Il vont faire 1% des voix et encore.
Le plus grave c'est de les laisser se présenter...le voile à l'école pour les fillette ce n'est pas très Charlie!
Le 18 mai 2021 à 08:16:33 :
où que passent les gens du voyage, c'est toujours la même chose. L'an dernier et l'année d'avant, a 5/6 bornes de chez moi, ils se sont installés (illégalement) dans un champ.
Le préfet et la justice ont rien fait.Pendant 3 mois, ils sont allés vider leurs chiottes chimiques et leurs déchets dans une forêt communale voisine, proche d'habitations.
Les riverains se sont plaints des odeurs et des ordures.Le préfet à interdit aux promeneurs l'accès de la forêt pour éviter de se pourrir les poumons finalement....
Nettoyage après leur départ de la forêt et du champ, aux frais du contribuable.
Merci la justice qui à jamais voulu les virer alors que la trêve hivernale était finie avant leur installation.
Oui histoires similaires là où j'habite. Ils viennent tous les ans environ à la même période pendant 5/6 mois et ils fracassent tout dans le quartier. Il faut éviter les a bords du camp à tout heure du jour ou de la nuit.
Vont ils être expulsés immédiatement?
Ont-ils respecté les lois de l'UE ainsi que les gestes barrière?
L’Union des démocrates musulmans français présentera une liste aux élections régionales en Bretagne. Cette liste, baptisée « Tous unis contre l’islamophobie, agir pour ne pas subir » sera menée par un Rennais, Kamel Elahiar.
Ce mouvement politique, classé par les Préfets de « communautaire » aux municipales en 2020, a été créé en 2012 par Nagib Azergui, un ingénieur marocain qui vit à Nanterre.
Le parti se dit "non confessionnel, laïc et profondément républicain". Il milite pour l’autorisation du port du voile à l’école et demande le droit de vote des étrangers extracommunautaires aux élections locales.
Il s’attaque aussi au RN qui « vend, à la surenchère, la peur et le danger des musulmans. Il a islamisé tous les sujets […] Voilà pourquoi, il est temps de s’occuper des problèmes qui minent véritablement notre cohésion nationale en "dés-islamisant" tous ces débats stériles ». Le candidat RN aux régionales en Bretagne, Gilles Pennelle, a d’ailleurs réagi sur Twitter ce lundi 17 mai soir en dénonçant l’arrivée d’une liste « communautariste ».
Je viens de lire leur programme...c'est pas fou...
Le 18 mai 2021 à 08:09:19 :
Ce qui me fascine, c'est de voir à quel point les humains peuvent être différents. Il y en a qui batissent de vastes empires et qui révolutionnent le monde, quand d'autres n'ont rien fait d'autre de leur existance que de migrer de région en régions, tout en volant et en dégradant les infrastructures publics sur leur passage.
Tous les humains naissent libres et égaux
Y'en a qui sont un peu moins égaux que d'autres..
De Castillejos, de l’autre côté de la frontière, un habitant de cette ville depuis 60 ans, s’est également étonné : “Je n’ai jamais rien vu de tel. Il y a une fourmilière de personnes qui se dirigent vers la frontière ; des enfants, des femmes, des adolescents, des familles entières s’y rendent car ils savent que personne ne les arrêtera… Maintenant que la marée est descendue et que les gens peuvent marcher à travers, parce que l’eau ne les recouvre pas, c’est comme une piscine. Il n’y a pas que des gens des villes frontalières, il y a aussi des gens de Larache, et ils me disent qu’ils viennent à pied de plus loin sur les routes. Ils sont presque tous marocains, mais j’ai vu des femmes subsahariennes avec leurs enfants se diriger vers la jetée. C’est effrayant. La police marocaine ne fait rien, elle regarde tout comme de simples spectateurs. Une personne qui vient d’entrer me dit qu’il n’y a pas d’empêchement pour passer et que les Marocains circulent librement dans la ville, car il n’est plus possible de les emmener dans les entrepôts de Tarajal, qui sont surchargés“.
L’inaction du Maroc ne s’est pas limitée à la zone frontalière avec Ceuta. Des vidéos diffusées sur leurs réseaux sociaux par des habitants de Tanger illustrent ce qui semble être un départ massif de Subsahariens dans des bateaux depuis la plage d’Ashkar, à Tanger, et d’autres à Dakhla. Ces points de départ, habituellement gardés par les forces marocaines, mais qui sont cependant sans surveillance depuis dimanche dernier, date à laquelle ces départs incontrôlés ont commencé.
https://www.abc.es/espana/abci-ceuta-inmigracion-202105172227_noticia.html
L’ex-footballeur international, et président de la fondation d’éducation contre le racisme qui porte son nom, a répondu aux questions d’élèves du lycée Paul Gauguin, dans le quartier de la Source.
