a été consacrée à la version des faits de chaque accusé. Younès El Habib a pris la parole en dernier.

“J’ai sorti le couteau pour protéger mon frère qui se battait avec Thibault Joffre, qui l’avait insulté. Je pensais faire peur. J’ai dit : Le premier qui touche à mon frère je le découpe. Mais Mathieu porte m’a sauté dessus. Je me suis retrouvé avec le t-shirt sur la tête, pour me dégager j’ai piqué à l’aveugle, je pensais viser les jambes, pas le cœur. Je ne voulais pas tuer” raconte-t-il.

“Mais”, insiste la présidente, ”vous avez entendu le médecin légiste, qui a dit que le coup qui a tué Adrien Perez demande de la force. Vous avez senti une résistance ?”

“Non“ répond Younes El Habib posément. “Aujourd’hui, je sais que pour protéger mon frère, j’aurais dû l’empêcher de se battre et moi, je n’aurais jamais du sortir ce couteau.” Un couteau que Younès El Habib dit avoir jeté dans une rue derrière la discothèque, mais qui n’a jamais été retrouvé, tout comme le t-shirt que Yanis El Habib portait lors de la bagarre. Il faut dire qu’ils se sont rendus, pour l’aîné 48 heures après et pour le cadet le lendemain.

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/proces-du-meurtre-d-adrien-perez-younes-el-habib-donne-sa-version-des-faits-1624912780

Le chef de la police provinciale, Gerhard Pürstl, a expliqué lors d’une conférence de presse mardi matin que, selon les enquêtes en cours, la jeune fille pourrait avoir connu les suspects. Elle serait également entrée volontairement dans l’appartement de l’un des suspects. La consommation de drogues y aurait eu lieu. Le jeune de 13 ans aurait consommé de l’ecstasy dans l’appartement du jeune de 18 ans, a précisé M. Pürstl. La question de savoir si elle a pris d’autres substances doit être clarifiée par une expertise toxicologique.

La jeune fille de 13 ans avait probablement reçu des médicaments “dans le but de la rendre docile”, a déclaré M. Pürstl. Selon l’état d’avancement de l’enquête, des “infractions pénales graves contre l’intégrité sexuelle” sont susceptibles d’avoir été commises de ce fait.

Le ministre de l’Intérieur Karl Nehammer (ÖVP) s’est dit “stupéfait” par cette affaire. Les deux suspects sont deux ressortissants afghans qui sont venus en Autriche en tant que demandeurs d’asile, a expliqué M. Nehammer. Le jeune homme de 18 ans est un bénéficiaire de la protection subsidiaire qui a un casier judiciaire pour cause de délinquance et a perdu son statut de protection en 2019, a-t-il précisé. L’homme aurait fait appel de cette décision. L’affaire est toujours en cours, a-t-il dit.

Onze charges : De 2018, il y a eu au total onze rapports de police, notamment pour trafic de stupéfiants, menace dangereuse et bagarre. En 2018, il a été condamné pour la première fois et a purgé deux mois avec sursis. En 2019, il a purgé dix semaines de prison sous condition en vertu de la loi sur les stupéfiants. L’année précédente, il avait alors écopé de dix mois de prison sans condition pour vol avec violence – il a toutefois été libéré de manière anticipée en août et est depuis à nouveau en liberté.

L’intéressé étant encore mineur au moment du retrait de son statut de protection, son expulsion était inadmissible sur la base de la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH). Toutefois, compte tenu de la délinquance multiple du garçon, le Tribunal administratif fédéral aurait eu la possibilité de révoquer la protection contre l’expulsion et, dans le sens d’une exigence d’accélération, d’autoriser l’expulsion à partir de l’âge de la majorité de l’Afghan d’origine.

Le jeune homme de 16 ans, quant à lui, n’avait demandé l’asile que cette année. Il n’a pas de casier judiciaire jusqu’à présent.

