Messages de LapinCOHNBENDIT

Le 16 juillet 2023 à 22:25:09 :
Ah, bien sûr, laisse-moi te donner quelques exemples fabuleux d'espèces séparées par des centaines de milliers d'années avec des espèces intermédiaires passionnantes. Tiens-toi prêt pour ces révélations incroyables.

L'évolution des chevaux : Voici un vrai chef-d'œuvre de l'évolution. On commence avec Eohippus, une créature mignonne vivant il y a environ 55 à 48 millions d'années. Ensuite, on passe à Equus ferus, les chevaux modernes. Mais attends, il y a plus ! Entre les deux, on a Mesohippus, Merychippus et Pliohippus, qui nous montrent comment les chevaux ont changé graduellement sur une période de plusieurs millions d'années. Fascinant, n'est-ce pas ?

Godinot commence par la série évolutive du cheval, exemple le plus frappant et le plus emblématique. O.C. Marsh trouva, durant les années 1870, des os et des dents dans le Wyoming et le Nebraska, qu’il rassembla en trente séries différentes de chevaux fossilisés. Il clamait que ces séries représentaient l’« évolution » du cheval. Il exposa ces séries à l’Université de Yale, séries qui furent plus tard copiées par une multitude de musées. Marsh publia alors, dans l’American Journal of Science en 1879, un schéma dans le quel il tentait de démontrer le prétendu développement des membres et des dents au cours des différentes étapes de l’« évolution » du cheval. Ce schéma fut alors largement repris par d’autres publications et manuels. Le schéma est resté le même aujourd’hui.

Une analyse minutieuse de ce schéma évolutif révèle les difficultés suivantes pour l’évolution du cheval :

a. Il existe une vingtaine de séries fossiles différentes d’un musée à l’autre.

b. Le nombre de côtes chez les différentes formes intermédiaires ne concorde pas avec la séquence. Hyracotherium (ou encore Eohippus) ; le premier représentant supposé de la lignée possède 18 paires de côtes ; le suivant, Orohippus, en a 15, et en suite Pliohippus en a 19, et le cheval moderne Equus Scotti possède 18 paires. La même chose est vraie pour les vertèbres lombaires. Leur nombre varie de 6 à 8 pour revenir à la fin à 6.

c. Eohippus (le cheval du matin, de l’aurore) est appelé Hy racotherium par les experts du fait de sa ressemblance avec l’hyracoïde ou hyracien moderne. Certains musées rejettent Eohippus parce qu’il est identique au daman qui vit aujourd’hui en Afrique. Un autre cousin vivant qui se trouve en Amérique du Sud est le blaireau[8]. En d’autres termes, le premier «cheval » n’est pas du tout un cheval.

d. Les séries du cheval n’existent que dans les musées. Jamais une sé rie complète de fossiles dans l’ordre évolutif correct n’a été trouvée nulle part dans le monde. Quand les « formes » sont trouvées sur un même continent, la forme à trois doigts et celle à un doigt sont trouvées dans les mêmes strates géologiques, c’est-à-dire qu’elles sont contempo raines.

e. Il n’y a aucune forme transitoire séparant ces créatures. Comme avec tous les autres fossiles, chacune d’elles apparaît soudainement dans le gisement fossile et reste inchangée.

f. Les fossiles qui, selon l’hypothèse évolutionniste, devraient se trouver dans les strates les plus basses (les plus anciennes) sont trouvés couramment dans les strates les plus récentes et même en surface. Ainsi, les fossiles d’Eohippus sont trouvés dans les strates situées le plus près de la surface, en même temps que les fossiles de chevaux modernes.

g. En Amérique la tine, le cheval à un doigt (le plus récent, le moderne) est trou vé sous le cheval à trois doigts (plus âgé), ce qui veut dire que le petit-fils est plus âgé que le grand-père.

h. On trouve les « chevaux » fossilisés en peu partout dans le monde : en Europe, en Amérique du Sud et du Nord, aux Indes… A certains endroits, tous les « chevaux » sont trouvés fossilisés ensemble.

i. On trouve aussi des chevaux à trois doigts encore au jourd’hui.

j. Les séries exposées dans les musées sont basées générale ment sur la taille des animaux, le développement étant supposé se faire du plus pe tit au plus grand. Mais c’est oublier que la taille des chevaux mo dernes est caractérisée par de forts écarts. Le plus grand cheval actuel est le Clydesdale et le plus petit est le Fallabella de 43 centimètres de hauteur. Les deux font partie de la même espèce et aucun des deux n’a évolué à partir de l’autre.

k.L’augmentation de taille d’Eohippus à Equus n’a aucun sens selon l’évolution, car on passe d’un animal mangeur de feuilles à un animal herbivore. Il aurait donc été plus logique d’avoir une évolution dans l’autre sens. Il en est de même pour l’augmentation de la vitesse de course. Il s’avère qu’Eohippus courait aussi vite que qu’Equus : il n’existe donc aucune raison pour que la sélection naturelle fasse évoluer ces animaux de trois doigts à un doigt.

Ces faits ont forcé les experts les plus honnêtes à faire des déclarations iconoclastes. Voici ce qu’en dit G.G. Simpson : « La transformation continuelle et uniforme de Hyracotherium en Equus, si chère au cœur des générations d’écrivains de manuels scolaires, ne s’est jamais produite dans la nature. » La vérité ne saurait être dite de façon plus claire et plus formelle. Et le biologiste Heribert-Nilsson d’affirmer : « L’arbre généalogique du cheval est merveilleux et parfait uniquement dans les manuels scolaires. » L’« évolution » du cheval n’est que le résultat d’interprétations malencontreuses des faits et rien d’autre. Walter Barnhart démontre, dans sa thèse scientifique, que les différents dessins de l’« évolution » du cheval ont été tirés des mêmes données par différents évolutionnistes.''

Face à ces jugements avisés, l’assertion de Godinot fait sourire : « Les formes ancestrales de ces groupes sont très proches les unes des autres, et il faut être spécialiste averti pour savoir les placer au bon endroit. » « Etre spécialiste averti » serait-il un bel euphémisme pour parler d’un subjectivisme nécessaire pour forcer les faits dans le sens de l’imagination ?

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