Les exercices sont bien rodés, mais très efficaces. Pour prouver aux lycéens que le concept de race, la couleur de peau, et le racisme qui en découle, sont des constructions sociales, et n’ont rien de naturel, Lilian Thuram leur demande : “qui est blanc ici ?” Trois mains se lèvent, dont celle de Maëline Thury, élève de Seconde. Il s’adresse à elle : “Cette feuille, que je tiens dans ma main, de quelle couleur est-elle ?” “Blanche”, répond la jeune fille. “Est-elle de la même couleur que toi ?”, ajoute Thuram. “Non”. “Alors pourquoi dis-tu que tu es blanche ?” “Quand j’étais petite, on nous disait à l’école : toi, tu es blanc, et toi, tu es noir.”
Ce sont les gens, notre entourage qui nous inculque ces stéréotypes. Qui me disent que je suis blanche parce que je ne suis pas typée. Mais je pense que maintenant, nous savons aller au-delà de ça. Nos esprits sont assez ouverts pour ne plus différencier une personne noire d’une personne blanche.
De là découle un système de pensée, des visions du monde et des individus qui nous entourent contre lesquelles le champion du monde 1998 lutte depuis plus de dix ans.
Ils ont eu une enfance difficile et subissent le racisme systémique de la France.
Les 2 excuses qui les sauvera à leurs procès
Ah non, il n'y aura pas de procès, l'État va payer
La nuit du lundi au mardi 18 mai a été marquée par des violences urbaines dans une cité à Argenteuil, dans le Val-d’Oise. Des voitures ont été incendiées et des tirs de mortiers d’artifice ont visé les forces de l’ordre, a-t-on appris de source policière. Des vidéos postées sur les réseaux sociaux montrent des véhicules en proie aux flammes, dont certains retournés sur le toit. Les pompiers sont intervenus pour éteindre ces feux.
Sabri, mort à moto le 17 Mai 2020 :
Le jeune homme de 18 ans décédé, dimanche 17 mai, dans un accident de moto-cross, à Argenteuil (Val-d’Oise), n’était pas poursuivi par la voiture de police qui était à proximité des lieux et une expertise confirme l’absence de choc entre les deux véhicules, indique le parquet de Pontoise, ce lundi 18 mai.
« Absence de choc entre le véhicule de police et la moto »
« Les premières constatations confirment à ce stade l’absence de poursuite de la moto par les policiers », fait savoir le parquet. « Une expertise en accidentologie a d’ores et déjà été diligentée. Les premières conclusions confirment l’absence de choc entre le véhicule de la police et la moto ».
La victime est décédée « des suites d’un traumatisme craniofacial dû au choc contre le poteau en béton », dimanche matin, à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris, précise le parquet.
Selon les fonctionnaires de police de la Brigade anticriminalité (BAC) d’Ermont qui effectuaient une patrouille à Argenteuil et circulaient dans cette rue, « ils avaient remarqué une moto type moto-cross se dirigeant vers eux à grande vitesse », indique le parquet.
La rue étant étroite, le conducteur de la moto « se serait déporté sur le trottoir pour continuer son chemin ». Le trottoir emprunté par la victime étant également « étroit et semé d’obstacles », il a percuté l’un des poteaux, poursuit le parquet.
Un spectacle de désolation, pour ne pas dire plus… Sept mois après leur installation illégale sur le site des anciens locaux d’EDF, chemin du Leidt, les gens du voyage ont levé le camp. Derrière eux, ils laissent des bâtiments profondément dégradés. Murs éventrés et tagués, fenêtres brisées et même des… excréments : les images parlent d’elles-mêmes…
A Lisbonne, des centaines de fidèles musulmans se sont rassemblés pour célébrer l’Aïd al-Fitr fête musulmane qui met fin à un mois de jeûne, sur la place Martim Moniz. Illustre soldat portugais, qui c’est distingué dans la reprise de la ville aux Maures.
«Les autres années, nous ne l’avons fait que du côté sud, à côté du World Hotel, mais cette année nous avons occupé toute la place», explique Rana Taslim Uddin, responsable de la communauté islamique du Bangladesh, qui organise la cérémonie.