M. Nehammer a clairement indiqué que s’il s’avère que les suspects sont effectivement les auteurs des crimes, “nous continuerons à les expulser systématiquement vers l’Afghanistan, par exemple, comme dans ces cas”. Il a ajouté que ceux qui fuient et cherchent une protection en Autriche doivent respecter la loi : “Ceux qui ne le font pas doivent partir.”

Les enquêteurs espèrent que les images de la caméra de surveillance d’une pharmacie apporteront des solutions. La fillette a été retrouvée samedi matin dans la rue Viktor Kaplan, près d’un arbre de l’avenue. L’autopsie a révélé que la fillette avait été étouffée.

https://www.derstandard.at/consent/tcf/story/2000127798797/getoetete-13-jaehrige-die-beiden-verdaechtigen-sollen-bereits-amtsbekannt-sein

Deux jeunes hommes, dont un mineur, ont été mis en examen mardi après le décès d’un homme de 20 ans, victime d’une blessure à l’arme blanche…
[…]

Les deux jeunes hommes, en situation irrégulière, «ont été déférés ce matin au parquet de Brest et présentés au juge d’instruction», a indiqué Camille Miansoni lors d’une rencontre avec la presse. «Ces deux personnes ont pris part à la bagarre. En revanche, les circonstances exactes des coups de couteau et en particulier du coup de couteau mortel n’ont pas encore été précisées», a-t-il ajouté, annonçant l’ouverture d’une information judiciaire pour «meurtre, tentative de meurtre et violence volontaire aggravée». La victime a été mortellement touchée au cœur.

https://www.lefigaro.fr/flash-actu/finistere-deux-personnes-mises-en-examen-apres-la-mort-d-un-homme-20210629

Des questions?
Un jeune mineur isolé de 28 ans :)
Un Breton du Sud

Le 01 juillet 2021 à 05:13:10 :
L’op = Damien Rieu

J'aime beaucoup mais non

Le 01 juillet 2021 à 05:10:09 :
Courage à ces filles qui osent se dresser contre la tyrannie.

oui, vive le progrès

Le 01 juillet 2021 à 05:13:21 :

Le 01 juillet 2021 à 05:09:10 :
Toujours le(s) même(s).

Les bouddhistes ?

oui

Toutes ses « conquêtes » croyaient qu’il s’appelait Nabil. Que cet étudiant,rencontré via Facebook, avait entre 17 et 20 ans. Dupées, ces adolescentes n’ont d’ailleurs jamais remarqué qu’il avait caché une caméra dans la chambre de son appartement à Evry-Courcouronnes (Essonne), sous des vêtements ou dans une boîte posée au-dessus de l’armoire. Mais rapidement le vrai profil de Jalal, 30 ans, s’est révélé à ses victimes. Ce cuisinier au chômage est jugé depuis ce mardi et durant deux semaines devant la cour d’assises des mineurs de l’Essonne pour viols, chantage sexuel, enregistrement et transmission d’images à caractère sexuel, menaces, harcèlement moral, sur neuf mineures âgées de 13 à 17 ans…

https://www.leparisien.fr/faits-divers/revenge-porn-menaces-un-trentenaire-juge-pour-des-viols-sur-une-dizaine-dados-en-essonne-29-06-2021-A7VNCUJMDRACVKHBAFHNXWBDAM.php

Un jeune Tunisien de 17 ans est accusé d’avoir agressé sexuellement cinq collégiennes âgées de 13 à 15 ans, à Beaurepaire (Isère). Mis en examen, il a été remis en liberté sous contrôle judiciaire.

Les faits se sont produits jeudi, non loin d’un collège de Beaurepaire. Une jeune fille qui venait de sortir de l’établissement a fait demi-tour avant de revenir sur ses pas, relate Le Dauphiné. Elle a confié à un surveillant du collège ce qui venait de lui arriver. Un adolescent l’aurait abordée alors qu’elle prenait la direction de son domicile, puis se serait montré pressant avec elle. Il lui aurait ensuite touché la poitrine et les fesses.

