Le 12 décembre 2021 à 16:54:55 :
Le 12 décembre 2021 à 16:53:28 OdeurDuZyklonB a écrit :
Le 12 décembre 2021 à 16:50:50 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:53 OdeurDuZyklonB a écrit :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:30 :
Le fœtus est un être vivant mais n'est pas une personne humaine. Or le meurtre répond à une définition précise qui consiste à ôter la vie intentionnellement d'une personne humaine. Partant on ne peut pas considérer l'avortement comme un meurtre, donc il n'y a pas lieu à bannir cette pratique.L'avortement est un meurtre que ça te plaise ou non. Et par "meurtre" j'entends "homicide", soit la fin de la vie d'un être humain provoquée par un autre être humain.
Partant, j'ai deux choses à démontrer : que l'enfant à naître est un être humain, et qu'il est vivant.
Il ne fait aucun doute que le fœtus est bien un être humain. Être à un stade de développement différent ne signifie pas appartenir à une espèce différente. La rose n'est pas moins une rose avant d'avoir éclot. Le louveteau n'est certes pas un loup, mais il est bien un canis lupus. De même, le fœtus étant destiné à devenir un homme, il ne peut être qu'homo sapiens ; un être ne saurait changer d'espèce en se développant. Les gens qui tentent de nier la qualité d'Homme à un fœtus sont des hypocrites : vous ne les verrez jamais dire à une femme heureuse de sa grossesse que son enfant est un parasite dont elle doit se débarrasser. L'humanité du fœtus est dépendante à leurs yeux de la volonté arbitraire de la mère. Cette position est illégitime de par son incohérence.
On pourrait penser que démontrer que le fœtus est vivant est une tâche ardue. Beaucoup d'opposants à l'avortement se résignent d'ailleurs à dire qu'on ne sait pas quand la vie apparaît, et qu'on ne peut donc pas prendre le risque d'y mettre fin. Pourtant, comme son humanité, la vie du fœtus est indéniable. Il y a trois états de "non-vie" : la non-existence, la mort, et l'existence sans vie. Les deux premiers s'expliquent aisément. Mon fils n'est pas vivant, car il n'existe pas. Mes grands-parents ne sont pas vivants, car ils ne sont plus vivants. Le troisième est plus problématique. Comment distinguer l'existence vivante de l'existence sans vie ? Qu'est-ce qui rend le chêne vivant et pas le rocher ? Le critère qui permet de distinguer la vie de la non-vie est ce que j'appellerai la croissance. Notion en réalité plus vaste, elle regroupe l'ensemble des transformations qui affectent un être, mais qui sont le produit de l'être lui-même plutôt que de facteurs extérieurs. Sous cette définition, les trois états de non-vie se rejoignent. Mon fils n'existant pas, il ne peut croître. Les changements qui affectent mes grands-parents depuis leur décès (i.e. la décomposition) sont bien le produit d'acteurs externes (les bactéries et autres engeances de la nature). Enfin, si le rocher subit lui aussi des transformations (notamment l'érosion), elles aussi sont dues à des éléments extérieurs au rocher lui-même (vent, pluie, etc). Le fœtus rentre de fait sans conteste dans le vivant, car il croît bien par lui-même. On pourrait m'avancer que la croissance du fœtus est provoquée par la mère. Je répondrais que la mère n'est pas responsable de la croissance du fœtus, seulement de son alimentation. Tous les êtres vivants sont dépendants de facteurs externes assurant leur alimentation : le chêne requiert certes des minéraux de la terre et l'énergie lumineuse du Soleil pour croître, mais la terre ou le Soleil ne sont pas pour autant responsables de la croissance du chêne.
Il apparaît évident que l'enfant est dès la conception un être humain vivant. Ne vous laissez pas en douter. La question n'est pas "L'avortement est-il la mise à mort d'un être humain ?" mais "La mise à mort d'un être humain que représente l'avortement est-elle morale ?", question à laquelle ma réponse est déjà bien tranchée.
QED. La leçon est terminée.
Toute ta démonstration est vouée à l'échec à partir du moment où on ne reconnaît pas juridiquement la qualité de personne humaine au fœtus. Il n'y a pas lieu d'appliquer le régime correspond au meurtre. Point.
Je ne te parle pas de ce que dit la loi le golem
Et si tu commençais à penser au lieu de répéter ?https://image.noelshack.com/fichiers/2021/10/2/1615328575-unitinu-1.png Très bonne idée qu'il faudrait appliquer au lieu de se contenter de copier-coller des talc inintéressants au possible.
Le pavé est de moi, je l'ai conçu, maintenant à toi de concevoir une réponse ou de partir la tête baissée
Le 12 décembre 2021 à 16:49:53 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:30 :
Le fœtus est un être vivant mais n'est pas une personne humaine. Or le meurtre répond à une définition précise qui consiste à ôter la vie intentionnellement d'une personne humaine. Partant on ne peut pas considérer l'avortement comme un meurtre, donc il n'y a pas lieu à bannir cette pratique.L'avortement est un meurtre que ça te plaise ou non. Et par "meurtre" j'entends "homicide", soit la fin de la vie d'un être humain provoquée par un autre être humain.
Partant, j'ai deux choses à démontrer : que l'enfant à naître est un être humain, et qu'il est vivant.
Il ne fait aucun doute que le fœtus est bien un être humain. Être à un stade de développement différent ne signifie pas appartenir à une espèce différente. La rose n'est pas moins une rose avant d'avoir éclot. Le louveteau n'est certes pas un loup, mais il est bien un canis lupus. De même, le fœtus étant destiné à devenir un homme, il ne peut être qu'homo sapiens ; un être ne saurait changer d'espèce en se développant. Les gens qui tentent de nier la qualité d'Homme à un fœtus sont des hypocrites : vous ne les verrez jamais dire à une femme heureuse de sa grossesse que son enfant est un parasite dont elle doit se débarrasser. L'humanité du fœtus est dépendante à leurs yeux de la volonté arbitraire de la mère. Cette position est illégitime de par son incohérence.
