Je suis DYSPHORIQUE mais DÉGOÛTÉ de l’HOMOSEXUALITÉ

dyonizoss
2021-03-12 22:01:09

Le 12 mars 2021 à 21:47:59 CorailLubrique a écrit :

Le 12 mars 2021 à 21:43:04 dyonizoss a écrit :

Le 12 mars 2021 à 21:34:54 CorailLubrique a écrit :

Le 12 mars 2021 à 21:26:21 dyonizoss a écrit :

Le 12 mars 2021 à 21:16:34 CorailLubrique a écrit :

Le 12 mars 2021 à 21:13:25 dyonizoss a écrit :

Le 12 mars 2021 à 21:09:26 Proutozorent2 a écrit :
J'ai du mal à comprendre. Comment tu peux te dire que tu te sens homme, j'entends par là, qu'est ce qui te fait te sentir homme ? Tu as des émotions ou t'as envie d'avoir un pénis et de pénétrer des trucs ? J'ai du mal à capter comment on peut se sentir d'un autre sexe.

Depuis petite je rêve d’avoir un corps d’homme, de m’habiller comme un homme, d’avoir une coupe d’homme, de fonde une famille en tant qu’homme, de pratique des activités d’hommes entre hommes, oui j’aurais préféré avoir un pénis pour avoir des rapports hétérosexuels avec une femme etc la liste est longue

Je n’aime pas mes attributs féminins, je n’aime pas la mode féminine même la plus neutre, je n’aime pas reste avec trop de femmes, je n’aime pas les activités que font les femmes en général, je ne suis pas attiré par les hommes etc etc

Parmi tous les trucs que tu as cités, y a la moitié qui sont réalisables avec un corps de femme.

Perso, j'ai une coupe d'homme, des fringues d'hommes, des activités (musculation, bush craft, sports auto-mobile, jeux vidéos...) d'homme que je pratique quasi-exclusivement avec des hommes.

Fonder une famille "en tant qu'homme", ça veut dire quoi, à part "en tant qu'individu mâle" ? Si tu veux te poser en pilier de famille, avoir une relation "masculine" (au sens plus stéréotypé du terme) avec tes enfants, si tu veux garder ton nom voire le léguer à tes gosses, tu peux tout à fait le faire.

Perso j'ai mis de longues années avant de réaliser que concrètement, et malgré la dysphorie, il n'y a quasiment rien que mon corps m'empêche de faire.

Je n’ai pas la même vision des choses : lorsque je m’habille de manière très masculine (fin enfance + toute mon adolescence) je me trouve répugnante : voir des hanches dans apparaître d’un coup dans un ensemble masculin c’est très très très laid (a mes yeux).

Dans ce cas c'est un problème d'ordre personnel et de rapport à ta masculinité. Perso je me marie bientôt, et je réfléchis déjà à la taille de mon costard, y a rien qui me fait plus kiffer :noel:

Je ne pourrai jamais me vêtir de cette manière :https://image.noelshack.com/fichiers/2021/10/5/1615580505-091294c0-841a-4f1e-9200-16c90d42035c.jpeg

T'auras pas tout à fait la même coupe, non. Mais tu peux très bien avoir un costume stylé qui mette en avant ta masculinité et tes épaules. Non, tu ne seras jamais ce genre de BG et ne porteras peut être pas les fringues aussi bien que lui. Mais rien ne t'empêche d'essayer, de tâtonner jusqu'à trouver ton style : d'avoir un rapport dynamique à tes complexes, de tenter des trucs plutôt que de les voir comme insolubles. :(

J’ai aussi des activités sportives que la société qualifie de masculines (foot), j’ai d’ailleurs renoncé jeune a une carrière pro car je me voyais pas jouer en championnat féminin avec des femmes.

Ça, ça fait partie des petits deuils que chacun a à faire dans ta vie. Y a des mecs cis qui ne joueront, malgré tous leurs efforts, jamais dans de grands championnats. Y a des myopes qui rêvaient d'être pilotes de chasse, des boiteux qui rêvent d'être pompier, des accidentés qui se voyaient déjà dans l'armée avant que la vie ne fauche leurs jambes.

Je voulais faire de la musculation : pour moi un corps de femme très musclé c’est très laid, d’ailleurs je ne pourrais jamais avoir ce corps :https://image.noelshack.com/fichiers/2021/10/5/1615580683-e1fe821f-055e-4046-b8d9-6fbef5fd3d26.jpeg

Etc etc
Donc tu vois, pour toi ce sont des choses réalisables, mais moi, si je les réalise je serais encore + dégoûté de mon corps

Pose-toi la vraie question de "pourquoi est-ce que ce genre de corps te dégoûte". Parce que selon la réponse, il n'y a pas du tout les mêmes façons de se positionner.

