Une Analyse de la couverture de THE ECONOMIST 2022
[ Paris, Le 3 janvier 2022 ]
par l'auteur du Livre des "Symboles de la Théorie du complot" (disponible sur AMAZON)
Encore une couverture prémonitoire ?
La revue The Economist ne se trompe jamais ! Ce journal, qui appartient notamment à la famille Agnelli et la famille Rothschild, propose chaque année sa vision des mois à venir. Certains pensent qu'il s'agit de simples prévisions quand d'autres sont persuadés que les auteurs et leurs commanditaires savent à l'avance tout ce que l'année nous réserve (dans les grandes lignes) et qu'ils s'amusent à nous montrer notre avenir proche sous forme d'énigmes. Il faut reconnaître qu'ils ont souvent annoncé très en avance des faits plus que troublants... notamment les gilets jaunes ou l'arrivée du Coronavirus déguisé en pangolin. Cette couverture, parue en novembre 2021, a été conçue par le designer Israel G. Vargas qui a reçu des consignes strictes et claires de la direction du journal pour organiser son dessin et notamment y cacher certaines informations... un petit jeu cher à nos élites.
L'auteur de cet article propose ici son analyse de la nouvelle couverture qui annonce les grands événements pour 2022. Il s'agit d'une interprétation qui lui est propre. Bien évidemment, toutes les images, tous les graphiques, tous les messages visibles ou cachées ne peuvent pas tous être ici décortiqués car les symboles et les images peuvent toujours avoir un sens différent, un sens positif ou négatif et chacun peut y voir ce qu'il veut : "Quot homines tot sententiae" (autant d'hommes, autant d'avis).
Voici l'image de la couverture de THE ECONOMIST 2022 dont le titre est "THE WORLD AHEAD 2022" :
Une guerre... chaude ou froide ?
Ce qui saute aux yeux est bien évidemment l'opposition en miroir de la Chine et des U.S.A... mais il faut peut-être voir plus loin et envisager plutôt une opposition (voire une guerre) entre le bloc communiste (Russie-Chine) et l'OTAN (U.S.A.-Europe). Cette image coupée en deux évoque l'année de la scission entre le monde d'avant et le monde d'après... d'où ce titre étrange "AHEAD 2022" (comprendre ici "le monde que nous prépare 2022").
Quoi qu'il en soit, cette couverture semblent contenir les prémices annonciateurs d'un conflit bien réel et inévitable :
• Les microscopes inversés deviennent par symétrie des caméras de surveillance mais ressemblent aussi à des canons menaçants
• Le grand cercle évoque le sonar d'un sous-marin mais aussi le symbole du nucléaire (The Economist semble envisager dès novembre 2021 une menace nucléaire). En outre il évoque une cible (est-ce la cible d'un point précis sur la carte ou celle d'un sniper pointé sur un président qui pourrait être assassiné ?). On peut aussi y voir comme une mire de télévision qui évoque le pouvoir des médias dans ces histoires de guerre/virus/vaccin ou encore la maitrise de la communication (propagande).
• Les spores multiples sont certes des virus mais ressemblent aussi à des champignons atomiques ! Encore le nucléaire !
Pourquoi cette guerre ?
- Peut-être parce que la Chine et ses alliés veulent savoir qui sont les vrais responsables de la crise du Coronavirus, ce virus qui semble omniprésent sur cette couverture pour l'année 2022. En effet, les seringues font penser à des fléchettes (envoyées sur une cible) qui servent peut-être à désigner, à viser, les coupables, les (véritables) créateurs du virus.
- Les seringues sont aussi assimilables à des missiles qui seraient lancées depuis la Chine ou depuis la Russie (aiguille en haut) et reçues par les USA ou l'Europe (aiguille en bas). Par ailleurs, on note que le chinois Xi Jinping semble confiant et souriant quand Joe Biden parait beaucoup plus soucieux...
