Les tas de jeunes qui ont des soucis psy on en parle ?

Le 18 août 2022 à 02:26:58 :
Logique, isolement croissant, culture wesh des banlieues et misère sexuelle absolument aberrante.
Un cocktail parfait pour remplir les CMP.

Et surtout, les familles complètement claquées au sol qui font l'éducation a mi temps quand elles le font

Glorification de la maladie mentale et de la victimisation
Inspirer pitié est devenu une vertue

Le 18 août 2022 à 03:12:11 :

Le 18 août 2022 à 03:03:01 :

Le 18 août 2022 à 02:53:00 :

Le 18 août 2022 à 02:39:35 :

Le 18 août 2022 à 02:36:09 :
Je suis née dans les années 2000, honnêtement le nombre « d'amis » que j'ai eu au collège, au lycée qui s'inventaient des vies, des dépressions alors que c'était une déprime pour au final dès qu'ils vont mieux t'abandonner alors que tu as tout fait pour eux, les a écouté, soutenu, aidé à se sentir mieux, aujourd'hui c'est moi qui ne suis pas bien, je ne fais plus confiance aux gens pour l'instant.

C'est le problème principal aujourd'hui, les petits bourgeois qui ont des chagrins d'amour feignent la dépression tous les trois mois et les vrais laissés-pour-compte sont condamnés au silence.

Exactement, j'ai l'impression qu'ils ne mesurent, ne saisissent point les mots qu'ils emploient, ils utilisent ce terme et se plaignent comme si ils devaient mener la vie difficile d'un travailleur manuel mal payé pour son utilité précieuse à la société ou on leur avait ôté la vie de leur famille et qu'ils se retrouvaient orphelins, complètement à l'ouest, dans leur monde. C'est pathétique. (pas au sens triste.)

J'ai compris à quel point les choses allaient mal quand mon meilleur pote m'a coupé la parole le jour où mon père est mort pour me parler de sa pute de copine.
Malheureusement, il y a des gens avec qui on aimerait très bien s'entendre mais avec qui il y aura toujours une espèce de blocage anthropologique.

C'est écœurant ce niveau d'égo.
Quand ton ami vient de perdre un parent tu l'écoutes surtout ! Et tu évites de lui couper la parole, quitte à y avoir des silences, c'est agressif je trouve les gens qui coupent la parole à tout bout de champs dans ce genre de situation. Il faut laisser place au recueillement et à la réflexion.
Proposer de se donner rendez-vous en dehors si vous étiez dans un cadre scolaire pour sortir la personne de sa tristesse, lui montrer qu'il doit continuer la vie parce que ses parents seraient fiers de le voir leurs enfants heureux.

Les gens ont perdu les valeurs traditionnelles de base. Ils n'ont plus aucune conscience des hiérarchies, tout se vaut, la mort de mon père et l'énième crise de nerf de sa copine ? C'est du pareil au même.
Je pense qu'il faut baisser nos attentes vis à vis des autres, faire quelques activités sportives, rencontrer des gens à travers ces activités mais ne pas forcément espérer des relations basées sur une compréhension mutuelle.
C'est dur de faire ce deuil mais je suis en train de le faire.

Le 18 août 2022 à 03:13:03 :

Le 18 août 2022 à 02:26:58 :
Logique, isolement croissant, culture wesh des banlieues et misère sexuelle absolument aberrante.
Un cocktail parfait pour remplir les CMP.

Et surtout, les familles complètement claquées au sol qui font l'éducation a mi temps quand elles le font

C'est lié à la misère sexuelle et aux divorces excessifs des femmes ça aussi.

Le 18 août 2022 à 03:13:03 :

Le 18 août 2022 à 02:26:58 :
Logique, isolement croissant, culture wesh des banlieues et misère sexuelle absolument aberrante.
Un cocktail parfait pour remplir les CMP.

