Le passage du jardin d'Eden est une métaphore de la modification de l'état de conscience de l'homme par l'accès au fruit de l'arbre de la connaissance en accédant ainsi à la connaissance du bien et du mal ( dualisme), démarquant donc une séparation distincte des autres espèces animales.
Je me suis arrêté là.
Non.
Adam pouvait déjà nommer les bêtes mais aussi garder et cultiver le jardin. Autrement dit, il avait des facultés que la conscience seule pouvait lui conférer. Il était déjà distinct des autres espèces animales par sa conscience donc sa capacité à développer le langage et par son travail sur la terre donc sa capacité à transformer la matière.
Le serpent promet à Adam et Ève qu’ils seront “comme Dieu”. Autrement dit, il introduit la possibilité de l’idolâtrie. Adam et Ève pêchent par orgueil. Ils deviennent alors idolâtres.
Le 28 juillet 2023 à 22:56:24 :
Le passage sur la tour de Babel est très évocateur. "faisons-nous un nom"C'est un peu dans cette métaphore de la tour de Babel, que germe l'identité humaine, l'égo projeté dans une communauté. La division naît du mélange du "soi" et de l'individualité mal exprimée, créant des interférences dans une éclipse des sens par manque de vision globale.
Cette vision incomplète, aveugle devant l'harmonie universelle !
Il est là, l'ultime fléau : cette myopie, cette incapacité à contempler l'ensemble des choses. Le manque de vision globale nous voue à l'incompréhension perpétuelle, et la confusion engendre la discorde, l'ombre qui nous dissipe dans les croyances, et dans notre individualité.
A mon humble avis, le passage de la tour de Babel n'est pas réellement l'illustration précise de l'égo de l'homme mais de celui de Dieu.
S'il le faux créateur biblique porte les attributs de l'homme, il n'est pas un dieu omniscient, s'il l'est alors pourquoi décide il d'éliminer sa propre création ou la regretter a postérieurement?
Le dieu ici n'étant qu'un avatar de toute conscience possédant le fruit du savoir : celle ou le mécanisme de l'égo individuel s'est projette dans le collectif sans disparaitre, a fini par prendre pas sur tout le reste.
L'égo n'est pas le propre de l'homme mais le propre de tout être qui accède au fruit de la connaissance.
Putain, tout le reste de ce texte infect, c’est de la connerie gnostique.
Tfou 3lik
La tour de Babel ça peut juste etre une défense de l’universalisme, en mode ensemble on est plus fort, mais sinon j’aime beaucoup ton analyse platonico-gnostique, t’as des références au niveau des livres ou t’as trouvé tout cas tout seul ?
Le 29 juillet 2023 à 00:36:18 :
La tour de Babel ça peut juste etre une défense de l’universalisme, en mode ensemble on est plus fort, mais sinon j’aime beaucoup ton analyse platonico-gnostique, t’as des références au niveau des livres ou t’as trouvé tout cas tout seul ?
Le 29 juillet 2023 à 00:36:18 :
La tour de Babel ça peut juste etre une défense de l’universalisme, en mode ensemble on est plus fort, mais sinon j’aime beaucoup ton analyse platonico-gnostique, t’as des références au niveau des livres ou t’as trouvé tout cas tout seul ?
Non je n'ai pas de références textuelles
Le 29 juillet 2023 à 00:30:02 latinanglaise a écrit :
Le 28 juillet 2023 à 22:56:24 :
Le passage sur la tour de Babel est très évocateur. "faisons-nous un nom"C'est un peu dans cette métaphore de la tour de Babel, que germe l'identité humaine, l'égo projeté dans une communauté. La division naît du mélange du "soi" et de l'individualité mal exprimée, créant des interférences dans une éclipse des sens par manque de vision globale.
Cette vision incomplète, aveugle devant l'harmonie universelle !
Il est là, l'ultime fléau : cette myopie, cette incapacité à contempler l'ensemble des choses. Le manque de vision globale nous voue à l'incompréhension perpétuelle, et la confusion engendre la discorde, l'ombre qui nous dissipe dans les croyances, et dans notre individualité.
A mon humble avis, le passage de la tour de Babel n'est pas réellement l'illustration précise de l'égo de l'homme mais de celui de Dieu.
