Le 07 août 2021 à 16:43:21 :
Le 07 août 2021 à 16:34:35 :
Le 07 août 2021 à 16:31:24 :
Le 07 août 2021 à 16:28:21 :
Le 07 août 2021 à 15:54:22 :
Le 07 août 2021 à 15:51:31 :
Le 07 août 2021 à 15:47:59 :
Le 07 août 2021 à 15:45:03 :
Le passe sanitaire est une atteinte à nos notre libertéEt donc ? Toute loi est une atteinte à ta liberté, si la liberté c'est de n'en faire qu'à ta tête. Où veux-tu en venir ?
La liberté c'est justement d'en faire qu'à ma tête ou tu veux en venir justement?
Dans ce cas tu es hostile à toutes les lois ? Le fait qu'on t'empêche de commettre un homicide, c'est une atteinte à ta liberté si la liberté c'est de n'en faire qu'à ta tête.
Tu compares un homicide à un refu de prise de vaccin? T'es capable de nuancer dans tes comparaisons boiteuses ou non?
Absolument pas. Je répondais à un commentaire qui disait que la liberté "c'est de faire tout ce qu'on veut". Logiquement, si la liberté, c'était de faire tout ce qu'on veut, on devrait défendre la liberté de tuer (ce qui n'est pas mon cas, et je l'espère, pas celui de mon interlocuteur).
Je trouve que tu mélange tout. Comme si tous ceux qui sont contre le vaccin sont des assassins et des anarchistes
Pas du tout, je ne pense en aucun cas que les antipass sont des assassins. Je raisonnais par l'absurde : si on défends que la liberté, c'est de faire tout ce qu'on veut, alors on en arrive à défendre l'indéfendable. Pour moi, la liberté prise en ce sens doit être encadrée, limitée, pour vivre en société.
Pas des anarchistes, mais des libertariens, souvent.
Ça commence petit à petit tu sais, c'est comme la sensure, ça vient petit coup par petit coup, pourtant on sait que la sensure est le meilleure ami des tyrans, et pourtant...
Cette loi ne fait aucun sens, je suis un citoyen de seconde zone car je refuse d'avoir une substance Dans mon coprs? C'était pas mon corps mon choix qu'on nous cassait les oreilles depuis des années?
Et bah dis donc le discours à changé
Le 07 août 2021 à 16:41:52 :
Le 07 août 2021 à 16:22:15 :
N'importe quelle dictature s'appuie sur ses institutions vérolées.
Non, dans une dictature, on n'aurait pas l'équivalent des arrêts rendus par le Conseil d'État depuis le début de la pandémie, que j'imagine, tu n'as pas pris le temps de lire. Ils ont été régulièrement à l'encontre d'un certain nombre de mesures. C'est aussi le cas de la décision du Conseil constitutionnel, qui a censuré une partie de la loi (tout ce qui touche aux mesures d'isolement), même si certains la trouvent trop frileuse concernant le pass sanitaire.
Des retouches secondaires dont j'ai connaissance (en tout cas pour certaines) et qui ne freinent en rien la marche de la société globale puisque la ségrégation est désormais entérinée, le débat médiatique déjà plié, la liberté de circuler abolie au motif officieux de délit d'opinion, le secret médical piétiné et le libre arbitre largement diminué (parce que quand on met en perspective le "choix" d'être mis au ban de la société et de perdre son emploi pour refus de s'inoculer un vaccin expérimental, peu efficace sur les variants et le tout pour une maladie qui ne concerne qu'une proportion fragile de la population, c'est une drôle de conception du choix, et surtout très malsaine).
Ensuite, une dictature se décline sous des formes infinies, pas nécessairement sous forme monarchique. Dans une structure oligarchique, ce n'est pas problématique d'avoir des micro-résistances à certains échelons. Au contraire même, ça vous maintient dans l'illusion d'avoir un système politique fonctionnel.
