L'auteur qui se fait défoncer mais continue à demander des exemples.
Le genre à aimer baiser les pieds d'une domina.
Le 16 juillet 2023 à 22:32:36 Zell945 a écrit :
L'auteur qui se fait défoncer mais continue à demander des exemples.Le genre à aimer baiser les pieds d'une domina.
Il n’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre
Le 16 juillet 2023 à 22:25:09 :
Ah, bien sûr, laisse-moi te donner quelques exemples fabuleux d'espèces séparées par des centaines de milliers d'années avec des espèces intermédiaires passionnantes. Tiens-toi prêt pour ces révélations incroyables.L'évolution des chevaux : Voici un vrai chef-d'œuvre de l'évolution. On commence avec Eohippus, une créature mignonne vivant il y a environ 55 à 48 millions d'années. Ensuite, on passe à Equus ferus, les chevaux modernes. Mais attends, il y a plus ! Entre les deux, on a Mesohippus, Merychippus et Pliohippus, qui nous montrent comment les chevaux ont changé graduellement sur une période de plusieurs millions d'années. Fascinant, n'est-ce pas ?
Godinot commence par la série évolutive du cheval, exemple le plus frappant et le plus emblématique. O.C. Marsh trouva, durant les années 1870, des os et des dents dans le Wyoming et le Nebraska, qu’il rassembla en trente séries différentes de chevaux fossilisés. Il clamait que ces séries représentaient l’« évolution » du cheval. Il exposa ces séries à l’Université de Yale, séries qui furent plus tard copiées par une multitude de musées. Marsh publia alors, dans l’American Journal of Science en 1879, un schéma dans le quel il tentait de démontrer le prétendu développement des membres et des dents au cours des différentes étapes de l’« évolution » du cheval. Ce schéma fut alors largement repris par d’autres publications et manuels. Le schéma est resté le même aujourd’hui.
Une analyse minutieuse de ce schéma évolutif révèle les difficultés suivantes pour l’évolution du cheval :
a. Il existe une vingtaine de séries fossiles différentes d’un musée à l’autre.
b. Le nombre de côtes chez les différentes formes intermédiaires ne concorde pas avec la séquence. Hyracotherium (ou encore Eohippus) ; le premier représentant supposé de la lignée possède 18 paires de côtes ; le suivant, Orohippus, en a 15, et en suite Pliohippus en a 19, et le cheval moderne Equus Scotti possède 18 paires. La même chose est vraie pour les vertèbres lombaires. Leur nombre varie de 6 à 8 pour revenir à la fin à 6.
c. Eohippus (le cheval du matin, de l’aurore) est appelé Hy racotherium par les experts du fait de sa ressemblance avec l’hyracoïde ou hyracien moderne. Certains musées rejettent Eohippus parce qu’il est identique au daman qui vit aujourd’hui en Afrique. Un autre cousin vivant qui se trouve en Amérique du Sud est le blaireau[8]. En d’autres termes, le premier «cheval » n’est pas du tout un cheval.
d. Les séries du cheval n’existent que dans les musées. Jamais une sé rie complète de fossiles dans l’ordre évolutif correct n’a été trouvée nulle part dans le monde. Quand les « formes » sont trouvées sur un même continent, la forme à trois doigts et celle à un doigt sont trouvées dans les mêmes strates géologiques, c’est-à-dire qu’elles sont contempo raines.
e. Il n’y a aucune forme transitoire séparant ces créatures. Comme avec tous les autres fossiles, chacune d’elles apparaît soudainement dans le gisement fossile et reste inchangée.
f. Les fossiles qui, selon l’hypothèse évolutionniste, devraient se trouver dans les strates les plus basses (les plus anciennes) sont trouvés couramment dans les strates les plus récentes et même en surface. Ainsi, les fossiles d’Eohippus sont trouvés dans les strates situées le plus près de la surface, en même temps que les fossiles de chevaux modernes.
g. En Amérique la tine, le cheval à un doigt (le plus récent, le moderne) est trou vé sous le cheval à trois doigts (plus âgé), ce qui veut dire que le petit-fils est plus âgé que le grand-père.
h. On trouve les « chevaux » fossilisés en peu partout dans le monde : en Europe, en Amérique du Sud et du Nord, aux Indes… A certains endroits, tous les « chevaux » sont trouvés fossilisés ensemble.