S'il le faux créateur biblique porte les attributs de l'homme, il n'est pas un dieu omniscient, s'il l'est alors pourquoi décide il d'éliminer sa propre création ou la regretter a postérieurement?Le dieu ici n'étant qu'un avatar de toute conscience possédant le fruit du savoir : celle ou le mécanisme de l'égo individuel s'est projette dans le collectif sans disparaitre, a fini par prendre pas sur tout le reste.
L'égo n'est pas le propre de l'homme mais le propre de tout être qui accède au fruit de la connaissance.
Que ce soit l'ego des hommes ou de dieu vos 2 visions se complètent.
Surtout si on prête au démiurge la dimension de conscience collective.
Une certaine vérité ne se trouverait pas à mi chemin pour la question de la projection de l'ego ?
Le 29 juillet 2023 à 00:49:46 :
Le 29 juillet 2023 à 00:30:02 latinanglaise a écrit :
Le 28 juillet 2023 à 22:56:24 :
Le passage sur la tour de Babel est très évocateur. "faisons-nous un nom"C'est un peu dans cette métaphore de la tour de Babel, que germe l'identité humaine, l'égo projeté dans une communauté. La division naît du mélange du "soi" et de l'individualité mal exprimée, créant des interférences dans une éclipse des sens par manque de vision globale.
Cette vision incomplète, aveugle devant l'harmonie universelle !
Il est là, l'ultime fléau : cette myopie, cette incapacité à contempler l'ensemble des choses. Le manque de vision globale nous voue à l'incompréhension perpétuelle, et la confusion engendre la discorde, l'ombre qui nous dissipe dans les croyances, et dans notre individualité.
A mon humble avis, le passage de la tour de Babel n'est pas réellement l'illustration précise de l'égo de l'homme mais de celui de Dieu.
S'il le faux créateur biblique porte les attributs de l'homme, il n'est pas un dieu omniscient, s'il l'est alors pourquoi décide il d'éliminer sa propre création ou la regretter a postérieurement?Le dieu ici n'étant qu'un avatar de toute conscience possédant le fruit du savoir : celle ou le mécanisme de l'égo individuel s'est projette dans le collectif sans disparaitre, a fini par prendre pas sur tout le reste.
L'égo n'est pas le propre de l'homme mais le propre de tout être qui accède au fruit de la connaissance.
Que ce soit l'ego des hommes ou de dieu vos 2 visions se complètent.
Surtout si on prête au démiurge la dimension de conscience collective.
Une certaine vérité ne se trouverait pas à mi chemin pour la question de la projection de l'ego ?
Je crois que la conscience est une et indivisible. Partout la même, chez chaque être. Et qu'elle n'est collective que lorsque la séparation et la dualité exprimant des "soi" qui se regroupe, plutôt qu'un seul "un" entier qui prospère.
A mi chemin entre quoi et quoi tu veux dire ? Pour la projection de l'égo ?
Le 29 juillet 2023 à 00:59:11 lacertidae a écrit :
Le 29 juillet 2023 à 00:49:46 :
Le 29 juillet 2023 à 00:30:02 latinanglaise a écrit :
Le 28 juillet 2023 à 22:56:24 :
Le passage sur la tour de Babel est très évocateur. "faisons-nous un nom"C'est un peu dans cette métaphore de la tour de Babel, que germe l'identité humaine, l'égo projeté dans une communauté. La division naît du mélange du "soi" et de l'individualité mal exprimée, créant des interférences dans une éclipse des sens par manque de vision globale.
Cette vision incomplète, aveugle devant l'harmonie universelle !
Il est là, l'ultime fléau : cette myopie, cette incapacité à contempler l'ensemble des choses. Le manque de vision globale nous voue à l'incompréhension perpétuelle, et la confusion engendre la discorde, l'ombre qui nous dissipe dans les croyances, et dans notre individualité.
A mon humble avis, le passage de la tour de Babel n'est pas réellement l'illustration précise de l'égo de l'homme mais de celui de Dieu.
S'il le faux créateur biblique porte les attributs de l'homme, il n'est pas un dieu omniscient, s'il l'est alors pourquoi décide il d'éliminer sa propre création ou la regretter a postérieurement?Le dieu ici n'étant qu'un avatar de toute conscience possédant le fruit du savoir : celle ou le mécanisme de l'égo individuel s'est projette dans le collectif sans disparaitre, a fini par prendre pas sur tout le reste.
