"Blog" JEUX VIDEOS : mes Critiques de JEUX
Prochaines Critiques :
- Brothers: A Tale of Two Sons
- Flower
- The Unfinished Swan
Et ensuite je verrais en fonction des jeux Gratuits disponibles sur le PS NOW ou des jeux rétros à télécharger sur PC Tant que je paye pas ça me va 
1 critique par Semaine Minimum.
Je commence Brothers : A Tale of Two Sons demain après 6 jours sans toucher à la manette. Je ferais la critique en fin de semaine.
Test à Venir dans les 2 prochaines semaines :
1-) Brothers : A Tale of Two Song (Ce Week end - Jeu Terminé à l'instant)
2-) The Unfinished Swan (Semaine Prochaine - Pas encore joué)
3-) Flowers (Semaine Prochaine - Pas encore joué)
4-) Canis Canem Edit (Dans 2 Semaines - Déjà fini 2 fois)
5-) Red Dead Redemption 2 (Dans 2 Semaines - Déjà fini)
A Venir Prochainement :
Desperados III (à faire)
Street of Rage 4 (En cours)
Tintin au Tibet (Déjà fait y a 20 ans mais je m'en souviens + je vais me refaire le walktrought complet)
Steep (Déjà fait. Terriblement sous-coté par les médias selon moi)
Everybody's Gone to The Capture (à faire)
Grim Fandango (En Cours)
Un autre jeu rétro à déterminer
FF IX (l'un des mes jeux préférés)
J'essaye de varier avec les 2 Premiers Triple A (Canis Canem edit et RDR2) mais ce sera rare 
Priorité jeux rétro et jeux Indé
Pour ceux qui se demandent, même si je suis conscient que la plupart s'en cogne royalement, je joue sur PS4. Et je télécharge parfois des vieux jeux rétros sur PC. C'est tout
Test à Venir dans les 2 prochaines semaines' :
1-) Brothers : A Tale of Two Son (Ce Week end - Jeu Terminé à l'instant)
2-) The Unfinished Swan (Semaine Prochaine - Pas encore joué)
3-) Flowers (Semaine Prochaine - Pas encore joué)
4-) Canis Canem Edit (Dans 2 Semaines - Déjà fini 2 fois)
5-) Red Dead Redemption 2 (Dans 2 Semaines - Déjà fini)
A Venir Prochainement :
- Desperados III (à faire)
- Street of Rage 4 (En cours)
- Tintin au Tibet (Déjà fait y a 20 ans mais je m'en souviens + je vais me refaire le walktrought complet)
- Steep (Déjà fait. Terriblement sous-coté par les médias selon moi)
- Everybody's Gone to The Capture (à faire)
- Grim Fandango (En Cours)
- Stardew Valley (à continuer, j'adore je vous le dit de suite)
- Un autre jeu rétro à déterminer
- FF IX (l'un des mes jeux préférés)
J'essaye de varier avec les 2 Premiers Triple A (Canis Canem edit et RDR2) mais ce sera rare Priorité aux jeux rétro et jeux Indé
Sympa, merci 
Le 05 octobre 2021 à 19:28:10 :
Pas mal clé, tu devrais faire un blog, même si le créneau est déjà occupé par pas mal de gens.