On pourrait penser que démontrer que le fœtus est vivant est une tâche ardue. Beaucoup d'opposants à l'avortement se résignent d'ailleurs à dire qu'on ne sait pas quand la vie apparaît, et qu'on ne peut donc pas prendre le risque d'y mettre fin. Pourtant, comme son humanité, la vie du fœtus est indéniable. Il y a trois états de "non-vie" : la non-existence, la mort, et l'existence sans vie. Les deux premiers s'expliquent aisément. Mon fils n'est pas vivant, car il n'existe pas. Mes grands-parents ne sont pas vivants, car ils ne sont plus vivants. Le troisième est plus problématique. Comment distinguer l'existence vivante de l'existence sans vie ? Qu'est-ce qui rend le chêne vivant et pas le rocher ? Le critère qui permet de distinguer la vie de la non-vie est ce que j'appellerai la croissance. Notion en réalité plus vaste, elle regroupe l'ensemble des transformations qui affectent un être, mais qui sont le produit de l'être lui-même plutôt que de facteurs extérieurs. Sous cette définition, les trois états de non-vie se rejoignent. Mon fils n'existant pas, il ne peut croître. Les changements qui affectent mes grands-parents depuis leur décès (i.e. la décomposition) sont bien le produit d'acteurs externes (les bactéries et autres engeances de la nature). Enfin, si le rocher subit lui aussi des transformations (notamment l'érosion), elles aussi sont dues à des éléments extérieurs au rocher lui-même (vent, pluie, etc). Le fœtus rentre de fait sans conteste dans le vivant, car il croît bien par lui-même. On pourrait m'avancer que la croissance du fœtus est provoquée par la mère. Je répondrais que la mère n'est pas responsable de la croissance du fœtus, seulement de son alimentation. Tous les êtres vivants sont dépendants de facteurs externes assurant leur alimentation : le chêne requiert certes des minéraux de la terre et l'énergie lumineuse du Soleil pour croître, mais la terre ou le Soleil ne sont pas pour autant responsables de la croissance du chêne.
Il apparaît évident que l'enfant est dès la conception un être humain vivant. Ne vous laissez pas en douter. La question n'est pas "L'avortement est-il la mise à mort d'un être humain ?" mais "La mise à mort d'un être humain que représente l'avortement est-elle morale ?", question à laquelle ma réponse est déjà bien tranchée.
QED. La leçon est terminée.
Avec ton raisonnement tout spermatozoide et toute ovule sont des êtres humains à un stade de développement peu avancé
Chacune de tes branlettes est un génocide, j'espère que t'es content
Le 12 décembre 2021 à 16:56:44 OdeurDuZyklonB a écrit :
Le 12 décembre 2021 à 16:54:55 :
Le 12 décembre 2021 à 16:53:28 OdeurDuZyklonB a écrit :
Le 12 décembre 2021 à 16:50:50 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:53 OdeurDuZyklonB a écrit :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:30 :
Le fœtus est un être vivant mais n'est pas une personne humaine. Or le meurtre répond à une définition précise qui consiste à ôter la vie intentionnellement d'une personne humaine. Partant on ne peut pas considérer l'avortement comme un meurtre, donc il n'y a pas lieu à bannir cette pratique.L'avortement est un meurtre que ça te plaise ou non. Et par "meurtre" j'entends "homicide", soit la fin de la vie d'un être humain provoquée par un autre être humain.
Partant, j'ai deux choses à démontrer : que l'enfant à naître est un être humain, et qu'il est vivant.
Il ne fait aucun doute que le fœtus est bien un être humain. Être à un stade de développement différent ne signifie pas appartenir à une espèce différente. La rose n'est pas moins une rose avant d'avoir éclot. Le louveteau n'est certes pas un loup, mais il est bien un canis lupus. De même, le fœtus étant destiné à devenir un homme, il ne peut être qu'homo sapiens ; un être ne saurait changer d'espèce en se développant. Les gens qui tentent de nier la qualité d'Homme à un fœtus sont des hypocrites : vous ne les verrez jamais dire à une femme heureuse de sa grossesse que son enfant est un parasite dont elle doit se débarrasser. L'humanité du fœtus est dépendante à leurs yeux de la volonté arbitraire de la mère. Cette position est illégitime de par son incohérence.
On pourrait penser que démontrer que le fœtus est vivant est une tâche ardue. Beaucoup d'opposants à l'avortement se résignent d'ailleurs à dire qu'on ne sait pas quand la vie apparaît, et qu'on ne peut donc pas prendre le risque d'y mettre fin. Pourtant, comme son humanité, la vie du fœtus est indéniable. Il y a trois états de "non-vie" : la non-existence, la mort, et l'existence sans vie. Les deux premiers s'expliquent aisément. Mon fils n'est pas vivant, car il n'existe pas. Mes grands-parents ne sont pas vivants, car ils ne sont plus vivants. Le troisième est plus problématique. Comment distinguer l'existence vivante de l'existence sans vie ? Qu'est-ce qui rend le chêne vivant et pas le rocher ? Le critère qui permet de distinguer la vie de la non-vie est ce que j'appellerai la croissance. Notion en réalité plus vaste, elle regroupe l'ensemble des transformations qui affectent un être, mais qui sont le produit de l'être lui-même plutôt que de facteurs extérieurs. Sous cette définition, les trois états de non-vie se rejoignent. Mon fils n'existant pas, il ne peut croître. Les changements qui affectent mes grands-parents depuis leur décès (i.e. la décomposition) sont bien le produit d'acteurs externes (les bactéries et autres engeances de la nature). Enfin, si le rocher subit lui aussi des transformations (notamment l'érosion), elles aussi sont dues à des éléments extérieurs au rocher lui-même (vent, pluie, etc). Le fœtus rentre de fait sans conteste dans le vivant, car il croît bien par lui-même. On pourrait m'avancer que la croissance du fœtus est provoquée par la mère. Je répondrais que la mère n'est pas responsable de la croissance du fœtus, seulement de son alimentation. Tous les êtres vivants sont dépendants de facteurs externes assurant leur alimentation : le chêne requiert certes des minéraux de la terre et l'énergie lumineuse du Soleil pour croître, mais la terre ou le Soleil ne sont pas pour autant responsables de la croissance du chêne.