L'égo n'est pas le propre de l'homme mais le propre de tout être qui accède au fruit de la connaissance.
Que ce soit l'ego des hommes ou de dieu vos 2 visions se complètent.
Surtout si on prête au démiurge la dimension de conscience collective.
Une certaine vérité ne se trouverait pas à mi chemin pour la question de la projection de l'ego ?Je crois que la conscience est une et indivisible. Partout la même, chez chaque être. Et qu'elle n'est collective que lorsque la séparation et la dualité exprimant des "soi" qui se regroupe, plutôt qu'un seul "un" entier qui prospère.
A mi chemin entre quoi et quoi tu veux dire ? Pour la projection de l'égo ?
Pas bien sur de saisir ce que tu mets sous "conscience" ou pas d'accord sinon.
Pour l'ego je parlais projection de l'ego de dieu sur les hommes et projection de l'ego des hommes sur leur dieu, les 2 s'auto alimentant. Les hommes "exagérant" la puissance de leur dieu (défiant les lois de la physique/etc) et ce dieu même augmentant l'égo des hommes (construire une tour pour l'atteindre) de par l’enflement de sa propre image, de son propre égo.
archontED
Le 29 juillet 2023 à 01:08:49 :
Le 29 juillet 2023 à 00:59:11 lacertidae a écrit :
Le 29 juillet 2023 à 00:49:46 :
Le 29 juillet 2023 à 00:30:02 latinanglaise a écrit :
Le 28 juillet 2023 à 22:56:24 :
Le passage sur la tour de Babel est très évocateur. "faisons-nous un nom"C'est un peu dans cette métaphore de la tour de Babel, que germe l'identité humaine, l'égo projeté dans une communauté. La division naît du mélange du "soi" et de l'individualité mal exprimée, créant des interférences dans une éclipse des sens par manque de vision globale.
Cette vision incomplète, aveugle devant l'harmonie universelle !
Il est là, l'ultime fléau : cette myopie, cette incapacité à contempler l'ensemble des choses. Le manque de vision globale nous voue à l'incompréhension perpétuelle, et la confusion engendre la discorde, l'ombre qui nous dissipe dans les croyances, et dans notre individualité.
A mon humble avis, le passage de la tour de Babel n'est pas réellement l'illustration précise de l'égo de l'homme mais de celui de Dieu.
S'il le faux créateur biblique porte les attributs de l'homme, il n'est pas un dieu omniscient, s'il l'est alors pourquoi décide il d'éliminer sa propre création ou la regretter a postérieurement?Le dieu ici n'étant qu'un avatar de toute conscience possédant le fruit du savoir : celle ou le mécanisme de l'égo individuel s'est projette dans le collectif sans disparaitre, a fini par prendre pas sur tout le reste.
L'égo n'est pas le propre de l'homme mais le propre de tout être qui accède au fruit de la connaissance.
Que ce soit l'ego des hommes ou de dieu vos 2 visions se complètent.
Surtout si on prête au démiurge la dimension de conscience collective.
Une certaine vérité ne se trouverait pas à mi chemin pour la question de la projection de l'ego ?Je crois que la conscience est une et indivisible. Partout la même, chez chaque être. Et qu'elle n'est collective que lorsque la séparation et la dualité exprimant des "soi" qui se regroupe, plutôt qu'un seul "un" entier qui prospère.
A mi chemin entre quoi et quoi tu veux dire ? Pour la projection de l'égo ?Pas bien sur de saisir ce que tu mets sous "conscience" ou pas d'accord sinon.
Pour l'ego je parlais projection de l'ego de dieu sur les hommes et projection de l'ego des hommes sur leur dieu, les 2 s'auto alimentant. Les hommes "exagérant" la puissance de leur dieu (défiant les lois de la physique/etc) et ce dieu même augmentant l'égo des hommes (construire une tour pour l'atteindre) de par l’enflement de sa propre image, de son propre égo.
Je pense que derrière le voile de la conscience, se dresse celui qui observe avec contemplation l'émergence de l'univers, depuis son acte premier, sa fulgurance primordiale.