i. On trouve aussi des chevaux à trois doigts encore au jourd’hui.
j. Les séries exposées dans les musées sont basées générale ment sur la taille des animaux, le développement étant supposé se faire du plus pe tit au plus grand. Mais c’est oublier que la taille des chevaux mo dernes est caractérisée par de forts écarts. Le plus grand cheval actuel est le Clydesdale et le plus petit est le Fallabella de 43 centimètres de hauteur. Les deux font partie de la même espèce et aucun des deux n’a évolué à partir de l’autre.
k.L’augmentation de taille d’Eohippus à Equus n’a aucun sens selon l’évolution, car on passe d’un animal mangeur de feuilles à un animal herbivore. Il aurait donc été plus logique d’avoir une évolution dans l’autre sens. Il en est de même pour l’augmentation de la vitesse de course. Il s’avère qu’Eohippus courait aussi vite que qu’Equus : il n’existe donc aucune raison pour que la sélection naturelle fasse évoluer ces animaux de trois doigts à un doigt.
Ces faits ont forcé les experts les plus honnêtes à faire des déclarations iconoclastes. Voici ce qu’en dit G.G. Simpson : « La transformation continuelle et uniforme de Hyracotherium en Equus, si chère au cœur des générations d’écrivains de manuels scolaires, ne s’est jamais produite dans la nature. » La vérité ne saurait être dite de façon plus claire et plus formelle. Et le biologiste Heribert-Nilsson d’affirmer : « L’arbre généalogique du cheval est merveilleux et parfait uniquement dans les manuels scolaires. » L’« évolution » du cheval n’est que le résultat d’interprétations malencontreuses des faits et rien d’autre. Walter Barnhart démontre, dans sa thèse scientifique, que les différents dessins de l’« évolution » du cheval ont été tirés des mêmes données par différents évolutionnistes.''
Face à ces jugements avisés, l’assertion de Godinot fait sourire : « Les formes ancestrales de ces groupes sont très proches les unes des autres, et il faut être spécialiste averti pour savoir les placer au bon endroit. » « Etre spécialiste averti » serait-il un bel euphémisme pour parler d’un subjectivisme nécessaire pour forcer les faits dans le sens de l’imagination ?
Merci à toi tu peux disposer
Le 16 juillet 2023 à 21:56:12 :
Donnez moi des exemples de deux espèces retrouvés séparés par des centaines de milliers d’années et des espèces intermediaires qui mènent de l’espece A à l’espece B
Des milliers des planté et d'animaux
Le 16 juillet 2023 à 22:34:49 :
Le 16 juillet 2023 à 22:25:09 :
Ah, bien sûr, laisse-moi te donner quelques exemples fabuleux d'espèces séparées par des centaines de milliers d'années avec des espèces intermédiaires passionnantes. Tiens-toi prêt pour ces révélations incroyables.L'évolution des chevaux : Voici un vrai chef-d'œuvre de l'évolution. On commence avec Eohippus, une créature mignonne vivant il y a environ 55 à 48 millions d'années. Ensuite, on passe à Equus ferus, les chevaux modernes. Mais attends, il y a plus ! Entre les deux, on a Mesohippus, Merychippus et Pliohippus, qui nous montrent comment les chevaux ont changé graduellement sur une période de plusieurs millions d'années. Fascinant, n'est-ce pas ?
Godinot commence par la série évolutive du cheval, exemple le plus frappant et le plus emblématique. O.C. Marsh trouva, durant les années 1870, des os et des dents dans le Wyoming et le Nebraska, qu’il rassembla en trente séries différentes de chevaux fossilisés. Il clamait que ces séries représentaient l’« évolution » du cheval. Il exposa ces séries à l’Université de Yale, séries qui furent plus tard copiées par une multitude de musées. Marsh publia alors, dans l’American Journal of Science en 1879, un schéma dans le quel il tentait de démontrer le prétendu développement des membres et des dents au cours des différentes étapes de l’« évolution » du cheval. Ce schéma fut alors largement repris par d’autres publications et manuels. Le schéma est resté le même aujourd’hui.