Je te remercie d'avoir un peu plus argumenté que la moyenne des intervenants précédents. Il me semble néanmoins que tu mélanges beaucoup de choses. Il y a effectivement un effet de consensus médiatique autour du vaccin dont j'imagine qu'il peut être pénible pour ceux qui se considèrent comme étant en résistance (tu parles de "délit d'opinion", c'est excessif, mais je vois l'idée). Que le "libre-arbitre" (tu entends par là "le fait d'agir selon sa volonté", j'imagine) soit restreint, c'est certain, tout le monde en convient. La question que se posent les institutions de contrôle évoquées plus haut, c'est : est-ce que c'est la mesure poursuit un but légitime ? Est-ce qu'on aurait pu atteindre ce but de façon moins contraignante pour les libertés ? Est-ce qu'il y a proporitionnalité entre l'atteinte aux libertés et les bénéfices tirés ? En gros. On peut estimer que le Conseil constitutionnel n'a pas été assez loin dans ce contrôle dans la mesure où il s'appuie sur les mêmes arguments scientifiques que le gouvernement. Mais d'un autre côté, si le Conseil constitutionnel s'arrogeait le droit de dire ce qu'il faut faire face à la pandémie, on pourrait aussi sauter au plafond. Je ne vois pas en quoi cette décision est scandaleuse.
Par ailleurs, je n'ai pas parlé de monarchie. Je dis simplement qu'une dictature n'est pas compatible avec un Etat de droit. Une monarchie, si (exemples du Royaume Uni, de la Belgique...).
flemme de tout rééxpliquer mais utiliser sur toute une population un produit qui vient d'un labo étranger crée de grands problèmes de biosécurité, c'est-à-dire que ça ouvre des brèches qui pourrait permettre des attaques biologiques de la part d'armées étrangères
Le 07 août 2021 à 15:37:00 :
Tout le monde peut se faire vacciner très facilement.
Oui mais tout le monde ne veut pas.
Le vaccin n'est pas une solution miracle, clairement, mais on sait que les vaccinés contractent globalement des formes moins graves du virus et que pour l'instant le vaccin a une efficacité relative sur la diffusion du virus, ce qui est bon à prendre si on veut éviter le retour des fermetures d'établissements. Alors pourquoi ?
Oui, c'est tres bien si les benefices/risques sont avantageux (les vieux en comorbidités) mais sinon non, et le passe sanitaire est une aberration morale, et rend le non-vacciné moins libre qu'un terroriste fiché S
La question que se posent les institutions de contrôle évoquées plus haut, c'est : est-ce que c'est la mesure poursuit un but légitime ?
Par ailleurs (c'est un point complètement différent que celui que j'ai soulevé dans mon message précédent), je ne trouve pas que le but recherché est légitime.
Déjà
- nous sommes beaucoup trop sur terre et les pandémies sont le seul moyen qui va amener la population humaine à décroître rapidement et sans guerre, c'est un processus assez naturel d'auto-régulation de la population contre lequel je crois qu'il ne faut pas lutter si l'on veut éviter de précipiter la planète vers des scénarios type planète-étuve
- le risque lié à la maladie est comparé au risque lié au vaccin comme s'ils avaient la même nature, ce qui est une erreur logique. La maladie menace des vies ponctuelles, elle est par exemple incapable de tuer une famille entière - sauf cas de maladie vraiment extrême comme la peste noire, mais même si elle pouvait tuer une famille entière elle ne menacerait pas un village, une micro-société, un clan, etc. alors que, dans le cas où toute une population est vaccinée, un potentiel effet secondaire menace une forme de vie.
Le 07 août 2021 à 16:46:03 :
La crise du covid peut encore durer des années. L'état d'urgence peut donc durer indéfiniment. Avec le temps, ce pass sanitaire va paraître de plus en plus anodin. Les têtes pensantes diront que le pass sanitaire a fait la preuve de son efficacité, et donc qu'on pourrait l'étendre à d'autres domaines de la vie.De plus, de multiples juristes en droit public ont pris la parole pour remettre en cause la constitutionnalité du pass. Tu vas me répondre qu'il a été validé par tous les organes de l'État et tu auras raison. Ça n'empêche qu'on peut s'interroger sur la mesure. Enfin, des historiens dont Johann Chapoutot ont dernièrement dénoncé le pouvoir démesuré de l'organe administratif, dont le pouvoir remis aux préfets qui lui rappelle... Vichy.
Je ne prétends pas qu'il y ait un consensus parmi les publicistes, et que les hautes juridictions sont paroles d'évangile. Mais je me sens forcé de rappeler leur existence à ceux qui parlent de dictature à tout bout de champ.
Je veux bien la référence de l'article (?) de Chapoutot. Je ne vois pas bien ce qui autorise la comparaison entre le Conseil d'Etat (enfin je ne sais pas ce que tu entends pas "l'organe administratif") et Vichy.