La perspective que tu avances est indubitablement fascinante, toutefois, il me semble que seule la dissolution totale de l'ego permet d'accéder à la vérité. Les antagonismes, qu'ils soient nourris par un Dieu tout-puissant ou par nos convictions, se révèlent être des illusions qui nous poussent vainement vers l'action faussement individuelle.
Le 29 juillet 2023 à 01:20:18 lacertidae a écrit :
Le 29 juillet 2023 à 01:08:49 :
Le 29 juillet 2023 à 00:59:11 lacertidae a écrit :
Le 29 juillet 2023 à 00:49:46 :
Le 29 juillet 2023 à 00:30:02 latinanglaise a écrit :
> Le 28 juillet 2023 à 22:56:24 :
> Le passage sur la tour de Babel est très évocateur. "faisons-nous un nom"
>
> C'est un peu dans cette métaphore de la tour de Babel, que germe l'identité humaine, l'égo projeté dans une communauté. La division naît du mélange du "soi" et de l'individualité mal exprimée, créant des interférences dans une éclipse des sens par manque de vision globale.
>
> Cette vision incomplète, aveugle devant l'harmonie universelle !
>
> Il est là, l'ultime fléau : cette myopie, cette incapacité à contempler l'ensemble des choses. Le manque de vision globale nous voue à l'incompréhension perpétuelle, et la confusion engendre la discorde, l'ombre qui nous dissipe dans les croyances, et dans notre individualité.
A mon humble avis, le passage de la tour de Babel n'est pas réellement l'illustration précise de l'égo de l'homme mais de celui de Dieu.
S'il le faux créateur biblique porte les attributs de l'homme, il n'est pas un dieu omniscient, s'il l'est alors pourquoi décide il d'éliminer sa propre création ou la regretter a postérieurement?Le dieu ici n'étant qu'un avatar de toute conscience possédant le fruit du savoir : celle ou le mécanisme de l'égo individuel s'est projette dans le collectif sans disparaitre, a fini par prendre pas sur tout le reste.
L'égo n'est pas le propre de l'homme mais le propre de tout être qui accède au fruit de la connaissance.
Que ce soit l'ego des hommes ou de dieu vos 2 visions se complètent.
Surtout si on prête au démiurge la dimension de conscience collective.
Une certaine vérité ne se trouverait pas à mi chemin pour la question de la projection de l'ego ?Je crois que la conscience est une et indivisible. Partout la même, chez chaque être. Et qu'elle n'est collective que lorsque la séparation et la dualité exprimant des "soi" qui se regroupe, plutôt qu'un seul "un" entier qui prospère.
A mi chemin entre quoi et quoi tu veux dire ? Pour la projection de l'égo ?Pas bien sur de saisir ce que tu mets sous "conscience" ou pas d'accord sinon.
Pour l'ego je parlais projection de l'ego de dieu sur les hommes et projection de l'ego des hommes sur leur dieu, les 2 s'auto alimentant. Les hommes "exagérant" la puissance de leur dieu (défiant les lois de la physique/etc) et ce dieu même augmentant l'égo des hommes (construire une tour pour l'atteindre) de par l’enflement de sa propre image, de son propre égo.Je pense que derrière le voile de la conscience, se dresse celui qui observe avec contemplation l'émergence de l'univers, depuis son acte premier, sa fulgurance primordiale.
La perspective que tu avances est indubitablement fascinante, toutefois, il me semble que seule la dissolution totale de l'ego permet d'accéder à la vérité. Les antagonismes, qu'ils soient nourris par un Dieu tout-puissant ou par nos convictions, se révèlent être des illusions qui nous poussent vainement vers l'action faussement individuelle.
D'accord je vois. Je rattache du coup ce que tu dis, celui qui observe la contemplation de son univers à l'inconscient, notre inconscient. Et c'est pour moi le couple conscient/inconscient qui définit l'être, notamment la proportion d'inconscient que nous faisons passer dans notre conscient. En cela pour moi nos consciences individuelles ne sont pas égales. Le couple conscient/inconscient l'est en revanche.
Et oui je suis d'accord concernant la dissolution totale de l'ego, c'est une nécessité. Mais pour moi il faut faire attention à ne pas le "détruire". Le but de la dissolution serait + de le dompter.