Ensuite, je voulais fonder une famille traditionnelle : avoir une femme, des enfants venant DE MOI et de ma femme, etc donc pas possible en tant que femme

Et tu veux vraiment sacrifier de précieuses années de ta vie parce que ça n'arrivera pas ? Au plus fort de ma dysphorie, je pleurais (du moins intérieurement) à la simple idée qu'on m'appelle "madame" et je ne pouvais pas me regarder dans le miroir sans avoir envie de sauter à la gorge de mon reflet pour le tabasser au sol. Y a qu'une manière de se dépêtrer de ça : comprendre ce qui, précisément, nourrit ton animosité.

Le plus souvent, ce sont des frustrations intériorisées. Du sexisme qu'on t'a injecté en intraveineuse depuis l'enfance; Le manque de représentation et la difficulté à te projeter en l'autre parce qu'après tout, tu n'as jamais vu personne comme toi. Un complexe d'infériorité. Des comorbidités diverses et variées. Je n'en sais rien, pour toi, je ne suis pas à ta place.

Mais en tout cas, je ne pense pas qu'il y ait quoique ce soit qui vaille (à mon sens) le coup de saboter de belles années.

Mais... non. Tu ne seras jamais un mec cis. Et tu ne seras jamais serein/sereine vis à vis de ton corps, même si tu transitionnes. Tant pis, c'est à toi de réinventer ton rapport au monde pour faire de ce dégoût une puissance de vie. Ton recul sur ton environnement, ton corps et le monde entier est rare. A toi d'en faire quelque chose qui fasse pousser de la fierté en toi.

Je te remercie infiniment pour cette vision de voir la dysphorie que tu m’apporte, vraiment.
Hélas, je n’ai pas cette aisance à associer mon genre sexuel avec mon look/mode de vie/occupations « masculines », j’ai déjà travaillé dessus, en vain. Le fait que je sois une femme et que mon physique me le rappelle me détruit depuis l’enfance et ça ne cessera.
J’ai en revanche de la chance d’avoir des parents et des amis aimants qui me font sourire, ça fait tenir et oublié la frustration.

On a jamais assez travaillé dessus. Personnellement, il m'a fallu plus de 10 ans. 10 ans à réfléchir, affronter le regard des autres et le miroir, sourire face aux insultes, pour être le genre de femme - masculine - que je suis aujourd'hui. Mais, à 24 ans, je peux faire ce que j'estimais être impossible y a une décennie : sortir à la plage/piscine, me regarder dans le miroir, arrêter de binder ma poitrine, corriger quand on m'appelle "monsieur", apprécier ce qui fait de moi (en âme et en chair) moi.

Que tu choisisses ou non de transitionner, le travail n'est pas terminé. Ne laisse pas la vie te filer entre les doigts au simple motif que tu ne seras jamais l'homme de tes fantasmes (au sens social, pas du fétiche sexuel).

Je serais d'avis que tu as déjà fort à faire, à être une femme unique qui a le privilège de savoir comment ça se passe des deux côtés des chromosomes.

Je vais suivre tes conseils bienveillants

Talmood
2021-03-12 22:01:21

Le 12 mars 2021 à 21:50:38 QLFCelinent1961 a écrit :
Les LGBT ils disent: "le genre est une construction sociale, un garçon peut jouer à la poupée et une fille au foot"

Et en même temps: "J'ai un vagin mais j'ai des goûts d'homme: je suis un homme"

Perso je ne réponds plus à ce genre de commentaire parce que c’est pas productif.
Je préfère me concentrer sur les personnes qui sinterrsssent vraiment au sujet.

Maintenant retourne à la cuisine Homme.

CorailLubrique
2021-03-12 22:03:12

Le 12 mars 2021 à 21:50:38 QLFCelinent1961 a écrit :
Les LGBT ils disent: "le genre est une construction sociale, un garçon peut jouer à la poupée et une fille au foot"

Et en même temps: "J'ai un vagin mais j'ai des goûts d'homme: je suis un homme"

Le "je suis une femme dans un corps d'homme" (ou l'inverse) est souvent une jolie et séduisante pirouette pour faire passer un "je préfère vivre socialement en tant que le sexe opposé, car les stéréotypes associés à l'autre sexe me semblent, à défaut d'être idéaux, a minima moins incohérents que ceux que je subis avec mon sexe de naissance".

C'est moins une question d'être ou non une femme au sens ontologique, mais de se reconnaître dans l'image que la société se fait de la femme et préférer ou non vivre avec cette étiquette.

