https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S016748701630277X
L'échange de ressources masculines contre la sexualité féminine est un aspect répandu et peut-être universel de la vie sociale humaine et des pratiques d'accouplement. La théorie de l'économie sexuelle est une vision résolument non romantique de l'accouplement humain, mais elle est étayée par un vaste assortiment de preuves et fournit un cadre utile pour comprendre non seulement comment les hommes et les femmes se connectent entre eux, mais aussi comment ils sont en concurrence avec des pairs du même sexe, comment ils négocient des relations à long terme, et peut-être pourquoi beaucoup deviennent insatisfaits de ces relations.
La théorie de l'économie sexuelle met l'accent sur l'application de la logique et des principes des marchés économiques au début des rapports sexuels chez les couples hétérosexuels. L'idée centrale est que les femmes sont les vendeurs et les hommes sont les acheteurs. Cela commence par l'abondante preuve que «partout le sexe est compris comme quelque chose que les femmes ont et que les hommes veulent» (Symons, 1979, p. 253). Une base psychologique majeure est vraisemblablement l'inadéquation dans le désir sexuel: dans l'ensemble, les hommes veulent des relations sexuelles plus souvent que les femmes, y compris le désir de commencer des relations sexuelles plus tôt dans la cour et avec des normes moins élevées pour trouver quelqu'un d'acceptable comme partenaire sexuel (p. al., 1990, Simpson et Gangestad, 1991). Une revue de Baumeister, Catanese et Vohs (2001) a comparé les hommes et les femmes sur une douzaine de marqueurs différents du désir sexuel, y compris la fréquence désirée des rapports sexuels, le nombre désiré de partenaires, la fréquence de l'excitation spontanée, les pensées sur le sexe, les attitudes positives envers les organes génitaux. , la fantaisie sexuelle, la volonté de se sacrifier et le risque de relations sexuelles, de masturbation et de désir auto-évalué. Pour toutes les mesures, les données indiquent que les hommes veulent plus de relations sexuelles que les femmes.
Parce que l'homme veut généralement plus de sexe que la femme, elle a un avantage de pouvoir. Selon le «principe du moindre intérêt», la personne qui désire quelque chose de moins a un plus grand contrôle et peut exiger que l'autre personne (plus désireuse) adoucisse l'affaire en offrant des incitations ou des concessions supplémentaires (Waller et Hill, 1951). Par conséquent, la théorie de l'économie sexuelle part de l'hypothèse que la sexualité féminine a une valeur d'échange, contrairement à la sexualité masculine.
La théorie de l'économie sexuelle ne concerne pas principalement ou spécifiquement l'échange d'argent contre des relations sexuelles, comme dans la prostitution, bien que cela constitue un exemple (en particulier dans la mesure où d'innombrables hommes ont payé des femmes pour des relations sexuelles dans de nombreuses cultures et contextes différents partout dans le monde, alors que l'inverse, les femmes qui paient des hommes pour des relations sexuelles ont été extrêmement rares). Au contraire, un large éventail de biens précieux peut être échangé contre du sexe. En échange du sexe, les femmes peuvent obtenir de l'amour, de l'engagement, du respect, de l'attention, de la protection, des faveurs matérielles, des opportunités, des notes de cours ou des promotions sur le lieu de travail, ainsi que de l'argent. Tout au long de l'histoire de la civilisation, un échange standard a été qu'un homme s'engage à long terme à fournir à la femme des ressources (souvent les fruits de son travail) en échange de relations sexuelles - ou, souvent plus précisément, d'un accès sexuel exclusif à la sexualité de cette femme. Que l’on approuve ou condamne ces échanges n’est pas pertinent. Au contraire, le fait clé est que ces opportunités existent presque exclusivement pour les femmes. Les hommes ne peuvent généralement pas échanger le sexe contre d'autres avantages.