Mais peut-être est-ce là tout simplement une nouvelle course à l'espace ? Une bataille spatiale au niveau des satellites ? L'image des réacteurs vus de dessous évoque l'étage supérieure d'une fusée. Le grand cercle rappelle aussi le fameux parachute de la NASA qui contenait le message codé en binaire : "Osez de grandes choses" (le parachute pouvait être décomposé en 4 cercles, qui correspondaient chacun à un mot codé en binaire. Dans ces cercles, en isolant les rainures du parachute par paquets de dix et en leur attribuant la valeur 0 ou 1 sur 7 bits, on obtenait des nombres et leurs correspondance dans l'alphabet : A=1, B=2, etc.). Est-ce qu'il y a dans cette couverture de The Economist une date cachée ou un message codé en binaire ?
Autre hypothèse : la course énergétique, la pénurie et l'épuisement inquiétant des réserves de pétrole, de gaz et d'électricité qui peuvent être symbolisés par les éoliennes (qui sont ici l'incarnation des énergies de substitution) nous laissant éventuellement comprendre que la crise du coronavirus a servi à limiter la consommation de pétrole (moins de déplacements en voiture, moins de consommation, moins de Co2, avions cloués au sol) et que nous allons dans tous les cas devoir nous passer rapidement de ces énergies ? De même, on peut imaginer qu'une guerre apporterait elle aussi de graves soucis en matière d'énergie.
Virus et Vaccins
• Le virus semble ici être présenté comme un prétexte pour justifier la surveillance, le suivi des humains et donc la télésurveillance (le microscope devient caméra)
• La fiole carrée évoque le vaccin (avec ses 3 niveaux = ses 3 doses). La seringue blanche semble contenir du vide... La seringue rouge étant un peu plus inquiétante. En effet, étant toujours en phase de test, certaines lots contiennent obligatoirement du placebo (du vide, du vent) quand d'autres contiennent des composants plus "innovants" voire plus dangereux... Les habitués des casinos trouveront que le cercle rappelle un jeton de roulette... Les créateurs du cahier des charges de cette couverture voulaient-ils nous dire qu'on joue à la roulette avec ce vaccin ? Et que les vaccinnées sauront en 2022, ou après, s'ils ont gagné le Jackpot ?
• Souvenez vous de vos cours de chimie au collège ! Les petites boules reliées par des traits (noires, blanches et rouges) sont des composés chimiques à base de C, H et O : bicarbonate (HC03, le dosage des ions bicarbonates permet d'évaluer l'équilibre acido-basique du sang, c'est à dire le pH du sang) et monoxyde de Carbone (CO), Hydroperoxyle (HOO), Hydroxyle (OH) qui sont impliqués dans la pollution de l'air.
• L'omniprésence du vaccin et des seringues, les petits béchers stylisés et la fiole nous font penser à l'apartheid vaccinal qui s'installe partout dans le monde et à la vaccination obligatoire
• La couleur rouge sang des seringues évoque-t-elle le futur virus (dont le nom du nouveau variant pourrait être Sigma, Gamma, Beta... qui sont des lettres de l'alphabet grec encore disponibles). Ce virus cette fois-ci, ne s'attaquerait pas aux poumons mais à la circulation sanguine dont on dira qu'il créé cette fois-ci des AVC, des thromboses, des crises cardiaques, des problèmes de coagulation... A méditer...
• Les éoliennes font évidemment référence à l'écologie, à la pénurie de gaz et de pétrole à venir, aux crises écologiques comme évoqué plus haut, mais elles incarnent aussi le vent et l'air ! Est-ce que ces gros virus placés devant elles ne nous avertissent pas que le futur virus 2022 (variant Sigma, Gamma, Beta...) pourrait être directement dans l'air (et non plus transmissible essentiellement par gouttelettes comme ce fut le cas pour les variants Delta et autres Omicron) ? Ou pire, ne nous mettent-elles pas en garde contre une guerre bactériologique en complément d'une guerre classique ou nucléaire ?