Il apparaît évident que l'enfant est dès la conception un être humain vivant. Ne vous laissez pas en douter. La question n'est pas "L'avortement est-il la mise à mort d'un être humain ?" mais "La mise à mort d'un être humain que représente l'avortement est-elle morale ?", question à laquelle ma réponse est déjà bien tranchée.
QED. La leçon est terminée.
Toute ta démonstration est vouée à l'échec à partir du moment où on ne reconnaît pas juridiquement la qualité de personne humaine au fœtus. Il n'y a pas lieu d'appliquer le régime correspond au meurtre. Point.
Je ne te parle pas de ce que dit la loi le golem
Et si tu commençais à penser au lieu de répéter ?https://image.noelshack.com/fichiers/2021/10/2/1615328575-unitinu-1.png Très bonne idée qu'il faudrait appliquer au lieu de se contenter de copier-coller des talc inintéressants au possible.
Le pavé est de moi, je l'ai conçu, maintenant à toi de concevoir une réponse ou de partir la tête baissée
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/10/2/1615328575-unitinu-1.png
Il y a déjà ma réponse. Quel dommage d'avoir perdu autant de temps pour cela.
Le 12 décembre 2021 à 16:52:58 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:53 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:30 :
Le fœtus est un être vivant mais n'est pas une personne humaine. Or le meurtre répond à une définition précise qui consiste à ôter la vie intentionnellement d'une personne humaine. Partant on ne peut pas considérer l'avortement comme un meurtre, donc il n'y a pas lieu à bannir cette pratique.L'avortement est un meurtre que ça te plaise ou non. Et par "meurtre" j'entends "homicide", soit la fin de la vie d'un être humain provoquée par un autre être humain.
Partant, j'ai deux choses à démontrer : que l'enfant à naître est un être humain, et qu'il est vivant.
Il ne fait aucun doute que le fœtus est bien un être humain. Être à un stade de développement différent ne signifie pas appartenir à une espèce différente. La rose n'est pas moins une rose avant d'avoir éclot. Le louveteau n'est certes pas un loup, mais il est bien un canis lupus. De même, le fœtus étant destiné à devenir un homme, il ne peut être qu'homo sapiens ; un être ne saurait changer d'espèce en se développant. Les gens qui tentent de nier la qualité d'Homme à un fœtus sont des hypocrites : vous ne les verrez jamais dire à une femme heureuse de sa grossesse que son enfant est un parasite dont elle doit se débarrasser. L'humanité du fœtus est dépendante à leurs yeux de la volonté arbitraire de la mère. Cette position est illégitime de par son incohérence.
On pourrait penser que démontrer que le fœtus est vivant est une tâche ardue. Beaucoup d'opposants à l'avortement se résignent d'ailleurs à dire qu'on ne sait pas quand la vie apparaît, et qu'on ne peut donc pas prendre le risque d'y mettre fin. Pourtant, comme son humanité, la vie du fœtus est indéniable. Il y a trois états de "non-vie" : la non-existence, la mort, et l'existence sans vie. Les deux premiers s'expliquent aisément. Mon fils n'est pas vivant, car il n'existe pas. Mes grands-parents ne sont pas vivants, car ils ne sont plus vivants. Le troisième est plus problématique. Comment distinguer l'existence vivante de l'existence sans vie ? Qu'est-ce qui rend le chêne vivant et pas le rocher ? Le critère qui permet de distinguer la vie de la non-vie est ce que j'appellerai la croissance. Notion en réalité plus vaste, elle regroupe l'ensemble des transformations qui affectent un être, mais qui sont le produit de l'être lui-même plutôt que de facteurs extérieurs. Sous cette définition, les trois états de non-vie se rejoignent. Mon fils n'existant pas, il ne peut croître. Les changements qui affectent mes grands-parents depuis leur décès (i.e. la décomposition) sont bien le produit d'acteurs externes (les bactéries et autres engeances de la nature). Enfin, si le rocher subit lui aussi des transformations (notamment l'érosion), elles aussi sont dues à des éléments extérieurs au rocher lui-même (vent, pluie, etc). Le fœtus rentre de fait sans conteste dans le vivant, car il croît bien par lui-même. On pourrait m'avancer que la croissance du fœtus est provoquée par la mère. Je répondrais que la mère n'est pas responsable de la croissance du fœtus, seulement de son alimentation. Tous les êtres vivants sont dépendants de facteurs externes assurant leur alimentation : le chêne requiert certes des minéraux de la terre et l'énergie lumineuse du Soleil pour croître, mais la terre ou le Soleil ne sont pas pour autant responsables de la croissance du chêne.
Il apparaît évident que l'enfant est dès la conception un être humain vivant. Ne vous laissez pas en douter. La question n'est pas "L'avortement est-il la mise à mort d'un être humain ?" mais "La mise à mort d'un être humain que représente l'avortement est-elle morale ?", question à laquelle ma réponse est déjà bien tranchée.
QED. La leçon est terminée.
propre
Admirer le tueur du zodiac et être opposé à L'IVG c'est un peu contradictoire cependant.
