Aix-en-Provence. - Le procès des trois auteurs présumés d'un viol a commencé, mardi matin, devant la cour d'assises des Bouches-du-Rhône, que préside M. Marcel Fourgeaud. Albert Mouglalis, vingt-huit ans, Guy Roger, trente-trois ans, et Serge Petrilli, vingt-six ans, sont accusé d'avoir, dans la nuit du 21 au 22 août , violés deux touristes belges, Mlles Anne Tonglet et Aracelli Castellano, alors âgées de vingt-quatre et vingt ans. Les trois hommes, défendus par Mes François Tubiana, Gilbert Collard et Jean-Claude Simoni, plaident non coupables devant un jury composé de sept hommes et deux femmes ; les trois autres femmes désignées par le sort ont été récusées.Les deux femmes affirment, elles, avoir été violées. Les avocats de la partie civile, Me Gisèle Halimi et Agnès Fichot, ont fait citer de nombreux témoins pour parler du problème du viol. À l'extérieur du palais de justice d'Aix-en-Provence, où siège la cour d'assises, plusieurs centaines de manifestants étaient réunis, mardi, à l'appel de mouvements féministes d'extrême gauche, des syndicats et des partis de gauche. Ils souhaitaient " soutenir la longue action d'Anne et d'Aracelli pour faire reconnaître qu'elles ont été violées, ainsi que pour dénoncer le viol ".
Bordel les.belges
Jugés à huis clos devant la cour d'assises des Pyrénées-Atlantiques, à Pau, pour un viol collectif, quatre jeunes gens ont été condamnés, mercredi 1 septembre, à des peines de cinq ans et trois ans d'emprisonnement assorties d'un sursis partiel.
Aya bordel meme Pau
Chaud
C'est louche un peu 31 ans et violée par des enfants de 15 ans
Bel homme, la quarantaine, cheveux poivre et sel, Xavier Rouve ne présentait en rien le profil d'un violeur ou d'un meurtrier. Lorsqu'ils l'ont arrêté, le 14 août, les policiers du SRPJ de Montpellier (Hérault) ont d'abord douté. Mais après quarante heures de garde à vue, le docteur Rouve a avoué le viol et le meurtre d'une jeune femme. Il a été mis en examen, vendredi soir 16 août, pour « viol et meurtre ».
Médecin à Grabels, dans la banlieue de Montpellier, après avoir effectué de brillantes études, selon ses proches, il préparait un ouvrage sur les méfaits des accidents domestiques. Son premier mariage avec un médecin légiste avait été un échec. Mais il s'était remis en ménage avec une jeune femme de la région, avec qui il avait eu un enfant.
Le 5 août, le docteur Rouve entre avec sa compagne dans un magasin de chaussures de Montpellier. Il repère dans un coin une vendeuse en pleurs. Carole Nicard des Rieux, vingt-trois ans, vient tout juste d'apprendre son licenciement. Encore sous le choc, elle craque et s'en remet spontanément à cet inconnu qui semble faire preuve de compassion devant son sort. Il lui dit connaître un employeur qui a justement besoin de remplacer une salariée en congé de maternité. Il l'appelle pour lui proposer un rendez-vous, deux jours plus tard, dans le quartier du Val-d'Aurelle, à Montpellier.
Passant outre les réticences de son entourage, Carole décide de s'y rendre. Le matin du 7 août, elle laisse sa fillette chez sa nourrice et rencontre Xavier Rouve. Devant les policiers, ce dernier expliquera comment, profitant de l'absence de sa concubine, il a violé et étranglé Carole parce qu'elle refusait ses avances. Auparavant, il avait endormi sa méfiance en accrochant sur la porte un mot du présumé employeur, en réalité écrit de sa main : « Je suis allée chercher des croissants, attends-moi. »
Mohamed S. 38 ans, interpellé peu après les faits dans la nuit de vendredi à samedi, avait été placé en garde à vue pour "viol par personne en état d'ivresse et trafic de stupéfiants". L'intéressé a été mis en examen ce lundi.
La scène a horrifié les riverains du quartier de Stalingrad. Une femme de 28 ans, sans-abri et toxicomane, a été violée en bas d'un immeuble dans la nuit de vendredi à samedi. Une scène filmée par une riveraine du quartier.
Interpellé, l'auteur présumé de l'agression a été déféré dimanche soir en vue de l'ouverture d'une information judiciaire ce lundi, a appris BFM Paris auprès du parquet.
Une jeune fille a été victime d’un viol collectif par trois jeunes ce week-end près de Toulouse. Une information judiciaire a été ouverte pour "viol aggravé en réunion", mais aussi pour l'enregistrement et la diffusion d'images du viol sur les réseaux sociaux.
Une vidéo très dure à regarder. Une jeune femme de 19 ans, originaire du Tarn, a été victime d’un viol collectif mi-septembre, près de Toulouse. Elle a raconté son calvaire aux gendarmes de la section de recherche de la Ville rose, cette semaine.
Une vidéo de ce viol a été mise en ligne sur les réseaux sociaux Snapchat et Twitter, avant d'être retirée rapidement grâce à plusieurs signalements à la police et à la gendarmerie. On y voyait la jeune femme, crier, se débattre face à ses quatre agresseurs sur le parking d'une discothèque.
Dès que cette vidéo a été mise en ligne, elle a provoqué de nombreuses réactions. Plusieurs personnes ont effectué des signalements, arrivés sur la plate-forme Pharos de la police nationale. C’est comme cela que la justice, et en l’occurrence le Parquet de Toulouse, a décidé d’ouvrir une information judiciaire mercredi, pour "viol en réunion".
La victime aurait reconnu trois des de ses agresseurs sur la vidéo, qui sont activement recherchés, tout comme l’auteur de la vidéo.