Et surtout, les familles complètement claquées au sol qui font l'éducation a mi temps quand elles le font

Ouais, c'est à dire acheter un téléphone à un enfant qui n'est même pas au collège, aller les chercher à l'école c'est bien beau mais il faut aussi faire les devoirs avec ses enfants, c'est important. L'enfant aura beau être intelligent s'il ne fait pas ses devoirs cela entraînera de mauvais résultats.

Je suis d'accord
Je pense aussi que ce sont les réseaux sociaux qui ont provoquer l'augmentation de l'isolement des jeunes
Et pour la déprime, je dirais que le fait qu'on leur ressasse chaque jour que notre système s'effondre ne doit pas les aider beaucoup dans leur quête de sens

Le 18 août 2022 à 03:19:36 :
Je suis d'accord
Je pense aussi que ce sont les réseaux sociaux qui ont provoquer l'augmentation de l'isolement des jeunes
Et pour la déprime, je dirais que le fait qu'on leur ressasse chaque jour que notre système s'effondre ne doit pas les aider beaucoup dans leur quête de sens

Il y a vraiment un avant et un après Facebook, le monde n'a plus été le même depuis 2008.

Ouais les 90 sont les derniers à avoir eu un aperçu du "monde d'avant" pendant leur enfance. Les générations d'après n'auront jamais l'occasion de comprendre.

Le 18 août 2022 à 03:25:17 :
Ouais les 90 sont les derniers à avoir eu un aperçu du "monde d'avant" pendant leur enfance. Les générations d'après n'auront jamais l'occasion de comprendre.

On est d'accord et Dieu sait que je regrette le monde d'avant, j'aurais bien aimé y passer mon adolescence et ma jeunesse. Malheureusement, je suis né trop tard.

Le 18 août 2022 à 03:19:36 :
Je suis d'accord
Je pense aussi que ce sont les réseaux sociaux qui ont provoquer l'augmentation de l'isolement des jeunes
Et pour la déprime, je dirais que le fait qu'on leur ressasse chaque jour que notre système s'effondre ne doit pas les aider beaucoup dans leur quête de sens

La faute à Internet encore, à l'époque t'étais pas constamment informé sur les crises du monde, tu menais ta petite vie, ton petit train-train, ta petite famille, tes petits voisins, ton petit quartier et ça allait tout seul. Même le sacrosaint bienfait de la démocratisation du savoir d'internet et d'un monde entier interconnectés se sont révélés délétères.

Je parle par ce forum à des inconnus disséminés partout en France mais je connais à peine mes voisins...

Le 18 août 2022 à 03:17:17 :

Le 18 août 2022 à 03:12:11 :

Le 18 août 2022 à 03:03:01 :

Le 18 août 2022 à 02:53:00 :

Le 18 août 2022 à 02:39:35 :

Le 18 août 2022 à 02:36:09 :
Je suis née dans les années 2000, honnêtement le nombre « d'amis » que j'ai eu au collège, au lycée qui s'inventaient des vies, des dépressions alors que c'était une déprime pour au final dès qu'ils vont mieux t'abandonner alors que tu as tout fait pour eux, les a écouté, soutenu, aidé à se sentir mieux, aujourd'hui c'est moi qui ne suis pas bien, je ne fais plus confiance aux gens pour l'instant.

C'est le problème principal aujourd'hui, les petits bourgeois qui ont des chagrins d'amour feignent la dépression tous les trois mois et les vrais laissés-pour-compte sont condamnés au silence.

Exactement, j'ai l'impression qu'ils ne mesurent, ne saisissent point les mots qu'ils emploient, ils utilisent ce terme et se plaignent comme si ils devaient mener la vie difficile d'un travailleur manuel mal payé pour son utilité précieuse à la société ou on leur avait ôté la vie de leur famille et qu'ils se retrouvaient orphelins, complètement à l'ouest, dans leur monde. C'est pathétique. (pas au sens triste.)

