Les lectrices de Céline au pieux

Je fais revivre ce topic 410

" Ouais...! Il me fourre... Son vit tout entier, j'en ai les guibolles qui tremblent... Continue donc, salaud...! Ah ça ! Il me besogne...Il se démène...Il s'applique...Il y va fort...Il se cabre...Ouais, comme ça gros dégueulasse ! Il sue comme un kyste percé... Y a urgence...Il accélère... Continue donc que je lui dit, ça le galvanise...Il arrive au bout ! Clac ! Pof ! Ouaf ! C'est déjà fini... Il a plus la force... Sa carcasse retombe comme une masse... Toute sa viande qui s'étale... Foutre de bon Dieu, y pouvait pas tenir encore un peu ? Putain !

Il m'aime, qu'il me dit entre deux souffles...L'ordure...Il se gâte...Il s'endort...J'ai la chatte qui me titille, c'est pas humain...C'est animal cet engin là...! Je me branle comme à chaque fois...Puis je vais aux chiottes me rincer la souillure... Y ronfle déjà le giton...Ca emplit toute la turne...Tout le quartier... Peut-être toute la ville... Sacré foutu Dieu de putain, y pouvait par roupiller en silence...J'ai beau me boucher les esgourdes...Appuyer jusqu'à plus force...Y a pas à faire, je l'entendrais jusque en enfer ce vieux chien là...Oh ! Oh ! que je lui fait... Oh, t'en finis jamais de pioncer ? Il bronche pas... "

https://image.noelshack.com/fichiers/2017/16/1492893412-caprice6.png

C’est entendu. Pas mieux. T’as l’air de trop rien, Ça dégobille à ras la glotte, mais d’où qu’tu nous causes ?https://image.noelshack.com/fichiers/2019/21/7/1558864788-louis-ferdinand-celine.png

Y’aurait pas un clampin pour nous baver qu’il t’aurait vu d’ces deux quinquetshttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/21/7/1558864788-louis-ferdinand-celine.png

Tu viens nous chier tes restes, oui. C’est d’bon cœur mais à quel spectacle t’y crois-tu ? On s’méfie, c’est pas la grande curée.https://image.noelshack.com/fichiers/2019/21/7/1558864788-louis-ferdinand-celine.png

Au claquement de ta langue c’est plus d’un qui s’y sent plus, on n’y tient pas comme ça, à t’entendre la glotte pendante. C’est qu’il serait déjà bonne heure pour toi de pouloper vers d’autres trous.https://image.noelshack.com/fichiers/2019/21/7/1558864788-louis-ferdinand-celine.png

Universelle moquerie oui, mais suprême espérance à l’avenirhttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/21/7/1558864788-louis-ferdinand-celine.png

Une houellebecquienne au pieux

" Il me donne deux trois coups, comme ça, sans conviction. Je me laisse faire, les sensations arrivent au bout de la chose, apparemment. Il me dit que je coulisse mal, ça le fait débander entre deux coups. Il n'y arrive pas, moi non plus décidément. Il me laisse seule à l'appart, il me dit que Julie vient de lui envoyer un message. J'essaie de me caresser, mais une sorte de brûlure me remonte. Ce n'est pas la peine. Je ne contrôle pas des larmes en me rhabillant "https://image.noelshack.com/fichiers/2020/04/4/1579815453-je-sais-pas-quoi-mettre.jpeg

Le 23 mars 2022 à 15:34:55 :
C’est entendu. Pas mieux. T’as l’air de trop rien, Ça dégobille à ras la glotte, mais d’où qu’tu nous causes ?https://image.noelshack.com/fichiers/2019/21/7/1558864788-louis-ferdinand-celine.png

Y’aurait pas un clampin pour nous baver qu’il t’aurait vu d’ces deux quinquetshttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/21/7/1558864788-louis-ferdinand-celine.png

Tu viens nous chier tes restes, oui. C’est d’bon cœur mais à quel spectacle t’y crois-tu ? On s’méfie, c’est pas la grande curée.https://image.noelshack.com/fichiers/2019/21/7/1558864788-louis-ferdinand-celine.png

Au claquement de ta langue c’est plus d’un qui s’y sent plus, on n’y tient pas comme ça, à t’entendre la glotte pendante. C’est qu’il serait déjà bonne heure pour toi de pouloper vers d’autres trous.https://image.noelshack.com/fichiers/2019/21/7/1558864788-louis-ferdinand-celine.png