C'est juste pour le fun khey, j'ai d'autres priorités mais peut être qu'à mesure que je les accumule j'aurais envie oui. Pour l'instant non c'est juste pour le kiff. Mais merci
Le 05 octobre 2021 à 19:27:52 :
Sympa, merci
Je précise que ce sont des critiques a moitié romancé pour la première partie et plus ancré dans le fonctionnement général du jeu pour la seconde partie avec tout ses atouts et ses faiblesses. Mon but est en aucun cas de rentrer dans les détails avec minutie. Je laisse ça aux vrais testeurs qui le font bien mieux que moi et ça ne m'intéresse pas. Mon but est simplement de vous donner envie ou non d'y jouer. Rien de +
Une critique Dimanche (Brothers)
Une autre Mardi ou Mercredi
Une autre Dimanche prochain
10ème Critique : HELLO NEIGHBOR
Mon Voisin le tueur
C'est Dans le cadre accueillant d'un quartier résidentiel typique des États-Unis, sous un soleil qui darde ses plus beaux rayons sur l'ossature boisée des habitations, que débute l'histoire. Le joueur se retrouve alors dans la peau d'un jeune adolescent qui s'amuse à taper dans un ballon et voit son tir terminer sa route devant la maison de son riverain. Des hurlements sporadiques d'effroi, un voisin bien trop zélé qui semble maltraiter puis traîner un corps, une porte de sous-sol fermée à clé et cadenassée. Plus aucun doute possible, un acte criminel est perpétré sous nos yeux. Voila l'avant-propos sans arabesque mais ô combien efficace qui aiguise notre appétit. D'autant plus qu'avant cette cinématique la mini-séquence jouable qui consiste à rattraper le ballon, est plus que prometteuse. Les couleurs environnantes sont chatoyantes, la profondeur de champs est très grande , tandis que l'ambiance générale qui en ressort n'est pas sans nous rappeler la célèbre firme à la lampe de Bureau. Cette première impression est corroborée par la modélisation des visages qui sont à la fois extensibles, tout en rondeur, avec des yeux immenses et un rendu expressif semblable à une poupée animée. En somme, du Pixar avec un budget restreint adapté en format jeux vidéos. L'impression initiale qui en est ressortie est donc plutôt positive, jusqu'à ce que tout cet apparat s'effondre avec fracas tel un château de carte extrêmement friable laissant apparaître alors tout ses défauts.
Des casse-tête qui n'ont jamais aussi bien portés leurs noms
Si durant les premières minutes, on s'amuse à guetter les moindres faits et gestes de ce moustachu patibulaire, la lassitude va malheureusement prendre très rapidement le pas sur la curiosité. On constate tout d'abord une prise en main pas franchement simple, avec des commandes peu intuitives qui desservent le jeu plus qu'il ne lui apporte. Sur Playstation, Les gâchettes se substituent aux touches classiques qui n'ont alors qu'un intérêt limité, et j'ai cru comprendre que sur Switch c'était encore pire. La physique des objets et du personnage jouable n'a quant à elle rien de réaliste. Les déplacements de notre protagoniste anonyme se font à une vitesse supersoniques et les objets qu'il lance donne le sentiment de flotter dans les airs. Certaines actions souffrent également d'aucune logique, en guise d’exemple, projeter un carton vide contre une fenêtre permet de briser ses carreaux. Mais ce n'est rien en comparaison avec cette lutte incessante entre notre désir de passer à l'action et la difficulté du héros d'agir en conséquence. Il a un mal fou à monter une échelle, empiler des éléments l'un sur l'autre lui demande un effort surhumain (Ce qui est très dommageable car le jeu nous oblige à le faire régulièrement), en clair l'ergonomie entre le joueur et les items est cataclysmique. Une kyrielle de bugs et glitchs en tout genre viendront également nuire à l'expérience. Il n'est pas rare de voir des éléments du décors s'encastrer dans un mur, ou disparaître totalement si bien que la seule possibilité est de respawn. Je ne compte plus le nombre de fois ou j'ai vu l'antagoniste se retrouver bloqué par une échelle ou par le compteur électrique si bien que pendant un laps de temps assez conséquent, le terrain de jeu est notre propriété privée. L'intelligence artificielle n'a comme point positif que le fait qu'elle s'adapte à nos mouvements précédents, On devra faire preuve de malice et opter pour des subterfuges afin de se dépêtre des situations. Pour le reste elle est comme le titre dans son ensemble : très hasardeuse.
Vendu comme un Survival-horror d'infiltration, Hello Neighbor s'avère pourtant être un Puzzle Game avant toute chose. Toute la mécanique du jeu repose sur des énigmes à résoudre qui servent d'engrenage pour l'emballage final. Le souci c'est que la plupart d'entre eux sont tirés par les cheveux et n'ont aucun sens. Grim Fandango, réputé pour être un excellent jeu mais avec des casse-têtes parfois inconséquents à au moins le mérite d'aiguiller le joueur de manière subtile en faisant tourner la tête de Manny Calavera vers l'objectif à atteindre. Ce n'est pas le cas ici, puisqu'on est totalement abandonné à notre propre sort dans ce brouillamini infernal. Finalement, sans être flamboyant, le seul aspect cohérent de ce titre concerne son scénario, les plus fins limiers d'entre nous comprendrons d'ailleurs assez rapidement, pourquoi le voisinage est si placide malgré les évènement qui se déroulent à quelques encablures.