Une analyse minutieuse de ce schéma évolutif révèle les difficultés suivantes pour l’évolution du cheval :
a. Il existe une vingtaine de séries fossiles différentes d’un musée à l’autre.
b. Le nombre de côtes chez les différentes formes intermédiaires ne concorde pas avec la séquence. Hyracotherium (ou encore Eohippus) ; le premier représentant supposé de la lignée possède 18 paires de côtes ; le suivant, Orohippus, en a 15, et en suite Pliohippus en a 19, et le cheval moderne Equus Scotti possède 18 paires. La même chose est vraie pour les vertèbres lombaires. Leur nombre varie de 6 à 8 pour revenir à la fin à 6.c. Eohippus (le cheval du matin, de l’aurore) est appelé Hy racotherium par les experts du fait de sa ressemblance avec l’hyracoïde ou hyracien moderne. Certains musées rejettent Eohippus parce qu’il est identique au daman qui vit aujourd’hui en Afrique. Un autre cousin vivant qui se trouve en Amérique du Sud est le blaireau[8]. En d’autres termes, le premier «cheval » n’est pas du tout un cheval.
d. Les séries du cheval n’existent que dans les musées. Jamais une sé rie complète de fossiles dans l’ordre évolutif correct n’a été trouvée nulle part dans le monde. Quand les « formes » sont trouvées sur un même continent, la forme à trois doigts et celle à un doigt sont trouvées dans les mêmes strates géologiques, c’est-à-dire qu’elles sont contempo raines.
e. Il n’y a aucune forme transitoire séparant ces créatures. Comme avec tous les autres fossiles, chacune d’elles apparaît soudainement dans le gisement fossile et reste inchangée.
f. Les fossiles qui, selon l’hypothèse évolutionniste, devraient se trouver dans les strates les plus basses (les plus anciennes) sont trouvés couramment dans les strates les plus récentes et même en surface. Ainsi, les fossiles d’Eohippus sont trouvés dans les strates situées le plus près de la surface, en même temps que les fossiles de chevaux modernes.
g. En Amérique la tine, le cheval à un doigt (le plus récent, le moderne) est trou vé sous le cheval à trois doigts (plus âgé), ce qui veut dire que le petit-fils est plus âgé que le grand-père.h. On trouve les « chevaux » fossilisés en peu partout dans le monde : en Europe, en Amérique du Sud et du Nord, aux Indes… A certains endroits, tous les « chevaux » sont trouvés fossilisés ensemble.
i. On trouve aussi des chevaux à trois doigts encore au jourd’hui.
j. Les séries exposées dans les musées sont basées générale ment sur la taille des animaux, le développement étant supposé se faire du plus pe tit au plus grand. Mais c’est oublier que la taille des chevaux mo dernes est caractérisée par de forts écarts. Le plus grand cheval actuel est le Clydesdale et le plus petit est le Fallabella de 43 centimètres de hauteur. Les deux font partie de la même espèce et aucun des deux n’a évolué à partir de l’autre.
k.L’augmentation de taille d’Eohippus à Equus n’a aucun sens selon l’évolution, car on passe d’un animal mangeur de feuilles à un animal herbivore. Il aurait donc été plus logique d’avoir une évolution dans l’autre sens. Il en est de même pour l’augmentation de la vitesse de course. Il s’avère qu’Eohippus courait aussi vite que qu’Equus : il n’existe donc aucune raison pour que la sélection naturelle fasse évoluer ces animaux de trois doigts à un doigt.
Ces faits ont forcé les experts les plus honnêtes à faire des déclarations iconoclastes. Voici ce qu’en dit G.G. Simpson : « La transformation continuelle et uniforme de Hyracotherium en Equus, si chère au cœur des générations d’écrivains de manuels scolaires, ne s’est jamais produite dans la nature. » La vérité ne saurait être dite de façon plus claire et plus formelle. Et le biologiste Heribert-Nilsson d’affirmer : « L’arbre généalogique du cheval est merveilleux et parfait uniquement dans les manuels scolaires. » L’« évolution » du cheval n’est que le résultat d’interprétations malencontreuses des faits et rien d’autre. Walter Barnhart démontre, dans sa thèse scientifique, que les différents dessins de l’« évolution » du cheval ont été tirés des mêmes données par différents évolutionnistes.''