Universelle moquerie oui, mais suprême espérance à l’avenirhttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/21/7/1558864788-louis-ferdinand-celine.png

Je connaissais

Une lectrice du marquis de Sade

" Mon mari monte dans ma chambre et il m'encule routinièrement. Le photographe monte à son tour et il m'encule artistiquement. Mon professeur de piano passe à quatre heure et il m'encule pédagogiquement. L'avocat vient enfin avant dîner et il m'encule élogieusement. Mon mari revient à ce moment, l'avocat me besognait encore à pleine gorge. Il ne se met pas en rogne, au contraire. Il retire son pantalon et encule l'avocat. Ca l'a surpris, il a foutu de la merde partout. L'avocat s'excuse, je l'aide à la ravaler sa merde tandis que mon mari nous fout des coups de latte sur le fessier "https://image.noelshack.com/fichiers/2019/20/4/1557959825-emilia-clarke.png

Une lectrice de Lautréamont au pieux :

Que le Créateur me regarde ! Je profane la tombe hideuse de ce vieux macchabé. Contemple moi bien, créateur de ce monde infame, parce que je danse avec la vermine qui tu as engendré. Des asticots rongent encore les derniers morceaux de viande sur le vieux corps, qui s'effrite ça et là à mesure que je l'enlace ; les champignons pullulent et je m'en abreuve. Il manque un testicule au corps, il a quitté naguère l'homme méprisable afin qu'il ne se reproduise jamais. Je peux lui faire l'amour sereinement à présent, je ne participerai pas à la reproduction de cette ra/ce odieuse. Ô corps délabré, puisse l'humanité toute entière te rejoindre où tu es, et je lui ferais l'amour avec autant d'allégresse. Tu exhales une pestilence infecte qui me fait vomir par trois fois, mais je jouis ; vois Créateur, de quelle manière je venge la blessure que tu m'as faite !

https://image.noelshack.com/fichiers/2019/01/4/1546474152-alizee3png.png

Le retour de ce topic
L'autre a été 410 ?

Une lectrice de Stevenson

Laissez moi vous raconter une petite anecdote qui se déroula en l'an de grâce 2022. Il faisait une chaleur écrasante dans le petit estaminet du port tenu par ma famille, quand un flibustier rudement joli se pointa au zénith. " Dites-moi jeune donzelle, me dit-il, vous êtes bien seule dans ce caboulot. " Je comprenais bien ce qu'il voulait, je le voulais également, et mon père rafistolait un rafiot dans les collines. Le gaillard m'a prise sur la table, il sentait le rhum et la dorade. " Sacré tonnerre ! hurle-t-il, c'est qu'elle pratique comme une boucanière ! " Il exultait ainsi, tandis que je me contrôlais, pour garder contenance.
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/16/1492893412-caprice6.png

Une lectrice de Homère

Une phalange troyenne m'accule contre la paroi du temple d'Appolon. Je reconnais Deiphobe, fils de Priam, prince de tous les princes, bardé d'une armure d'or, le javelot dressé jusqu'au ciel. A côté de lui se tient Sarpédon, roi des lycien, noble, fier et dur comme un roc, sa verge a vaincu les ennemis les plus redoutables dans toute la Phénicie. Enée, beau roi des dardanien, s'avance le premier, truculent, formidable, les muscles bombés, le regard impavide, il me prend comme un bélier, fait de ma chevelure deux cornes qu'il tire fermement. Chaque coup est plus puissant que le précédent, la poussière tout autour de nous s'envole, c'est un véritable nuage, une tempête, une apocalypse, et les claquements de ses reins sonnent comme mille destriers au galop