Plusieurs autres jeunes filles ont alors livré un récit similaire, décrivant des agressions sexuelles aux abords du collège par le même individu. Elles n’auraient pas osé en parler plus tôt.
Les parents ont déposé plainte

Les gendarmes ont été alertés et se sont lancés à la recherche de l’agresseur présumé. Il a été interpellé en fin de journée. Âgé de 17 ans, ce ressortissant tunisien arrivé sur le territoire national il y a quelques jours, a été placé en garde à vue. Les parents des victimes de 13 à 15 ans ont quant à eux déposé plainte.

Le mis en cause a été déféré au parquet de Vienne et a été présenté à un juge des enfants, qui l’a mis en examen pour agressions sexuelles sur mineurs de moins de 15 ans et plus de 15 ans. En l’attente de son procès, l’adolescent a été laissé libre sous contrôle judiciaire et a l’interdiction de se rendre à Beaurepaire. Il a fait l’objet d’un placement.

https://actu17.fr/isere-cinq-jeunes-filles-de-13-a-15-ans-agressees-sexuellement-pres-dun-college-un-suspect-mis-en-examen/

Insultes, harcèlement, agressions, les témoignages de femmes évitant au maximum la place Gabriel-Péri se multiplient. Symptôme d’une dérive sociétale générale ou spécificité de ce quartier ? Reportage sur place. D’une femme, place Gabriel-Péri.

La misogynie dénoncée sur cette place du Pont serait-elle exagérée ? Ou restreinte aux environs du marché clandestin qui s’installe de l’autre côté du cours Gambetta ?

Illusion passagère. Un peu plus tard, un homme d’une trentaine d’années, accoudé aux rambardes de la station Guillotière, vilipende bruyamment une femme dont il n’apprécie visiblement pas la tenue vestimentaire, trop près du corps à son goût. Il la suivra d’un regard plus qu’appuyé et de ses remarques jusqu’à ce qu’elle dévale les marches du métro. Autour, personne ne lève la tête. Comme l’habitude tenace d’une tranche de vie quotidienne qui se prolonge au gré des cibles qu’il semble traquer des yeux.
[…]

L’insécurité vécue par les femmes est-elle spécifique à la Guillotière ? Le harcèlement de rue est-il plus prégnant qu’ailleurs ? Assez sans doute pour que la place des femmes constitue le point central du dernier atelier participatif « pour mieux vivre ensemble place du Pont », animé le 4 mai dernier par les mairies du 3e et du 7e arrondissement.

Lors de l’atelier une habitante indique que deux de ses baby-sitters refusent désormais de se rendre à son domicile. Une autre, que sa fille réfléchit à la tenue qu’elle portera pour aller courir. Pour beaucoup, le malaise réside surtout dans une densité accrue aux abords des stations de métro et de tramway. Une oppression que certaines préfèrent éviter, quitte à marcher. Denise Margery, présidente départementale de l’association Femmes Solidaires, a pu constater une augmentation des témoignages en ce sens.
[…]

Cela fait deux ans que ça a changé. Avant, il y avait une espèce d’équilibre. Les hommes ne faisaient pas de vague par peur de la police, on était en sécurité. Je me suis fait une fois agresser il y a 10 ans en rentrant à 5 h du matin. La seule fois en 10 ans, quelle que soit ma tenue. Maintenant c’est anxiogène, je viens au travail la boule au ventre.

Justine Vincent et Mélodie Gauglin, gérantes du café-librairie féministe « Café Rosa », ouvert le 8 mars 2021 au 78 bis, rue Béchevelin : « Nous n’avons jamais eu de retour de femmes qui se sentent en insécurité dans le quartier de la Guillotière. Et à titre personnel, nous n’avons pas eu de mauvaise expérience place du Pont. Effectivement c’est une place à fréquentation majoritairement masculine mais ce sentiment ne me parle pas tant que ça, je me sens plutôt en sécurité. »

https://www.leprogres.fr/societe/2021/06/29/place-du-pont-les-cris-et-les-insultes-contre-les-femmes-dans-l-indifference-generale