Le 12 décembre 2021 à 16:56:09 :
Sinon il y a une conclusion bien plus simple à tout çaMême si on considère que le foetus est un être humain la vie humaine ne vaut rien, donc osef
Range ta chambre puant le sperme et tu feras un pas vers la fin de ta dépression
Le 12 décembre 2021 à 16:56:16 :
Une fournaise intense attend les femmes qui avorte
Les avortax ne réalisent pas que leurs actions auront des conséquences
Le 12 décembre 2021 à 16:53:28 :
Le 12 décembre 2021 à 16:50:50 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:53 OdeurDuZyklonB a écrit :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:30 :
Le fœtus est un être vivant mais n'est pas une personne humaine. Or le meurtre répond à une définition précise qui consiste à ôter la vie intentionnellement d'une personne humaine. Partant on ne peut pas considérer l'avortement comme un meurtre, donc il n'y a pas lieu à bannir cette pratique.L'avortement est un meurtre que ça te plaise ou non. Et par "meurtre" j'entends "homicide", soit la fin de la vie d'un être humain provoquée par un autre être humain.
Partant, j'ai deux choses à démontrer : que l'enfant à naître est un être humain, et qu'il est vivant.
Il ne fait aucun doute que le fœtus est bien un être humain. Être à un stade de développement différent ne signifie pas appartenir à une espèce différente. La rose n'est pas moins une rose avant d'avoir éclot. Le louveteau n'est certes pas un loup, mais il est bien un canis lupus. De même, le fœtus étant destiné à devenir un homme, il ne peut être qu'homo sapiens ; un être ne saurait changer d'espèce en se développant. Les gens qui tentent de nier la qualité d'Homme à un fœtus sont des hypocrites : vous ne les verrez jamais dire à une femme heureuse de sa grossesse que son enfant est un parasite dont elle doit se débarrasser. L'humanité du fœtus est dépendante à leurs yeux de la volonté arbitraire de la mère. Cette position est illégitime de par son incohérence.
On pourrait penser que démontrer que le fœtus est vivant est une tâche ardue. Beaucoup d'opposants à l'avortement se résignent d'ailleurs à dire qu'on ne sait pas quand la vie apparaît, et qu'on ne peut donc pas prendre le risque d'y mettre fin. Pourtant, comme son humanité, la vie du fœtus est indéniable. Il y a trois états de "non-vie" : la non-existence, la mort, et l'existence sans vie. Les deux premiers s'expliquent aisément. Mon fils n'est pas vivant, car il n'existe pas. Mes grands-parents ne sont pas vivants, car ils ne sont plus vivants. Le troisième est plus problématique. Comment distinguer l'existence vivante de l'existence sans vie ? Qu'est-ce qui rend le chêne vivant et pas le rocher ? Le critère qui permet de distinguer la vie de la non-vie est ce que j'appellerai la croissance. Notion en réalité plus vaste, elle regroupe l'ensemble des transformations qui affectent un être, mais qui sont le produit de l'être lui-même plutôt que de facteurs extérieurs. Sous cette définition, les trois états de non-vie se rejoignent. Mon fils n'existant pas, il ne peut croître. Les changements qui affectent mes grands-parents depuis leur décès (i.e. la décomposition) sont bien le produit d'acteurs externes (les bactéries et autres engeances de la nature). Enfin, si le rocher subit lui aussi des transformations (notamment l'érosion), elles aussi sont dues à des éléments extérieurs au rocher lui-même (vent, pluie, etc). Le fœtus rentre de fait sans conteste dans le vivant, car il croît bien par lui-même. On pourrait m'avancer que la croissance du fœtus est provoquée par la mère. Je répondrais que la mère n'est pas responsable de la croissance du fœtus, seulement de son alimentation. Tous les êtres vivants sont dépendants de facteurs externes assurant leur alimentation : le chêne requiert certes des minéraux de la terre et l'énergie lumineuse du Soleil pour croître, mais la terre ou le Soleil ne sont pas pour autant responsables de la croissance du chêne.
Il apparaît évident que l'enfant est dès la conception un être humain vivant. Ne vous laissez pas en douter. La question n'est pas "L'avortement est-il la mise à mort d'un être humain ?" mais "La mise à mort d'un être humain que représente l'avortement est-elle morale ?", question à laquelle ma réponse est déjà bien tranchée.
QED. La leçon est terminée.
Toute ta démonstration est vouée à l'échec à partir du moment où on ne reconnaît pas juridiquement la qualité de personne humaine au fœtus. Il n'y a pas lieu d'appliquer le régime correspond au meurtre. Point.
Je ne te parle pas de ce que dit la loi le golem
Et si tu commençais à penser au lieu de répéter ?https://image.noelshack.com/fichiers/2021/10/2/1615328575-unitinu-1.png
Tu utilises le meurtre qui est une notion juridique
Mais la loi ne t'intéresse pas
Le 12 décembre 2021 à 16:57:48 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:53 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:30 :
Le fœtus est un être vivant mais n'est pas une personne humaine. Or le meurtre répond à une définition précise qui consiste à ôter la vie intentionnellement d'une personne humaine. Partant on ne peut pas considérer l'avortement comme un meurtre, donc il n'y a pas lieu à bannir cette pratique.L'avortement est un meurtre que ça te plaise ou non. Et par "meurtre" j'entends "homicide", soit la fin de la vie d'un être humain provoquée par un autre être humain.
Partant, j'ai deux choses à démontrer : que l'enfant à naître est un être humain, et qu'il est vivant.
Il ne fait aucun doute que le fœtus est bien un être humain. Être à un stade de développement différent ne signifie pas appartenir à une espèce différente. La rose n'est pas moins une rose avant d'avoir éclot. Le louveteau n'est certes pas un loup, mais il est bien un canis lupus. De même, le fœtus étant destiné à devenir un homme, il ne peut être qu'homo sapiens ; un être ne saurait changer d'espèce en se développant. Les gens qui tentent de nier la qualité d'Homme à un fœtus sont des hypocrites : vous ne les verrez jamais dire à une femme heureuse de sa grossesse que son enfant est un parasite dont elle doit se débarrasser. L'humanité du fœtus est dépendante à leurs yeux de la volonté arbitraire de la mère. Cette position est illégitime de par son incohérence.