J'ai compris à quel point les choses allaient mal quand mon meilleur pote m'a coupé la parole le jour où mon père est mort pour me parler de sa pute de copine.
Malheureusement, il y a des gens avec qui on aimerait très bien s'entendre mais avec qui il y aura toujours une espèce de blocage anthropologique.

C'est écœurant ce niveau d'égo.
Quand ton ami vient de perdre un parent tu l'écoutes surtout ! Et tu évites de lui couper la parole, quitte à y avoir des silences, c'est agressif je trouve les gens qui coupent la parole à tout bout de champs dans ce genre de situation. Il faut laisser place au recueillement et à la réflexion.
Proposer de se donner rendez-vous en dehors si vous étiez dans un cadre scolaire pour sortir la personne de sa tristesse, lui montrer qu'il doit continuer la vie parce que ses parents seraient fiers de le voir leurs enfants heureux.

Les gens ont perdu les valeurs traditionnelles de base. Ils n'ont plus aucune conscience des hiérarchies, tout se vaut, la mort de mon père et l'énième crise de nerf de sa copine ? C'est du pareil au même.
Je pense qu'il faut baisser nos attentes vis à vis des autres, faire quelques activités sportives, rencontrer des gens à travers ces activités mais ne pas forcément espérer des relations basées sur une compréhension mutuelle.
C'est dur de faire ce deuil mais je suis en train de le faire.

Je te souhaite du courage, je tiens beaucoup à mon père et j'aurais peur de le perdre.

Oui, il y a une diminution de l'empathie certaine, j'ai l'impression que la valeur sociale prime sur le tout et cela me dégoûte. Les gens ont accordé trop d'importance aux choses futiles, avant ce n'était pas le cas, tout le monde s'aidait, vivait ensemble, les gens se regardaient, la cohésion dans un village ou un quartier était très forte. Je pense qu'il y avait plus de soutien avant, infiniment.

Société du vide

Forcément sans repere solide l'être humain devient zinzin

Suffit de voir le délire lgabcdefg

D'ailleurs quand vous voyez apparaître des chambres individuelles dans une maison d'un film censé se dérouler avant le 19 ème siècle, c'est un anachronisme. Pendant longtemps la chambre individuelle n'existait pas dans les maisons, il n'y avait qu'une seule pièce où toute la famille dormait communément, c'est comme ça qu'ils pouvaient de tenir chaud l'hiver.

Le 18 août 2022 à 03:31:51 :

Le 18 août 2022 à 03:17:17 :

Le 18 août 2022 à 03:12:11 :

Le 18 août 2022 à 03:03:01 :

Le 18 août 2022 à 02:53:00 :

Le 18 août 2022 à 02:39:35 :

Le 18 août 2022 à 02:36:09 :
Je suis née dans les années 2000, honnêtement le nombre « d'amis » que j'ai eu au collège, au lycée qui s'inventaient des vies, des dépressions alors que c'était une déprime pour au final dès qu'ils vont mieux t'abandonner alors que tu as tout fait pour eux, les a écouté, soutenu, aidé à se sentir mieux, aujourd'hui c'est moi qui ne suis pas bien, je ne fais plus confiance aux gens pour l'instant.

C'est le problème principal aujourd'hui, les petits bourgeois qui ont des chagrins d'amour feignent la dépression tous les trois mois et les vrais laissés-pour-compte sont condamnés au silence.

Exactement, j'ai l'impression qu'ils ne mesurent, ne saisissent point les mots qu'ils emploient, ils utilisent ce terme et se plaignent comme si ils devaient mener la vie difficile d'un travailleur manuel mal payé pour son utilité précieuse à la société ou on leur avait ôté la vie de leur famille et qu'ils se retrouvaient orphelins, complètement à l'ouest, dans leur monde. C'est pathétique. (pas au sens triste.)

J'ai compris à quel point les choses allaient mal quand mon meilleur pote m'a coupé la parole le jour où mon père est mort pour me parler de sa pute de copine.
Malheureusement, il y a des gens avec qui on aimerait très bien s'entendre mais avec qui il y aura toujours une espèce de blocage anthropologique.