Face à ces jugements avisés, l’assertion de Godinot fait sourire : « Les formes ancestrales de ces groupes sont très proches les unes des autres, et il faut être spécialiste averti pour savoir les placer au bon endroit. » « Etre spécialiste averti » serait-il un bel euphémisme pour parler d’un subjectivisme nécessaire pour forcer les faits dans le sens de l’imagination ?
Merci à toi tu peux disposer
https://image.noelshack.com/fichiers/2023/01/4/1672945276-paixsurvous.png
Merci khey pour ces belles pls
Le 16 juillet 2023 à 22:34:49 :
Le 16 juillet 2023 à 22:25:09 :
Ah, bien sûr, laisse-moi te donner quelques exemples fabuleux d'espèces séparées par des centaines de milliers d'années avec des espèces intermédiaires passionnantes. Tiens-toi prêt pour ces révélations incroyables.L'évolution des chevaux : Voici un vrai chef-d'œuvre de l'évolution. On commence avec Eohippus, une créature mignonne vivant il y a environ 55 à 48 millions d'années. Ensuite, on passe à Equus ferus, les chevaux modernes. Mais attends, il y a plus ! Entre les deux, on a Mesohippus, Merychippus et Pliohippus, qui nous montrent comment les chevaux ont changé graduellement sur une période de plusieurs millions d'années. Fascinant, n'est-ce pas ?
Godinot commence par la série évolutive du cheval, exemple le plus frappant et le plus emblématique. O.C. Marsh trouva, durant les années 1870, des os et des dents dans le Wyoming et le Nebraska, qu’il rassembla en trente séries différentes de chevaux fossilisés. Il clamait que ces séries représentaient l’« évolution » du cheval. Il exposa ces séries à l’Université de Yale, séries qui furent plus tard copiées par une multitude de musées. Marsh publia alors, dans l’American Journal of Science en 1879, un schéma dans le quel il tentait de démontrer le prétendu développement des membres et des dents au cours des différentes étapes de l’« évolution » du cheval. Ce schéma fut alors largement repris par d’autres publications et manuels. Le schéma est resté le même aujourd’hui.
Une analyse minutieuse de ce schéma évolutif révèle les difficultés suivantes pour l’évolution du cheval :
a. Il existe une vingtaine de séries fossiles différentes d’un musée à l’autre.
b. Le nombre de côtes chez les différentes formes intermédiaires ne concorde pas avec la séquence. Hyracotherium (ou encore Eohippus) ; le premier représentant supposé de la lignée possède 18 paires de côtes ; le suivant, Orohippus, en a 15, et en suite Pliohippus en a 19, et le cheval moderne Equus Scotti possède 18 paires. La même chose est vraie pour les vertèbres lombaires. Leur nombre varie de 6 à 8 pour revenir à la fin à 6.c. Eohippus (le cheval du matin, de l’aurore) est appelé Hy racotherium par les experts du fait de sa ressemblance avec l’hyracoïde ou hyracien moderne. Certains musées rejettent Eohippus parce qu’il est identique au daman qui vit aujourd’hui en Afrique. Un autre cousin vivant qui se trouve en Amérique du Sud est le blaireau[8]. En d’autres termes, le premier «cheval » n’est pas du tout un cheval.
d. Les séries du cheval n’existent que dans les musées. Jamais une sé rie complète de fossiles dans l’ordre évolutif correct n’a été trouvée nulle part dans le monde. Quand les « formes » sont trouvées sur un même continent, la forme à trois doigts et celle à un doigt sont trouvées dans les mêmes strates géologiques, c’est-à-dire qu’elles sont contempo raines.
e. Il n’y a aucune forme transitoire séparant ces créatures. Comme avec tous les autres fossiles, chacune d’elles apparaît soudainement dans le gisement fossile et reste inchangée.
f. Les fossiles qui, selon l’hypothèse évolutionniste, devraient se trouver dans les strates les plus basses (les plus anciennes) sont trouvés couramment dans les strates les plus récentes et même en surface. Ainsi, les fossiles d’Eohippus sont trouvés dans les strates situées le plus près de la surface, en même temps que les fossiles de chevaux modernes.
g. En Amérique la tine, le cheval à un doigt (le plus récent, le moderne) est trou vé sous le cheval à trois doigts (plus âgé), ce qui veut dire que le petit-fils est plus âgé que le grand-père.h. On trouve les « chevaux » fossilisés en peu partout dans le monde : en Europe, en Amérique du Sud et du Nord, aux Indes… A certains endroits, tous les « chevaux » sont trouvés fossilisés ensemble.