On pourrait penser que démontrer que le fœtus est vivant est une tâche ardue. Beaucoup d'opposants à l'avortement se résignent d'ailleurs à dire qu'on ne sait pas quand la vie apparaît, et qu'on ne peut donc pas prendre le risque d'y mettre fin. Pourtant, comme son humanité, la vie du fœtus est indéniable. Il y a trois états de "non-vie" : la non-existence, la mort, et l'existence sans vie. Les deux premiers s'expliquent aisément. Mon fils n'est pas vivant, car il n'existe pas. Mes grands-parents ne sont pas vivants, car ils ne sont plus vivants. Le troisième est plus problématique. Comment distinguer l'existence vivante de l'existence sans vie ? Qu'est-ce qui rend le chêne vivant et pas le rocher ? Le critère qui permet de distinguer la vie de la non-vie est ce que j'appellerai la croissance. Notion en réalité plus vaste, elle regroupe l'ensemble des transformations qui affectent un être, mais qui sont le produit de l'être lui-même plutôt que de facteurs extérieurs. Sous cette définition, les trois états de non-vie se rejoignent. Mon fils n'existant pas, il ne peut croître. Les changements qui affectent mes grands-parents depuis leur décès (i.e. la décomposition) sont bien le produit d'acteurs externes (les bactéries et autres engeances de la nature). Enfin, si le rocher subit lui aussi des transformations (notamment l'érosion), elles aussi sont dues à des éléments extérieurs au rocher lui-même (vent, pluie, etc). Le fœtus rentre de fait sans conteste dans le vivant, car il croît bien par lui-même. On pourrait m'avancer que la croissance du fœtus est provoquée par la mère. Je répondrais que la mère n'est pas responsable de la croissance du fœtus, seulement de son alimentation. Tous les êtres vivants sont dépendants de facteurs externes assurant leur alimentation : le chêne requiert certes des minéraux de la terre et l'énergie lumineuse du Soleil pour croître, mais la terre ou le Soleil ne sont pas pour autant responsables de la croissance du chêne.
Il apparaît évident que l'enfant est dès la conception un être humain vivant. Ne vous laissez pas en douter. La question n'est pas "L'avortement est-il la mise à mort d'un être humain ?" mais "La mise à mort d'un être humain que représente l'avortement est-elle morale ?", question à laquelle ma réponse est déjà bien tranchée.
QED. La leçon est terminée.
Avec ton raisonnement tout spermatozoide et toute ovule sont des êtres humains à un stade de développement peu avancé
Chacune de tes branlettes est un génocide, j'espère que t'es content
Ayaaa l'OP en PLS
Post avant 'Je ne me branle plus depuis longtemps'
Le 12 décembre 2021 à 16:59:20 Chonclade29 a écrit :
Le 12 décembre 2021 à 16:57:48 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:53 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:30 :
Le fœtus est un être vivant mais n'est pas une personne humaine. Or le meurtre répond à une définition précise qui consiste à ôter la vie intentionnellement d'une personne humaine. Partant on ne peut pas considérer l'avortement comme un meurtre, donc il n'y a pas lieu à bannir cette pratique.L'avortement est un meurtre que ça te plaise ou non. Et par "meurtre" j'entends "homicide", soit la fin de la vie d'un être humain provoquée par un autre être humain.
Partant, j'ai deux choses à démontrer : que l'enfant à naître est un être humain, et qu'il est vivant.
Il ne fait aucun doute que le fœtus est bien un être humain. Être à un stade de développement différent ne signifie pas appartenir à une espèce différente. La rose n'est pas moins une rose avant d'avoir éclot. Le louveteau n'est certes pas un loup, mais il est bien un canis lupus. De même, le fœtus étant destiné à devenir un homme, il ne peut être qu'homo sapiens ; un être ne saurait changer d'espèce en se développant. Les gens qui tentent de nier la qualité d'Homme à un fœtus sont des hypocrites : vous ne les verrez jamais dire à une femme heureuse de sa grossesse que son enfant est un parasite dont elle doit se débarrasser. L'humanité du fœtus est dépendante à leurs yeux de la volonté arbitraire de la mère. Cette position est illégitime de par son incohérence.
On pourrait penser que démontrer que le fœtus est vivant est une tâche ardue. Beaucoup d'opposants à l'avortement se résignent d'ailleurs à dire qu'on ne sait pas quand la vie apparaît, et qu'on ne peut donc pas prendre le risque d'y mettre fin. Pourtant, comme son humanité, la vie du fœtus est indéniable. Il y a trois états de "non-vie" : la non-existence, la mort, et l'existence sans vie. Les deux premiers s'expliquent aisément. Mon fils n'est pas vivant, car il n'existe pas. Mes grands-parents ne sont pas vivants, car ils ne sont plus vivants. Le troisième est plus problématique. Comment distinguer l'existence vivante de l'existence sans vie ? Qu'est-ce qui rend le chêne vivant et pas le rocher ? Le critère qui permet de distinguer la vie de la non-vie est ce que j'appellerai la croissance. Notion en réalité plus vaste, elle regroupe l'ensemble des transformations qui affectent un être, mais qui sont le produit de l'être lui-même plutôt que de facteurs extérieurs. Sous cette définition, les trois états de non-vie se rejoignent. Mon fils n'existant pas, il ne peut croître. Les changements qui affectent mes grands-parents depuis leur décès (i.e. la décomposition) sont bien le produit d'acteurs externes (les bactéries et autres engeances de la nature). Enfin, si le rocher subit lui aussi des transformations (notamment l'érosion), elles aussi sont dues à des éléments extérieurs au rocher lui-même (vent, pluie, etc). Le fœtus rentre de fait sans conteste dans le vivant, car il croît bien par lui-même. On pourrait m'avancer que la croissance du fœtus est provoquée par la mère. Je répondrais que la mère n'est pas responsable de la croissance du fœtus, seulement de son alimentation. Tous les êtres vivants sont dépendants de facteurs externes assurant leur alimentation : le chêne requiert certes des minéraux de la terre et l'énergie lumineuse du Soleil pour croître, mais la terre ou le Soleil ne sont pas pour autant responsables de la croissance du chêne.
