Le 27 juillet 2020 à 11:39:40 Vaush_Bomb a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:38:06 Ntnlag a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:31:57 Jukhai a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:29:14 Ntnlag a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:22:37 Jukhai a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:17:32 Ntnlag a écrit :
faut lire Spinoza, le libre arbitre est une fumisterie, la science le démontre de plus en plus d'ailleursAucune des deux hypothèses n'induit l'existence du libre-arbitre
Par contre dire que la science justifie la non-existence du libre-arbitre c'est biaisé en sachant que la science elle-même n'a aucune prétention à la vérité, puisque conditionnée par des circonstances historiques et culturellesl'essence c'est ce qu'il y'a avant toute chose , tu le dis toi même "Il induit une sorte de déterminisme naturel ou les comportements, les psychologies et les caractéristiques sociales ont pour cause des déterminants biologiques avérés"
et si la science cherche la vérité, sinon c'est dans la croyance. et je vois pas le rapport avec l'histoire ou la culture puisque en tout lieu et tout point, un fait scientifique sera toujours vrai jusqu'à preuve du fauxRien ne prouve qu'un fait scientifique est vrai, tout est constamment remis en question par de nouvelles découvertes, on change de paradigme si souvent que prétendre pouvoir atteindre une "vérité scientifique" universelle et indiscutable c'est ridicule, enfin c'est ce que je pense
c'est pour ça que je dis bien jusqu'à preuve du contraire, la vérité c'est ce qui décrit la réalité. Dire que la rigueur de la science n'a pas pour but d'atteindre la vérité c'est totalement absurde et dénigrant. En science on part d'axiomes pour établir des démonstrations et ainsi tendre à ce qui s'apparente à la réalité
si on résonne comme tu le fais, on peut dire tout et n'importe quoiC'est quoi la réalité ?
ce qui est
go lire descartes clé
Le 27 juillet 2020 à 11:41:48 Ntnlag a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:39:40 Vaush_Bomb a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:38:06 Ntnlag a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:31:57 Jukhai a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:29:14 Ntnlag a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:22:37 Jukhai a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:17:32 Ntnlag a écrit :
faut lire Spinoza, le libre arbitre est une fumisterie, la science le démontre de plus en plus d'ailleursAucune des deux hypothèses n'induit l'existence du libre-arbitre
Par contre dire que la science justifie la non-existence du libre-arbitre c'est biaisé en sachant que la science elle-même n'a aucune prétention à la vérité, puisque conditionnée par des circonstances historiques et culturellesl'essence c'est ce qu'il y'a avant toute chose , tu le dis toi même "Il induit une sorte de déterminisme naturel ou les comportements, les psychologies et les caractéristiques sociales ont pour cause des déterminants biologiques avérés"
et si la science cherche la vérité, sinon c'est dans la croyance. et je vois pas le rapport avec l'histoire ou la culture puisque en tout lieu et tout point, un fait scientifique sera toujours vrai jusqu'à preuve du fauxRien ne prouve qu'un fait scientifique est vrai, tout est constamment remis en question par de nouvelles découvertes, on change de paradigme si souvent que prétendre pouvoir atteindre une "vérité scientifique" universelle et indiscutable c'est ridicule, enfin c'est ce que je pense
c'est pour ça que je dis bien jusqu'à preuve du contraire, la vérité c'est ce qui décrit la réalité. Dire que la rigueur de la science n'a pas pour but d'atteindre la vérité c'est totalement absurde et dénigrant. En science on part d'axiomes pour établir des démonstrations et ainsi tendre à ce qui s'apparente à la réalité
si on résonne comme tu le fais, on peut dire tout et n'importe quoiC'est quoi la réalité ?
ce qui est
go lire descartes clé
Il est pas un peu dépassé ?
Un mélange bien entendu, mais notre société sous-estime l'essentialisme : oui:
Le 27 juillet 2020 à 11:31:18 FLEURISlTAS a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:10:02 ___--___-__ a écrit :
Un savant mélange des deux.Ceci
En grosi tu prends l'exemple le plus débattu, les différences h/f, je pense que les différences biologiques existent bel et bien mais sont également exacerbées par la société qui a tendance à mettre dans des cases pour simplifier (ce qui est pas forcément toujours mauvais je pense mais c'est pas la question).