C'est écœurant ce niveau d'égo.
Quand ton ami vient de perdre un parent tu l'écoutes surtout ! Et tu évites de lui couper la parole, quitte à y avoir des silences, c'est agressif je trouve les gens qui coupent la parole à tout bout de champs dans ce genre de situation. Il faut laisser place au recueillement et à la réflexion.
Proposer de se donner rendez-vous en dehors si vous étiez dans un cadre scolaire pour sortir la personne de sa tristesse, lui montrer qu'il doit continuer la vie parce que ses parents seraient fiers de le voir leurs enfants heureux.

Les gens ont perdu les valeurs traditionnelles de base. Ils n'ont plus aucune conscience des hiérarchies, tout se vaut, la mort de mon père et l'énième crise de nerf de sa copine ? C'est du pareil au même.
Je pense qu'il faut baisser nos attentes vis à vis des autres, faire quelques activités sportives, rencontrer des gens à travers ces activités mais ne pas forcément espérer des relations basées sur une compréhension mutuelle.
C'est dur de faire ce deuil mais je suis en train de le faire.

Je te souhaite du courage, je tiens beaucoup à mon père et j'aurais peur de le perdre.

Oui, il y a une diminution de l'empathie certaine, j'ai l'impression que la valeur sociale prime sur le tout et cela me dégoûte. Les gens ont accordé trop d'importance aux choses futiles, avant ce n'était pas le cas, tout le monde s'aidait, vivait ensemble, les gens se regardaient, la cohésion dans un village ou un quartier était très forte. Je pense qu'il y avait plus de soutien avant, infiniment.

Merci, je ferai mieux.
Et c'est ça, je regrette juste cette perte du sens des priorités que la génération de mes grands-parents avait encore. Faut s'adapter comme on peut au monde actuel écoute.

Le 18 août 2022 à 02:24:56 :
Je pense que tout le monde est plus ou moins fou d'une manière ou d'une autre, simplement en société il y en a qui savent se tenir et d'autres non

J'ai eu cette réflexion avec moi-même () il y a peu. J'ai réalisé que tout le monde est taré en fait. 99,99% des gens que tu vas croiser sont bourrés de vices, font des trucs ultra bizarres quand ils sont seuls, sont super colériques/hystériques... TOUT LE MONDE a un problème mental mais tout le monde le cache.

Sinon pour revenir au sujet, le problème c'est que les jeunes s'en inventent et ça finit par devenir réel. Je vais pas développer sur la maladie mentale qui touche notre génération, flemme de prendre un ban

Le 18 août 2022 à 03:41:20 :

Le 18 août 2022 à 03:31:51 :

Le 18 août 2022 à 03:17:17 :

Le 18 août 2022 à 03:12:11 :

Le 18 août 2022 à 03:03:01 :

Le 18 août 2022 à 02:53:00 :

Le 18 août 2022 à 02:39:35 :

Le 18 août 2022 à 02:36:09 :
Je suis née dans les années 2000, honnêtement le nombre « d'amis » que j'ai eu au collège, au lycée qui s'inventaient des vies, des dépressions alors que c'était une déprime pour au final dès qu'ils vont mieux t'abandonner alors que tu as tout fait pour eux, les a écouté, soutenu, aidé à se sentir mieux, aujourd'hui c'est moi qui ne suis pas bien, je ne fais plus confiance aux gens pour l'instant.

C'est le problème principal aujourd'hui, les petits bourgeois qui ont des chagrins d'amour feignent la dépression tous les trois mois et les vrais laissés-pour-compte sont condamnés au silence.

Exactement, j'ai l'impression qu'ils ne mesurent, ne saisissent point les mots qu'ils emploient, ils utilisent ce terme et se plaignent comme si ils devaient mener la vie difficile d'un travailleur manuel mal payé pour son utilité précieuse à la société ou on leur avait ôté la vie de leur famille et qu'ils se retrouvaient orphelins, complètement à l'ouest, dans leur monde. C'est pathétique. (pas au sens triste.)

