[Taboritsky]
2021-03-11 09:17:11
Le 11 mars 2021 à 09:05:58 BoobaKaaris a écrit :
c'est d'ailleurs une honte pour la France de ne pas gagner de façon évidente face à des paysans pas formés équipés de fusils et de cailloux le FLN c'était même pas une armée dans l'histoire récente des derniers siècles la France a toujours été humilié militairement
C'est bien Mouloud, maintenant la réalité c'est que le FLN attaquait essentiellement des cibles civile après la branlée de la bataille d'Alger :
On compte par exemple plus de 200 actes terroristes en avril 1955 et plus d'un millier pour le mois de décembre 1955[6]. Liste non exhaustive :
Toussaint rouge, 1er novembre 1954
Assassinat de l'administrateur Maurice Dupuy et son escorte à Tebessa près du marché de Souk el Adjedj (douar Bedjen). 6 cadavres affreusement mutilés sont retrouvés le lendemain[7],[8], 24 mai 1955
Massacres du Constantinois en 1955 (dans les secteurs de El-Halia - 132 morts - et Philipeville), 20 et 21 août 1955
Massacre de la famille Mello à Aïn Abid, dont une enfant de 5 jours coupée en deux et introduit dans le ventre de sa mère éviscérée[9]
Le maire de Fort National est abattu d'un coup de fusil dans le dos[10]
Attaque d'une ferme à El-Hadjar, la famille Heffner dont les enfants âgés de 27, 20 et 15 ans est égorgée et mutilée, 1er janvier 1956[11]
La ferme Cruet à Saints-Pierre-et-Paul en Mitidja est attaquée, trois membres de la même famille sont assassinés, 16 février 1956[12]
Attaque du car Bou Saâda - Alger[13], 24 février 1956
Massacre au col de Deux Bassins[14] ou embuscade dite de Sakamody, sur la route d'Alger à Bir-Rabalou, un car et deux voitures sont mitraillés, 7 civils dont un couple et une fillette de sept ans sont assassinés[12] 24 février 1956
Assassinat de 3 musulmans à l’Arba, les tortionnaires ont commencé par leur couper les paupières, le nez et les lèvres, avant de les achever tandis qu’un troisième était égorgé devant sa famille[15], 27 février 1956
Massacre dans le village de Palestro[16], 8 mars 1956
Début mars six fermes sont attaquées entre Thiers et Palestro, 7 civils sont tués dont trois femmes[12]
22 Musulmans sont égorgés par le FLN et exposés sur la route, à Seddouk Wilaya de Béjaia 22 mars 1956[15]
Attaque du SAS de Sidi Djillali, le médecin est torturé au fer rouge, avec un liquide bouillant puis égorgé, nuit du 28 au 29 mars 1956[17]
9 attentats en 48 h à Alger, (Belcourt, Casbah, rue de Lyon, Bd St Saens, Hussein Dey, Maison carrée, rue Randon)[18], 28 avril 1956
Nuit rouge de la Soummam ou massacre d’Oued Amizour : entre 490 et plus de 1200 villageois dont des enfants, du village de Tifraten dans la basse Soummam, torturés et égorgés, avril 1956[19],[20],[21],[22],[23]
Trois jeunes garçons d'Aïn Bêida enlevés[24], ils sont attirés dans un guet-apens par un de leurs camarades de classe musulman le 5 mai 1956, leurs corps sont retrouvés dans un puits le 23 juin 1956[11]
Massacre en Oranie dans la plaine d'Aïn Temouchent, les rebelles attaquent une cinquantaine de fermes et massacrent soixante personnes[25], 7 mai 1956
46 villages attaqués dans le Constantinois[26], 9 mai 1956
Embuscade de Palestro, 18 mai 1956
deux musulmans du douar Zenata (Remchi), Benmrah Bouhassoun et Beneli Mohamed, sont décapités avec une Houe après avoir eu la verge sectionnée et enfoncée dans la bouche par les fellaghas[15], 27 mai 1956
