Metro2Nation
2021-03-31 08:12:25
L'université du Kentucky vient de sortir sa toute nouvelle étude sociologique annuelle. Cette fois-ci, c'est la vie parisienne qui est passée au peigne fin. Et vous allez voir les résultats, vous ne serez pas déçus. En deux mots : "Quel déprime !"
Les chiffres sont formels (étude réalisée auprès de 51'592 sujets) . Pour le parisien moyen (à l'exception de la tranche haute nommée dans l'étude "the yes-life tier") , aucun moyen de faire des rencontres, tout le monde est sur son téléphone ou pressé.
Un paragraphe d'une taille impressionnante est également dédié aux relations amoureuses : 97,479% des parisiennes ne daignent même pas te rendre ton regard. Quel déprime !
Le directeur de l'étude, qui a publié plus de 1800 papiers à son actif dans diverses universités américaines a mis en place un portrait robot de la parisienne typique : hautaine, qui marche à grande vitesse vêtue d'un long manteau et d'un sac de marque, se protégeant du soleil mais aussi de la vue du visage hideux du parisien moyen avec un béret ou tout autre chapeau à la mode.
Sur le plan professionnel, on retrouve une convergence impressionnante. Un membre de l'équipe de recherche a confié au NY Times "Toutes les mêmes, travaillent en tant que "chief happiness officer" mais ne peuvent rendre les hommes heureux, netflix and chill, brunch entre copines, swipe left pendant la pause clope, Queen et Lomepal dans leurs airpods".
Cette description, très précise, pourrait être considérée comme la vision tronquée d'un homme déçu d'une histoire parisienne pendant sa jeunesse. Cependant, une visite de terrain au parc Monceau a permis d'établir que 99,74% des parisiennes partageaient au moins les deux tiers de ces caractéristiques (étude de l'université du Kentucky).
Notre correspondant à Washington nous confirme : "Rouge à lèvre rouge vif qui contraste avec leur couleur de peau blanchâtre totalement pâle. La cigarette au bec, en recalant 99% des mecs sur tinder pendant leur pause histoire de ne pas se sentir seule"
D'autant plus étonnant, si ces parisiennes se ressemblent autant sur le plan physique, on observe également une impressionnante convergence des comportements. Une soirée type pour la parisienne "La parisienne et ses copines se retrouvent à 18h (heure du couvre-feu en France au moment de l'étude) à Carrefour Market acheter une bouteille de vin blanc, et se tressaillent d'allégresse, faisant comprendre à n'importe quel mâle bêta aux clavicules courtes qu'il n'est pas invité à leur soirée et qu'il ne le sera jamais" témoigne le professeur Goldmanstein de l'université de Californie.
Pour 92,591% des hommes, appelés dans l'étude "non-attractive men", il est tout simplement impossible de faire des rencontres en bar. Les parisiennes et leurs amis masculins ayant eu le privilège d'intégrer leurs cercles sociaux (où il est en permanence sur un siège éjectable, menacé par n'importe quel mâle à la mâchoire plus carré) sont en petit comité et il suffit d'aborder quelqu'un pour qu'il se recroqueville .
Vous en pensez quoi de cet article les kheys ? Perso ça me fait vraiment peur, surtout venant d'une source aussi scientifique (université du Kentucky).
Ça fait 8 ans que je vis ici ( Etudes+boulot ) , et ça me déprime tellement