Il apparaît évident que l'enfant est dès la conception un être humain vivant. Ne vous laissez pas en douter. La question n'est pas "L'avortement est-il la mise à mort d'un être humain ?" mais "La mise à mort d'un être humain que représente l'avortement est-elle morale ?", question à laquelle ma réponse est déjà bien tranchée.
QED. La leçon est terminée.
Avec ton raisonnement tout spermatozoide et toute ovule sont des êtres humains à un stade de développement peu avancé
Chacune de tes branlettes est un génocide, j'espère que t'es content
Ayaaa l'OP en PLS
Post avant 'Je ne me branle plus depuis longtemps'
Le 12 décembre 2021 à 16:59:20 :
Le 12 décembre 2021 à 16:57:48 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:53 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:30 :
Le fœtus est un être vivant mais n'est pas une personne humaine. Or le meurtre répond à une définition précise qui consiste à ôter la vie intentionnellement d'une personne humaine. Partant on ne peut pas considérer l'avortement comme un meurtre, donc il n'y a pas lieu à bannir cette pratique.L'avortement est un meurtre que ça te plaise ou non. Et par "meurtre" j'entends "homicide", soit la fin de la vie d'un être humain provoquée par un autre être humain.
Partant, j'ai deux choses à démontrer : que l'enfant à naître est un être humain, et qu'il est vivant.
Il ne fait aucun doute que le fœtus est bien un être humain. Être à un stade de développement différent ne signifie pas appartenir à une espèce différente. La rose n'est pas moins une rose avant d'avoir éclot. Le louveteau n'est certes pas un loup, mais il est bien un canis lupus. De même, le fœtus étant destiné à devenir un homme, il ne peut être qu'homo sapiens ; un être ne saurait changer d'espèce en se développant. Les gens qui tentent de nier la qualité d'Homme à un fœtus sont des hypocrites : vous ne les verrez jamais dire à une femme heureuse de sa grossesse que son enfant est un parasite dont elle doit se débarrasser. L'humanité du fœtus est dépendante à leurs yeux de la volonté arbitraire de la mère. Cette position est illégitime de par son incohérence.
On pourrait penser que démontrer que le fœtus est vivant est une tâche ardue. Beaucoup d'opposants à l'avortement se résignent d'ailleurs à dire qu'on ne sait pas quand la vie apparaît, et qu'on ne peut donc pas prendre le risque d'y mettre fin. Pourtant, comme son humanité, la vie du fœtus est indéniable. Il y a trois états de "non-vie" : la non-existence, la mort, et l'existence sans vie. Les deux premiers s'expliquent aisément. Mon fils n'est pas vivant, car il n'existe pas. Mes grands-parents ne sont pas vivants, car ils ne sont plus vivants. Le troisième est plus problématique. Comment distinguer l'existence vivante de l'existence sans vie ? Qu'est-ce qui rend le chêne vivant et pas le rocher ? Le critère qui permet de distinguer la vie de la non-vie est ce que j'appellerai la croissance. Notion en réalité plus vaste, elle regroupe l'ensemble des transformations qui affectent un être, mais qui sont le produit de l'être lui-même plutôt que de facteurs extérieurs. Sous cette définition, les trois états de non-vie se rejoignent. Mon fils n'existant pas, il ne peut croître. Les changements qui affectent mes grands-parents depuis leur décès (i.e. la décomposition) sont bien le produit d'acteurs externes (les bactéries et autres engeances de la nature). Enfin, si le rocher subit lui aussi des transformations (notamment l'érosion), elles aussi sont dues à des éléments extérieurs au rocher lui-même (vent, pluie, etc). Le fœtus rentre de fait sans conteste dans le vivant, car il croît bien par lui-même. On pourrait m'avancer que la croissance du fœtus est provoquée par la mère. Je répondrais que la mère n'est pas responsable de la croissance du fœtus, seulement de son alimentation. Tous les êtres vivants sont dépendants de facteurs externes assurant leur alimentation : le chêne requiert certes des minéraux de la terre et l'énergie lumineuse du Soleil pour croître, mais la terre ou le Soleil ne sont pas pour autant responsables de la croissance du chêne.
Il apparaît évident que l'enfant est dès la conception un être humain vivant. Ne vous laissez pas en douter. La question n'est pas "L'avortement est-il la mise à mort d'un être humain ?" mais "La mise à mort d'un être humain que représente l'avortement est-elle morale ?", question à laquelle ma réponse est déjà bien tranchée.
QED. La leçon est terminée.
Avec ton raisonnement tout spermatozoide et toute ovule sont des êtres humains à un stade de développement peu avancé
Chacune de tes branlettes est un génocide, j'espère que t'es content
Ayaaa l'OP en PLS
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Ses spermatozoides vont quand même être produits puis mourir dans ses couilles
Une seule solution : la vasectomie, 0 spermatozoide produit, 0 mort d'un être humain à un stade de développement peu avancé
Le 12 décembre 2021 à 16:57:48 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:53 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:30 :
Le fœtus est un être vivant mais n'est pas une personne humaine. Or le meurtre répond à une définition précise qui consiste à ôter la vie intentionnellement d'une personne humaine. Partant on ne peut pas considérer l'avortement comme un meurtre, donc il n'y a pas lieu à bannir cette pratique.L'avortement est un meurtre que ça te plaise ou non. Et par "meurtre" j'entends "homicide", soit la fin de la vie d'un être humain provoquée par un autre être humain.
Partant, j'ai deux choses à démontrer : que l'enfant à naître est un être humain, et qu'il est vivant.