Le début d'une relation sexuelle implique donc que l'homme et la femme se choisissent mutuellement. En des termes peut-être trop simples, il la choisit probablement sur la base de son sex-appeal, c'est-à-dire à quel point il s'attend à aimer avoir des relations sexuelles avec elle. Entre-temps, elle le choisit sur la base des ressources qu'il peut lui fournir, c'est-à-dire sur la base des avantages non sexuels qu'il peut lui fournir. Cet échange définit la nature de la compétition de même sexe. Les femmes rivalisent pour paraître plus attirantes sexuellement que leurs rivales. Les hommes rivalisent pour sembler un meilleur fournisseur que leurs rivaux.
btg
on a fait apprendre à des singes l'argent et ces aspects/avantages
la première chose qu'ils ont fait c'était monayer des rapports sexuels, et les femelles échangeaient leur argent contre des fruits
Dans la compétition d’accouplement, l’objectif de la femme est d’amener un homme à subvenir à ses besoins et à ceux de sa progéniture sur une longue période.
Nous passons maintenant à la concurrence entre les acheteurs (c'est-à-dire les hommes). Comme nous l'avons déjà noté, l'histoire a vu plusieurs types d'arrangements concernant l'accouplement, et la structure de la compétition masculine change radicalement à travers ces derniers. Avec la polygamie, quelques hommes riches ont plusieurs épouses, tandis que beaucoup d'autres sont condamnés au célibat. La monogamie au milieu des rapports sexuels égaux permet à presque tous les hommes de trouver un partenaire, et la concurrence est donc de sur attirer ceux qui sont préférés et désirables plutôt que d'obtenir qui que ce soit. Dans d'autres sociétés encore, comme lorsqu'il y a une grave pénurie de femmes, parfois les hommes ont partagé les femmes, y compris des arrangements dans lesquels les femmes sont pour la plupart des prostituées et les hommes ont des relations sexuelles à tour de rôle avec elles sans que quiconque acquière vraiment la possession exclusive d'un particulier. femme.
À d'autres égards, cependant, le cas des hommes est plus compliqué. Contrairement aux femmes, les hommes n'attirent pas les partenaires sexuels en laissant entendre qu'ils seront bons au lit. Les hommes échangent des ressources contre du sexe, alors l'homme doit en obtenir. Il ne peut généralement pas faire cela tout seul, il doit donc travailler avec et / ou pour d'autres hommes, ou dans certains cas diriger et gérer d'autres hommes pour qu'ils travaillent pour lui, tout cela pour créer des ressources, puis il prend sa part à échanger contre sexe. Il doit donc considérer les autres hommes non seulement comme des rivaux sexuels, mais aussi comme des alliés vitaux dans les coalitions. Pour réussir, et ainsi pouvoir disposer de suffisamment de ressources pour se marier, il doit réussir dans cette société de compétition de coalition que les hommes ont créée.
Les femmes concourent en améliorant leur apparence physique et en dénigrant la réputation de leurs rivales.
La théorie de l'économie sexuelle analyse le début des relations sexuelles hétérosexuelles comme un marché dans lequel la femme est la vendeuse et l'homme l'acheteur, le prix étant payé en ressources non sexuelles. Nous étendons cette théorie pour analyser les compétitions entre personnes de même sexe sur ce marché et pour élaborer l'idée que ce que la femme vend n'est pas seulement du sexe, mais un accès exclusif à ses charmes sexuels. Les femmes rivalisent sur le sex-appeal et sur la promesse d'exclusivité (fidélité), dans le but d'obtenir un homme qui fournira des ressources matérielles. Les hommes rivalisent pour amasser des ressources matérielles, dans le but d'obtenir un bon partenaire sexuel. La concurrence féminine consiste à montrer ses charmes sexuels, à offrir des relations sexuelles à un prix inférieur à celui de ses rivales, à chercher à améliorer ses atouts physiques (par exemple, en suivant un régime) et à utiliser la guerre de l'information pour salir la réputation de ses rivaux tout en défendant sa propre réputation contre les potins malveillants. Nous examinons les preuves de ces modèles, y compris les preuves que l'insatisfaction corporelle des femmes et les habitudes alimentaires pathologiques augmentent lorsque les femmes perçoivent un sex-ratio défavorable (c'est-à-dire une pénurie d'hommes éligibles). Les hommes rivalisent en groupes pour amasser des ressources, de sorte que les hommes voient les autres hommes non seulement comme des rivaux sexuels, mais aussi comme des partenaires de coalition.
C'est très tabou à cause de l'idéologie égalitaire qui veut qu'il n'y ait aucune différence biologique entre les sexes et à l'influence de lobbys très agressifs et influents (feeministres et LOGOBGTQIA).