Paranoïak plutôt que Hello Neighbor
Si vous avez envie de frémir de plaisir en découvrant le secret macabre que cache votre voisin, optez plutôt pour le film de D.J Caruso avec Shia Labeouf qui remplit la part de son contrat haut la main. Pour ce qui est de Dynamic pixels, l'équipe de développement Russe responsable de la création du soft, ils nous prouvent que passer du format mobile au format console n'est pas chose aisée, et ce premier essai, malgré son concept très alléchant sur le papier, est un échec sur presque toute la ligne.
Les + :
- Une direction Artistique qui avait pourtant quelques bonnes bases
- Très difficile car mal foutu, mais pour ceux qui aiment les Challenges, vous êtes servis.
Les - :
- Des Bugs et des Glitchs en Pagaille
- Des Puzzle abscons et alambiqués au possible
- Un concept très intéressant mais galvaudé
- Pas vraiment de rejouabilité
- Une optimisation graphique de façade
- Une I.A globalement bidon
- Un scénario capillotracté et une conclusion jouant la carte de la facilité
- Un Gameplay très hasardeux
- Un Survival-Horror, Really ?
- Aucun plaisir de jeu une fois passée l'effet de découverte
Ma note : 6/20
Cette semaine : The Unfinished Swan
Semaine Prochaine : Brother : A Tale of Son + Bonus (RDR2, mais ce n'est pas une critique vraiment)
Attention cette 11ème critique n'en est pas réellement une. C'est un condensé rapide des + et des - que j'avais écrit il y a 11 mois.
11ème Critique : RED DEAD REDEMPTION 2
Graphisme : C'est l'Olympe. II est une invitation à la contemplation et au voyage dans ce qu’il a de plus noble et de plus dépaysant. Certains filtres lumineux,surtout la nuit lors de certaines missions ou durant les phases de cycles météorologiques ont volontairement été intensifiés à l'extrême, les plus scrupuleux trouveront ça trop grandiloquent, c'est effectivement le cas, mais ce serait dommage d'en oublier le rendu visuel affolant. La faune est très bien représentée, les animaux qui pullulent sont dans la majeur partie des cas diablement bien modélisés avec un photoréalisme à en faire pâlir la version Live du Roi Lion. La boue quant à elle offre un très beau rendu, d'autant plus les jours de pluie et lorsque les réverbérations et les halo lumineux crépusculaire mettent en valeur ses sillons gadouilleux. Faites une expédition de Saint-Denis en nocturne, vous comprendrez par vous-même. Finalement, c'est surtout dans ses panoramas et dans le souci du détail que Red Dead 2 impressionne, comme en atteste ses innombrables animations conceptuelles dont il regorge
Seuls ratages : la texture des cheveux, plus proche de la fibre qu'autre chose, les visages assez ternes de certains PNJ et quelques éléments Pixelisés. Les feux par exemple, sont plutôt jolis à vitesse réelle par contre, en mode "Photo" ils le sont tout de suite beaucoup moins. Mais pour être passé de RDR2 à Spiderman Miles Morales aujourd'hui même, l'écart graphique est abyssal. (9,5/10)
Bande Son : Elle est ahurissante lors de certaines phases épiques, surtout lorsqu'elle devient interactive. Elle commence souvent comme une petite nappe sonore de fond qui s'inclue parfaitement à l'ambiance dans laquelle baigne les personnages et plus la tension monte, plus la musique se tend et devient retentissante, elle est le chef d'orchestre de l'action dans son climax et fait honneur aux plus grands films de Western Spaghetti. C'est grandiose, dantesque, génial, les superlatifs ne sont pas assez fort, c'est sûrement l'aspect du jeu que j'ai préféré. Le sound Design, Les musiques environnementales sont également quasi-parfaites. |(9/10)
Durée de Vie : Je suis loin d'avoir fini le jeu dans son intégralité. Mais en englobant l'histoire principale, les missions secondaires, les points d'intérêts, les missions facultatives (Trésors, recherches d'objets, de lieux ...) La chasse, la pêche, tous les animaux à répertorier, et tout le reste + Le Online qui moi ne m'intéresse pas mais en intéresse certains. Je suis obligé de mettre (10/10)