CorailLubrique
2021-03-12 22:09:42

Le 12 mars 2021 à 22:01:09 dyonizoss a écrit :

Le 12 mars 2021 à 21:47:59 CorailLubrique a écrit :

Le 12 mars 2021 à 21:43:04 dyonizoss a écrit :

Le 12 mars 2021 à 21:34:54 CorailLubrique a écrit :

Le 12 mars 2021 à 21:26:21 dyonizoss a écrit :

Le 12 mars 2021 à 21:16:34 CorailLubrique a écrit :

Le 12 mars 2021 à 21:13:25 dyonizoss a écrit :

Le 12 mars 2021 à 21:09:26 Proutozorent2 a écrit :
J'ai du mal à comprendre. Comment tu peux te dire que tu te sens homme, j'entends par là, qu'est ce qui te fait te sentir homme ? Tu as des émotions ou t'as envie d'avoir un pénis et de pénétrer des trucs ? J'ai du mal à capter comment on peut se sentir d'un autre sexe.

Depuis petite je rêve d’avoir un corps d’homme, de m’habiller comme un homme, d’avoir une coupe d’homme, de fonde une famille en tant qu’homme, de pratique des activités d’hommes entre hommes, oui j’aurais préféré avoir un pénis pour avoir des rapports hétérosexuels avec une femme etc la liste est longue

Je n’aime pas mes attributs féminins, je n’aime pas la mode féminine même la plus neutre, je n’aime pas reste avec trop de femmes, je n’aime pas les activités que font les femmes en général, je ne suis pas attiré par les hommes etc etc

Parmi tous les trucs que tu as cités, y a la moitié qui sont réalisables avec un corps de femme.

Perso, j'ai une coupe d'homme, des fringues d'hommes, des activités (musculation, bush craft, sports auto-mobile, jeux vidéos...) d'homme que je pratique quasi-exclusivement avec des hommes.

Fonder une famille "en tant qu'homme", ça veut dire quoi, à part "en tant qu'individu mâle" ? Si tu veux te poser en pilier de famille, avoir une relation "masculine" (au sens plus stéréotypé du terme) avec tes enfants, si tu veux garder ton nom voire le léguer à tes gosses, tu peux tout à fait le faire.

Perso j'ai mis de longues années avant de réaliser que concrètement, et malgré la dysphorie, il n'y a quasiment rien que mon corps m'empêche de faire.

Je n’ai pas la même vision des choses : lorsque je m’habille de manière très masculine (fin enfance + toute mon adolescence) je me trouve répugnante : voir des hanches dans apparaître d’un coup dans un ensemble masculin c’est très très très laid (a mes yeux).

Dans ce cas c'est un problème d'ordre personnel et de rapport à ta masculinité. Perso je me marie bientôt, et je réfléchis déjà à la taille de mon costard, y a rien qui me fait plus kiffer :noel:

Je ne pourrai jamais me vêtir de cette manière :https://image.noelshack.com/fichiers/2021/10/5/1615580505-091294c0-841a-4f1e-9200-16c90d42035c.jpeg

T'auras pas tout à fait la même coupe, non. Mais tu peux très bien avoir un costume stylé qui mette en avant ta masculinité et tes épaules. Non, tu ne seras jamais ce genre de BG et ne porteras peut être pas les fringues aussi bien que lui. Mais rien ne t'empêche d'essayer, de tâtonner jusqu'à trouver ton style : d'avoir un rapport dynamique à tes complexes, de tenter des trucs plutôt que de les voir comme insolubles. :(

J’ai aussi des activités sportives que la société qualifie de masculines (foot), j’ai d’ailleurs renoncé jeune a une carrière pro car je me voyais pas jouer en championnat féminin avec des femmes.

Ça, ça fait partie des petits deuils que chacun a à faire dans ta vie. Y a des mecs cis qui ne joueront, malgré tous leurs efforts, jamais dans de grands championnats. Y a des myopes qui rêvaient d'être pilotes de chasse, des boiteux qui rêvent d'être pompier, des accidentés qui se voyaient déjà dans l'armée avant que la vie ne fauche leurs jambes.

Je voulais faire de la musculation : pour moi un corps de femme très musclé c’est très laid, d’ailleurs je ne pourrais jamais avoir ce corps :https://image.noelshack.com/fichiers/2021/10/5/1615580683-e1fe821f-055e-4046-b8d9-6fbef5fd3d26.jpeg

Etc etc
Donc tu vois, pour toi ce sont des choses réalisables, mais moi, si je les réalise je serais encore + dégoûté de mon corps

Pose-toi la vraie question de "pourquoi est-ce que ce genre de corps te dégoûte". Parce que selon la réponse, il n'y a pas du tout les mêmes façons de se positionner.

Ensuite, je voulais fonder une famille traditionnelle : avoir une femme, des enfants venant DE MOI et de ma femme, etc donc pas possible en tant que femme

Et tu veux vraiment sacrifier de précieuses années de ta vie parce que ça n'arrivera pas ? Au plus fort de ma dysphorie, je pleurais (du moins intérieurement) à la simple idée qu'on m'appelle "madame" et je ne pouvais pas me regarder dans le miroir sans avoir envie de sauter à la gorge de mon reflet pour le tabasser au sol. Y a qu'une manière de se dépêtrer de ça : comprendre ce qui, précisément, nourrit ton animosité.