i. On trouve aussi des chevaux à trois doigts encore au jourd’hui.
j. Les séries exposées dans les musées sont basées générale ment sur la taille des animaux, le développement étant supposé se faire du plus pe tit au plus grand. Mais c’est oublier que la taille des chevaux mo dernes est caractérisée par de forts écarts. Le plus grand cheval actuel est le Clydesdale et le plus petit est le Fallabella de 43 centimètres de hauteur. Les deux font partie de la même espèce et aucun des deux n’a évolué à partir de l’autre.
k.L’augmentation de taille d’Eohippus à Equus n’a aucun sens selon l’évolution, car on passe d’un animal mangeur de feuilles à un animal herbivore. Il aurait donc été plus logique d’avoir une évolution dans l’autre sens. Il en est de même pour l’augmentation de la vitesse de course. Il s’avère qu’Eohippus courait aussi vite que qu’Equus : il n’existe donc aucune raison pour que la sélection naturelle fasse évoluer ces animaux de trois doigts à un doigt.
Ces faits ont forcé les experts les plus honnêtes à faire des déclarations iconoclastes. Voici ce qu’en dit G.G. Simpson : « La transformation continuelle et uniforme de Hyracotherium en Equus, si chère au cœur des générations d’écrivains de manuels scolaires, ne s’est jamais produite dans la nature. » La vérité ne saurait être dite de façon plus claire et plus formelle. Et le biologiste Heribert-Nilsson d’affirmer : « L’arbre généalogique du cheval est merveilleux et parfait uniquement dans les manuels scolaires. » L’« évolution » du cheval n’est que le résultat d’interprétations malencontreuses des faits et rien d’autre. Walter Barnhart démontre, dans sa thèse scientifique, que les différents dessins de l’« évolution » du cheval ont été tirés des mêmes données par différents évolutionnistes.''
Face à ces jugements avisés, l’assertion de Godinot fait sourire : « Les formes ancestrales de ces groupes sont très proches les unes des autres, et il faut être spécialiste averti pour savoir les placer au bon endroit. » « Etre spécialiste averti » serait-il un bel euphémisme pour parler d’un subjectivisme nécessaire pour forcer les faits dans le sens de l’imagination ?
Merci à toi tu peux disposer
https://image.noelshack.com/fichiers/2023/01/4/1672945276-paixsurvous.png
Le grand axiome de l’évolution biologique darwinienne consiste en des mutations génétiques qui modifient très peu le génome[23] en ajoutant une information utile à l’individu, suivies de sélection[24] qui élimine les individus moins bien adaptés à leur environnement et optimise un trait particulier pour répondre au changement de l’environnement[25]. Il transparaît clairement que Touzet et Godinot embrassent tous deux cette vision et assimilent la théorie de l’évolution à la seule explication néodarwinienne. Touzet le résume ainsi : « Les deux forces ou agents de l’évolution sont donc le hasard combiné au temps. »
Pour détruire la théorie de l'évolution, le gars cite... un évolutionniste.
Tu reprendras bien une part d'argile ?
Le 16 juillet 2023 à 22:34:49 :
Le 16 juillet 2023 à 22:25:09 :
Ah, bien sûr, laisse-moi te donner quelques exemples fabuleux d'espèces séparées par des centaines de milliers d'années avec des espèces intermédiaires passionnantes. Tiens-toi prêt pour ces révélations incroyables.L'évolution des chevaux : Voici un vrai chef-d'œuvre de l'évolution. On commence avec Eohippus, une créature mignonne vivant il y a environ 55 à 48 millions d'années. Ensuite, on passe à Equus ferus, les chevaux modernes. Mais attends, il y a plus ! Entre les deux, on a Mesohippus, Merychippus et Pliohippus, qui nous montrent comment les chevaux ont changé graduellement sur une période de plusieurs millions d'années. Fascinant, n'est-ce pas ?