https://image.noelshack.com/fichiers/2016/23/1465745864-caprice3.png

Pas trop mal ton imitation

Et l'excellente imitation de Proust par le khey bigbillbroonzie, fallait oser

" Le dimanche, je recevais la visite de Bastien, le garçon du café où aimait à flâner mon grand-père, du temps où il en avait encore l’occasion et la force. Bastien était un de ces hommes qu’on eut dit fait pour l’amour, sans jugement, sans esprit, sans intelligence, uniquement pourvu d’un corps doué d’une sorte de force exaltée et toute tendue vers son seul membre, comme le Minotaure du Greco dont l’image entraperçue à Venise avait été un si grand choc pour moi, une première pénétration, dont le vivacité n’avait jamais tout à fait quitté mon entrecuisse.
Bastien entrait en frappant timidement, disait « Bonjour, Mademoiselle. Je ne dérange pas ? », et sans attendre la réponse, débarrassait son corps marmoréen de sa chemise blanche amidonnée pour la messe et qui n’attendait que d’être enfin ôtée. Et tandis que Bastien me besognait, tantôt du côté que nous appelions par plaisanterie le « côté de Vénus », tantôt de l’autre côté qu’on avait nommé avec moins de goût le « côté de Charlus », je repensais aux autres phallus, à ces innombrables viers qui, tous confondus en cet instant, m’avait avant lui pénétré vigoureusement, et que je n’aurais pu, en ce moment, revoir par la pensée ; c’était comme si chacun de ces pénis avaient perdu leurs identités propres, leurs contours, et même leurs propriétaires, pour ne devenir que l’instrument de Bastien qui était en moi en cet unique instant. Mais, tout à la fois confondus et indistincts, ces viers me pénétraient tous, et je jubilais du plaisir coupable et délicieux d’être prise d’un seul tenant par tous ces souvenirs, qui avaient fait et continueraient de faire de moi cette femme si intensément, si durablement comblée. "

Le 23 mars 2022 à 15:37:15 :
Le retour de ce topic
L'autre a été 410 ?

Ouaishttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/20/1494968374-pas-de-chance.png

Et là v'là qu'il me retourne ventre cont' le potio... et vladadam, vladadam. Ca c'est les coup de sa ptite queue qui traîne, elle m'traîne entre les pattes sa ptite queue et v'là que ça recommence vin Dieu, vladadam, vladadamhttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/21/7/1558864788-louis-ferdinand-celine.png

A ce moment-là qu'j'lui dit "Marcel enfourche par la théïère" y comprend pas trop mais c'est pas con ç'qu'y m'fait à la place, et POF ! Je sens un truc qui me taquine le boyau dis-donc, c'était l'ballon de foot de m'sieur qu'y m'voulait foutre droit dans l'oignon, "que non !" je lui dit "tu vois bien que ça rentre pas couillon !" Con comme son père qu'il était, ptètre plus con encore avec sa tête qu'on aurait dit Poulidor la gueule dans l'trottoir, z'auriez vu ça un vrai sac à merde, mais la bite qui travaille, comme un marteau-pilon tac-tac ! tac-tac !https://image.noelshack.com/fichiers/2019/21/7/1558864788-louis-ferdinand-celine.png

Le 23 mars 2022 à 15:32:28 :
Je fais revivre ce topic 410

" Ouais...! Il me fourre... Son vit tout entier, j'en ai les guibolles qui tremblent... Continue donc, salaud...! Ah ça ! Il me besogne...Il se démène...Il s'applique...Il y va fort...Il se cabre...Ouais, comme ça gros dégueulasse ! Il sue comme un kyste percé... Y a urgence...Il accélère... Continue donc que je lui dit, ça le galvanise...Il arrive au bout ! Clac ! Pof ! Ouaf ! C'est déjà fini... Il a plus la force... Sa carcasse retombe comme une masse... Toute sa viande qui s'étale... Foutre de bon Dieu, y pouvait pas tenir encore un peu ? Putain !

Il m'aime, qu'il me dit entre deux souffles...L'ordure...Il se gâte...Il s'endort...J'ai la chatte qui me titille, c'est pas humain...C'est animal cet engin là...! Je me branle comme à chaque fois...Puis je vais aux chiottes me rincer la souillure... Y ronfle déjà le giton...Ca emplit toute la turne...Tout le quartier... Peut-être toute la ville... Sacré foutu Dieu de putain, y pouvait par roupiller en silence...J'ai beau me boucher les esgourdes...Appuyer jusqu'à plus force...Y a pas à faire, je l'entendrais jusque en enfer ce vieux chien là...Oh ! Oh ! que je lui fait... Oh, t'en finis jamais de pioncer ? Il bronche pas... "

https://image.noelshack.com/fichiers/2017/16/1492893412-caprice6.png

Qui a gratté ça ?

La lectrice de Flaubert au pieux :

" Florine s'appuyait contre la fenêtre, toute la campagne pluvieuse s'étendait dans une tristesse infinie. Son mari entrait dans la chambre, chérie, mon aimée, j'aimerais que nous couchions ensemble, mais Florine ne l'entendait pas. Son mari s'approcha tout de même, et elle se laissa faire. Il avait les mains froides et la mauvaise haleine. Il la déshabillait, je peux, tu es sûr ? Mais Florine ne répondait toujours pas à sa timidité idiote, elle rêvait d'être prise brutalement, et en lâchait un petit soupir que son mari prenait pour un encouragement. Elle sortit de sa rêverie, mais son mari était déjà parti, et elle empoigna rageusement les soies de son duvet "
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/22/1496421707-sticker-blonde-2-8-10.png

Topic sous-côté que j'ai adoré lire avant le 410.