Notre égo à un sens/un but il me semble, même après dissolution. C'est notre rempart psychologique en quelque sorte je dirais. Le risque étant sinon de re rentrer dans des logiques de servitude volontaire par l'oublie du moi et l'abandonnement total à un soi dénué de subjectivité, de souffle/d'esprit. Je pense par exemple au bon croyant mais toujours soumis au dogme. Qui correspond si je reprends tes mots à l'action collective mais sans savoir qui conduit le bus. Pour cela l'ego me semble utile, mais un égo issu de ses propres cendres.
Le 29 juillet 2023 à 01:20:18 :
Le 29 juillet 2023 à 01:08:49 :
Le 29 juillet 2023 à 00:59:11 lacertidae a écrit :
Le 29 juillet 2023 à 00:49:46 :
Le 29 juillet 2023 à 00:30:02 latinanglaise a écrit :
> Le 28 juillet 2023 à 22:56:24 :
> Le passage sur la tour de Babel est très évocateur. "faisons-nous un nom"
>
> C'est un peu dans cette métaphore de la tour de Babel, que germe l'identité humaine, l'égo projeté dans une communauté. La division naît du mélange du "soi" et de l'individualité mal exprimée, créant des interférences dans une éclipse des sens par manque de vision globale.
>
> Cette vision incomplète, aveugle devant l'harmonie universelle !
>
> Il est là, l'ultime fléau : cette myopie, cette incapacité à contempler l'ensemble des choses. Le manque de vision globale nous voue à l'incompréhension perpétuelle, et la confusion engendre la discorde, l'ombre qui nous dissipe dans les croyances, et dans notre individualité.
A mon humble avis, le passage de la tour de Babel n'est pas réellement l'illustration précise de l'égo de l'homme mais de celui de Dieu.
S'il le faux créateur biblique porte les attributs de l'homme, il n'est pas un dieu omniscient, s'il l'est alors pourquoi décide il d'éliminer sa propre création ou la regretter a postérieurement?Le dieu ici n'étant qu'un avatar de toute conscience possédant le fruit du savoir : celle ou le mécanisme de l'égo individuel s'est projette dans le collectif sans disparaitre, a fini par prendre pas sur tout le reste.
L'égo n'est pas le propre de l'homme mais le propre de tout être qui accède au fruit de la connaissance.
Que ce soit l'ego des hommes ou de dieu vos 2 visions se complètent.
Surtout si on prête au démiurge la dimension de conscience collective.
Une certaine vérité ne se trouverait pas à mi chemin pour la question de la projection de l'ego ?Je crois que la conscience est une et indivisible. Partout la même, chez chaque être. Et qu'elle n'est collective que lorsque la séparation et la dualité exprimant des "soi" qui se regroupe, plutôt qu'un seul "un" entier qui prospère.
A mi chemin entre quoi et quoi tu veux dire ? Pour la projection de l'égo ?Pas bien sur de saisir ce que tu mets sous "conscience" ou pas d'accord sinon.
Pour l'ego je parlais projection de l'ego de dieu sur les hommes et projection de l'ego des hommes sur leur dieu, les 2 s'auto alimentant. Les hommes "exagérant" la puissance de leur dieu (défiant les lois de la physique/etc) et ce dieu même augmentant l'égo des hommes (construire une tour pour l'atteindre) de par l’enflement de sa propre image, de son propre égo.Je pense que derrière le voile de la conscience, se dresse celui qui observe avec contemplation l'émergence de l'univers, depuis son acte premier, sa fulgurance primordiale.
La perspective que tu avances est indubitablement fascinante, toutefois, il me semble que seule la dissolution totale de l'ego permet d'accéder à la vérité. Les antagonismes, qu'ils soient nourris par un Dieu tout-puissant ou par nos convictions, se révèlent être des illusions qui nous poussent vainement vers l'action faussement individuelle.
Oui voilà je partage a peu près la même vision de véritable dieu créateur primordiale, celui de la contemplation, sans véritable conscience.
Mais ses créations ayant une capacité d'agir, de bâtir en remodulant sans jamais véritablement atteindre ni l'omniscience ni l'omnipotence.
A chaque êtres devant néanmoins tendre vers l'idéal de la pleine conscience de soi, des autres, du bien du mal, du détachement des dogmes afin de se libérer de ses chaines individuelles pour bâtir un paradis prospère à échelle collective.