Tout d'abord, il faut évoquer un fait que beaucoup d'entre vous savent mais dont peu saisissent réellement la portée : l'homme a une sexualité active et extériorisée sur le corps de la femme, raison pour laquelle il est obsédé par le corps de la femme (certains développeront même une monomanie sur une partie spécifique de ce dernier), tandis que la femme a une sexualité intériorisée et passive. La testostérone, hormone abondante chez l'homme, le fait s'intéresser de manière abrupte et irraisonnée à l'être convoité ce qui se traduit par une attirance envers le physique qui n'a pas d'égale dans le cerveau féminin.
Ce qu'il faut comprendre c'est que l'homme est tourné vers la femme, et la femme vers elle-même. Il n'y a pas d'égalité ni de réciprocité. La femme manifeste l'orgueil d'accomplir la finalité de l'acte sexuel, qui est la mise au monde de l'enfant. L'homme peut planter sa semence comme bon lui semble plusieurs fois par jour pour se reproduire, alors qu'une femme ne pourra donner naissance qu'une fois tous les neuf mois. C'est pour cette raison qu'elle cherchera le meilleur parti possible, ce qui suppose qu'elle s'estime au préalable.
Les femmes n'aiment pas se donner à un homme. Elles s'aiment elles-mêmes se donnant à un homme.
Les femmes peuvent donc utiliser leur sexualité comme monnaie d'échange grâce à cette asymétrie de désir et d'attirance. L'exemple le plus parlant est celui de la supermodel mariée à un homme riche. C'est d'ailleurs ainsi que les couples hétérosexuels ont fonctionné durant les deux derniers millénaires : la femme offrait ses faveurs à l'homme en échange d'un foyer et de perspectives familiales. Sauf qu'à l'heure où les femmes peuvent assurer d'elles-mêmes leur survie, en substituant l'autorité d'un patron à l'autorité d'un époux, ce contrat social est rompu.
Vous remarquerez que ces considérations expliquent ce que vous autres appelez « hypergamie ». L'hypergamie n'est ni une mode ni une tendance sociétale, mais la propension naturelle qu'a la femme de se surévaluer et de se placer au-dessus de l'être masculin. C'est pour cette raison que le marché de la séduction fonctionne pour les femmes comme une application surjective : lorsqu'il s'agit de relations sexuelles, 20 % des hommes partagent 80 % des femmes. Les hommes n'en ont pas eu conscience pendant les siècles précédents car les deux sexes étaient alors complémentaires, ce qui n'est plus le cas aujourd'hui.
La vérité c'est que le corps de l'homme n'est pas un objet de désir sexuel pour la femme ; les femmes ne ressentent rien sexuellement pour le corps de l'homme. Les femmes n'objectifient ni ne sexualisent le corps de l'homme pour la raison évoquée ci-dessus. C'est ainsi que les hommes qui prennent beaucoup soin de leur apparence sont souvent gays ou bisexuels.
Plusieurs faits étayent cette assertion : ce n'est pas pour rien que la catégorie de pornographie la plus consommée par les femmes est le lesbien (
An unexpected result was that homosexual women responded more to nude female targets exercising and masturbating than to nude male targets, whereas heterosexual women responded about the same to both sexes at each activity level. [ https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/18072857/ ]
Studies with volunteers in sexual arousal experiments suggest that women are, on average, physiologically sexually aroused to both male and female sexual stimuli. [ https://www.researchgate.net/publication/283260585_Sexual_Arousal_and_Masculinity-Femininity_of_Women ]
Les fétiches sont très peu présents chez les femmes, les escort boys existent pour les gays avant d'exister pour elles, et dans le monde animal, le mammifère mâle donne sa vie pour trouver une femelle, alors que l'inverse est faux.
Les femmes ne convoitent pas les hommes beaux mais les hommes dominants. Et si les hommes dominants sont très souvent beaux, c'est parce que la société les a valorisés dès le plus jeune âge et qu'elle a gonflé leur confiance. Parce qu'une société saine aime représenter la beauté et que celle-ci est une grandeur objective et mesurable par le cerveau. Parce que la beauté du corps et des muscles est directement assimilée à la suprématie masculine. Héritage direct des représentations de la masculinité qui datent de la Grèce antique.