Du coup pour moi l'idée d'une société où il y a une parité parfaite entre hommes et femmes dans tous les domaines est une utopiehttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/02/5/1515784462-bat-dam-s.png
Surtout que l'on remarque que ce sont dans les sociétés les plus libérales et progressistes, où l'éducation est la moins genrée / la plus égalitariste, que les disparités professionnelles entre hommes et femmes sont les plus fortes.
En Norvège par exemple 90% des ingénieurs sont des hommes et 90% des infirmiers sont des femmes. Ce constat été aussi établie par le journaliste Harald Eis dans son documentaire « Hjernevask » qui visait à déconstruire des aprioris scientifiquement infondées.
https://en.m.wikipedia.org/wiki/Harald_Eia
Especially the question of gender, and what is referred to as the gender paradox (the fact that although Norwegian women have a high level of participation within the workforce, more so than most countries, the Norwegian job market remains highly segregated in terms of gender) has provoked controversy.
For Hjernevask, he was awarded the Fritt Ord Honorary Award in 2010.
Une étude menée par Richard Lippa (California State University) sur 200 000 participants sur 53 pays insiste sur la prévalence du sexe sur les choix de carrière par rapport à la culture:
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/m/pubmed/18712468/
On observe bien ici que ce sont dans les pays les plus inégalitaires qu’il y a le plus de filles qui s’investissent dans les secteurs liés à l’ingénieure ou les technologies. L'une des raisons souvent avancées pour expliquer cet apparent paradoxe est que les sociétés libérales dotées d'un certain niveau de sécurité permettent aux individus de tendre vers leurs tendances biologiques naturelles, tandis que dans les pays plus sexistes les domaines à haute rémunération (comme l'ingénierie) constituent souvent l'unique moyen pour les femmes de s’émanciper socialement ce qui n'est plus une nécessité pour les femmes des pays progressistes.
Plutôt essentialisme même si la société a aussi un impact
Je dirais 80% essentialisme/20% constructivisme
Le 27 juillet 2020 à 11:38:06 Ntnlag a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:31:57 Jukhai a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:29:14 Ntnlag a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:22:37 Jukhai a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:17:32 Ntnlag a écrit :
faut lire Spinoza, le libre arbitre est une fumisterie, la science le démontre de plus en plus d'ailleursAucune des deux hypothèses n'induit l'existence du libre-arbitre
Par contre dire que la science justifie la non-existence du libre-arbitre c'est biaisé en sachant que la science elle-même n'a aucune prétention à la vérité, puisque conditionnée par des circonstances historiques et culturellesl'essence c'est ce qu'il y'a avant toute chose , tu le dis toi même "Il induit une sorte de déterminisme naturel ou les comportements, les psychologies et les caractéristiques sociales ont pour cause des déterminants biologiques avérés"
et si la science cherche la vérité, sinon c'est dans la croyance. et je vois pas le rapport avec l'histoire ou la culture puisque en tout lieu et tout point, un fait scientifique sera toujours vrai jusqu'à preuve du fauxRien ne prouve qu'un fait scientifique est vrai, tout est constamment remis en question par de nouvelles découvertes, on change de paradigme si souvent que prétendre pouvoir atteindre une "vérité scientifique" universelle et indiscutable c'est ridicule, enfin c'est ce que je pense
c'est pour ça que je dis bien jusqu'à preuve du contraire, la vérité c'est ce qui décrit la réalité. Dire que la rigueur de la science n'a pas pour but d'atteindre la vérité c'est totalement absurde et dénigrant. En science on part d'axiomes pour établir des démonstrations et ainsi tendre à ce qui s'apparente à la réalité
si on résonne comme tu le fais, on peut dire tout et n'importe quoi
La vérité décrit la réalité mais est soumises à nos limitations physiques. On ne peut pas considérer un postulat, même appuyé par des démonstrations empiriques, comme fondamentalement "vrai"
nous envisageons les phénomènes comme de simples représentations et non comme des choses en soi, le temps et l'espace ne sont que des formes sensibles de notre intuition et non des déterminations données par elles-mêmes ou des conditions des objets considérés comme choses en soi. Je pense aussi au principe d'indétermination d'Heisenberg en disant ça, ou aux multiples théories qui tentent de concilier physique quantique et relativité générale. Je dénigre pas la science pour autant, mais je soutiens juste que les postulats qui en émanent ne donnent pas accès à une vérité de l'étant
Le 27 juillet 2020 à 11:44:05 En100 a écrit :
Un mélange bien entendu, mais notre société sous-estime l'essentialisme : oui:
Ah bon j'ai plutôt l'impression que c'est le contraire.