L'océan inconscient, une source féconde, qui abreuve notre mer consciente...
Je concède volontiers que tes descriptions, ainsi que la métaphore du bus, sont pleines de sens, par contre je me permettrais d'affirmer que le bus chevauche les vents de son propre destin, car il embrasse l'univers tout entier, dont nous ne sommes que des rouages infimes, non seulement sur cette planète, ni même en un seul écosystème.
"mais un égo issu de ses propres cendres."
Vision intéressante, je perçois ce que tu entends par là. L'ego, semblant se dissoudre, laisserait place à une renaissance plus "saine", en quelque sorte...
Le 29 juillet 2023 à 01:43:08 lacertidae a écrit :
L'océan inconscient, une source féconde, qui abreuve notre mer consciente...
Je concède volontiers que tes descriptions, ainsi que la métaphore du bus, sont pleines de sens, par contre je me permettrais d'affirmer que le bus chevauche les vents de son propre destin, car il embrasse l'univers tout entier, dont nous ne sommes que des rouages infimes, non seulement sur cette planète, ni même en un seul écosystème."mais un égo issu de ses propres cendres."
Vision intéressante, je perçois ce que tu entends par là. L'ego, semblant se dissoudre, laisserait place à une renaissance plus "saine", en quelque sorte...
Oui c'est ça tout à fait ! Concernant ceux qui dirige le bus disons que quand je regarde certains des "grands" de ce monde je me dis que nous avons tous potentiellement un rôle à jouer pour l'avenir. L'avenir aura forcément besoin de "réformateurs" à tout les niveaux. Certains auront pour but d'élever la conscience quand d'autres seront dans l'action + direct, etc...
La tour de babbel c'est juste le passage du langage animal, instinctif, universel et inné aux cultures et langages, propres à chaque tribu et chaque ethnie.
Le 28 juillet 2023 à 22:36:15 :
Dans la connaissance et dans la chair.
Le jardin d'Eden = L'univers ( démiurgique).Le passage du jardin d'Eden est une métaphore de la modification de l'état de conscience de l'homme par l'accès au fruit de l'arbre de la connaissance en accédant ainsi à la connaissance du bien et du mal ( dualisme), démarquant donc une séparation distincte des autres espèces animales. L'homme devient d'ailleurs une figure protectrice des animaux qui demeurant enfermée dans la non connaissance : Le passage du déluge. On pourrait également généraliser l'image à toute espèces qui acquièrent cet état de la conscience de par la possibilité de prendre des choix basés sur un dualisme morale qui dictent le chemin de l' existence. Condamné dans cet état, plus la connaissance augmente ( par exemple par le biais de la technologie) plus les responsabilités augmentent faisant ainsi plané une forme de dilemme existentiel.
Mais le dieu du jardin d'Eden est un dieu à tendance démiurgique de par sa volonté de reléguer l'homme à son rang de subalterne en le chassant du jardin d'Eden pour l'empêcher de manger le fruit de l'arbre de vie (incarnant l' immortalité), condamnant ainsi l'humain à l'enfermement dans la chair.
L'image de la crucifixion sur la croix est une réaffirmation de cet état emprisonnement et un dieu "faussement créateur".