Puce, technologie et nouvelle monnaie
• Les experts en cryptomonnaie auront reconnu les symboles de 4 célèbres monnaies basées sur la technologie BlockChain : Bitcoin (BTC), Ethereum (ETH), Litecoin (LTC) et Cardano (ADA). Est-ce l'annonce de l'avènement de ce mode de paiement (faut-il alors investir dans ces monnaies ou au contraire, comprendre qu'une monnaie mondiale nouvelle va arriver, régulée par le FMI, tuant les cryptomonaies historiques ?). On comprend dans tous les cas que le remplacement du cash (disparition de l'argent liquide) est prévu par ces nouveaux moyens de paiement 100% numériques mais surtout 100% contrôlables, facile à ponctionner sur votre compte : plus de travail au noir, plus d'impayés, plus de fraude fiscale... Toute transaction sera traçable et taxée.
On peut aussi y voir la volonté du "bloc communiste" de "dédollariser" les échanges et l'arrivée d'un dollar numérique.
Remarque : il est fort probable qu'aucun variant ne sera nommé PHI ( φ ) car cette lettre grecque semble être réservée et prévue (depuis 1988 d'après The Economist) pour symboliser le Phoenix, la future (crypto?)monnaie mondiale
• On peut apercevoir vers le centre des microprocesseurs noirs et les petits carrés collés entre eux évoquent aussi le microchip (la puce électronique) qui fait penser à l'incessante miniaturisation des objets technologiques (notamment grâce au graphène) mais surtout au puçage des êtres humains sous forme d'implants. On pense inéluctablement à l'intelligence artificielle, au haut débit (5G, 6G) et finalement au bon vieux transhumanisme, fer de lance de nos élites mondialistes.
• Est-ce que la guerre évoquée plus haut ne serait pas aussi une guerre technologique dans laquelle la Chine, la Rusise et leurs alliés souhaitent prendre leur revanche sur les GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft), voire les supplanter. Il est ici concevable de penser que la Chine tient pour responsable les GAFAM de la crise sanitaire et par eux, leurs actionnaires que sont notamment les groupes VANGUARD et BLACKROCK.
Des dates cachées ?
• En observant le diamètre central gradué, on observe une graduation de 12 barres. Les petites croix montrent certainement des mois. On compte 1 croix noire au dessus du curseur 1, une rouge au niveau du 7 et une rouge au niveau du 8 (soit 7+8=15) et enfin 1 blanche au niveau du 3 et 2 blanches au niveau du 10 (soit 3+10+10=23). On obtient ainsi une date possible fixée au 15/1/23, soit le 15 janvier 2023 sans trop savoir ce qu'il se passera ce jour là...
• Une autre date importante indirectement évoquée sur ce dessin : le 6 juin 2022 qui donne en numérologie, 6/6/2+2+2 = 6/6/6 !
Satanisme (666) et Alchimie
D'autres informations cachées ? Ce cercle n'a pas encore tout dit... et les auteurs du cahier des charges de cette couverture s'amusent, comme toujours, à cacher des messages qui sont bien souvent ésotériques... Dans tous les cas, on a l'impression que ce disque étrangement gradué doit être en mis en rotation ou découpé et plié afin de délivrer des informations un peu plus cachées que les autres...
• La disposition symétrique et opposée du dessin nous fait penser à la fameuse sentence des alchimistes hermétiques : « Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas » qui s’écrit « et quod est supius est sicut quod est inferius » en latin qui exprime notamment la notion de cycle, d’alternance entre la lumière et les ténèbres, le lien entre les anges et les démons… mais aussi le fait que les lois de la nature (donc de la physique) s’appliquent aussi bien à l’infiniment grand (les planètes) qu’à l’infiniment petit (les atomes). Cette devise fut en outre adoptée par la franc-maçonnerie. On la retrouve aussi sur certaines représentations du démon transgenre BAPHOMET.
• Rouge, noir et blanc sont les couleurs du Grand Oeuvre des alchimistes. C'est à dire la manipulation chimique qui permet d'obtenir la pierre philosophale permettant de transformer le mercure (ou le plomb) en or.
• Cette disposition en opposition de deux entités - cette image renversante - semble aussi faire référence à l'inversion des valeurs, chères au satanistes puisque "tout ce qui est l'inverse est le mal", Satan n'est-il pas l'opposé, l'inverse de Dieu ?