Le plus souvent, ce sont des frustrations intériorisées. Du sexisme qu'on t'a injecté en intraveineuse depuis l'enfance; Le manque de représentation et la difficulté à te projeter en l'autre parce qu'après tout, tu n'as jamais vu personne comme toi. Un complexe d'infériorité. Des comorbidités diverses et variées. Je n'en sais rien, pour toi, je ne suis pas à ta place.

Mais en tout cas, je ne pense pas qu'il y ait quoique ce soit qui vaille (à mon sens) le coup de saboter de belles années.

Mais... non. Tu ne seras jamais un mec cis. Et tu ne seras jamais serein/sereine vis à vis de ton corps, même si tu transitionnes. Tant pis, c'est à toi de réinventer ton rapport au monde pour faire de ce dégoût une puissance de vie. Ton recul sur ton environnement, ton corps et le monde entier est rare. A toi d'en faire quelque chose qui fasse pousser de la fierté en toi.

Je te remercie infiniment pour cette vision de voir la dysphorie que tu m’apporte, vraiment.
Hélas, je n’ai pas cette aisance à associer mon genre sexuel avec mon look/mode de vie/occupations « masculines », j’ai déjà travaillé dessus, en vain. Le fait que je sois une femme et que mon physique me le rappelle me détruit depuis l’enfance et ça ne cessera.
J’ai en revanche de la chance d’avoir des parents et des amis aimants qui me font sourire, ça fait tenir et oublié la frustration.

On a jamais assez travaillé dessus. Personnellement, il m'a fallu plus de 10 ans. 10 ans à réfléchir, affronter le regard des autres et le miroir, sourire face aux insultes, pour être le genre de femme - masculine - que je suis aujourd'hui. Mais, à 24 ans, je peux faire ce que j'estimais être impossible y a une décennie : sortir à la plage/piscine, me regarder dans le miroir, arrêter de binder ma poitrine, corriger quand on m'appelle "monsieur", apprécier ce qui fait de moi (en âme et en chair) moi.

Que tu choisisses ou non de transitionner, le travail n'est pas terminé. Ne laisse pas la vie te filer entre les doigts au simple motif que tu ne seras jamais l'homme de tes fantasmes (au sens social, pas du fétiche sexuel).

Je serais d'avis que tu as déjà fort à faire, à être une femme unique qui a le privilège de savoir comment ça se passe des deux côtés des chromosomes.

Je vais suivre tes conseils bienveillants

Si tu veux les conseils qui ont pu m'aider (que tu n'es pas obligé(e) d'appliquer, évidemment) :

- Le sport. Trouver ton sport, ta manière de faire fonctionner et de cultiver ton corps qui te plaît. Développer ton endurance (si tu veux diminuer ton complexe vis à vis des gars car c'est en endurance que la différence femme/homme est la moins flagrante), ta masse musculaire (personnellement c'est ce que j'ai fait, bosser en prise de masse), ta souplesse, ta capacité à combattre... y a pas de règle universelle. L'idée, c'est de faire bouger ton corps d'une manière qui reflète au mieux ta personnalité et tes combats intérieurs.

- La sexualité. En couple ou en solitaire. Se réapproprier son corps, même si tu es issu(e) d'une famille religieuse, c'est un passage essentiel. Comment marche ton corps/ton plaisir/tes désirs, c'est la clé pour le comprendre un peu mieux et pour déverrouiller, vis à vis de lui, une certaine indulgence.

- L'apparence / les fringues. Fais tes expériences. Le costard que tu as posté plus haut ne t'ira jamais ? Qu'à cela ne tienne. Passe du temps dans les magasins, explore tous les rayons, femme comme homme, pour trouver les fringues qui disent de toi ce que ton corps ne dit pas. N'hésite pas à tenter des trucs, à essayer sans acheter. Si ta poitrine te complexe, je te déconseille de binder (dommage irrémédiables qui peuvent être occasionnés). Essaie plutôt des brassières de sport qui aplatissent sans comprimer.

- L'hygiène de vie : la clé, c'est de ne pas négliger ton corps. Nourris-le, hydrate-le, fais-le bouger comme il le réclame. Un corps en bonne santé, qui fonctionne sans jeu de carotte/bâton, te rendra clairement moins malade psychologiquement.

- Les règles. Apprendre à appréhender ce moment aussi douloureux que symbolique du mois. Trouver tes combines pour moins les subir avec tes rituels. Au pire de ma dysphorie, j'avais besoin de courir 15 bornes le premier jour des règles pour oublier la douleur et le symbole que ça représentait. Chacun son truc !

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