[15:43:08] <silenzi-o>
Le 07 août 2021 à 15:41:05 :
Parceque je ne suis pas sous occupation étrangère et que je ne montre pas mes papiers pour boire un café en terrasse dans mon pays soit disant démocratique.On ne te demande pas tes papiers, seulement un QR code. Quel rapport avec l'occupation étrangère et la démocratie ?
Enfaîte tu n'as rien à me demander
Le 07 août 2021 à 16:58:47 :
La question que se posent les institutions de contrôle évoquées plus haut, c'est : est-ce que c'est la mesure poursuit un but légitime ?
Par ailleurs (c'est un point complètement différent que celui que j'ai soulevé dans mon message précédent), je ne trouve pas que le but recherché est légitime.
Déjà
- nous sommes beaucoup trop sur terre et les pandémies sont le seul moyen qui va amener la population humaine à décroître rapidement et sans guerre, c'est un processus assez naturel d'auto-régulation de la population contre lequel je crois qu'il ne faut pas lutter si l'on veut éviter de précipiter la planète vers des scénarios type planète-étuve
- le risque lié à la maladie est comparé au risque lié au vaccin comme s'ils avaient la même nature, ce qui est une erreur logique. La maladie menace des vies ponctuelles, elle est par exemple incapable de tuer une famille entière - sauf cas de maladie vraiment extrême comme la peste noire, mais même si elle pouvait tuer une famille entière elle ne menacerait pas un village, une micro-société, un clan, etc. alors que, dans le cas où toute une population est vaccinée, un potentiel effet secondaire menace une forme de vie.
Je pourrais prendre un exemple qui pousse cette logique fallacieuse à l'extrême pour faire ressortir son absurdité :
imagine que tu es face à une maladie qui tue 10% de la population et que tu as entre les mains un remède qui protège complètement la population mais a 0.00001% de chance de tuer toute l'humanité
selon la logique des sophistes qui comparent ces risques de deux natures différentes, il faudrait utiliser le remède en question, ce qui est évidemment insensé ...
Le 07 août 2021 à 16:52:22 :
flemme de tout rééxpliquer mais utiliser sur toute une population un produit qui vient d'un labo étranger crée de grands problèmes de biosécurité, c'est-à-dire que ça ouvre des brèches qui pourrait permettre des attaques biologiques de la part d'armées étrangèresLe 07 août 2021 à 16:58:47 :
La question que se posent les institutions de contrôle évoquées plus haut, c'est : est-ce que c'est la mesure poursuit un but légitime ?
Par ailleurs (c'est un point complètement différent que celui que j'ai soulevé dans mon message précédent), je ne trouve pas que le but recherché est légitime.
Déjà
- nous sommes beaucoup trop sur terre et les pandémies sont le seul moyen qui va amener la population humaine à décroître rapidement et sans guerre, c'est un processus assez naturel d'auto-régulation de la population contre lequel je crois qu'il ne faut pas lutter si l'on veut éviter de précipiter la planète vers des scénarios type planète-étuve
- le risque lié à la maladie est comparé au risque lié au vaccin comme s'ils avaient la même nature, ce qui est une erreur logique. La maladie menace des vies ponctuelles, elle est par exemple incapable de tuer une famille entière - sauf cas de maladie vraiment extrême comme la peste noire, mais même si elle pouvait tuer une famille entière elle ne menacerait pas un village, une micro-société, un clan, etc. alors que, dans le cas où toute une population est vaccinée, un potentiel effet secondaire menace une forme de vie.
On en revient aux vieilles lunes du darwinisme social...
Le 07 août 2021 à 17:02:30 :
Le 07 août 2021 à 16:52:22 :
flemme de tout rééxpliquer mais utiliser sur toute une population un produit qui vient d'un labo étranger crée de grands problèmes de biosécurité, c'est-à-dire que ça ouvre des brèches qui pourrait permettre des attaques biologiques de la part d'armées étrangèresLe 07 août 2021 à 16:58:47 :
La question que se posent les institutions de contrôle évoquées plus haut, c'est : est-ce que c'est la mesure poursuit un but légitime ?
Par ailleurs (c'est un point complètement différent que celui que j'ai soulevé dans mon message précédent), je ne trouve pas que le but recherché est légitime.