Scénario : Il me reste je crois 2 missions principales à finir donc je peux pas être totalement objectif sur ce point. Mais à l'heure actuelle et donc pour les 95% du jeu que j'ai fait, le scénario est un peu en dessous des critères énoncés précédemment. Les 4 premiers chapitres qui constituent une grosse partie de l'histoire narrative principale n'est qu'une boucle. Notre Clan d'insurgés érigent leur campement, ils se la jouent cool un temps, puis finissent par s'attirer des ennuis en poursuivant leur quête chimérique : Disposer d'un magot suffisant pour vivre l'abondance dans un Eldorado Mais C'est le serpent qui se mort la queue, entre désillusions et folie des grandeur la boucle n'en finit plus et le scénario n'atteint pas des sommets. Le chapitre 5 sans rien divulguer est celui de trop, si l'idée de base est très bonne, la manière dont elle est amenée et contée n'est qu'un hiatus superfétatoire à l'intrigue. C'est totalement WTF et je sais pas quelle mouche a piqué les scénaristes de Rockstar. Malgré le fil rouge de l'histoire qui demeure friable, le jeu dispose d'une narration digne d'un jeu de cette envergure, les conversations entre les membres de notre bande autour du feu ou lors de nos cavalcades sont savoureuses. Tout ce qui entoure et complète l'histoire principale est fait avec Brio, si bien que l'on apprend à apprécier le jeu non pas pour sa trame directrice perfectible mais bel et bien pour l'ensemble de son œuvre. Ceci dit, exception faîtes de l'épisode digressif du fameux Chapitre 5 (Guarma) la montée en puissance ressentie vers la fin du Chapitre Saint-Denis donne un second souffle au jeu qui le fait passer à un tout autre niveau. J'aurais malgré tout aimé qu'il en soit de même depuis le début. (7/10)
Gameplay : Il n'invente rien, il ne révolutionne absolument rien, il n'est en rien grandiose mais malgré tout il s'en sort convenablement mais sans les encouragements. On se perd parfois dans l'inventaire entre tout ces Items, toutes ces notions, schémas. Arthur souffre lui d'une trop grande inertie qui est d'ailleurs propre à ce studio passé maître dans la lourdeur des personnages. Arthur manque également de souplesse, finalement c'est un Anti-héros vidéoludique très humanisé, sans doute trop. Si on joue à un jeu vidéo c'est aussi pour que le personnage que l'on incarne dispose d'une palette à se mouvoir qu'un Quidam de notre monde ne pourrait pas avoir, et ce, même si le jeu est censé comme c'est le cas pour Red Dead se rapprocher un maximum de la réalité. Ce qui le déleste de l'aspect "Fun" qu'on lui a tend reproché et qui disons le clairement lui fait réellement défaut. Les Gunfight sont oubliables. Sans être nulles, loin de la, elles se contentent du minimum. En tant qu'adepte du HeadShot, l'abus de la Slow Motion pour montrer qu'un ennemi est mort d'une balle dans la tête à tendance à casser un peu le rythme. L'impact mineur des tenues vestimentaires, de l'alimentation, de l'interaction avec notre canasson ... sont surtout la pour impressionner le plus néophyte et non-avertis d'entre nous. Au final, c'est plus du remplissage et du Folklore qu'autre chose, l'intérêt est anecdotique.
Les phases d'infiltration sont pas géniales, certaines mises à couvert sont parfois risibles. Le système de touche se confond parfois, je compte même plus le nombre de fois ou j'ai tué un ennemi en me trompant dans les combinaisons de touche (et c'est terriblement frustrant quand tu sais que les autorités vont te faire la misère ensuite en plus de la prime qui va s'alourdir), le nombre de fois ou j'appuyais sur carré au lieu de Rond pour frapper un ennemi à main nue ou encore le nombre de fois ou je voulais ramasser une arme ou un ennemi mais que je prenais le chapeau ou vice versa ... Les phases à cheval alternent le bon et le moins bon. Certaines chutes sont assez incompréhensibles car notre "destrier" peine à franchir un obstacle de quelques centimètres, mais le plus frustrant restent en ville lorsque l'on percute malencontreusement un PNJ qui se fout en travers de notre chemin, et bis repetita il faut fuir les autorités avec une prime en bonus. Cela devient très vite barbant ... Il y a plusieurs situations similaires d'ailleurs et notamment à pied ou mon personnage se retrouve à faire quelque chose que je ne souhaitais pas qu'il fasse et me voila avec les Marshalls à mes bottes ... Malgré un grand nombre de défauts, l'ensemble reste correct. (5,5/10)
Ma note : 18/20
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