MorphoRouge attention pavé en approche :
Université de l'Invisible
L'université de l'Invisible (ou université Invisible, ou UI) est une école de mages dont le corps enseignant est composé de mages âgés et ventripotents, voire la plupart du temps aliénés et ineptes et d'un bibliothécaire transformé en orang-outan.
La devise de l'UI est « Nunc id vides, nunc ne vides », phrase en latatien (équivalent du latin dans l'univers du Disque-monde) que l'on pourrait lâchement traduire par « maintenant vous la voyez, maintenant vous la voyez pas ». Le blason de l'Université est un livre de sortilèges aux fermaux de cuivre surmontant un chapeau pointu sur champ d'azur. Il soutient plus qu'une légère ressemblance avec le blason de l'université d'Oxford.
Architecturalement, sa grande tour, la Tour de l'Art, (aujourd'hui assez délabrée) est le plus ancien bâtiment encore debout de tout Anhk-Morpock. Pour le reste, elle est constituée d'un ensemble de bâtiments universitaires dont les plus remarquables sont :
La Bibliothèque, qui comporte sans doute la plus grande quantité d'ouvrages magiques sur le Disque-monde, y compris le très dangereux « Nécrotélicomnicon[Note 1] » écrit par « Ahmed le fou » (qui préférait se faire appeler « Ahmed le J'ai-juste-des-maux-de-tête »), et « l'In-octavo[Note 2] » (livre du créateur même et distrait de l'univers, qui contient les huit plus grands sortilèges existants). Quoi qu'il arrive, vu la tendance de la magie à donner vie aux ouvrages et à courber l'espace-temps, il est conseillé de ne s'y aventurer qu'avec un bâton et de quoi retrouver son chemin…
Bâtiment de magie des Hautes énergies, où officie particulièrement Cogite Stibon. Une des réalisations les plus remarquables présente dans ce bâtiment est « Sort », une machine mécanique un peu étrange permettant d'effectuer des calculs ou des sortilèges complexes mais nécessitant entre autres chose un clavier, une souris et un bidule qui fait « Plop ! ».
La légère tendance du bâtiment à provoquer des fuites de magie provoqua « l'intelligence chronique » du chien Gaspode, ce qui est encore le moins problématique qui ait pu y arriver.
Grande salle de l'université, utilisée en diverses occasions, la plus commune étant le service des repas. Elle comporte un magnifique orgue magistral, créé par Bougre-de-Sagouin Jeanson, qui possède un ensemble de plus de 100 registres dont 12 marqués « ? » (allant des sons les plus communs aux plus étranges, dont le « gloussement rigolo de poule », la « flatulence » ou encore le jeu « Vox Dei » capable de faire fermer boutique aux nerfs auditifs grâce à son tuyau de basse autodécollant de plus de 20 mètres).
L'organiste titulaire actuel est le Bibliothécaire, de par ses capacités uniques en tant qu'orang-outan d'utiliser les trois claviers à la fois tout en mangeant des cacahuètes.
Salle Peu Commune, où l'on peut trouver assez aisément un professeur en cas de besoin, en train de faire la sieste devant le feu. De toute façon, les étudiants ne cherchant pas tellement les professeurs, ils savent ainsi où ne pas les trouver…
Salle 3B, introuvable sur les plans de l'université bien que tous les cours de tous les professeurs s'y déroulent, ce qui en fait pense-t-on une salle aux dimensions infinies.
Cuisines et l'intendance, tenues par une main de fer par Madame Panaris. Il est possible d'y descendre et d'y obtenir un repas à toute heure, si l'on a encore un creux ou du temps libre entre les repas.
Mur d'enceinte possède en un endroit précis un astucieux système de briques pivotantes permettant de sortir ou rentrer de l'université après l'heure du couvre-feu sans être vu, pour se rendre en ville. Les étudiants sont à priori les seuls à connaître ce passage, mais ils ont tendance à oublier que les membres de la faculté sont d'anciens étudiants…
Le « Vieux Tom » est le bourdon de l'université, forgé en Octefer (un fer magique), qui sonne les heures par des silences tonitruants et non des sons.
Étant donné les quantités de magie présentes, les plans de l'université sont souvent rapidement périmés et ressemblent à des chrysanthèmes en train d'exploser, et il arrive parfois qu’un couloir change de direction alors même qu'on est en train de le représenter sur une carte. La magie distordant l'espace-temps, l'université est de toute façon sûrement plus grande à l'intérieur qu'elle ne l'est à l'extérieur. dans certains moments, elle semble même avoir une sorte de personnalité, vaguement facétieuse.