Il ne fait aucun doute que le fœtus est bien un être humain. Être à un stade de développement différent ne signifie pas appartenir à une espèce différente. La rose n'est pas moins une rose avant d'avoir éclot. Le louveteau n'est certes pas un loup, mais il est bien un canis lupus. De même, le fœtus étant destiné à devenir un homme, il ne peut être qu'homo sapiens ; un être ne saurait changer d'espèce en se développant. Les gens qui tentent de nier la qualité d'Homme à un fœtus sont des hypocrites : vous ne les verrez jamais dire à une femme heureuse de sa grossesse que son enfant est un parasite dont elle doit se débarrasser. L'humanité du fœtus est dépendante à leurs yeux de la volonté arbitraire de la mère. Cette position est illégitime de par son incohérence.
On pourrait penser que démontrer que le fœtus est vivant est une tâche ardue. Beaucoup d'opposants à l'avortement se résignent d'ailleurs à dire qu'on ne sait pas quand la vie apparaît, et qu'on ne peut donc pas prendre le risque d'y mettre fin. Pourtant, comme son humanité, la vie du fœtus est indéniable. Il y a trois états de "non-vie" : la non-existence, la mort, et l'existence sans vie. Les deux premiers s'expliquent aisément. Mon fils n'est pas vivant, car il n'existe pas. Mes grands-parents ne sont pas vivants, car ils ne sont plus vivants. Le troisième est plus problématique. Comment distinguer l'existence vivante de l'existence sans vie ? Qu'est-ce qui rend le chêne vivant et pas le rocher ? Le critère qui permet de distinguer la vie de la non-vie est ce que j'appellerai la croissance. Notion en réalité plus vaste, elle regroupe l'ensemble des transformations qui affectent un être, mais qui sont le produit de l'être lui-même plutôt que de facteurs extérieurs. Sous cette définition, les trois états de non-vie se rejoignent. Mon fils n'existant pas, il ne peut croître. Les changements qui affectent mes grands-parents depuis leur décès (i.e. la décomposition) sont bien le produit d'acteurs externes (les bactéries et autres engeances de la nature). Enfin, si le rocher subit lui aussi des transformations (notamment l'érosion), elles aussi sont dues à des éléments extérieurs au rocher lui-même (vent, pluie, etc). Le fœtus rentre de fait sans conteste dans le vivant, car il croît bien par lui-même. On pourrait m'avancer que la croissance du fœtus est provoquée par la mère. Je répondrais que la mère n'est pas responsable de la croissance du fœtus, seulement de son alimentation. Tous les êtres vivants sont dépendants de facteurs externes assurant leur alimentation : le chêne requiert certes des minéraux de la terre et l'énergie lumineuse du Soleil pour croître, mais la terre ou le Soleil ne sont pas pour autant responsables de la croissance du chêne.
Il apparaît évident que l'enfant est dès la conception un être humain vivant. Ne vous laissez pas en douter. La question n'est pas "L'avortement est-il la mise à mort d'un être humain ?" mais "La mise à mort d'un être humain que représente l'avortement est-elle morale ?", question à laquelle ma réponse est déjà bien tranchée.
QED. La leçon est terminée.
Avec ton raisonnement tout spermatozoide et toute ovule sont des êtres humains à un stade de développement peu avancé
Chacune de tes branlettes est un génocide, j'espère que t'es content
Non, l'être humain est une espèce diploïde. Ton argument aurait lieu d'être pour les femelles des espèces haploides qui peuvent se cloner et ne gâchent jamais leurs ovules donc.
Le 12 décembre 2021 à 16:57:48 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:53 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:30 :
Le fœtus est un être vivant mais n'est pas une personne humaine. Or le meurtre répond à une définition précise qui consiste à ôter la vie intentionnellement d'une personne humaine. Partant on ne peut pas considérer l'avortement comme un meurtre, donc il n'y a pas lieu à bannir cette pratique.L'avortement est un meurtre que ça te plaise ou non. Et par "meurtre" j'entends "homicide", soit la fin de la vie d'un être humain provoquée par un autre être humain.
Partant, j'ai deux choses à démontrer : que l'enfant à naître est un être humain, et qu'il est vivant.
Il ne fait aucun doute que le fœtus est bien un être humain. Être à un stade de développement différent ne signifie pas appartenir à une espèce différente. La rose n'est pas moins une rose avant d'avoir éclot. Le louveteau n'est certes pas un loup, mais il est bien un canis lupus. De même, le fœtus étant destiné à devenir un homme, il ne peut être qu'homo sapiens ; un être ne saurait changer d'espèce en se développant. Les gens qui tentent de nier la qualité d'Homme à un fœtus sont des hypocrites : vous ne les verrez jamais dire à une femme heureuse de sa grossesse que son enfant est un parasite dont elle doit se débarrasser. L'humanité du fœtus est dépendante à leurs yeux de la volonté arbitraire de la mère. Cette position est illégitime de par son incohérence.
On pourrait penser que démontrer que le fœtus est vivant est une tâche ardue. Beaucoup d'opposants à l'avortement se résignent d'ailleurs à dire qu'on ne sait pas quand la vie apparaît, et qu'on ne peut donc pas prendre le risque d'y mettre fin. Pourtant, comme son humanité, la vie du fœtus est indéniable. Il y a trois états de "non-vie" : la non-existence, la mort, et l'existence sans vie. Les deux premiers s'expliquent aisément. Mon fils n'est pas vivant, car il n'existe pas. Mes grands-parents ne sont pas vivants, car ils ne sont plus vivants. Le troisième est plus problématique. Comment distinguer l'existence vivante de l'existence sans vie ? Qu'est-ce qui rend le chêne vivant et pas le rocher ? Le critère qui permet de distinguer la vie de la non-vie est ce que j'appellerai la croissance. Notion en réalité plus vaste, elle regroupe l'ensemble des transformations qui affectent un être, mais qui sont le produit de l'être lui-même plutôt que de facteurs extérieurs. Sous cette définition, les trois états de non-vie se rejoignent. Mon fils n'existant pas, il ne peut croître. Les changements qui affectent mes grands-parents depuis leur décès (i.e. la décomposition) sont bien le produit d'acteurs externes (les bactéries et autres engeances de la nature). Enfin, si le rocher subit lui aussi des transformations (notamment l'érosion), elles aussi sont dues à des éléments extérieurs au rocher lui-même (vent, pluie, etc). Le fœtus rentre de fait sans conteste dans le vivant, car il croît bien par lui-même. On pourrait m'avancer que la croissance du fœtus est provoquée par la mère. Je répondrais que la mère n'est pas responsable de la croissance du fœtus, seulement de son alimentation. Tous les êtres vivants sont dépendants de facteurs externes assurant leur alimentation : le chêne requiert certes des minéraux de la terre et l'énergie lumineuse du Soleil pour croître, mais la terre ou le Soleil ne sont pas pour autant responsables de la croissance du chêne.