Attentats à Alger, 20 et 21 juin 1956
Attentats à Alger, attaque à la grenade dans un café[27], 11 juillet 1956
19 militaires tombent dans une embuscade en se rendant au Douar de Sidi-Ghalem où ils étaient invités par des indigènes à boire le thé. Ils furent tous atrocement mutilés[28],[29], 18 juillet 1956
Attentat au bain maure de la Casbah d'Alger, 10 août 1956
Attentats du Milk-Bar et de la Cafétéria, 30 septembre 1956[30]
Embuscades contre le 1er RIM et le RIM dans le secteur d'Aflou, 2 octobre 1956
Attentats PC et FLN : trois bombes explosent à la Gare d'Hussein-Dey Maison Carrée[31], notamment dans un trolleybus rempli d’enfants[15],[32], 12 novembre 1956
Assassinat d'Amédée Froger, maire de Boufarik par Ali la Pointe, 28 décembre 1956[33]
Massacre de l'école d'Aïn Seynour dans la région de Souk Ahras,
57 petits garçons et filles égorgés, la maîtresse nue clouée sur la porte les seins coupés[34] (Mohammed Merah n'a rien inventé )
Attentat à la bombe dans un trolleybus reliant Hydra à la grande Poste, 2 mort, 03 janvier 1957[33]
22 janvier 1957, attaque du car au Mazafran - RN 11 - Zeralda
Attentats du Coq Hardy et de l'Otomatic, deuxième attentat de la Cafétéria, 5 morts et 32 blessés[33], 24 janvier 1957[35]
Attentats au stade d'Alger (stade du ruisseau)[33] et au stade d'El-Biar[36] (la bombe est déposée par Baya Hocine et Bellamine Mohamed[37]), 10 février 1957 - 11 morts dont 3 enfants[33] et 50 blessés[38]
15 indépendantistes massacrent au couteau la famille Barral et leur trois enfants de 20, 16 et 12 ans dans leur ferme située à 9 km de Sétif, la fille de 12 ans a été violée, 11 mai 1957[17]
Exécutions de militaires en permission, du 3 au 17 mai 1957[39]
Assassinats de La Rosa Augusta et Onténient Emile, le 12 mai 1957 à Bordj-Menaiel
Assassinat d'Ali Chekkal à Colombes, 26 mai 1957
Tueries dans les villages de d'Aïn-Manaa (27 tués, 20 blessés) et Wagram (8 tués, 4 blessés), 30 mai 1957[40]
Massacre de Melouza (338 morts) et Wagram[41], mai-juin 1957
Attentats des lampadaires, 10 morts dont 3 enfants et 92 blessés dont 33 amputations[33], 3 juin 1957[42]
Massacre de Kashbah Metchta[43], 4 juin 1957
Attentat au dancing du Casino de la Corniche, 8 morts et 92 blessés dont 10 amputations[33], 9 juin 1957[44],[45]
Embuscade à la frontière tunisienne : seize soldats tués, 11 janvier 1958
assassinat du maire de Thiersville et son épouse, Félix et Madeleine Viallat, devant leurs enfants, le 8 avril 1958[46]
Exécution par le FLN de trois soldats français, prisonniers sur le sol tunisien, 9 mai 1958
Tuerie de Honaïne, dans l'Ouest Oranais à l'encontre de populations suspectées de vouloir répondre favorablement au référendum, 25 morts, été 1958[47]
Attentat contre une jeep de la gendarmerie dans l'oued Djen Djen, 29 octobre 1958[33]
Assassinat au pistolet mitrailleur d'une mère et ses deux enfants dont un bébé dans son berceau, 30 octobre 1958[33]
Nombreux attentats FLN en Métropole, 4-9 avril 1959
Assassinat du Sénateur Benhabylès à Vichy, 28 août 1959
Pendant trois heures des membres du FLN lancent des grenades et mitraillent des cafés et restaurants, 14 mai 1962 - 24 morts et plus de 60 blessés[6]
Massacre des harkis, juillet août septembre 1962
Et leurs descendants utilisent les mêmes tactiques de lâches au XXIe siècle