Et stop parler d'essentialisme, c'est plutôt de déterminisme biologique.
Le 27 juillet 2020 à 11:40:46 Unedu1 a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:38:06 Ntnlag a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:31:57 Jukhai a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:29:14 Ntnlag a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:22:37 Jukhai a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:17:32 Ntnlag a écrit :
faut lire Spinoza, le libre arbitre est une fumisterie, la science le démontre de plus en plus d'ailleursAucune des deux hypothèses n'induit l'existence du libre-arbitre
Par contre dire que la science justifie la non-existence du libre-arbitre c'est biaisé en sachant que la science elle-même n'a aucune prétention à la vérité, puisque conditionnée par des circonstances historiques et culturellesl'essence c'est ce qu'il y'a avant toute chose , tu le dis toi même "Il induit une sorte de déterminisme naturel ou les comportements, les psychologies et les caractéristiques sociales ont pour cause des déterminants biologiques avérés"
et si la science cherche la vérité, sinon c'est dans la croyance. et je vois pas le rapport avec l'histoire ou la culture puisque en tout lieu et tout point, un fait scientifique sera toujours vrai jusqu'à preuve du fauxRien ne prouve qu'un fait scientifique est vrai, tout est constamment remis en question par de nouvelles découvertes, on change de paradigme si souvent que prétendre pouvoir atteindre une "vérité scientifique" universelle et indiscutable c'est ridicule, enfin c'est ce que je pense
c'est pour ça que je dis bien jusqu'à preuve du contraire, la vérité c'est ce qui décrit la réalité. Dire que la rigueur de la science n'a pas pour but d'atteindre la vérité c'est totalement absurde et dénigrant. En science on part d'axiomes pour établir des démonstrations et ainsi tendre à ce qui s'apparente à la réalité
si on résonne comme tu le fais, on peut dire tout et n'importe quoiLa vérité des sciences concerne des faits mais non l'essence des êtres. C'est la philosophie qui donne sens à beaucoup de choses. Prend par exemple la beauté, est ce qu'on peut la définir par du langage mathématique. Pourtant la beauté est bien une vérité de notre monde
j'ai l’impression que tu mélanges un peu clé , en théorie la beauté peu être décrit par des paramètres mathématiques tout dépend du but. mais la c'est pas vraiment le problème vu que ça n'enlève rien à la légitimité de la science ( en plus il n'y a pas que les maths, tu peux faire des études sur la beauté et son influence par exemple). et la philosophie procède de manière similaire à la science pour établir des vérités. ta remarque est très intéressante en tout cas mais un peu la flemme d'écrire des pavés
Le 27 juillet 2020 à 11:43:42 Vaush_Bomb a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:41:48 Ntnlag a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:39:40 Vaush_Bomb a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:38:06 Ntnlag a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:31:57 Jukhai a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:29:14 Ntnlag a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:22:37 Jukhai a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:17:32 Ntnlag a écrit :
faut lire Spinoza, le libre arbitre est une fumisterie, la science le démontre de plus en plus d'ailleursAucune des deux hypothèses n'induit l'existence du libre-arbitre
Par contre dire que la science justifie la non-existence du libre-arbitre c'est biaisé en sachant que la science elle-même n'a aucune prétention à la vérité, puisque conditionnée par des circonstances historiques et culturellesl'essence c'est ce qu'il y'a avant toute chose , tu le dis toi même "Il induit une sorte de déterminisme naturel ou les comportements, les psychologies et les caractéristiques sociales ont pour cause des déterminants biologiques avérés"
et si la science cherche la vérité, sinon c'est dans la croyance. et je vois pas le rapport avec l'histoire ou la culture puisque en tout lieu et tout point, un fait scientifique sera toujours vrai jusqu'à preuve du fauxRien ne prouve qu'un fait scientifique est vrai, tout est constamment remis en question par de nouvelles découvertes, on change de paradigme si souvent que prétendre pouvoir atteindre une "vérité scientifique" universelle et indiscutable c'est ridicule, enfin c'est ce que je pense
c'est pour ça que je dis bien jusqu'à preuve du contraire, la vérité c'est ce qui décrit la réalité. Dire que la rigueur de la science n'a pas pour but d'atteindre la vérité c'est totalement absurde et dénigrant. En science on part d'axiomes pour établir des démonstrations et ainsi tendre à ce qui s'apparente à la réalité
si on résonne comme tu le fais, on peut dire tout et n'importe quoiC'est quoi la réalité ?