« Il est déconcertant qu'Éden soit synonyme de paradis alors que, si l'on y pense, c'est plutôt une prison à haute sécurité et une surveillance 24 h/24. C'est un endroit horrible. Adam et Ève n'ont pas d'enfance. Ils s'éveillent adultes… Ils n'ont jamais eu de mère… Leur père est une voix terrifiante, désincarnée, qui est furieuse avec eux dès l'instant de leur premier éveil4. » Ann Druyan
L'absence d'enfance, est une analogie de la non création mais de la modification à partir d'une conscience déjà existence mais peu éveillée ( exemple ; les grands primates).Un autre élément qui pourrait aller dans le sens d'un dieu de l'ancien testament à tendance démiurgique est présente dans le passage de la tour de babel
« Toute la terre avait une seule langue et les mêmes mots. Comme ils étaient partis de l’orient, ils trouvèrent une plaine au pays de Shinar, et ils y habitèrent. Ils se dirent l’un à l’autre : Allons ! faisons des briques, et cuisons-les au feu. Et la brique leur servit de pierre, et le bitume leur servit de ciment. Ils dirent encore : Allons ! bâtissons-nous une ville et une tour dont le sommet touche au ciel, et faisons-nous un nom, afin que nous ne soyons pas dispersés sur la face de toute la terre. L’Éternel descendit pour voir la ville et la tour que bâtissaient les fils des hommes. Et l’Éternel dit : Voici, ils forment un seul peuple et ont tous une même langue, et c’est là ce qu’ils ont entrepris ; maintenant rien ne les empêcherait de faire tout ce qu’ils auraient projeté. Allons ! descendons, et là confondons leur langage, afin qu’ils n’entendent plus la langue, les uns des autres. Et l’Éternel les dispersa loin de là sur la face de toute la terre et leur donna tous un langage différent ; et ils cessèrent de bâtir la ville. C’est pourquoi on l’appela du nom de Babel, car c’est là que l’Éternel confondit le langage de toute la terre, et c’est de là que l’Éternel les dispersa sur la face de toute la terre5. »Le dieu empêche l'élévation par la confusion des langues ( qui peut également être vue comme l'interdiction d'accès au langage universel) et donc la compréhension globale : la télépathie ou le langage par les concepts.
Arrêtez de lire la Bible comme un roman, bon Dieu !
Déja, la Genèse parle du Jardin d'Eden comme un lieu réel. Il faut savoir que c'est tout d'abord un lieu terrestre. La Genèse situe les fleuves proches du Jardin d'Eden tel que l'Euphrate et le Tigre, en plus de cela elle précise le nom des pays qui traversent ces fleuves ainsi que les ressources naturelles de la région. Une métaphore n'est pas censée être aussi détaillé.
Il est impossible que des organismes complexe même si dit simple viennent par le hasard, le récit de la Genèse nous dit que l'homme est à l'image de Dieu, l'homme peut donc créer des choses, capacité que les animaux n'ont pas. Ne serait-ce pas logique de penser que Dieu est un bien meilleur créateur que nous ?
La femme est fait à partir de la côte de l'homme, et ainsi l'homme et la femme se complètent. (Il a été remarqué par les scientifiques que la côte est le seul os capable de se réparer tout seul et de repousser si la membrane de tissu conjonctif est intacte) De plus, les scientifiques admettent que les humains viennent d'un premier couple homme femme.
L'arbre de vie et l'arbre de la connaissance sont des symboles mais c'était des arbres normaux.
Le plus souvent dans la Bible les animaux qui font des actions hors norme le font car ils sont possédés par des esprits ! Le serpent a été probablement possédés par satan.
Même Jésus a parlé du Jardin d'Eden comme une chose réelle, et il ne ment pas (et c'est certifié que Jésus a existé)
Le 29 juillet 2023 à 18:43:36 :
Déja, la Genèse parle du Jardin d'Eden comme un lieu réel. Il faut savoir que c'est tout d'abord un lieu terrestre. La Genèse situe les fleuves proches du Jardin d'Eden tel que l'Euphrate et le Tigre, en plus de cela elle précise le nom des pays qui traversent ces fleuves ainsi que les ressources naturelles de la région. Une métaphore n'est pas censée être aussi détaillé.Il est impossible que des organismes complexe même si dit simple viennent par le hasard, le récit de la Genèse nous dit que l'homme est à l'image de Dieu, l'homme peut donc créer des choses, capacité que les animaux n'ont pas. Ne serait-ce pas logique de penser que Dieu est un bien meilleur créateur que nous ?
La femme est fait à partir de la côte de l'homme, et ainsi l'homme et la femme se complètent. (Il a été remarqué par les scientifiques que la côte est le seul os capable de se réparer tout seul et de repousser si la membrane de tissu conjonctif est intacte) De plus, les scientifiques admettent que les humains viennent d'un premier couple homme femme.
L'arbre de vie et l'arbre de la connaissance sont des symboles mais c'était des arbres normaux.
Le plus souvent dans la Bible les animaux qui font des actions hors norme le font car ils sont possédés par des esprits ! Le serpent a été probablement possédés par satan.
Même Jésus a parlé du Jardin d'Eden comme une chose réelle, et il ne ment pas (et c'est certifié que Jésus a existé)
Ça ça sent le khey qui a torché le fascicule Y'a t-il un créateur qui se soucie de vous ?