Déjà
- nous sommes beaucoup trop sur terre et les pandémies sont le seul moyen qui va amener la population humaine à décroître rapidement et sans guerre, c'est un processus assez naturel d'auto-régulation de la population contre lequel je crois qu'il ne faut pas lutter si l'on veut éviter de précipiter la planète vers des scénarios type planète-étuve
- le risque lié à la maladie est comparé au risque lié au vaccin comme s'ils avaient la même nature, ce qui est une erreur logique. La maladie menace des vies ponctuelles, elle est par exemple incapable de tuer une famille entière - sauf cas de maladie vraiment extrême comme la peste noire, mais même si elle pouvait tuer une famille entière elle ne menacerait pas un village, une micro-société, un clan, etc. alors que, dans le cas où toute une population est vaccinée, un potentiel effet secondaire menace une forme de vie.On en revient aux vieilles lunes du darwinisme social...
je ne vois pas où tout vois du darwinisme social là-dedans
tu sais ce que c'est que le darwinisme social en fait ?
Le 07 août 2021 à 17:01:36 :
Le 07 août 2021 à 16:58:47 :
La question que se posent les institutions de contrôle évoquées plus haut, c'est : est-ce que c'est la mesure poursuit un but légitime ?
Par ailleurs (c'est un point complètement différent que celui que j'ai soulevé dans mon message précédent), je ne trouve pas que le but recherché est légitime.
Déjà
- nous sommes beaucoup trop sur terre et les pandémies sont le seul moyen qui va amener la population humaine à décroître rapidement et sans guerre, c'est un processus assez naturel d'auto-régulation de la population contre lequel je crois qu'il ne faut pas lutter si l'on veut éviter de précipiter la planète vers des scénarios type planète-étuve
- le risque lié à la maladie est comparé au risque lié au vaccin comme s'ils avaient la même nature, ce qui est une erreur logique. La maladie menace des vies ponctuelles, elle est par exemple incapable de tuer une famille entière - sauf cas de maladie vraiment extrême comme la peste noire, mais même si elle pouvait tuer une famille entière elle ne menacerait pas un village, une micro-société, un clan, etc. alors que, dans le cas où toute une population est vaccinée, un potentiel effet secondaire menace une forme de vie.Je pourrais prendre un exemple qui pousse cette logique fallacieuse à l'extrême pour faire ressortir son absurdité :
imagine que tu es face à une maladie qui tue 10% de la population et que tu as entre les mains un remède qui protège complètement la population mais a 0.00001% de chance de tuer toute l'humanitéselon la logique des sophistes qui comparent ces risques de deux natures différentes, il faudrait utiliser le remède en question, ce qui est évidemment insensé ...
Oui je comprends l'idée, c'est le débat autour du principe de précaution. Mais franchement je n'ai trouvé aucun élément solide étayant l'idée que ce vaccin pourrait avoir des conséquences dévastatrices dans un avenir lointain.
Le fait de mélanger des choses n'est pas une tare et n'est pas synonyme de confusion, c'est la synthèse de l'ensemble des libertés dont nous sommes indûment privés. Tout est interconnecté, même si l'absence de débat médiatique est un moyen et que les autres sont une fin, si c'était ton propos.
La question que se posent les institutions de contrôle évoquées plus haut, c'est : est-ce que c'est la mesure poursuit un but légitime ? Est-ce qu'on aurait pu atteindre ce but de façon moins contraignante pour les libertés ? Est-ce qu'il y a proporitionnalité entre l'atteinte aux libertés et les bénéfices tirés ? En gros.
C'est précisément pourquoi j'insiste autant sur le fait que le rhume chinois soit beaucoup plus bénin que ce que les fictions médiatiques nous vendent depuis un an et demi. Ce n'est pas la peste noire et ce n'est pas proportionné.
C'est d'ailleurs un pan du débat que tu esquives mais qui est la condition préalable et sine qua none du rejet du passe sanitaire. Tant que tu n'auras pas fait cet effort de réflexion et de réinformation, effectivement tu ne comprendras pas les gens de l'autre bord car ton postulat d'une nécessité vaccinale sera faussé.
Bref peu importe du reste, j'étais juste là pour t'éclairer sur les motivations de certains d'entre nous.
Le 07 août 2021 à 16:43:21 :
si on défends que la liberté, c'est de faire tout ce qu'on veut, alors on en arrive à défendre l'indéfendable. Pour moi, la liberté prise en ce sens doit être encadrée, limitée, pour vivre en société.
La liberté dans le sens d'utilitarisme de Bentham/Mill, c'est a dire, sa propre liberté ne doit pas enfreindre celle des autres, ni heurter autrui.