ce qui est
go lire descartes cléIl est pas un peu dépassé ?
non ça va, j'aime pas les philosophes contemporains en tout cas
Le 27 juillet 2020 à 11:47:46 Attardechet a écrit :
Plutôt essentialisme même si la société a aussi un impactJe dirais 80% essentialisme/20% constructivisme
Que des chercheurs la chance, sources de vos travaux ?
Le 27 juillet 2020 à 11:32:54 Unedu1 a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:31:19 Patriote2046 a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:26:26 Vaush_Bomb a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:24:53 Patriote2046 a écrit :
Combinaison des 2, dans le cas du QI par exemple les études sur le sujet semblent indiquer une héritabilité génétique de l'ordre de 60-70% contre 30-40% de variations imputables à l'environnement.Oui mais l'ADN aussi change par essence ils veulent dire nature immuable.
Si l'on ne considère pas certaines formes d'ingénierie génétique, le génotype d'un individu ne change pas au cours de sa vie, de sa conception à sa mort (l'épigénétique ne concerne que l'expression des gènes, le matériel génétique lui reste inchangé).
Donc on peut bien parler de part d'essentialisme vis à vis des individus ou de groupe d'individus, les disparités comportementales moyennes innées entre les hommes et les femmes en sont un bon exemple.
Sauf que la vie ne se résume pas qu'à la génétique. Les différences hommes femmes dans les sociétés changent d'une culture à l'autre. N'oublies pas que l'homme est de nature et de culture.
Pas vraiment, en réalité les différences H/F sont plutôt constantes à travers les cultures.
http://citeseerx.ist.psu.edu/viewdoc/download?doi=10.1.1.463.9292&rep=rep1&type=pdf
https://link.springer.com/article/10.1007/s10508-008-9380-7
Le 27 juillet 2020 à 11:50:28 Ntnlag a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:43:42 Vaush_Bomb a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:41:48 Ntnlag a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:39:40 Vaush_Bomb a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:38:06 Ntnlag a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:31:57 Jukhai a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:29:14 Ntnlag a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:22:37 Jukhai a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:17:32 Ntnlag a écrit :
faut lire Spinoza, le libre arbitre est une fumisterie, la science le démontre de plus en plus d'ailleursAucune des deux hypothèses n'induit l'existence du libre-arbitre
Par contre dire que la science justifie la non-existence du libre-arbitre c'est biaisé en sachant que la science elle-même n'a aucune prétention à la vérité, puisque conditionnée par des circonstances historiques et culturellesl'essence c'est ce qu'il y'a avant toute chose , tu le dis toi même "Il induit une sorte de déterminisme naturel ou les comportements, les psychologies et les caractéristiques sociales ont pour cause des déterminants biologiques avérés"
et si la science cherche la vérité, sinon c'est dans la croyance. et je vois pas le rapport avec l'histoire ou la culture puisque en tout lieu et tout point, un fait scientifique sera toujours vrai jusqu'à preuve du fauxRien ne prouve qu'un fait scientifique est vrai, tout est constamment remis en question par de nouvelles découvertes, on change de paradigme si souvent que prétendre pouvoir atteindre une "vérité scientifique" universelle et indiscutable c'est ridicule, enfin c'est ce que je pense
c'est pour ça que je dis bien jusqu'à preuve du contraire, la vérité c'est ce qui décrit la réalité. Dire que la rigueur de la science n'a pas pour but d'atteindre la vérité c'est totalement absurde et dénigrant. En science on part d'axiomes pour établir des démonstrations et ainsi tendre à ce qui s'apparente à la réalité
si on résonne comme tu le fais, on peut dire tout et n'importe quoiC'est quoi la réalité ?