Godinot commence par la série évolutive du cheval, exemple le plus frappant et le plus emblématique. O.C. Marsh trouva, durant les années 1870, des os et des dents dans le Wyoming et le Nebraska, qu’il rassembla en trente séries différentes de chevaux fossilisés. Il clamait que ces séries représentaient l’« évolution » du cheval. Il exposa ces séries à l’Université de Yale, séries qui furent plus tard copiées par une multitude de musées. Marsh publia alors, dans l’American Journal of Science en 1879, un schéma dans le quel il tentait de démontrer le prétendu développement des membres et des dents au cours des différentes étapes de l’« évolution » du cheval. Ce schéma fut alors largement repris par d’autres publications et manuels. Le schéma est resté le même aujourd’hui.
Une analyse minutieuse de ce schéma évolutif révèle les difficultés suivantes pour l’évolution du cheval :
a. Il existe une vingtaine de séries fossiles différentes d’un musée à l’autre.
b. Le nombre de côtes chez les différentes formes intermédiaires ne concorde pas avec la séquence. Hyracotherium (ou encore Eohippus) ; le premier représentant supposé de la lignée possède 18 paires de côtes ; le suivant, Orohippus, en a 15, et en suite Pliohippus en a 19, et le cheval moderne Equus Scotti possède 18 paires. La même chose est vraie pour les vertèbres lombaires. Leur nombre varie de 6 à 8 pour revenir à la fin à 6.c. Eohippus (le cheval du matin, de l’aurore) est appelé Hy racotherium par les experts du fait de sa ressemblance avec l’hyracoïde ou hyracien moderne. Certains musées rejettent Eohippus parce qu’il est identique au daman qui vit aujourd’hui en Afrique. Un autre cousin vivant qui se trouve en Amérique du Sud est le blaireau[8]. En d’autres termes, le premier «cheval » n’est pas du tout un cheval.
d. Les séries du cheval n’existent que dans les musées. Jamais une sé rie complète de fossiles dans l’ordre évolutif correct n’a été trouvée nulle part dans le monde. Quand les « formes » sont trouvées sur un même continent, la forme à trois doigts et celle à un doigt sont trouvées dans les mêmes strates géologiques, c’est-à-dire qu’elles sont contempo raines.
e. Il n’y a aucune forme transitoire séparant ces créatures. Comme avec tous les autres fossiles, chacune d’elles apparaît soudainement dans le gisement fossile et reste inchangée.
f. Les fossiles qui, selon l’hypothèse évolutionniste, devraient se trouver dans les strates les plus basses (les plus anciennes) sont trouvés couramment dans les strates les plus récentes et même en surface. Ainsi, les fossiles d’Eohippus sont trouvés dans les strates situées le plus près de la surface, en même temps que les fossiles de chevaux modernes.
g. En Amérique la tine, le cheval à un doigt (le plus récent, le moderne) est trou vé sous le cheval à trois doigts (plus âgé), ce qui veut dire que le petit-fils est plus âgé que le grand-père.h. On trouve les « chevaux » fossilisés en peu partout dans le monde : en Europe, en Amérique du Sud et du Nord, aux Indes… A certains endroits, tous les « chevaux » sont trouvés fossilisés ensemble.
i. On trouve aussi des chevaux à trois doigts encore au jourd’hui.
j. Les séries exposées dans les musées sont basées générale ment sur la taille des animaux, le développement étant supposé se faire du plus pe tit au plus grand. Mais c’est oublier que la taille des chevaux mo dernes est caractérisée par de forts écarts. Le plus grand cheval actuel est le Clydesdale et le plus petit est le Fallabella de 43 centimètres de hauteur. Les deux font partie de la même espèce et aucun des deux n’a évolué à partir de l’autre.
k.L’augmentation de taille d’Eohippus à Equus n’a aucun sens selon l’évolution, car on passe d’un animal mangeur de feuilles à un animal herbivore. Il aurait donc été plus logique d’avoir une évolution dans l’autre sens. Il en est de même pour l’augmentation de la vitesse de course. Il s’avère qu’Eohippus courait aussi vite que qu’Equus : il n’existe donc aucune raison pour que la sélection naturelle fasse évoluer ces animaux de trois doigts à un doigt.