J'ai compris à quel point les choses allaient mal quand mon meilleur pote m'a coupé la parole le jour où mon père est mort pour me parler de sa pute de copine.
Malheureusement, il y a des gens avec qui on aimerait très bien s'entendre mais avec qui il y aura toujours une espèce de blocage anthropologique.

C'est écœurant ce niveau d'égo.
Quand ton ami vient de perdre un parent tu l'écoutes surtout ! Et tu évites de lui couper la parole, quitte à y avoir des silences, c'est agressif je trouve les gens qui coupent la parole à tout bout de champs dans ce genre de situation. Il faut laisser place au recueillement et à la réflexion.
Proposer de se donner rendez-vous en dehors si vous étiez dans un cadre scolaire pour sortir la personne de sa tristesse, lui montrer qu'il doit continuer la vie parce que ses parents seraient fiers de le voir leurs enfants heureux.

Les gens ont perdu les valeurs traditionnelles de base. Ils n'ont plus aucune conscience des hiérarchies, tout se vaut, la mort de mon père et l'énième crise de nerf de sa copine ? C'est du pareil au même.
Je pense qu'il faut baisser nos attentes vis à vis des autres, faire quelques activités sportives, rencontrer des gens à travers ces activités mais ne pas forcément espérer des relations basées sur une compréhension mutuelle.
C'est dur de faire ce deuil mais je suis en train de le faire.

Je te souhaite du courage, je tiens beaucoup à mon père et j'aurais peur de le perdre.

Oui, il y a une diminution de l'empathie certaine, j'ai l'impression que la valeur sociale prime sur le tout et cela me dégoûte. Les gens ont accordé trop d'importance aux choses futiles, avant ce n'était pas le cas, tout le monde s'aidait, vivait ensemble, les gens se regardaient, la cohésion dans un village ou un quartier était très forte. Je pense qu'il y avait plus de soutien avant, infiniment.

Merci, je ferai mieux.
Et c'est ça, je regrette juste cette perte du sens des priorités que la génération de mes grands-parents avait encore. Faut s'adapter comme on peut au monde actuel écoute.

Tant que tu es en bonne santé.

Il y a une grosse obsession sur la richesse alors que comme tu le dis avant ce n'était pas ce qui importait mais quand il y aura le krach, crois-moi tout ceux qui ne savent rien faire de leurs dix doigts, n'ont aucun savoir vivre, vont se terrer six mille lieues sous la mer.

Le 18 août 2022 à 03:48:35 :

Le 18 août 2022 à 03:41:20 :

Le 18 août 2022 à 03:31:51 :

Le 18 août 2022 à 03:17:17 :

Le 18 août 2022 à 03:12:11 :

Le 18 août 2022 à 03:03:01 :

Le 18 août 2022 à 02:53:00 :

Le 18 août 2022 à 02:39:35 :

Le 18 août 2022 à 02:36:09 :
Je suis née dans les années 2000, honnêtement le nombre « d'amis » que j'ai eu au collège, au lycée qui s'inventaient des vies, des dépressions alors que c'était une déprime pour au final dès qu'ils vont mieux t'abandonner alors que tu as tout fait pour eux, les a écouté, soutenu, aidé à se sentir mieux, aujourd'hui c'est moi qui ne suis pas bien, je ne fais plus confiance aux gens pour l'instant.

C'est le problème principal aujourd'hui, les petits bourgeois qui ont des chagrins d'amour feignent la dépression tous les trois mois et les vrais laissés-pour-compte sont condamnés au silence.

Exactement, j'ai l'impression qu'ils ne mesurent, ne saisissent point les mots qu'ils emploient, ils utilisent ce terme et se plaignent comme si ils devaient mener la vie difficile d'un travailleur manuel mal payé pour son utilité précieuse à la société ou on leur avait ôté la vie de leur famille et qu'ils se retrouvaient orphelins, complètement à l'ouest, dans leur monde. C'est pathétique. (pas au sens triste.)