ce qui est
go lire descartes cléIl est pas un peu dépassé ?
non ça va, j'aime pas les philosophes contemporains en tout cas
Ne pas aimer ok , mais faut bien les prendre en compte, vu qu'ils ont apporté des concepts majeur.
Le 27 juillet 2020 à 11:45:14 Patriote2046 a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:31:18 FLEURISlTAS a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:10:02 ___--___-__ a écrit :
Un savant mélange des deux.Ceci
En grosi tu prends l'exemple le plus débattu, les différences h/f, je pense que les différences biologiques existent bel et bien mais sont également exacerbées par la société qui a tendance à mettre dans des cases pour simplifier (ce qui est pas forcément toujours mauvais je pense mais c'est pas la question).
Du coup pour moi l'idée d'une société où il y a une parité parfaite entre hommes et femmes dans tous les domaines est une utopiehttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/02/5/1515784462-bat-dam-s.png Surtout que l'on remarque que ce sont dans les sociétés les plus libérales et progressistes, où l'éducation est la moins genrée / la plus égalitariste, que les disparités professionnelles entre hommes et femmes sont les plus fortes.
En Norvège par exemple 90% des ingénieurs sont des hommes et 90% des infirmiers sont des femmes. Ce constat été aussi établie par le journaliste Harald Eis dans son documentaire « Hjernevask » qui visait à déconstruire des aprioris scientifiquement infondées.
https://en.m.wikipedia.org/wiki/Harald_Eia
Especially the question of gender, and what is referred to as the gender paradox (the fact that although Norwegian women have a high level of participation within the workforce, more so than most countries, the Norwegian job market remains highly segregated in terms of gender) has provoked controversy.
For Hjernevask, he was awarded the Fritt Ord Honorary Award in 2010.Une étude menée par Richard Lippa (California State University) sur 200 000 participants sur 53 pays insiste sur la prévalence du sexe sur les choix de carrière par rapport à la culture:
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/m/pubmed/18712468/
On observe bien ici que ce sont dans les pays les plus inégalitaires qu’il y a le plus de filles qui s’investissent dans les secteurs liés à l’ingénieure ou les technologies. L'une des raisons souvent avancées pour expliquer cet apparent paradoxe est que les sociétés libérales dotées d'un certain niveau de sécurité permettent aux individus de tendre vers leurs tendances biologiques naturelles, tandis que dans les pays plus sexistes les domaines à haute rémunération (comme l'ingénierie) constituent souvent l'unique moyen pour les femmes de s’émanciper socialement ce qui n'est plus une nécessité pour les femmes des pays progressistes.
Tu parles à un convaincu khey, encore faudrait-il maintenant que certains et certaines enlèvent leurs oeillères et acceptent juste ces différences étant donné que si on force une parité parfaite au moyen de quotas ou autres, hommes et femmes seront au final aliénés de leurs tendances naturelles et moins heureux que s'ils avaient réellement la liberté de faire ce qu'ils veulent sans injonction à aller dans le sens ou au contraire, comme aujourd'hui, à l'encontre des stéréotypes.
Le 27 juillet 2020 à 11:50:58 Patriote2046 a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:32:54 Unedu1 a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:31:19 Patriote2046 a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:26:26 Vaush_Bomb a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:24:53 Patriote2046 a écrit :
Combinaison des 2, dans le cas du QI par exemple les études sur le sujet semblent indiquer une héritabilité génétique de l'ordre de 60-70% contre 30-40% de variations imputables à l'environnement.Oui mais l'ADN aussi change par essence ils veulent dire nature immuable.
