Addict aux pets

Sans blague. Cela détruit toujours un peu plus ma misérable vie, je suis éreinté, ma passion sur les flatulences et mes expérimentations régulières à ce sujet m’ont fait atteindre un niveau par lequel je suis capable de les contrôler, et cela de manière parfaite, autrement dit, je suis capable de flatuler quand bon me semble, et en plus de cela, dans n’importe quelle position

Rendez-vous compte, pour éructer ad infinimum, il ne suffit que d’emmagasiner de l’air dans la gorge puis de tout relâcher, et bien, pour flatuler, la démarche est similaire, je suis aujourd’hui capable d’ouvrir en grand mon anus pour y aspirer une quantité dantesque d’air, la « boîte à caca » ayant une plus grande capacité de stockage que la gorge.

Je peux ensuite relâcher l’air stocké dans mes flatulences, si puissantes, que je suis devenu accro. Voilà la cause de mon malheur, je suis addict aux flatulences, accro à cette sensation de puissance, accro à ces « orgues de Staline » qui sortent de mon anus, cet orifice en apparence trivial, par lequel je n’avais pas l’habitude de prendre du plaisir de cette manière, une jouissance si intense qu’il ne se passe plus une journée où je ne lâche pas au moins 100 caisses, sans la moindre once de vergogne nonobstant. Il faudrait que vous sachiez le faire pour comprendre

Ces flatulences n'ont rien avoir avec des pets naturels, plus le temps passe, plus je peux les contrôler pour par exemple faire de la musique, faire des records de longueur etc, tout en ayant bien évidement un plaisir garanti INTENSE

Pourtant, malgré le plaisir, il y a un côté désastreux à tout ça : l'odeur, toutes les pièces dans lesquelles je me fais des sessions de pets qui durent à peu près une heure, sont complètement intoxiqués de l'odeur de mon anus et, justement ma compagne s'en est déjà aperçu, elle est entrée dans notre chambre lorsque j'étais en pleine session, et ce fut très gênant car premièrement j’étais « upside down » sur le sol, les fesses à l'air en train d'aspirer de l'air (cette position permet de mieux aspirer pour mieux relâcher ensuite), mais en plus quand elle a vu mon anus grand ouvert, elle a eu envie de vomir à cause de l'odeur.

Le deuxième problème et là, c'est vraiment le plus grave, qui me dit que je devrais arrêter

Mes pets sont si puissants quand je force au max qu'ils arrivent à faire ressortir des petites boulettes de caca pas encore prêtes à sortir. J'ai donc après mes sessions des petits « Chocobons » de merdes éparpillées de partout dans ma chambre, même parfois contre les murs car les pets assez puissants arrivent à catapulter ces morceaux. Malgré ça, quand je commence une session, je ne peux plus m'arrêter c'est trop bon. Après avoir finis je constate l'état de notre chambre et me dit « bon demain j'arrête », mais je recommence toujours le lendemain.

https://image.noelshack.com/fichiers/2022/43/1/1666581319-image.jpg

Ma compagne veut me faire voir un psychiatre alors que je suis complètement normal, un jour j'étais un peu trop fatigué pour nettoyer notre chambre après une session, je suis donc allez dormir avec la merde autour de moi sauf que je n'ai pas réussi à me réveiller tout seul et c'est ma compagne qui s'est assise sur ma tête et a lâché un gros pet pour me réveiller, elle a vu tous les morceaux de caca dans notre chambre et ma prit surement pour un scatophile

Ainsi, je suis perdu, je ne sais pas quoi faire, devrais-je allez voir un médecin pour arrêter ? je ne sais pas, est-ce que ce qui est considéré comme « écœurant » par la société devrait me faire arrêter une activité qui me provoque beaucoup de plaisir quotidiennement ? Tout en sachant qu'elle n'a pas de risque je crois. Je sais plus quoi faire. Post scrotum : je ne suis pas scatophile, oui tenir mes excréments dans ma main ne me fait ni chaud ni froid même si j'ai effectivement envie de les manger