J'ai compris à quel point les choses allaient mal quand mon meilleur pote m'a coupé la parole le jour où mon père est mort pour me parler de sa pute de copine.
Malheureusement, il y a des gens avec qui on aimerait très bien s'entendre mais avec qui il y aura toujours une espèce de blocage anthropologique.

C'est écœurant ce niveau d'égo.
Quand ton ami vient de perdre un parent tu l'écoutes surtout ! Et tu évites de lui couper la parole, quitte à y avoir des silences, c'est agressif je trouve les gens qui coupent la parole à tout bout de champs dans ce genre de situation. Il faut laisser place au recueillement et à la réflexion.
Proposer de se donner rendez-vous en dehors si vous étiez dans un cadre scolaire pour sortir la personne de sa tristesse, lui montrer qu'il doit continuer la vie parce que ses parents seraient fiers de le voir leurs enfants heureux.

Les gens ont perdu les valeurs traditionnelles de base. Ils n'ont plus aucune conscience des hiérarchies, tout se vaut, la mort de mon père et l'énième crise de nerf de sa copine ? C'est du pareil au même.
Je pense qu'il faut baisser nos attentes vis à vis des autres, faire quelques activités sportives, rencontrer des gens à travers ces activités mais ne pas forcément espérer des relations basées sur une compréhension mutuelle.
C'est dur de faire ce deuil mais je suis en train de le faire.

Je te souhaite du courage, je tiens beaucoup à mon père et j'aurais peur de le perdre.

Oui, il y a une diminution de l'empathie certaine, j'ai l'impression que la valeur sociale prime sur le tout et cela me dégoûte. Les gens ont accordé trop d'importance aux choses futiles, avant ce n'était pas le cas, tout le monde s'aidait, vivait ensemble, les gens se regardaient, la cohésion dans un village ou un quartier était très forte. Je pense qu'il y avait plus de soutien avant, infiniment.

Merci, je ferai mieux.
Et c'est ça, je regrette juste cette perte du sens des priorités que la génération de mes grands-parents avait encore. Faut s'adapter comme on peut au monde actuel écoute.

Tant que tu es en bonne santé.

Il y a une grosse obsession sur la richesse alors que comme tu le dis avant ce n'était pas ce qui importait mais quand il y aura le krach, crois-moi tout ceux qui ne savent rien faire de leurs dix doigts, n'ont aucun savoir vivre, vont se terrer six mille lieues sous la mer.

Prions l'atome.
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/11/4/1521140629-apocalypseussou.png

Le 18 août 2022 à 03:52:41 :

Le 18 août 2022 à 03:48:35 :

Le 18 août 2022 à 03:41:20 :

Le 18 août 2022 à 03:31:51 :

Le 18 août 2022 à 03:17:17 :

Le 18 août 2022 à 03:12:11 :

Le 18 août 2022 à 03:03:01 :

Le 18 août 2022 à 02:53:00 :

Le 18 août 2022 à 02:39:35 :

Le 18 août 2022 à 02:36:09 :
Je suis née dans les années 2000, honnêtement le nombre « d'amis » que j'ai eu au collège, au lycée qui s'inventaient des vies, des dépressions alors que c'était une déprime pour au final dès qu'ils vont mieux t'abandonner alors que tu as tout fait pour eux, les a écouté, soutenu, aidé à se sentir mieux, aujourd'hui c'est moi qui ne suis pas bien, je ne fais plus confiance aux gens pour l'instant.

C'est le problème principal aujourd'hui, les petits bourgeois qui ont des chagrins d'amour feignent la dépression tous les trois mois et les vrais laissés-pour-compte sont condamnés au silence.