Si l'on ne considère pas certaines formes d'ingénierie génétique, le génotype d'un individu ne change pas au cours de sa vie, de sa conception à sa mort (l'épigénétique ne concerne que l'expression des gènes, le matériel génétique lui reste inchangé).
Donc on peut bien parler de part d'essentialisme vis à vis des individus ou de groupe d'individus, les disparités comportementales moyennes innées entre les hommes et les femmes en sont un bon exemple.
Sauf que la vie ne se résume pas qu'à la génétique. Les différences hommes femmes dans les sociétés changent d'une culture à l'autre. N'oublies pas que l'homme est de nature et de culture.
Pas vraiment, en réalité les différences H/F sont plutôt constantes à travers les cultures.
http://citeseerx.ist.psu.edu/viewdoc/download?doi=10.1.1.463.9292&rep=rep1&type=pdf
https://link.springer.com/article/10.1007/s10508-008-9380-7
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/31/1/1595843450-10508-2008-9380-fig4-html.gif
Ça veut rien dire constante vu que ya certaine différences minimes que vous trouvez énorme.
Gg t'as trouver que les cultures sont plus ou moins patriarcale.
Le 27 juillet 2020 à 11:45:14 Patriote2046 a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:31:18 FLEURISlTAS a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:10:02 ___--___-__ a écrit :
Un savant mélange des deux.Ceci
En grosi tu prends l'exemple le plus débattu, les différences h/f, je pense que les différences biologiques existent bel et bien mais sont également exacerbées par la société qui a tendance à mettre dans des cases pour simplifier (ce qui est pas forcément toujours mauvais je pense mais c'est pas la question).
Du coup pour moi l'idée d'une société où il y a une parité parfaite entre hommes et femmes dans tous les domaines est une utopiehttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/02/5/1515784462-bat-dam-s.png Surtout que l'on remarque que ce sont dans les sociétés les plus libérales et progressistes, où l'éducation est la moins genrée / la plus égalitariste, que les disparités professionnelles entre hommes et femmes sont les plus fortes.
En Norvège par exemple 90% des ingénieurs sont des hommes et 90% des infirmiers sont des femmes. Ce constat été aussi établie par le journaliste Harald Eis dans son documentaire « Hjernevask » qui visait à déconstruire des aprioris scientifiquement infondées.
https://en.m.wikipedia.org/wiki/Harald_Eia
Especially the question of gender, and what is referred to as the gender paradox (the fact that although Norwegian women have a high level of participation within the workforce, more so than most countries, the Norwegian job market remains highly segregated in terms of gender) has provoked controversy.
For Hjernevask, he was awarded the Fritt Ord Honorary Award in 2010.Une étude menée par Richard Lippa (California State University) sur 200 000 participants sur 53 pays insiste sur la prévalence du sexe sur les choix de carrière par rapport à la culture:
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/m/pubmed/18712468/
On observe bien ici que ce sont dans les pays les plus inégalitaires qu’il y a le plus de filles qui s’investissent dans les secteurs liés à l’ingénieure ou les technologies. L'une des raisons souvent avancées pour expliquer cet apparent paradoxe est que les sociétés libérales dotées d'un certain niveau de sécurité permettent aux individus de tendre vers leurs tendances biologiques naturelles, tandis que dans les pays plus sexistes les domaines à haute rémunération (comme l'ingénierie) constituent souvent l'unique moyen pour les femmes de s’émanciper socialement ce qui n'est plus une nécessité pour les femmes des pays progressistes.
J'ajoute:
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3166361/
Le 27 juillet 2020 à 11:51:44 FLEURISlTAS a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:45:14 Patriote2046 a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:31:18 FLEURISlTAS a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:10:02 ___--___-__ a écrit :
Un savant mélange des deux.Ceci
En grosi tu prends l'exemple le plus débattu, les différences h/f, je pense que les différences biologiques existent bel et bien mais sont également exacerbées par la société qui a tendance à mettre dans des cases pour simplifier (ce qui est pas forcément toujours mauvais je pense mais c'est pas la question).