Les femmes ne recherchent ni une beauté intrinsèque ni un physique purement plastique : ces derniers ne sont que des balises dans leur recherche plus vaste d'un homme supérieur aux autres hommes, recherche inhérente à leur nécessité d'obtenir pour leur future progéniture de bons gènes et de jouir de ressources en abondance. La sexualité de la femme est une sexualité intéressée et c'est pour cette raison qu'une femme sera facilement prête à sacrifier une belle esthétique si l'homme en question possède d'autres atouts significatifs (richesse, statut social, etc.).
Attractiveness and dominant appearance accounted for variance in sexual experience beyond that explained by pubertal development, with dominance being the better predictor of the two. (cf. https://psycnet.apa.org/record/1994-44767-001 )
Ce qu'il faut comprendre c'est que les femmes perçoivent le corps des hommes psychologiquement, là où les hommes perçoivent le corps des femmes dans un absolu esthétique. La sexualité des femmes est psychologique, sociale, symbolique.
Les femmes ne sont pas attirées par le corps des hommes - ce qui ne signifie pas que les femmes n'aiment pas le sexe, seulement que leur rapport au corps et à la sexualité est différent.
Le 17 novembre 2024 à 13:42:16 :
C'est très tabou à cause de l'idéologie égalitaire qui veut qu'il n'y ait aucune différence biologique entre les sexes et à l'influence de lobbys très agressifs et influents (feeministres et LOGOBGTQIA).Tout d'abord, il faut évoquer un fait que beaucoup d'entre vous savent mais dont peu saisissent réellement la portée : l'homme a une sexualité active et extériorisée sur le corps de la femme, raison pour laquelle il est obsédé par le corps de la femme (certains développeront même une monomanie sur une partie spécifique de ce dernier), tandis que la femme a une sexualité intériorisée et passive. La testostérone, hormone abondante chez l'homme, le fait s'intéresser de manière abrupte et irraisonnée à l'être convoité ce qui se traduit par une attirance envers le physique qui n'a pas d'égale dans le cerveau féminin.
Ce qu'il faut comprendre c'est que l'homme est tourné vers la femme, et la femme vers elle-même. Il n'y a pas d'égalité ni de réciprocité. La femme manifeste l'orgueil d'accomplir la finalité de l'acte sexuel, qui est la mise au monde de l'enfant. L'homme peut planter sa semence comme bon lui semble plusieurs fois par jour pour se reproduire, alors qu'une femme ne pourra donner naissance qu'une fois tous les neuf mois. C'est pour cette raison qu'elle cherchera le meilleur parti possible, ce qui suppose qu'elle s'estime au préalable.
Les femmes n'aiment pas se donner à un homme. Elles s'aiment elles-mêmes se donnant à un homme.
Les femmes peuvent donc utiliser leur sexualité comme monnaie d'échange grâce à cette asymétrie de désir et d'attirance. L'exemple le plus parlant est celui de la supermodel mariée à un homme riche. C'est d'ailleurs ainsi que les couples hétérosexuels ont fonctionné durant les deux derniers millénaires : la femme offrait ses faveurs à l'homme en échange d'un foyer et de perspectives familiales. Sauf qu'à l'heure où les femmes peuvent assurer d'elles-mêmes leur survie, en substituant l'autorité d'un patron à l'autorité d'un époux, ce contrat social est rompu.
Vous remarquerez que ces considérations expliquent ce que vous autres appelez « hypergamie ». L'hypergamie n'est ni une mode ni une tendance sociétale, mais la propension naturelle qu'a la femme de se surévaluer et de se placer au-dessus de l'être masculin. C'est pour cette raison que le marché de la séduction fonctionne pour les femmes comme une application surjective : lorsqu'il s'agit de relations sexuelles, 20 % des hommes partagent 80 % des femmes. Les hommes n'en ont pas eu conscience pendant les siècles précédents car les deux sexes étaient alors complémentaires, ce qui n'est plus le cas aujourd'hui.
La vérité c'est que le corps de l'homme n'est pas un objet de désir sexuel pour la femme ; les femmes ne ressentent rien sexuellement pour le corps de l'homme. Les femmes n'objectifient ni ne sexualisent le corps de l'homme pour la raison évoquée ci-dessus. C'est ainsi que les hommes qui prennent beaucoup soin de leur apparence sont souvent gays ou bisexuels.
