Le 06 décembre 2022 à 11:44:09 : On a besoin d'un régime autoritaire digne des pires périodes de l'humanité, on voit ce que ça donne quand on donne de la libertés à des attardés mentaux incapables de distinguer le beau
Et la démocratie ?
La démocratie c'est de la merde, n'importe qui ayant un minimum réfléchi au sujet s'en aperçoit (ah j'oubliais la deuxième condition qui est QI > 100)
La démocratie ne marche qu'avec une population éclairée, dans nos sociétés ça ne sert à rien
j'ai essayé d'écrire de la poésie avec un peu de forme à l'ancienne, c'est déjà difficile à faire en première approximation, mais prétendre atteindre les Mallarmé ou les Rimbaud c'est assez peu possible à notre époque, faut avouer aussi qu'on connait les plus grands et que beaucoup sont restés dans l'inconnu; si je fait dans une forme un peu plus libre, genre vers Apollinaire, là aussi ça parait plus simple mais on atteint jamais le même niveau, mais encore là, la poésie contemporaine après 1950 c'est franchement pas top non plus, du coup je fais comme je le sens, et comme c'est pas une nécessité impérieuse que d'en écrire je m'en contente
La poésie est mort à partir du moment où on a voulu en faire apprendre par cœur bêtement aux mômes de primaire, aucun respect pour ces œuvres qu'on à l'audace de simplement et bêtement faire régurgiter sans les comprendre. Un peu à l'image des chinois qu'on apprend à reproduire des toiles de grand maitre à la chaine en quelques minutes...
c'est au sujet de la poésie d'Aurélien Barrau, le scientifique qui se pique de poésie, j'ai mis deux textes de lui, et ça c'est encore plutôt bon, alors que n'importe qui peut le faire, (le troisième est de moi, je l'ai fait en huit secondes le temps de l'écrire, c'est bien la preuve que c'est pas transcendant)
Le 06 décembre 2022 à 11:49:09 : j'ai essayé d'écrire de la poésie avec un peu de forme à l'ancienne, c'est déjà difficile à faire en première approximation, mais prétendre atteindre les Mallarmé ou les Rimbaud c'est assez peu possible à notre époque, faut avouer aussi qu'on connait les plus grands et que beaucoup sont restés dans l'inconnu; si je fait dans une forme un peu plus libre, genre vers Apollinaire, là aussi ça parait plus simple mais on atteint jamais le même niveau, mais encore là, la poésie contemporaine après 1950 c'est franchement pas top non plus, du coup je fais comme je le sens, et comme c'est pas une nécessité impérieuse que d'en écrire je m'en contente
Le 06 décembre 2022 à 11:49:09 : j'ai essayé d'écrire de la poésie avec un peu de forme à l'ancienne, c'est déjà difficile à faire en première approximation, mais prétendre atteindre les Mallarmé ou les Rimbaud c'est assez peu possible à notre époque, faut avouer aussi qu'on connait les plus grands et que beaucoup sont restés dans l'inconnu; si je fait dans une forme un peu plus libre, genre vers Apollinaire, là aussi ça parait plus simple mais on atteint jamais le même niveau, mais encore là, la poésie contemporaine après 1950 c'est franchement pas top non plus, du coup je fais comme je le sens, et comme c'est pas une nécessité impérieuse que d'en écrire je m'en contente
La versification ça s'apprend, et la poésie étant une musique il suffit de lire beaucoup de vers pour s'imprégner des mécanismes, un peu comme les bluesmen repiquent des plans
Des tas de rappeurs écrivent très poétiquement mais il n'y a plus de règles de versification, inutiles puisqu'il y a déjà une architecture musicale.
J'en profite pour faire la promotion non-déguisée d'alexandrins mis en musique:
Le golem a deux chiffres à son test de QI Et livre notre monde aux forces infernales Sous ses masques divers le golem nous sourit Du chantage à la vie et sa mort cérébrale
Quand vogue le golem parmi les rayonnages Exténué d'impatience des ravitaillements Moutardes mayonnaises irrégulières quand Le golem va errant retraçant son sillage
Le golem se réjouit du joug d'ordres idiots Et d'être autorisé en abuser autrui Tout bon golem s'entraîne à être un fier kapo Aux horreurs de demain rompu dès aujourd'hui
En vain je chercherai la raison qu'il la perde Car je peins le golem d'un souverain décret Edicté par lui-même en son moi polyèdre Mais le golem n'est pas quel soi veux-tu qu' il ait
Les boucles, si jolies et si fines, Délicatement posées sur nos têtes, Elles sont l'ornement de nos vies, Et nous donnent un charme indéfinissable.
Elles sont souples et coquettes, Elles ondulent au gré du vent, Elles sont l'expression de notre liberté, Et nous font rayonner de beauté.
Les boucles, si envoûtantes et si gracieuses, Elles sont le reflet de notre personnalité, Elles sont notre fierté et notre allure, Et nous donnent confiance en nous.
Que serions-nous sans elles ? Peut-être un peu tristes et ternes, Mais grâce à elles, nous sommes épanouies, Et nous brillons de mille feux.
Alors prenons soin de nos boucles, Et laissons-les nous sublimer, Car elles sont notre plus bel atout, Et nous font resplendir de vie.
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