Messages de f2df54d4f8

https://www.leparisien.fr/faits-divers/il-etait-tres-gentil-poli-pres-de-bordeaux-un-retraite-battu-a-mort-pour-une-remarque-19-04-2021-A2J27BHPZZFC5LAJ6D6HIYWNC4.php

Quatre jeunes ont été mis en examen après le meurtre d’un homme de 68 ans, tué au pied de son immeuble à Floirac (Gironde). Ils ont expliqué le déchaînement de violence par une remarque que leur aurait fait la victime sur leur présence près d’un local technique

Une information judiciaire est ouverte par le parquet de Bordeaux pour meurtre. L’autopsie, pratiquée à l’Institut médico-légal de la ville, conclut à un décès dû « à un œdème cérébral post-traumatique suite à un fracas facial majeur », selon le parquet. Plusieurs fractures ont été relevées sur son visage. Des traces de sang ont été retrouvées sur les murs, au ras du sol. Elles laissent fortement penser aux enquêteurs que la victime a été frappée alors qu’elle était au sol. La procureure de la République de Bordeaux Frédérique Porterie évoque ainsi un « homicide commis avec soudaineté et brutalité ».

Les cinq personnes sont sans emploi et originaires des communes de la rive droite, Lormont, Cenon et Floirac. L’une d’entre elles, connue pour des faits de violence, serait récemment sortie de prison. Selon un proche de l’enquête, les quatre garçons auraient reconnu leur présence sur les lieux et avoir porté des coups de pied à la victime. Les quatre agresseurs présumés ont justifié leur acte en représailles à un propos qu’ils ont jugé déplacé de la part de la victime. En revanche, ils ont nié avoir eu l’intention de tuer.

https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/nantes-44000/nantes-juge-pour-un-coup-de-couteau-mortel-dans-le-tramway-5176fb18-a2d5-11eb-865f-8333e4f65ebb

Vi­déo gla­çante. En ce mer­cre­di après-mi­di, la pré­si­dente de la cour d’as­sises de Loire-At­lan­tique fait pas­ser en boucle ces images de vi­déo­sur­veillance du tram­way de Nantes. Ham­di Ben Fe­ki, dans le box, ai­me­rait bien bais­ser les yeux. Mais doit les re­gar­der, comme lui en­joint de le faire la juge.

On le voit en­trer dans le tram avec trois autres jeunes, par­ler avec deux autres, dé­jà as­sis. Dont Ous­sa­ma Na­di. Nous n’en­ten­dons rien, la vi­déo est muette. Pas de coups échan­gés. L’on peut de­vi­ner des voix qui s’em­portent.

Tous se connaissent. Ou tout au moins se sont croisés dans la soi­rée, ce ven­dre­di 21 juillet 2017. Place du Com­merce. Ham­di Ben Fe­ki y a frap­pé un ami d’Ous­sa­ma Na­di. Vio­lem­ment. « Il m’avait ca­rot­té 1 g de co­caïne et a in­sul­té ma mère et mon père », tente-t-il de jus­ti­fier au­jourd’hui à la pré­si­dente. « J’étais éner­vé à mort », ré­pète-t-il. D’au­tant qu’il avait dû battre en re­traite quand « une ving­taine d’Al­gé­riens » étaient in­ter­ve­nus pour ai­der leur com­pa­triote.

Ce soir de juillet, après cette ba­garre, Ham­di Ben Fe­ki, jeune homme âgé alors de 23 ans, ori­gi­naire de Tu­ni­sie, se pro­met de les re­trou­ver. Pour se ven­ger. Il or­donne à ses amis d’al­ler lui cher­cher dans son ap­par­te­ment, du cô­té de Ta­len­sac, un pis­to­let et un cou­teau. Il est mi­nuit et de­mi quand ils par­viennent à re­trou­ver

Ous­sa­ma Na­di et son com­pa­gnon d’in­for­tune, qui fait lui aus­si l’ob­jet d’une Obli­ga­tion de quit­ter le ter­ri­toire. Dans le tram­way, à l’ar­rêt, à cô­té du CHU.