Donner à un non-vacciné non-contaminé (c'est a dire quelqu'un de "Normal") un status de criminel, ou de "danger pour la république", sous pretexte qu'il pourrait avoir une maladie (qu'il n'a pas) et qu'il pourrait la diffuser a des vaccinés, on est dans un concept arbitraire et abstrait du "pré-crime" très orwellien, et d'exclusion d'individus sous des pretextes fallacieux.
Aussi, il est evident qu'il y a conflits d'interet et que les gouvernements se sont alignés sur les interets des labos et de GAFAM.
Excuse-moi, mon message précédent peut paraître agressif, j'ai trop débattu et je commence à saturer
Le 07 août 2021 à 17:05:00 :
Le 07 août 2021 à 17:02:30 :
Le 07 août 2021 à 16:52:22 :
flemme de tout rééxpliquer mais utiliser sur toute une population un produit qui vient d'un labo étranger crée de grands problèmes de biosécurité, c'est-à-dire que ça ouvre des brèches qui pourrait permettre des attaques biologiques de la part d'armées étrangèresLe 07 août 2021 à 16:58:47 :
La question que se posent les institutions de contrôle évoquées plus haut, c'est : est-ce que c'est la mesure poursuit un but légitime ?
Par ailleurs (c'est un point complètement différent que celui que j'ai soulevé dans mon message précédent), je ne trouve pas que le but recherché est légitime.
Déjà
- nous sommes beaucoup trop sur terre et les pandémies sont le seul moyen qui va amener la population humaine à décroître rapidement et sans guerre, c'est un processus assez naturel d'auto-régulation de la population contre lequel je crois qu'il ne faut pas lutter si l'on veut éviter de précipiter la planète vers des scénarios type planète-étuve
- le risque lié à la maladie est comparé au risque lié au vaccin comme s'ils avaient la même nature, ce qui est une erreur logique. La maladie menace des vies ponctuelles, elle est par exemple incapable de tuer une famille entière - sauf cas de maladie vraiment extrême comme la peste noire, mais même si elle pouvait tuer une famille entière elle ne menacerait pas un village, une micro-société, un clan, etc. alors que, dans le cas où toute une population est vaccinée, un potentiel effet secondaire menace une forme de vie.On en revient aux vieilles lunes du darwinisme social...
je ne vois pas où tout vois du darwinisme social là-dedans
tu sais ce que c'est que le darwinisme social en fait ?
Schématiquement, le fait d'appliquer articiellement le modèle de la sélection naturelle à la vie en société. Je reconnais que tu ne l'as pas formulé littéralement, mais ça m'a paru sous-entendu dans ton propos : les plus faibles (ceux amenés à périr du covid) périront pour le bien de l'espèce
Le 07 août 2021 à 16:59:56 :
Le 07 août 2021 à 16:46:03 :
La crise du covid peut encore durer des années. L'état d'urgence peut donc durer indéfiniment. Avec le temps, ce pass sanitaire va paraître de plus en plus anodin. Les têtes pensantes diront que le pass sanitaire a fait la preuve de son efficacité, et donc qu'on pourrait l'étendre à d'autres domaines de la vie.De plus, de multiples juristes en droit public ont pris la parole pour remettre en cause la constitutionnalité du pass. Tu vas me répondre qu'il a été validé par tous les organes de l'État et tu auras raison. Ça n'empêche qu'on peut s'interroger sur la mesure. Enfin, des historiens dont Johann Chapoutot ont dernièrement dénoncé le pouvoir démesuré de l'organe administratif, dont le pouvoir remis aux préfets qui lui rappelle... Vichy.
Je ne prétends pas qu'il y ait un consensus parmi les publicistes, et que les hautes juridictions sont paroles d'évangile. Mais je me sens forcé de rappeler leur existence à ceux qui parlent de dictature à tout bout de champ.
Je veux bien la référence de l'article (?) de Chapoutot. Je ne vois pas bien ce qui autorise la comparaison entre le Conseil d'Etat (enfin je ne sais pas ce que tu entends pas "l'organe administratif") et Vichy.