Du coup pour moi l'idée d'une société où il y a une parité parfaite entre hommes et femmes dans tous les domaines est une utopiehttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/02/5/1515784462-bat-dam-s.png Surtout que l'on remarque que ce sont dans les sociétés les plus libérales et progressistes, où l'éducation est la moins genrée / la plus égalitariste, que les disparités professionnelles entre hommes et femmes sont les plus fortes.
En Norvège par exemple 90% des ingénieurs sont des hommes et 90% des infirmiers sont des femmes. Ce constat été aussi établie par le journaliste Harald Eis dans son documentaire « Hjernevask » qui visait à déconstruire des aprioris scientifiquement infondées.
https://en.m.wikipedia.org/wiki/Harald_Eia
Especially the question of gender, and what is referred to as the gender paradox (the fact that although Norwegian women have a high level of participation within the workforce, more so than most countries, the Norwegian job market remains highly segregated in terms of gender) has provoked controversy.
For Hjernevask, he was awarded the Fritt Ord Honorary Award in 2010.Une étude menée par Richard Lippa (California State University) sur 200 000 participants sur 53 pays insiste sur la prévalence du sexe sur les choix de carrière par rapport à la culture:
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/m/pubmed/18712468/
On observe bien ici que ce sont dans les pays les plus inégalitaires qu’il y a le plus de filles qui s’investissent dans les secteurs liés à l’ingénieure ou les technologies. L'une des raisons souvent avancées pour expliquer cet apparent paradoxe est que les sociétés libérales dotées d'un certain niveau de sécurité permettent aux individus de tendre vers leurs tendances biologiques naturelles, tandis que dans les pays plus sexistes les domaines à haute rémunération (comme l'ingénierie) constituent souvent l'unique moyen pour les femmes de s’émanciper socialement ce qui n'est plus une nécessité pour les femmes des pays progressistes.
Tu parles à un convaincu khey, encore faudrait-il maintenant que certains et certaines enlèvent leurs oeillères et acceptent juste ces différences étant donné que si on force une parité parfaite au moyen de quotas ou autres, hommes et femmes seront au final aliénés de leurs tendances naturelles et moins heureux que s'ils avaient réellement la liberté de faire ce qu'ils veulent sans injonction à aller dans le sens ou au contraire, comme aujourd'hui, à l'encontre des stéréotypes.
Source pur les différence , le truc de la Norvège est explicable déjà ya des biais dans les données ensuite, dans nos pays les métier hors sciences dure rapporte , et donc les meuf sont plus libre ensuite , les stéréotypes de genre sont toujours la.
Le 27 juillet 2020 à 11:45:14 Patriote2046 a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:31:18 FLEURISlTAS a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:10:02 ___--___-__ a écrit :
Un savant mélange des deux.Ceci
En grosi tu prends l'exemple le plus débattu, les différences h/f, je pense que les différences biologiques existent bel et bien mais sont également exacerbées par la société qui a tendance à mettre dans des cases pour simplifier (ce qui est pas forcément toujours mauvais je pense mais c'est pas la question).
Du coup pour moi l'idée d'une société où il y a une parité parfaite entre hommes et femmes dans tous les domaines est une utopiehttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/02/5/1515784462-bat-dam-s.png Surtout que l'on remarque que ce sont dans les sociétés les plus libérales et progressistes, où l'éducation est la moins genrée / la plus égalitariste, que les disparités professionnelles entre hommes et femmes sont les plus fortes.
En Norvège par exemple 90% des ingénieurs sont des hommes et 90% des infirmiers sont des femmes. Ce constat été aussi établie par le journaliste Harald Eis dans son documentaire « Hjernevask » qui visait à déconstruire des aprioris scientifiquement infondées.
https://en.m.wikipedia.org/wiki/Harald_Eia
Especially the question of gender, and what is referred to as the gender paradox (the fact that although Norwegian women have a high level of participation within the workforce, more so than most countries, the Norwegian job market remains highly segregated in terms of gender) has provoked controversy.