Ces faits ont forcé les experts les plus honnêtes à faire des déclarations iconoclastes. Voici ce qu’en dit G.G. Simpson : « La transformation continuelle et uniforme de Hyracotherium en Equus, si chère au cœur des générations d’écrivains de manuels scolaires, ne s’est jamais produite dans la nature. » La vérité ne saurait être dite de façon plus claire et plus formelle. Et le biologiste Heribert-Nilsson d’affirmer : « L’arbre généalogique du cheval est merveilleux et parfait uniquement dans les manuels scolaires. » L’« évolution » du cheval n’est que le résultat d’interprétations malencontreuses des faits et rien d’autre. Walter Barnhart démontre, dans sa thèse scientifique, que les différents dessins de l’« évolution » du cheval ont été tirés des mêmes données par différents évolutionnistes.''
Face à ces jugements avisés, l’assertion de Godinot fait sourire : « Les formes ancestrales de ces groupes sont très proches les unes des autres, et il faut être spécialiste averti pour savoir les placer au bon endroit. » « Etre spécialiste averti » serait-il un bel euphémisme pour parler d’un subjectivisme nécessaire pour forcer les faits dans le sens de l’imagination ?
Merci à toi tu peux disposer
https://image.noelshack.com/fichiers/2023/01/4/1672945276-paixsurvous.png
As-tu lu ton copier-coller, au moins ?
Bordel l'autre imbécile utile qui nous sort ses pavés qui commencent tous par un homme de paille éhonté
Et ça marche auprès des low
Le 16 juillet 2023 à 22:07:25 :
Le 16 juillet 2023 à 22:05:23 :
Le 16 juillet 2023 à 22:04:56 :
Le 16 juillet 2023 à 22:04:22 :
Australopithèque > Homo Habilis > Homo SapiensOk et les étapes intermediaires ?
C'est entre "Australopithèque" et "Homo Sapiens"
Et entre australopitheque et homo habilis ? Entre homo habilis et homo sapiens ? Et encore entre celle là ?
L'op sur le point de découvrir la notion de continuum
Je l'ai bien lu. Et même compris. Je pensais que tu avais un niveau minimum. Apparemment lire une dizaine de lignes est hors de portée.
Je te mets juste la fin, ça sera plus simple pour toi :
Il transparaît clairement que Touzet et Godinot embrassent tous deux cette vision et assimilent la théorie de l’évolution à la seule explication néodarwinienne. Touzet le résume ainsi : « Les deux forces ou agents de l’évolution sont donc le hasard combiné au temps. »
Donc, ton Godinot sur lequel tu semble te palucher dans vergogne, est un évolutionniste.
La pillule est rouge.
&ab_channel=EpicTeachingofHistory
Le 16 juillet 2023 à 22:49:25 :
Je l'ai bien lu. Et même compris. Je pensais que tu avais un niveau minimum. Apparemment lire une dizaine de lignes est hors de portée.Je te mets juste la fin, ça sera plus simple pour toi :
Il transparaît clairement que Touzet et Godinot embrassent tous deux cette vision et assimilent la théorie de l’évolution à la seule explication néodarwinienne. Touzet le résume ainsi : « Les deux forces ou agents de l’évolution sont donc le hasard combiné au temps. »Donc, ton Godinot sur lequel tu semble te palucher dans vergogne, est un évolutionniste.
La pillule est rouge.
Le pauvre, il ne sait même plus à qui il s'adresse.
l op est un idiot qui veut pas comprendre, mais bon on le comprends si théorie de l'évolution vraie = ses croyances fausses = direction le néant à sa mort = santé mentale déjà perturbée au fond du gouffre= risque pour sa vie
Donc son cerveau maintien pour sa propre survie : théorie de l évolution fausse
Source de cet argument sorti de ton cul alors que c'est la seule chose que ton pavé que t'as pas lu entreprend de combattre ?
1879, un schéma dans le quel il tentait de démontrer le prétendu développement des membres et des dents au cours des différentes étapes de l’« évolution » du cheval. Ce schéma fut alors largement repris par d’autres publications et manuels. Le schéma est resté le même aujourd’hui.
Un exemple classique d'une telle transition est celui qui mène des poissons aux premiers tétrapodes, ou animaux à quatre membres.
Espèce A: Eusthenopteron, un poisson du Dévonien tardif (il y a environ 385 millions d'années) qui avait déjà des caractéristiques des tétrapodes, comme un squelette interne robuste et des nageoires qui pourraient avoir été utilisées pour se déplacer dans des environnements peu profonds.