Parmi les personnages de l'université, passés, présents et futurs ou les étudiants remarquables, on peut citer :
Rincevent, mage raté et personnage principal de nombreux romans ;
le bibliothécaire. Un accident de magie l'a malencontreusement transformé en orang-outan (mais il est vivement conseillé de ne pas prononcer le vocable singe devant lui sous peine de subir de graves et horribles préjudices). Le fait de posséder des bras qui touchent le sol sans avoir besoin de se baisser, de disposer de pieds préhenseurs et de se nourrir de bananes sont des avantages acquis tout à fait appréciés par le bibliothécaire qui refuse de redevenir humain ;
l'Archichancelier Mustrum Ridculle, au caractère impossible ;
L'économe, que ses collègues fournissent en pilules de grenouilles séchées ;
Cogite Stibon, le jeune directeur de la magie appliquée malavisée (apparaît pour la première fois dans Les Zinzins d'Olive-Oued en tant que simple étudiant) ;
Vindelle Pounze (mage sénile dans Les Zinzins d'Olive-Oued et mort-vivant dans Le Faucheur) ;
Eskarina Lefèvre, première et seule étudiante de l'université (dans La Huitième Fille et Je m'habillerai de nuit) ;
Alberto Malik : fondateur de l'université ; envoyé dans le domaine de la Mort quand il a exécuté le rite d'AshkEnte à l'envers ;
le titulaire de la chaire des études indéfinies, qui traîne toujours avec le doyen ;
l'assistant des runes modernes, qui traîne toujours avec le titulaire ;
le doyen, qui traîne toujours avec l'assistant des runes ;
le major de promo (Le Faucheur), dont, comme tous les majors de promos des mondes du multivers, on ne sait pas vraiment ce qu'il fait là.
Modo, le jardinier nain, a passé un contrat implicite avec les mages : il ne s'immisce pas dans le continuum de la réalité et en contrepartie ils ne touchent pas à ses tas de compost.
Voici la description de l'université de l'invisible d'Ankh-Morpork.
Dis-moi si ça ne te fait pas penser à quelque chose..
Voici le chapeau de l'Archimage :
This was the badge of office for nearly two thousand years until the events of Sourcery, when it was presumed destroyed. Worn by over two hundred previous Archchancellors, the hat is imbued with magic and has taken on a life of its own.
Un chapeau qui a sa volonté propre, qui parle et est doué de vie, ça ne te rappelle rien ?
Mais c'est pourtant ce que vous faites a 2 depuis tout à l'heure.. A aucun moment il n'a été question d'avoir la plus grosse. Pas de mon côté du moins. Après j'aime bien la provocation, certes, c'est mon tort, je l'admets.
Mais croire me connaître et m'avoir cerné parce que j'ai eu l'outrecuidance de dire que j'avais écrit par le passé c'est un peu grossier tout de même. Car j'ai bien horreur qu'on me tienne des propos ou des intentions que je n'ai pas eues.
Si j'avais vraiment voulu me la raconter je n'y serais pas allé par 4 chemins...
Pour répondre à MorphoRouge je vois ce que tu veux dire, pour toi le mérite vient du public qu'elle a su fédérer autour de ses bouquins.
Pour moi le mérite vient du matériau brut, qu'il soit connu ou non.
Moi je vois son travail comme une oeuvre de "faineant", c'est un peu comme le voisin qui pompe ta copie en substance mais modifie les tournures de phrase histoire que ce soit pas trop flagrant.. C'est ce que j'appelais pmus tôt la repompe grossière.
Un mec comme Tolkien (pour en revenir à cet ewemple), a vu la mythologie scandinave, s'est dit "y'a un truc à faire ici" et s'est reapproprié le tout pour en faire quelque chose d'unique, et surtout, de fondateur.
Ah, et l'autre qui s'autocongratulen suçant si propre post. De mieux en mieux.
Vous êtes réellement désespérants.
En tout cas merci quand même pour l'occupation et la stimulation, je me faisais bien chier au taff, vous m'avez refait mon après-midi.
D'ailleurs Ishoe, pour reprendre tes propos :
"Y'a pas besoin d'être un génie pour comprendre que ta seule boussole pour dénicher un chef d'oeuvre, c'est son niveau de popularité (avec une corrélation inversement proportionnelle bien entendu, c'est à dire que plus une oeuvre est populaire, moins elle est de qualité car c'est important de se sentir différent de la masse)."
C'est sûr, Tolkien, Desproges, les Monty Pythons, Pratchett ou même G. Lucas sont de gros noname complètement inconnus du public..
Et continue à me prêter des messages subliminaux que j'aurais tenté de faire passer en scred sur le topic si tu veux, si j'ai parlé de ça c'était uniquement pour répondre à MorphoRouge a la base, et uniquement à lui. Car il est auteur et dit connaître la masse de travail que représente l'écriture d'un bouquin, je voulais juste souligner que j'ai aussi été dans cette position et que je sais également ce que c'est.
Point final. Pas besoin d'en faire une montagne comme tu le fais actuellement.
Damon_Albarn encore une fois, peux-tu stp me dire ou j'ai dit que mon talent était supérieur à celui de Rowling ? C'est dingue d'être a ce point à côté de la plaque.
Je n'ai fait que mettre en exergue le fait que j'ai aussi écrit a un moment donné, et que par conséquent, je connaissais la masse de travail qui en découle.
Ça et uniquement ça, et tu comprends ce que tu veux comprendre.
Ne t'étonne pas que les gens soient conscebdants avec toi après..
Je n'ai besoin ni de votre avis, ni de vos jugements sur ce que je suis ou ne suis pas. Ça n'a jamais été la question ici.
Mais c'est moi qui suis à côté de la plaque ?
Apprends à lire et à comprendre ce que tu lis avant toute chose stp..