Plusieurs faits étayent cette assertion : ce n'est pas pour rien que la catégorie de pornographie la plus consommée par les femmes est le lesbien (
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/09/4/1709162755-pornhub-insights-2023-year-in-review-gender-most-viewed-categories.jpg ) ou que les femmes sont autant attirées par le sexe hétérosexuel que par le sexe lesbien :An unexpected result was that homosexual women responded more to nude female targets exercising and masturbating than to nude male targets, whereas heterosexual women responded about the same to both sexes at each activity level. [ https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/18072857/ ]
Studies with volunteers in sexual arousal experiments suggest that women are, on average, physiologically sexually aroused to both male and female sexual stimuli. [ https://www.researchgate.net/publication/283260585_Sexual_Arousal_and_Masculinity-Femininity_of_Women ]
Les fétiches sont très peu présents chez les femmes, les escort boys existent pour les gays avant d'exister pour elles, et dans le monde animal, le mammifère mâle donne sa vie pour trouver une femelle, alors que l'inverse est faux.
Les femmes ne convoitent pas les hommes beaux mais les hommes dominants. Et si les hommes dominants sont très souvent beaux, c'est parce que la société les a valorisés dès le plus jeune âge et qu'elle a gonflé leur confiance. Parce qu'une société saine aime représenter la beauté et que celle-ci est une grandeur objective et mesurable par le cerveau. Parce que la beauté du corps et des muscles est directement assimilée à la suprématie masculine. Héritage direct des représentations de la masculinité qui datent de la Grèce antique.
Les femmes ne recherchent ni une beauté intrinsèque ni un physique purement plastique : ces derniers ne sont que des balises dans leur recherche plus vaste d'un homme supérieur aux autres hommes, recherche inhérente à leur nécessité d'obtenir pour leur future progéniture de bons gènes et de jouir de ressources en abondance. La sexualité de la femme est une sexualité intéressée et c'est pour cette raison qu'une femme sera facilement prête à sacrifier une belle esthétique si l'homme en question possède d'autres atouts significatifs (richesse, statut social, etc.).
Attractiveness and dominant appearance accounted for variance in sexual experience beyond that explained by pubertal development, with dominance being the better predictor of the two. (cf. https://psycnet.apa.org/record/1994-44767-001 )
Ce qu'il faut comprendre c'est que les femmes perçoivent le corps des hommes psychologiquement, là où les hommes perçoivent le corps des femmes dans un absolu esthétique. La sexualité des femmes est psychologique, sociale, symbolique.
Les femmes ne sont pas attirées par le corps des hommes - ce qui ne signifie pas que les femmes n'aiment pas le sexe, seulement que leur rapport au corps et à la sexualité est différent.
C'est un peu hors sujet avec l'étude mais je pense que c'est globalement vrai.
Le 17 novembre 2024 à 13:43:11 Yjllb a écrit :
Le 17 novembre 2024 à 13:42:16 :
C'est très tabou à cause de l'idéologie égalitaire qui veut qu'il n'y ait aucune différence biologique entre les sexes et à l'influence de lobbys très agressifs et influents (feeministres et LOGOBGTQIA).Tout d'abord, il faut évoquer un fait que beaucoup d'entre vous savent mais dont peu saisissent réellement la portée : l'homme a une sexualité active et extériorisée sur le corps de la femme, raison pour laquelle il est obsédé par le corps de la femme (certains développeront même une monomanie sur une partie spécifique de ce dernier), tandis que la femme a une sexualité intériorisée et passive. La testostérone, hormone abondante chez l'homme, le fait s'intéresser de manière abrupte et irraisonnée à l'être convoité ce qui se traduit par une attirance envers le physique qui n'a pas d'égale dans le cerveau féminin.
Ce qu'il faut comprendre c'est que l'homme est tourné vers la femme, et la femme vers elle-même. Il n'y a pas d'égalité ni de réciprocité. La femme manifeste l'orgueil d'accomplir la finalité de l'acte sexuel, qui est la mise au monde de l'enfant. L'homme peut planter sa semence comme bon lui semble plusieurs fois par jour pour se reproduire, alors qu'une femme ne pourra donner naissance qu'une fois tous les neuf mois. C'est pour cette raison qu'elle cherchera le meilleur parti possible, ce qui suppose qu'elle s'estime au préalable.
Les femmes n'aiment pas se donner à un homme. Elles s'aiment elles-mêmes se donnant à un homme.
