Stickxs
2022-04-04 08:46:56
les jeune de 17 ans - 19 ans était déjà des adultes.
2022
30 ans joue au jeux video, regarde des mangas, se branle sur du hentai. mais ça garde la tête haute dans la rue.
Stickxs
2022-04-04 08:54:52
Le 04 avril 2022 à 08:50:01 :
Je préfère lire des mangas à 30 ans que finir à l'usine à 13 ans puis dans les tranchées à 18
19 ans était l'âge d'un allemand dans un Stuka bombardier durant la WW2 !
Aujourd'hui à 19 ans en Europe t'apprends mieux à jouer avec tes couilles et tu t'insères des carottes dans le cul.
jjjjjjjjjjjjj_j
2022-04-04 09:01:51
el famoso jeunes de 17 à 19 ans dont certains étaient exactement ce dont tu rêveshttps://image.noelshack.com/fichiers/2016/51/1482278978-57632541.jpg: des voyous (cf les apaches). Ah, la France d'avant qui fait rêver mais qui n'a jamais existé...
Les apaches (bandes de voyous de jeunes) faisaient la une des journaux tous les jours...
Le Petit Journal illustré du 23 janvier 1910 décrit ainsi les origines du terme :
« J'ai vu souvent des gens s'étonner de cette dénomination appliquée aux jeunes rôdeurs parisiens, dénomination dont ceux-ci se glorifient d'ailleurs, et il m'a paru curieux d'en rechercher l'origine. Je vous la donne telle qu'elle me fut contée.
C'est au commissariat de Belleville que, pour la première fois, ce terme fut appliqué à nos jeunes malandrins des faubourgs. Ce soir-là, le secrétaire du commissariat interrogeait une bande de jeunes voyous qui, depuis quelque temps, ensanglantait Belleville par ses rixes et ses déprédations et semait la terreur dans tout le quartier. La police, enfin, dans un magistral coup de filet, avait réussi à prendre toute la bande d'un seul coup, et les malandrins, au nombre d'une douzaine, avaient été amenés au commissariat où le « panier à salade » allait bientôt venir les prendre pour les mener au Dépôt. En attendant, les gredins subissaient un premier interrogatoire. Aux questions du secrétaire, le chef de la bande, une jeune « Terreur » de dix-huit ans, répondait avec un cynisme et une arrogance extraordinaires. Il énumérait complaisamment ses hauts faits et ceux de ses compagnons, expliquait avec une sorte d'orgueil les moyens employés par lui et par ses acolytes pour dévaliser les magasins, surprendre les promeneurs attardés et les alléger de leur bourse ; les ruses de guerre, dont il usait contre une bande rivale avec laquelle lui et les siens étaient en lutte ouverte. Il faisait de ses exploits une description si pittoresque, empreinte d'une satisfaction si sauvage, que le secrétaire du commissariat l'interrompit soudain et s'écria :
— Mais ce sont là de vrais procédés d'Apaches.
Apaches !... le mot plut au malandrin... Apaches ! Il avait lu dans son enfance les récits mouvementés de Mayne Reid, de Gustave Aimard et de Gabriel Ferry... Apaches !... oui l'énergie sombre et farouche des guerriers du Far West était assez comparable à celle que déployaient aux alentours du boulevard extérieur les jeunes scélérats qui composaient sa bande... Va, pour Apaches! Quand les gredins sortiront de prison — ce qui ne dut pas tarder, vu l'indulgence habituelle des tribunaux — la bande se reconstitua sous les ordres du même chef, et ce fut la bande des « Apaches de Belleville ». Et puis le terme fit fortune. Nous eûmes bientôt des tribus d'apaches dans tous les quartiers de Paris : tant et si bien que le mot prit son sens définitif et qu'on ne désigna plus autrement les rôdeurs de la grande ville. Aujourd'hui l'expression est consacrée ; la presse l'emploie journellement, car les apaches ne laissent pas passer un jour sans faire parler d'eux... Il ne manque plus que de la voir accueillie par le dictionnaire de l'Académie... »