Ostersund
2021-09-04 01:35:25
https://rmc.bfmtv.com/emission/toulouse-une-jeune-femme-de-19-ans-victime-d-un-viol-collectif-diffuse-sur-les-reseaux-sociaux-1527073.html
Une jeune fille a été victime d’un viol collectif par trois jeunes ce week-end près de Toulouse. Une information judiciaire a été ouverte pour "viol aggravé en réunion", mais aussi pour l'enregistrement et la diffusion d'images du viol sur les réseaux sociaux.
Une vidéo très dure à regarder. Une jeune femme de 19 ans, originaire du Tarn, a été victime d’un viol collectif mi-septembre, près de Toulouse. Elle a raconté son calvaire aux gendarmes de la section de recherche de la Ville rose, cette semaine.
Une vidéo de ce viol a été mise en ligne sur les réseaux sociaux Snapchat et Twitter, avant d'être retirée rapidement grâce à plusieurs signalements à la police et à la gendarmerie. On y voyait la jeune femme, crier, se débattre face à ses quatre agresseurs sur le parking d'une discothèque.
Dès que cette vidéo a été mise en ligne, elle a provoqué de nombreuses réactions. Plusieurs personnes ont effectué des signalements, arrivés sur la plate-forme Pharos de la police nationale. C’est comme cela que la justice, et en l’occurrence le Parquet de Toulouse, a décidé d’ouvrir une information judiciaire mercredi, pour "viol en réunion".
La victime aurait reconnu trois des de ses agresseurs sur la vidéo, qui sont activement recherchés, tout comme l’auteur de la vidéo.
SpringWaltz60
2021-09-04 01:40:33
Bordel c'est horrible
PS : je vois pas dans l'article ou c'est noté qu'ils sont algériens, après honnêtement on s'en fout, c'est surtout horrible pour la victime, le pire c'est qu'il ne prendront pas plus de 15ans, ça me fout la haine...
Manutsa2
2021-09-04 01:42:16
Le 04 septembre 2021 à 01:40:33 :
Bordel c'est horrible
PS : je vois pas dans l'article ou c'est noté qu'ils sont algériens, après honnêtement on s'en fout, c'est surtout horrible pour la victime, le pire c'est qu'il ne prendront pas plus de 15ans, ça me fout la haine...
Pas plus de 15 ans ? T as cru qu'ils avaient écrit "qui" sur une pancarte ou quoi
3 ans max, avec remise de peine 15 mois