Les femmes peuvent donc utiliser leur sexualité comme monnaie d'échange grâce à cette asymétrie de désir et d'attirance. L'exemple le plus parlant est celui de la supermodel mariée à un homme riche. C'est d'ailleurs ainsi que les couples hétérosexuels ont fonctionné durant les deux derniers millénaires : la femme offrait ses faveurs à l'homme en échange d'un foyer et de perspectives familiales. Sauf qu'à l'heure où les femmes peuvent assurer d'elles-mêmes leur survie, en substituant l'autorité d'un patron à l'autorité d'un époux, ce contrat social est rompu.
Vous remarquerez que ces considérations expliquent ce que vous autres appelez « hypergamie ». L'hypergamie n'est ni une mode ni une tendance sociétale, mais la propension naturelle qu'a la femme de se surévaluer et de se placer au-dessus de l'être masculin. C'est pour cette raison que le marché de la séduction fonctionne pour les femmes comme une application surjective : lorsqu'il s'agit de relations sexuelles, 20 % des hommes partagent 80 % des femmes. Les hommes n'en ont pas eu conscience pendant les siècles précédents car les deux sexes étaient alors complémentaires, ce qui n'est plus le cas aujourd'hui.
La vérité c'est que le corps de l'homme n'est pas un objet de désir sexuel pour la femme ; les femmes ne ressentent rien sexuellement pour le corps de l'homme. Les femmes n'objectifient ni ne sexualisent le corps de l'homme pour la raison évoquée ci-dessus. C'est ainsi que les hommes qui prennent beaucoup soin de leur apparence sont souvent gays ou bisexuels.
Plusieurs faits étayent cette assertion : ce n'est pas pour rien que la catégorie de pornographie la plus consommée par les femmes est le lesbien (
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/09/4/1709162755-pornhub-insights-2023-year-in-review-gender-most-viewed-categories.jpg ) ou que les femmes sont autant attirées par le sexe hétérosexuel que par le sexe lesbien :An unexpected result was that homosexual women responded more to nude female targets exercising and masturbating than to nude male targets, whereas heterosexual women responded about the same to both sexes at each activity level. [ https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/18072857/ ]
Studies with volunteers in sexual arousal experiments suggest that women are, on average, physiologically sexually aroused to both male and female sexual stimuli. [ https://www.researchgate.net/publication/283260585_Sexual_Arousal_and_Masculinity-Femininity_of_Women ]
Les fétiches sont très peu présents chez les femmes, les escort boys existent pour les gays avant d'exister pour elles, et dans le monde animal, le mammifère mâle donne sa vie pour trouver une femelle, alors que l'inverse est faux.
Les femmes ne convoitent pas les hommes beaux mais les hommes dominants. Et si les hommes dominants sont très souvent beaux, c'est parce que la société les a valorisés dès le plus jeune âge et qu'elle a gonflé leur confiance. Parce qu'une société saine aime représenter la beauté et que celle-ci est une grandeur objective et mesurable par le cerveau. Parce que la beauté du corps et des muscles est directement assimilée à la suprématie masculine. Héritage direct des représentations de la masculinité qui datent de la Grèce antique.
Les femmes ne recherchent ni une beauté intrinsèque ni un physique purement plastique : ces derniers ne sont que des balises dans leur recherche plus vaste d'un homme supérieur aux autres hommes, recherche inhérente à leur nécessité d'obtenir pour leur future progéniture de bons gènes et de jouir de ressources en abondance. La sexualité de la femme est une sexualité intéressée et c'est pour cette raison qu'une femme sera facilement prête à sacrifier une belle esthétique si l'homme en question possède d'autres atouts significatifs (richesse, statut social, etc.).
Attractiveness and dominant appearance accounted for variance in sexual experience beyond that explained by pubertal development, with dominance being the better predictor of the two. (cf. https://psycnet.apa.org/record/1994-44767-001 )
Ce qu'il faut comprendre c'est que les femmes perçoivent le corps des hommes psychologiquement, là où les hommes perçoivent le corps des femmes dans un absolu esthétique. La sexualité des femmes est psychologique, sociale, symbolique.
Les femmes ne sont pas attirées par le corps des hommes - ce qui ne signifie pas que les femmes n'aiment pas le sexe, seulement que leur rapport au corps et à la sexualité est différent.
