Messages de Metro2Nation
L'université du Kentucky vient de sortir sa toute nouvelle étude sociologique annuelle. Cette fois-ci, c'est la vie parisienne qui est passée au peigne fin. Et vous allez voir les résultats, vous ne serez pas déçus. En deux mots : "Quel déprime !"
Les chiffres sont formels (étude réalisée auprès de 51'592 sujets) . Pour le parisien moyen (à l'exception de la tranche haute nommée dans l'étude "the yes-life tier") , aucun moyen de faire des rencontres, tout le monde est sur son téléphone ou pressé.
Un paragraphe d'une taille impressionnante est également dédié aux relations amoureuses : 97,479% des parisiennes ne daignent même pas te rendre ton regard. Quel déprime !
Le directeur de l'étude, qui a publié plus de 1800 papiers à son actif dans diverses universités américaines a mis en place un portrait robot de la parisienne typique : hautaine, qui marche à grande vitesse vêtue d'un long manteau et d'un sac de marque, se protégeant du soleil mais aussi de la vue du visage hideux du parisien moyen avec un béret ou tout autre chapeau à la mode.
Sur le plan professionnel, on retrouve une convergence impressionnante. Un membre de l'équipe de recherche a confié au NY Times "Toutes les mêmes, travaillent en tant que "chief happiness officer" mais ne peuvent rendre les hommes heureux, netflix and chill, brunch entre copines, swipe left pendant la pause clope, Queen et Lomepal dans leurs airpods".
Cette description, très précise, pourrait être considérée comme la vision tronquée d'un homme déçu d'une histoire parisienne pendant sa jeunesse. Cependant, une visite de terrain au parc Monceau a permis d'établir que 99,74% des parisiennes partageaient au moins les deux tiers de ces caractéristiques (étude de l'université du Kentucky).
Notre correspondant à Washington nous confirme : "Rouge à lèvre rouge vif qui contraste avec leur couleur de peau blanchâtre totalement pâle. La cigarette au bec, en recalant 99% des mecs sur tinder pendant leur pause histoire de ne pas se sentir seule"
D'autant plus étonnant, si ces parisiennes se ressemblent autant sur le plan physique, on observe également une impressionnante convergence des comportements. Une soirée type pour la parisienne "La parisienne et ses copines se retrouvent à 18h (heure du couvre-feu en France au moment de l'étude) à Carrefour Market acheter une bouteille de vin blanc, et se tressaillent d'allégresse, faisant comprendre à n'importe quel mâle bêta aux clavicules courtes qu'il n'est pas invité à leur soirée et qu'il ne le sera jamais" témoigne le professeur Goldmanstein de l'université de Californie.
Pour 92,591% des hommes, appelés dans l'étude "non-attractive men", il est tout simplement impossible de faire des rencontres en bar. Les parisiennes et leurs amis masculins ayant eu le privilège d'intégrer leurs cercles sociaux (où il est en permanence sur un siège éjectable, menacé par n'importe quel mâle à la mâchoire plus carré) sont en petit comité et il suffit d'aborder quelqu'un pour qu'il se recroqueville .
Vous en pensez quoi de cet article les kheys ? 
Perso ça me fait vraiment peur, surtout venant d'une source aussi scientifique (université du Kentucky).
Ça fait 8 ans que je vis ici ( Etudes+boulot ) , et ça me déprime tellement
J'ai traduit le papier de l'université du Kentucky exprès pour vous
L'université du Kentucky vient de sortir sa toute nouvelle étude sociologique annuelle. Cette fois-ci, c'est la vie parisienne qui est passée au peigne fin. Et vous allez voir les résultats, vous ne serez pas déçus. En deux mots : "Quel déprime !"
Les chiffres sont formels (étude réalisée auprès de 51'592 sujets) . Pour le parisien moyen (à l'exception de la tranche haute nommée dans l'étude "the yes-life tier") , aucun moyen de faire des rencontres, tout le monde est sur son téléphone ou pressé.
Un paragraphe d'une taille impressionnante est également dédié aux relations amoureuses : 97,479% des parisiennes ne daignent même pas te rendre ton regard. Quel déprime !
Le directeur de l'étude, qui a publié plus de 1800 papiers à son actif dans diverses universités américaines a mis en place un portrait robot de la parisienne typique : hautaine, qui marche à grande vitesse vêtue d'un long manteau et d'un sac de marque, se protégeant du soleil mais aussi de la vue du visage hideux du parisien moyen avec un béret ou tout autre chapeau à la mode.
Sur le plan professionnel, on retrouve une convergence impressionnante. Un membre de l'équipe de recherche a confié au NY Times "Toutes les mêmes, travaillent en tant que "chief happiness officer" mais ne peuvent rendre les hommes heureux, netflix and chill, brunch entre copines, swipe left pendant la pause clope, Queen et Lomepal dans leurs airpods".
Cette description, très précise, pourrait être considérée comme la vision tronquée d'un homme déçu d'une histoire parisienne pendant sa jeunesse. Cependant, une visite de terrain au parc Monceau a permis d'établir que 99,74% des parisiennes partageaient au moins les deux tiers de ces caractéristiques (étude de l'université du Kentucky).
Notre correspondant à Washington nous confirme : "Rouge à lèvre rouge vif qui contraste avec leur couleur de peau blanchâtre totalement pâle. La cigarette au bec, en recalant 99% des mecs sur tinder pendant leur pause histoire de ne pas se sentir seule"
D'autant plus étonnant, si ces parisiennes se ressemblent autant sur le plan physique, on observe également une impressionnante convergence des comportements. Une soirée type pour la parisienne "La parisienne et ses copines se retrouvent à 18h (heure du couvre-feu en France au moment de l'étude) à Carrefour Market acheter une bouteille de vin blanc, et se tressaillent d'allégresse, faisant comprendre à n'importe quel mâle bêta aux clavicules courtes qu'il n'est pas invité à leur soirée et qu'il ne le sera jamais" témoigne le professeur Goldmanstein de l'université de Californie.