For Hjernevask, he was awarded the Fritt Ord Honorary Award in 2010.Une étude menée par Richard Lippa (California State University) sur 200 000 participants sur 53 pays insiste sur la prévalence du sexe sur les choix de carrière par rapport à la culture:
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/m/pubmed/18712468/
On observe bien ici que ce sont dans les pays les plus inégalitaires qu’il y a le plus de filles qui s’investissent dans les secteurs liés à l’ingénieure ou les technologies. L'une des raisons souvent avancées pour expliquer cet apparent paradoxe est que les sociétés libérales dotées d'un certain niveau de sécurité permettent aux individus de tendre vers leurs tendances biologiques naturelles, tandis que dans les pays plus sexistes les domaines à haute rémunération (comme l'ingénierie) constituent souvent l'unique moyen pour les femmes de s’émanciper socialement ce qui n'est plus une nécessité pour les femmes des pays progressistes.
Par contre en quoi les tendances biologiques naturelles d'une femme la guident nécessairement vers des CSP moins valorisées ? C'est quoi la causalité ?
Le 27 juillet 2020 à 11:34:43 Vaush_Bomb a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:31:19 Patriote2046 a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:26:26 Vaush_Bomb a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:24:53 Patriote2046 a écrit :
Combinaison des 2, dans le cas du QI par exemple les études sur le sujet semblent indiquer une héritabilité génétique de l'ordre de 60-70% contre 30-40% de variations imputables à l'environnement.Oui mais l'ADN aussi change par essence ils veulent dire nature immuable.
Si l'on ne considère pas certaines formes d'ingénierie génétique, le génotype d'un individu ne change pas au cours de sa vie, de sa conception à sa mort (l'épigénétique ne concerne que l'expression des gènes, le matériel génétique lui reste inchangé).
Donc on peut bien parler de part d'essentialisme vis à vis des individus ou de groupe d'individus, les disparités comportementales moyennes innées entre les hommes et les femmes en sont un bon exemple.
Bah c'est faux en plus l'ADN peur changer certes a la marge avec l'influence de l'environnement et sur le long terme Il change.
Donc non c'est un déterminisme pas une essence , surtout qu'il ne définit pas dans son entier un individu'
Désolé mais non, sans ingénierie génétique le matériel génétique commun à l'ensemble des cellules d'un individu reste inchangé, les mutations liés à des erreurs de réplication de l'ADN dans une cellule ne se transmet qu'à ses copies (au nombre limité définit par la limite de Hayflick, ou alors c'est un cancer) et n'a donc de réel impact que si elles surviennent dans les cellules germinales qui donneront un gamète impliqué dans la fécondation.
Le 27 juillet 2020 à 11:13:43 Vaush_Bomb a écrit :
Le 27 juillet 2020 à 11:09:09 Jukhai a écrit :
L'essentialisme suppose l'idée qu'il existe une typologie humaine ou les différents types sont regroupés par attributs déterminants et essentiels (majoritairement biologiques). Ces attributs déterminent l'essence des individus et conditionnent leur existence et leur parcours social.Il induit une sorte de déterminisme naturel ou les comportements, les psychologies et les caractéristiques sociales ont pour cause des déterminants biologiques avérés. Les hommes et les femmes par exemple sont différents par leurs attributs ce qui explique une différence de traitement et un conditionnement genré
Le constructivisme à l'inverse stipule que toutes les différences de traitements sont explicables culturellement, qu'il n'existe pas "d'essence humaine" biologiquement avérée. Les phénomènes sociaux que traversent un individu ne dépendent donc pas de sa nature biologique mais bien de constructions sociales faites par d'autres acteurs sociaux, qui sont par la suite institutionnalisés puis transformés en traditions immuables. Ces traditions jugulent la vie des individus mais ne reposent sur aucune véracité scientifique empirique. Il n'y a donc pas d'essence déterminante
Vous optez pour quelle vision des choses ? et pourquoi ?
Constructivisme, car l'essentalisme se base que sur ds conneries