C'est un peu hors sujet avec l'étude mais je pense que c'est globalement vrai.
Pourtant cela rendre également dans le cadre de la sexualité intéressée qui est caractéristique des femmes
Le 17 novembre 2024 à 13:45:37 :
Le 17 novembre 2024 à 13:43:11 Yjllb a écrit :
Le 17 novembre 2024 à 13:42:16 :
C'est très tabou à cause de l'idéologie égalitaire qui veut qu'il n'y ait aucune différence biologique entre les sexes et à l'influence de lobbys très agressifs et influents (feeministres et LOGOBGTQIA).Tout d'abord, il faut évoquer un fait que beaucoup d'entre vous savent mais dont peu saisissent réellement la portée : l'homme a une sexualité active et extériorisée sur le corps de la femme, raison pour laquelle il est obsédé par le corps de la femme (certains développeront même une monomanie sur une partie spécifique de ce dernier), tandis que la femme a une sexualité intériorisée et passive. La testostérone, hormone abondante chez l'homme, le fait s'intéresser de manière abrupte et irraisonnée à l'être convoité ce qui se traduit par une attirance envers le physique qui n'a pas d'égale dans le cerveau féminin.
Ce qu'il faut comprendre c'est que l'homme est tourné vers la femme, et la femme vers elle-même. Il n'y a pas d'égalité ni de réciprocité. La femme manifeste l'orgueil d'accomplir la finalité de l'acte sexuel, qui est la mise au monde de l'enfant. L'homme peut planter sa semence comme bon lui semble plusieurs fois par jour pour se reproduire, alors qu'une femme ne pourra donner naissance qu'une fois tous les neuf mois. C'est pour cette raison qu'elle cherchera le meilleur parti possible, ce qui suppose qu'elle s'estime au préalable.
Les femmes n'aiment pas se donner à un homme. Elles s'aiment elles-mêmes se donnant à un homme.
Les femmes peuvent donc utiliser leur sexualité comme monnaie d'échange grâce à cette asymétrie de désir et d'attirance. L'exemple le plus parlant est celui de la supermodel mariée à un homme riche. C'est d'ailleurs ainsi que les couples hétérosexuels ont fonctionné durant les deux derniers millénaires : la femme offrait ses faveurs à l'homme en échange d'un foyer et de perspectives familiales. Sauf qu'à l'heure où les femmes peuvent assurer d'elles-mêmes leur survie, en substituant l'autorité d'un patron à l'autorité d'un époux, ce contrat social est rompu.
Vous remarquerez que ces considérations expliquent ce que vous autres appelez « hypergamie ». L'hypergamie n'est ni une mode ni une tendance sociétale, mais la propension naturelle qu'a la femme de se surévaluer et de se placer au-dessus de l'être masculin. C'est pour cette raison que le marché de la séduction fonctionne pour les femmes comme une application surjective : lorsqu'il s'agit de relations sexuelles, 20 % des hommes partagent 80 % des femmes. Les hommes n'en ont pas eu conscience pendant les siècles précédents car les deux sexes étaient alors complémentaires, ce qui n'est plus le cas aujourd'hui.
La vérité c'est que le corps de l'homme n'est pas un objet de désir sexuel pour la femme ; les femmes ne ressentent rien sexuellement pour le corps de l'homme. Les femmes n'objectifient ni ne sexualisent le corps de l'homme pour la raison évoquée ci-dessus. C'est ainsi que les hommes qui prennent beaucoup soin de leur apparence sont souvent gays ou bisexuels.
Plusieurs faits étayent cette assertion : ce n'est pas pour rien que la catégorie de pornographie la plus consommée par les femmes est le lesbien (
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/09/4/1709162755-pornhub-insights-2023-year-in-review-gender-most-viewed-categories.jpg ) ou que les femmes sont autant attirées par le sexe hétérosexuel que par le sexe lesbien :An unexpected result was that homosexual women responded more to nude female targets exercising and masturbating than to nude male targets, whereas heterosexual women responded about the same to both sexes at each activity level. [ https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/18072857/ ]
Studies with volunteers in sexual arousal experiments suggest that women are, on average, physiologically sexually aroused to both male and female sexual stimuli. [ https://www.researchgate.net/publication/283260585_Sexual_Arousal_and_Masculinity-Femininity_of_Women ]
Les fétiches sont très peu présents chez les femmes, les escort boys existent pour les gays avant d'exister pour elles, et dans le monde animal, le mammifère mâle donne sa vie pour trouver une femelle, alors que l'inverse est faux.