Pour 92,591% des hommes, appelés dans l'étude "non-attractive men", il est tout simplement impossible de faire des rencontres en bar. Les parisiennes et leurs amis masculins ayant eu le privilège d'intégrer leurs cercles sociaux (où il est en permanence sur un siège éjectable, menacé par n'importe quel mâle à la mâchoire plus carré) sont en petit comité et il suffit d'aborder quelqu'un pour qu'il se recroqueville .
Vous en pensez quoi de cet article les kheys ? Perso ça me fait vraiment peur, surtout venant d'une source aussi scientifique (université du Kentucky).
Ça fait 8 ans que je vis ici ( Etudes+boulot ) , et ça me déprime tellement
Le 27 janvier 2021 à 11:26:34 Cornfiber a écrit :
Le 27 janvier 2021 à 11:22:05 Metro2Nation a écrit :
Le 27 janvier 2021 à 11:21:09 Cornfiber a écrit :
Je suis arrivé à Paris il y a bientôt 2 ans pour la fin de mes études/taff, et j'en suis ultra heureux (en dehors du covid Attardin
Paris c'est ultra sympa quand t'as pas un blocage social, le problème vient de toi et cette ville n'est pas adapté à ce que tu rechercheD'accord, mais comment t'as fait pour intégrer des cercles sociaux ? Possèdes-tu le cheatcode de la richesse ou de la génétique ?
Mais khey t'as tellement des moyens
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/50/1/1513020307-risitas54transparent2b.png
-T'es anciens potes du lycées qui sont maintenant à Paris
-T'es potes d'études sup
-Tes collègues de taff
-Rencontrer des gens en soirées
-Les groupes FB (t'aime quelque chose ? "Neurchi de" + ce que t'aime. Tu regarde les évenements
-Les tonnes d'événements à Paris
-Les applis
...Je suis un khey basique bac+5 7/10, aucuns soucis à Paris pour faire sa vie
Potes de lycée : en province.
Potes d'études sup : j'ai quelques potes mais j'ai fait des études d'ingénieur, et globalement ils sont dans la même situation que moi. On se fait des soirées ensemble mais entre mecs.
Collègues de taff : plus âgés, enfermés dans leurs boucles respectives.
Soirées : comme dit précédemment, je n'ai pas accès aux soirées en dehors de mon cercle social masculin.
Les groupes FB : troll ?
Les événements à Paris : actuellement c'est cuit
Les applis : pas assez beau.
Comment j'élargis mon cercle social avec ça ?
Le 27 janvier 2021 à 11:22:43 Cornfiber a écrit :
Le 27 janvier 2021 à 11:21:12 Metro2Nation a écrit :
Le 27 janvier 2021 à 11:20:25 japonaine a écrit :
Ca marche pas sur les app ? Perso ça marche bien sur adopte un mec, les meufs sont plus intéressantes que sur Tinder.Je baise régulièrement grâce à ça
Troll bas de gamme
Bon ok, l'OP est juste un Celestin qui n'arrive pas à concevoir qu'il est possible d'avoir une vie sociale et rencontrer des gens
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png
Je te dis juste que je suis pas assez beau pour matcher sur Tinder, et que pour aller sur adopteunmec faut être un sacré chien de la casse, et que ça ne te garantit aucun résultat pour autant
Le 27 janvier 2021 à 11:21:09 Cornfiber a écrit :
Je suis arrivé à Paris il y a bientôt 2 ans pour la fin de mes études/taff, et j'en suis ultra heureux (en dehors du covid Attardin
Paris c'est ultra sympa quand t'as pas un blocage social, le problème vient de toi et cette ville n'est pas adapté à ce que tu recherche
D'accord, mais comment t'as fait pour intégrer des cercles sociaux ? Possèdes-tu le cheatcode de la richesse ou de la génétique ?
Le 27 janvier 2021 à 11:20:25 japonaine a écrit :
Ca marche pas sur les app ? Perso ça marche bien sur adopte un mec, les meufs sont plus intéressantes que sur Tinder.Je baise régulièrement grâce à ça
Troll bas de gamme
Le 27 janvier 2021 à 11:09:25 japonaine a écrit :
Aya, tellement vraiApres il est possible que les groupes se sociabilisent dans les bars mais faut qu ils soient du même style, et qu ils soient assez bourrés pour que ça arrive.
Il est meme mal vu de parler à d autres gens parfois
Le milieu gay est plus ouvert et aller dans ce genre de soirées c est vraiment l occasion de faire de belles rencontres mais faut recaler tous les mecs qui viennent te draguer cest relou
Vraiment j'hésite à changer de bord. C'est probablement moins douloureux que de subir le rejet constant des parisiennes
Le 27 janvier 2021 à 10:55:36 QuaranteMinutes a écrit :
"Quel" déprimelow IQ
Pour feeder la boucle il faut garder le topax sous sa forme initiale. Si je corrigerais la faute ça perdrait de son charme et de son authenticité
Le 27 janvier 2021 à 10:36:59 The_Holiday a écrit :
Le 27 janvier 2021 à 10:36:35 SkeletronPrime a écrit :
C'est pas pour rien que les étrangers sont si dégoutés et choqués de la "ville Lumiére" qu'il existe un syndrome qui porte le nom de ce trou à rats1er bouseux
1er fils à papa qui n'a jamais foutu les pieds dans un RER