Une plaie de 6,5 cm d’où gicle le sang

Sur la vi­déo, Ous­sa­ma Na­di semble cal­mer les vel­léi­tés bel­li­queuses de Ham­di Ben Fe­ki. Rien ne laisse pré­sa­ger du pire. Tout le monde est as­sis. Sou­dain, un ami de Ham­di Ben Fe­ki se lève, pointe un pis­to­let sur la tempe du co­pain d’Ous­sa­ma Na­di. Va-t-il ti­rer ? Non. Mais Ham­di Ben Fe­ki fond sur Ous­sa­ma Na­di. Lui plante un coup de cou­teau dans le cou, au ni­veau de la ca­ro­tide. Le geste est pré­cis. Comme s’il l’avait ré­pé­té des cen­taines de fois. Une plaie de 6,5 cm d’où gicle le sang.

Ous­sa­ma Na­di, 22 ans, dé­cé­de­ra quelques mi­nutes plus tard, après s’être traî­né vers les Ur­gences du CHU. Pen­dant que Ham­di Ben Fe­ki et ses trois amis pren­dront la fuite.

Cette scène ter­ri­fiante, les pa­rents d’Ous­sa­ma Na­di ne la ver­ront pas. Leur de­mande de vi­sa ayant été re­fu­sé, ils n’ont pu ve­nir as­sis­ter au pro­cès. La cou­sine de la vic­time se trouve là, avec son ma­ri. En voyant ces images qui passent au ra­len­ti, elle lâche un cri d’épou­vante.

« Ça me choque de re­voir cette scène, lâche Ham­di Ben Fe­ki. J’étais pas dans mon état nor­mal. J’avais pris beau­coup de choses dans mon cer­veau, un ca­che­ton, de la coke, de la vod­ka… » Il dit aus­si avoir en­ten­du des voix. Est-il res­pon­sable pé­na­le­ment ? Les avis des ex­perts di­vergent. Le jeune homme a mul­ti­plié les sé­jours dans les ser­vices psy­chia­triques.

La pré­si­dente est per­plexe : « Vous avez tout de même or­ga­ni­sé votre fuite. » Ham­di Ben Fe­ki a été in­ter­pel­lé en Al­le­magne plus de deux mois après l’ho­mi­cide. Après un pé­riple en Suisse et en Ita­lie. Ver­dict ven­dre­di.

https://nantes.maville.com/actu/actudet_--nantes.-l-homme-se-montrait-tout-nu-dans-le-parc-de-proce-pendant-la-promenade-du-dimanche-_loc-4592310_actu.Htm

Cet homme a créé l’émoi au parc de Procé dimanche après-midi à Nantes, à une heure de grande fréquentation. Une mère de famille et ses enfants ont notamment signalé la présence d’un homme dévêtu, qu’ils ont surpris en train de se masturber. La police est arrivée sur les lieux et a placé cet homme en garde à vue. Dénudé en grande partie, il se cachait dans le parc où il serait resté un long moment. Pas connu jusqu’alors pour ce type de délit, davantage pour des faits d’atteinte aux biens, le suspect nie depuis les faits.

Déféré lundi 19 avril dans l’après-midi, il a été placé sous contrôle judiciaire par le parquet de Nantes qui a requis une expertise psychiatrique en attendant sa convocation devant le tribunal. Lui ont été imposées, en outre, une obligation de soins et l’interdiction de fréquenter le parc de Procé.

https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/nantes-44000/nantes-deux-mains-fracturees-50-points-de-suture-un-reglement-de-comptes-90fb0ee6-a14a-11eb-8a9a-06f908cc3273

Un jeune homme a été violemment agressé dimanche après-midi, dans le quartier Beaulieu, à Nantes.

Il n’a pas voulu déposer plainte en sortant du CHU de Nantes… Et pourtant… Ce jeune homme a été conduit, dimanche après-midi, aux Urgences de l’hôpital, alors qu’il avait été sévèrement frappé : deux mains fracturées et pas moins de cinquante points de suture.

Il a néanmoins affirmé aux policiers que cinq hommes, encagoulés, ont sorti une hache et un sabre alors qu’il se trouvait dans un square, à proximité de la rue Paul-Nassivet, dans le quartier Beaulieu.
« Cet endroit est connu pour le trafic de stupéfiants. Il pourrait donc s’agir d’un règlement de comptes », indique une source proche de l’enquête.
Les auteurs n’ont pas été interpellés.

https://actupenit.com/2021/06/09/nantes-interpelle-il-fracasse-la-machoire-du-policier-dans-la-voiture-de-police-en-lui-assenant-un-coup-de-pied-le-fonctionnaire-a-perdu-connaissance/

Nantes : Interpellé, il fracasse la mâchoire du policier dans la voiture de police en lui assénant un coup de pied. Le fonctionnaire a perdu connaissance.