Les femmes ne convoitent pas les hommes beaux mais les hommes dominants. Et si les hommes dominants sont très souvent beaux, c'est parce que la société les a valorisés dès le plus jeune âge et qu'elle a gonflé leur confiance. Parce qu'une société saine aime représenter la beauté et que celle-ci est une grandeur objective et mesurable par le cerveau. Parce que la beauté du corps et des muscles est directement assimilée à la suprématie masculine. Héritage direct des représentations de la masculinité qui datent de la Grèce antique.
Les femmes ne recherchent ni une beauté intrinsèque ni un physique purement plastique : ces derniers ne sont que des balises dans leur recherche plus vaste d'un homme supérieur aux autres hommes, recherche inhérente à leur nécessité d'obtenir pour leur future progéniture de bons gènes et de jouir de ressources en abondance. La sexualité de la femme est une sexualité intéressée et c'est pour cette raison qu'une femme sera facilement prête à sacrifier une belle esthétique si l'homme en question possède d'autres atouts significatifs (richesse, statut social, etc.).
Attractiveness and dominant appearance accounted for variance in sexual experience beyond that explained by pubertal development, with dominance being the better predictor of the two. (cf. https://psycnet.apa.org/record/1994-44767-001 )
Ce qu'il faut comprendre c'est que les femmes perçoivent le corps des hommes psychologiquement, là où les hommes perçoivent le corps des femmes dans un absolu esthétique. La sexualité des femmes est psychologique, sociale, symbolique.
Les femmes ne sont pas attirées par le corps des hommes - ce qui ne signifie pas que les femmes n'aiment pas le sexe, seulement que leur rapport au corps et à la sexualité est différent.
C'est un peu hors sujet avec l'étude mais je pense que c'est globalement vrai.
Pourtant cela rendre également dans le cadre de la sexualité intéressée qui est caractéristique des femmes
Oui mais ce que tu dis concerne la sexualité féminine alors que l'étude parle plus globalement des relations entre les hommes et les femmes.
Bah oui, c'est le plus vieux métier du monde.
Il y'a que dans les pays de cuck comme la France qu'on veut dénigrer ça.
Le 17 novembre 2024 à 13:51:11 :
Bah oui, c'est le plus vieux métier du monde.Il y'a que dans les pays de cuck comme la France qu'on veut dénigrer ça.
On ne parle pas de la prostitution mais que la base de la relation entre les hommes et les femmes est l'échange de sexualité contre ressources.
Le 17 novembre 2024 à 13:31:06 :
btg
on a fait apprendre à des singes l'argent et ces aspects/avantages
la première chose qu'ils ont fait c'était monayer des rapports sexuels, et les femelles échangeaient leur argent contre des fruitshttps://image.noelshack.com/fichiers/2016/24/1466366197-risitas10.png
Cela nous vient de nos origines animales, la femelle offre le sexe et les enfants, le mâle alpha offre sa protection
C'est pas une question d'économie mais de survie de l'espèce.
L'être humain n'existerait plus depuis longtemps si les femmes n'étaient pas hypergames, selectives et ne se reproduisaient pas avec des fortes génétiques.
Tout découle de ça, la vie n'a qu'un seul objectif : Survivre !
Le 17 novembre 2024 à 13:51:55 :
Le 17 novembre 2024 à 13:51:11 :
Bah oui, c'est le plus vieux métier du monde.Il y'a que dans les pays de cuck comme la France qu'on veut dénigrer ça.
On ne parle pas de la prostitution mais que la base de la relation entre les hommes et les femmes est l'échange de sexualité contre ressources.
Bah de la prostitution du coup
Le 17 novembre 2024 à 13:54:17 :
C'est pas une question d'économie mais de survie de l'espèce.L'être humain n'existerait plus depuis longtemps si les femmes n'étaient pas hypergames, selectives et ne se reproduisaient pas avec des fortes génétiques.
Tout découle de ça, la vie n'a qu'un seul objectif : Survivre !
Pas de fortes génétiques mais surtout un homme riche, puissant et dominant qui capte et redistribue ses ressources.