Barbey d'Aurevilly :

Maintenant que nous sommes attablées, mesdames, entre gens de bonnes moeurs et de confiance, je puis vous raconter cette étrange nuit d'amour que je connus avec ce mystérieux noble espagnol dont vous connaissez la fort tragique fortune. Quand nous fûmes couchés l'un près de l'autre, il me semblait déjà tourmenté par quelque événement. Long et maigre, il étendit ses bras comme un crucifix auprès de moi : je ne veux, du reste, pas insister sur des détails que la morale réprouve. Sachez pourtant que pendant que nous commettions le péché de chair, il me parut voir des larmes passer dans ses grands yeux : je n'ai point de doute que cette affectation n'était pas tournée vers son épouse, qu'il détestait. Non : il me semblait qu'il regardait un portrait du Christ situé dans l'antichambre. Oui : le compte Rosso d'Albara, ancien religieux défroqué, athée et républicain, avait peur du châtiment de Dieu. Moi même, j'eus peine à le croire. Mais les évènements ne tardirent pas à lui donner raison...

Le 23 mars 2022 à 15:47:47 :

Le 23 mars 2022 à 15:32:28 :
Je fais revivre ce topic 410

" Ouais...! Il me fourre... Son vit tout entier, j'en ai les guibolles qui tremblent... Continue donc, salaud...! Ah ça ! Il me besogne...Il se démène...Il s'applique...Il y va fort...Il se cabre...Ouais, comme ça gros dégueulasse ! Il sue comme un kyste percé... Y a urgence...Il accélère... Continue donc que je lui dit, ça le galvanise...Il arrive au bout ! Clac ! Pof ! Ouaf ! C'est déjà fini... Il a plus la force... Sa carcasse retombe comme une masse... Toute sa viande qui s'étale... Foutre de bon Dieu, y pouvait pas tenir encore un peu ? Putain !

Il m'aime, qu'il me dit entre deux souffles...L'ordure...Il se gâte...Il s'endort...J'ai la chatte qui me titille, c'est pas humain...C'est animal cet engin là...! Je me branle comme à chaque fois...Puis je vais aux chiottes me rincer la souillure... Y ronfle déjà le giton...Ca emplit toute la turne...Tout le quartier... Peut-être toute la ville... Sacré foutu Dieu de putain, y pouvait par roupiller en silence...J'ai beau me boucher les esgourdes...Appuyer jusqu'à plus force...Y a pas à faire, je l'entendrais jusque en enfer ce vieux chien là...Oh ! Oh ! que je lui fait... Oh, t'en finis jamais de pioncer ? Il bronche pas... "

https://image.noelshack.com/fichiers/2017/16/1492893412-caprice6.png

Qui a gratté ça ?

Moihttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/22/1496421707-sticker-blonde-2-8-10.png

Le 23 mars 2022 à 15:42:43 :
Et là v'là qu'il me retourne ventre cont' le potio... et vladadam, vladadam. Ca c'est les coup de sa ptite queue qui traîne, elle m'traîne entre les pattes sa ptite queue et v'là que ça recommence vin Dieu, vladadam, vladadamhttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/21/7/1558864788-louis-ferdinand-celine.png

A ce moment-là qu'j'lui dit "Marcel enfourche par la théïère" y comprend pas trop mais c'est pas con ç'qu'y m'fait à la place, et POF ! Je sens un truc qui me taquine le boyau dis-donc, c'était l'ballon de foot de m'sieur qu'y m'voulait foutre droit dans l'oignon, "que non !" je lui dit "tu vois bien que ça rentre pas couillon !" Con comme son père qu'il était, ptètre plus con encore avec sa tête qu'on aurait dit Poulidor la gueule dans l'trottoir, z'auriez vu ça un vrai sac à merde, mais la bite qui travaille, comme un marteau-pilon tac-tac ! tac-tac !https://image.noelshack.com/fichiers/2019/21/7/1558864788-louis-ferdinand-celine.png

Je sens un truc qui me taquine le boyau putain j'ai hurléhttps://image.noelshack.com/fichiers/2016/26/1467335935-jesus1.png

Topic collector