• En sémiologie, le rouge évoque le sang, la guerre et Satan. Or, la bête est clairement évoquée au centre de la couverture ! En effet, si on additionne en respectant les règles de la numérologie - dont nos élites sont friands - les dates 2021, 2022 et 2023, on obtient 221+222+223 = 666, le nombre de la bête.
Une autre manière de trouver ce nombre : 20 + 20 + 20 =60 et 21+22+23 = 66, on obtient là encore un superbe 666
Pas encore convaincu ? En numérologie, la somme 2021 + 2022 + 2023 vaut 2+0+2+1 + 2+0+2+2 + 2+0+2+3 = 18 = 6+6+6 ! Et oui, 3 fois 6 encore !
Ce nombre de la Bête est évoqué par le visionnaire Saint Jean de l'Apocalypse qui nous avertissait que de nos jours, il serait impossible de payer ou acheter sans avoir la marque de la bête dans la main ou dans la tête. Voici la citation exacte et plus que troublante, que l'on soit croyant ou non, puisqu'elle date du 1er siècle :
"[La bête] amena tous les hommes [...] à se faire marquer d’un signe sur la main droite ou sur le front. Et personne ne pouvait acheter ou vendre sans porter ce signe : soit le nom de la bête, soit le nombre correspondant à son nom. [...] Ce nombre représente le nombre d'un homme, c'est : six cent soixante-six"
• Comment ne pas faire le lien entre cette phrase prémonitoire de Jean et le 666 au centre, les puces sous-cutanées, le virus, la cryptomonnaie... bien présents sur la couverture 2022 ? A ce titre, le nom "BETA" pour le futur variant 2022 serait tout indiqué : BETA => BETE/BEAST
• Avez-vous vu les code-barres stylisés et colorés à côté du microscope et de la caméra ? Ils montrent clairement le suivi des humains par télésurveillance d'une part mais surtout le traçage/flicage par le pass sanitaire et la téléphonie (puis par le pass vaccinal/pass écologique) qui devrait muter en passeport numérique (sous forme d'implant sous-cutané ?). Ces code-barres dont on peut constater qu'ils contiennent systématiquement un 666 codé en binaire sous la forme de 3 doubles barres [NDLR : pour en savoir plus, nous vous invitons à lire notre article sur le nombre 666 ]
• Le cercle a aussi des allures de "Yin et Yang" qui symbolise notamment le fait que l’on trouve du Bien dans le Mal et du Mal dans le Bien. C'est du reste en cela qu'il est parfois exploité comme symbole sataniste pour exprimer le fait qu'il y a du bon en Satan et du mal en Dieu. En regardant avec un peu de recul l'image principale, on voit enfin clairement apparaitre une croix templière (rouge sur fond blanc). Une croix qui a inspiré le logo de Umbrella Corporation dans le jeu et le film Resident Evil où il est question d'un virus libéré, d'armes biologiques conçues par une entreprise spécialisée dans la manipulation d'ADN responsable de la création du virus "T"
• On notera enfin que le grand cercle évoque un blason rouge, qui se traduit en allemand par "ROTH SCHILD". C'est de là que vient le nom de la célèbre famille qui avait un bouclier rouge pour ses armoiries. Mayer Rothschild, né Mayer Amschel Bauer au 16ème siècle, en Allemagne, changea son nom en Rothschild en référence au bouclier rouge, symbole de la maison familiale puis de la banque créée par son père. On rappelle que "The Economist" appartient en grande partie aux Rothschild. Le bouclier rouge de la couverture serait un petit clin d'oeil à l'attention des proprios ? Qui sait ?
Alors... Allons tous boire un verre de vin "Escudo Rojo" ("Bouclier Rouge") cuvée Rothschild 2022 avant la fin du monde (d'avant) !
Source (je n'en suis pas l'auteur) : https://www.tousvoslivres.com/articles/couverture-The-Economist-2022.php
je vous ai laissé sans voix c'est ça ?
envisager plutôt une opposition (voire une guerre) entre le bloc communiste (Russie-Chine)
OK on peut s'arrêter dès le premier paragraphe.
Oui en gros ils ont pris toutes les idées complotistes de l'année dernière+ la guerre en Ukraine et ils ont mixés le tout