Espèces intermédiaires :
1. Panderichthys, qui vivait il y a environ 380 millions d'années, avait des caractéristiques plus proches de celles des tétrapodes, notamment des nageoires plus adaptées à la locomotion sur le sol.
2. Tiktaalik, datant d'environ 375 millions d'années, représente une autre étape intermédiaire entre les poissons et les tétrapodes. Il possédait des nageoires avec des rayons osseux et des articulations qui lui permettaient de se soutenir dans des eaux peu profondes ou sur terre.
Espèce B: Acanthostega, un des premiers tétrapodes connus, datant d'environ 365 millions d'années. Acanthostega avait des pattes avec des doigts et des poumons, mais conservait aussi plusieurs caractéristiques de poissons, comme des branchies internes.
Le 16 juillet 2023 à 22:54:56 :
Source de cet argument sorti de ton cul alors que c'est la seule chose que ton pavé que t'as pas lu entreprend de combattre ?1879, un schéma dans le quel il tentait de démontrer le prétendu développement des membres et des dents au cours des différentes étapes de l’« évolution » du cheval. Ce schéma fut alors largement repris par d’autres publications et manuels. Le schéma est resté le même aujourd’hui.
Les sources sont plus que solides, il te dit !
Le 16 juillet 2023 à 22:57:15 :
Le 16 juillet 2023 à 22:49:25 :
Je l'ai bien lu. Et même compris. Je pensais que tu avais un niveau minimum. Apparemment lire une dizaine de lignes est hors de portée.Je te mets juste la fin, ça sera plus simple pour toi :
Il transparaît clairement que Touzet et Godinot embrassent tous deux cette vision et assimilent la théorie de l’évolution à la seule explication néodarwinienne. Touzet le résume ainsi : « Les deux forces ou agents de l’évolution sont donc le hasard combiné au temps. »Donc, ton Godinot sur lequel tu semble te palucher dans vergogne, est un évolutionniste.
La pillule est rouge.
Prendre les paroles d'un évolutionnistes pour les réfuter, ou est le problème, calme toi trisotin
https://image.noelshack.com/fichiers/2023/01/4/1672945276-paixsurvous.png Tu laisses ton émotion prendre le dessus, t'inquiète pas ça va bien se passer, tout ce qu'on t'a appris est un ramassis de mensonges
https://image.noelshack.com/fichiers/2022/41/5/1665709078-zidane-ent.png
Bah c'est justement ça qui démontrer que tu n'as pas lu : Ca ne réfute rien. Ca dit juste "Peut-être que c'est faux".
Le 16 juillet 2023 à 22:57:15 :
Le 16 juillet 2023 à 22:49:25 :
Je l'ai bien lu. Et même compris. Je pensais que tu avais un niveau minimum. Apparemment lire une dizaine de lignes est hors de portée.Je te mets juste la fin, ça sera plus simple pour toi :
Il transparaît clairement que Touzet et Godinot embrassent tous deux cette vision et assimilent la théorie de l’évolution à la seule explication néodarwinienne. Touzet le résume ainsi : « Les deux forces ou agents de l’évolution sont donc le hasard combiné au temps. »Donc, ton Godinot sur lequel tu semble te palucher dans vergogne, est un évolutionniste.
La pillule est rouge.
Prendre les paroles d'un évolutionnistes pour les réfuter, ou est le problème, calme toi trisotin
https://image.noelshack.com/fichiers/2023/01/4/1672945276-paixsurvous.png Tu laisses ton émotion prendre le dessus, t'inquiète pas ça va bien se passer, tout ce qu'on t'a appris est un ramassis de mensonges
https://image.noelshack.com/fichiers/2022/41/5/1665709078-zidane-ent.png
Ca n'a rien réfuté du tout, simplement mis en valeur certaines failles dans l'enseignement et la représentation de la théorie de l'évolution aujourd'hui
Le 16 juillet 2023 à 22:54:56 :
Source de cet argument sorti de ton cul alors que c'est la seule chose que ton pavé que t'as pas lu entreprend de combattre ?1879, un schéma dans le quel il tentait de démontrer le prétendu développement des membres et des dents au cours des différentes étapes de l’« évolution » du cheval. Ce schéma fut alors largement repris par d’autres publications et manuels. Le schéma est resté le même aujourd’hui.
https://archive.org/details/jstor-2447952/page/n1/mode/2up