C'est paru dans Sorbonnavirus, regards sur la crise du coronavirus, ouvrage qui a été publié avant l'instauration du pass sanitaire. Chapoutot en discute ici : https://youtu.be/szET4BrPALM?t=1416
Le 07 août 2021 à 17:08:36 :
Le 07 août 2021 à 17:05:00 :
Le 07 août 2021 à 17:02:30 :
Le 07 août 2021 à 16:52:22 :
flemme de tout rééxpliquer mais utiliser sur toute une population un produit qui vient d'un labo étranger crée de grands problèmes de biosécurité, c'est-à-dire que ça ouvre des brèches qui pourrait permettre des attaques biologiques de la part d'armées étrangèresLe 07 août 2021 à 16:58:47 :
La question que se posent les institutions de contrôle évoquées plus haut, c'est : est-ce que c'est la mesure poursuit un but légitime ?
Par ailleurs (c'est un point complètement différent que celui que j'ai soulevé dans mon message précédent), je ne trouve pas que le but recherché est légitime.
Déjà
- nous sommes beaucoup trop sur terre et les pandémies sont le seul moyen qui va amener la population humaine à décroître rapidement et sans guerre, c'est un processus assez naturel d'auto-régulation de la population contre lequel je crois qu'il ne faut pas lutter si l'on veut éviter de précipiter la planète vers des scénarios type planète-étuve
- le risque lié à la maladie est comparé au risque lié au vaccin comme s'ils avaient la même nature, ce qui est une erreur logique. La maladie menace des vies ponctuelles, elle est par exemple incapable de tuer une famille entière - sauf cas de maladie vraiment extrême comme la peste noire, mais même si elle pouvait tuer une famille entière elle ne menacerait pas un village, une micro-société, un clan, etc. alors que, dans le cas où toute une population est vaccinée, un potentiel effet secondaire menace une forme de vie.On en revient aux vieilles lunes du darwinisme social...
je ne vois pas où tout vois du darwinisme social là-dedans
tu sais ce que c'est que le darwinisme social en fait ?Schématiquement, le fait d'appliquer articiellement le modèle de la sélection naturelle à la vie en société. Je reconnais que tu ne l'as pas formulé littéralement, mais ça m'a paru sous-entendu dans ton propos : les plus faibles (ceux amenés à périr du covid) périront pour le bien de l'espèce
Je comprends, en fait je ne pensais pas forcément à éliminer les plus faibles pour faire surgir une humanité plus fort et débarassée des faibles, mais plutôt d'une nécessité écologique de laisser se faire la dépopulation (peu importe que la mortalité soit concentrée sur les "faibles" ou non)
Chantage, manipulation des chiffres, atteinte au libertés
Le pass est une aberration
Le 07 août 2021 à 17:07:41 :
Le fait de mélanger des choses n'est pas une tare et n'est pas synonyme de confusion, c'est la synthèse de l'ensemble des libertés dont nous sommes indûment privés. Tout est interconnecté, même si l'absence de débat médiatique est un moyen et que les autres sont une fin, si c'était ton propos.La question que se posent les institutions de contrôle évoquées plus haut, c'est : est-ce que c'est la mesure poursuit un but légitime ? Est-ce qu'on aurait pu atteindre ce but de façon moins contraignante pour les libertés ? Est-ce qu'il y a proporitionnalité entre l'atteinte aux libertés et les bénéfices tirés ? En gros.
C'est précisément pourquoi j'insiste autant sur le fait que le rhume chinois soit beaucoup plus bénin que ce que les fictions médiatiques nous vendent depuis un an et demi. Ce n'est pas la peste noire et ce n'est pas proportionné.
C'est d'ailleurs un pan du débat que tu esquives mais qui est la condition préalable et sine qua none du rejet du passe sanitaire. Tant que tu n'auras pas fait cet effort de réflexion et de réinformation, effectivement tu ne comprendras pas les gens de l'autre bord car ton postulat d'une nécessité vaccinale sera faussé.
Bref peu importe du reste, j'étais juste là pour t'éclairer sur les motivations de certains d'entre nous.
Pas une tare bien sûr, mais synonyme de confusion, je pense que si, dans ce cas précis. On gagne à expliciter les interconnexions, comme tu dis.
Je n'ai pas éludé le débat : il me semble acquis que la dangerosité du Covid ne tient pas (tant) à sa létalité, qu'à la virulence de la contagion. Ensuite la comparaison avec la peste a ses limites : nous ne vivons pas dans la société du XIVeme siècle. Que le Covid soit un révélateur des dysfonctionnements de notre modernité ou de la mondialisation (pour prendre une expression pompeuse et mal tournée, vous m'excuserez), sans doute.