Exactement, j'ai l'impression qu'ils ne mesurent, ne saisissent point les mots qu'ils emploient, ils utilisent ce terme et se plaignent comme si ils devaient mener la vie difficile d'un travailleur manuel mal payé pour son utilité précieuse à la société ou on leur avait ôté la vie de leur famille et qu'ils se retrouvaient orphelins, complètement à l'ouest, dans leur monde. C'est pathétique. (pas au sens triste.)

J'ai compris à quel point les choses allaient mal quand mon meilleur pote m'a coupé la parole le jour où mon père est mort pour me parler de sa pute de copine.
Malheureusement, il y a des gens avec qui on aimerait très bien s'entendre mais avec qui il y aura toujours une espèce de blocage anthropologique.

C'est écœurant ce niveau d'égo.
Quand ton ami vient de perdre un parent tu l'écoutes surtout ! Et tu évites de lui couper la parole, quitte à y avoir des silences, c'est agressif je trouve les gens qui coupent la parole à tout bout de champs dans ce genre de situation. Il faut laisser place au recueillement et à la réflexion.
Proposer de se donner rendez-vous en dehors si vous étiez dans un cadre scolaire pour sortir la personne de sa tristesse, lui montrer qu'il doit continuer la vie parce que ses parents seraient fiers de le voir leurs enfants heureux.

Les gens ont perdu les valeurs traditionnelles de base. Ils n'ont plus aucune conscience des hiérarchies, tout se vaut, la mort de mon père et l'énième crise de nerf de sa copine ? C'est du pareil au même.
Je pense qu'il faut baisser nos attentes vis à vis des autres, faire quelques activités sportives, rencontrer des gens à travers ces activités mais ne pas forcément espérer des relations basées sur une compréhension mutuelle.
C'est dur de faire ce deuil mais je suis en train de le faire.

Je te souhaite du courage, je tiens beaucoup à mon père et j'aurais peur de le perdre.

Oui, il y a une diminution de l'empathie certaine, j'ai l'impression que la valeur sociale prime sur le tout et cela me dégoûte. Les gens ont accordé trop d'importance aux choses futiles, avant ce n'était pas le cas, tout le monde s'aidait, vivait ensemble, les gens se regardaient, la cohésion dans un village ou un quartier était très forte. Je pense qu'il y avait plus de soutien avant, infiniment.

Merci, je ferai mieux.
Et c'est ça, je regrette juste cette perte du sens des priorités que la génération de mes grands-parents avait encore. Faut s'adapter comme on peut au monde actuel écoute.

Tant que tu es en bonne santé.

Il y a une grosse obsession sur la richesse alors que comme tu le dis avant ce n'était pas ce qui importait mais quand il y aura le krach, crois-moi tout ceux qui ne savent rien faire de leurs dix doigts, n'ont aucun savoir vivre, vont se terrer six mille lieues sous la mer.

Prions l'atome.
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/11/4/1521140629-apocalypseussou.png

Je suis comme toi, franchement j'ai 19 ans, c'est la désillusion, en fait tout le monde s'intéresse à ce que tu fais comme études, dans quoi tu travailles, combien tu gagnes par mois, la France n'est plus ce qu'elle était jadis.

Cela me rend triste de savoir à quel point les gens étaient humbles et plus pudiques sur ces questions avant.

Le 18 août 2022 à 02:25:59 :

Le 18 août 2022 à 02:24:56 :
Je pense que tout le monde est plus ou moins fou d'une manière ou d'une autre, simplement en société il y en a qui savent se tenir et d'autres non

on dirait un post d'un compte twitter tenu par un 2000https://image.noelshack.com/fichiers/2017/46/3/1510780684-fox-113.png

Il a pas tort
Les seuls non fous que je connais sont les débiles.
C'est pourquoi 80% des personnes sont pas folles. Elles sont débiles. Inapte à la mélancolie, au stress, à la dépression

Il est normal de detester ce monde.
C'est même très sain. Comme détester le caca.

Tu ne déteste pas ce monde quand tu te rends paa compte qu'il est detestable. Passé 10 ans,
Soit tu es débile, soit tu detestes le monde.