Il apparaît évident que l'enfant est dès la conception un être humain vivant. Ne vous laissez pas en douter. La question n'est pas "L'avortement est-il la mise à mort d'un être humain ?" mais "La mise à mort d'un être humain que représente l'avortement est-elle morale ?", question à laquelle ma réponse est déjà bien tranchée.
QED. La leçon est terminée.
Avec ton raisonnement tout spermatozoide et toute ovule sont des êtres humains à un stade de développement peu avancé
Chacune de tes branlettes est un génocide, j'espère que t'es content
Le spermatozoïde et l'ovule ne se développent pas
Si je n'altère pas l'état d'un spermatozoïde, rien ne se passe
Si je n'altère pas l'état d'un foetus, il devient un bébé
Je suis opposé à la masturbation quoi qu'il en soit nonobstant donc bon
Le 12 décembre 2021 à 16:49:53 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:30 :
Le fœtus est un être vivant mais n'est pas une personne humaine. Or le meurtre répond à une définition précise qui consiste à ôter la vie intentionnellement d'une personne humaine. Partant on ne peut pas considérer l'avortement comme un meurtre, donc il n'y a pas lieu à bannir cette pratique.L'avortement est un meurtre que ça te plaise ou non. Et par "meurtre" j'entends "homicide", soit la fin de la vie d'un être humain provoquée par un autre être humain.
Partant, j'ai deux choses à démontrer : que l'enfant à naître est un être humain, et qu'il est vivant.
Il ne fait aucun doute que le fœtus est bien un être humain. Être à un stade de développement différent ne signifie pas appartenir à une espèce différente. La rose n'est pas moins une rose avant d'avoir éclot. Le louveteau n'est certes pas un loup, mais il est bien un canis lupus. De même, le fœtus étant destiné à devenir un homme, il ne peut être qu'homo sapiens ; un être ne saurait changer d'espèce en se développant. Les gens qui tentent de nier la qualité d'Homme à un fœtus sont des hypocrites : vous ne les verrez jamais dire à une femme heureuse de sa grossesse que son enfant est un parasite dont elle doit se débarrasser. L'humanité du fœtus est dépendante à leurs yeux de la volonté arbitraire de la mère. Cette position est illégitime de par son incohérence.
On pourrait penser que démontrer que le fœtus est vivant est une tâche ardue. Beaucoup d'opposants à l'avortement se résignent d'ailleurs à dire qu'on ne sait pas quand la vie apparaît, et qu'on ne peut donc pas prendre le risque d'y mettre fin. Pourtant, comme son humanité, la vie du fœtus est indéniable. Il y a trois états de "non-vie" : la non-existence, la mort, et l'existence sans vie. Les deux premiers s'expliquent aisément. Mon fils n'est pas vivant, car il n'existe pas. Mes grands-parents ne sont pas vivants, car ils ne sont plus vivants. Le troisième est plus problématique. Comment distinguer l'existence vivante de l'existence sans vie ? Qu'est-ce qui rend le chêne vivant et pas le rocher ? Le critère qui permet de distinguer la vie de la non-vie est ce que j'appellerai la croissance. Notion en réalité plus vaste, elle regroupe l'ensemble des transformations qui affectent un être, mais qui sont le produit de l'être lui-même plutôt que de facteurs extérieurs. Sous cette définition, les trois états de non-vie se rejoignent. Mon fils n'existant pas, il ne peut croître. Les changements qui affectent mes grands-parents depuis leur décès (i.e. la décomposition) sont bien le produit d'acteurs externes (les bactéries et autres engeances de la nature). Enfin, si le rocher subit lui aussi des transformations (notamment l'érosion), elles aussi sont dues à des éléments extérieurs au rocher lui-même (vent, pluie, etc). Le fœtus rentre de fait sans conteste dans le vivant, car il croît bien par lui-même. On pourrait m'avancer que la croissance du fœtus est provoquée par la mère. Je répondrais que la mère n'est pas responsable de la croissance du fœtus, seulement de son alimentation. Tous les êtres vivants sont dépendants de facteurs externes assurant leur alimentation : le chêne requiert certes des minéraux de la terre et l'énergie lumineuse du Soleil pour croître, mais la terre ou le Soleil ne sont pas pour autant responsables de la croissance du chêne.
Il apparaît évident que l'enfant est dès la conception un être humain vivant. Ne vous laissez pas en douter. La question n'est pas "L'avortement est-il la mise à mort d'un être humain ?" mais "La mise à mort d'un être humain que représente l'avortement est-elle morale ?", question à laquelle ma réponse est déjà bien tranchée.
QED. La leçon est terminée.
Magnifique
Le 12 décembre 2021 à 17:01:07 :
Le 12 décembre 2021 à 16:57:48 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:53 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:30 :
Le fœtus est un être vivant mais n'est pas une personne humaine. Or le meurtre répond à une définition précise qui consiste à ôter la vie intentionnellement d'une personne humaine. Partant on ne peut pas considérer l'avortement comme un meurtre, donc il n'y a pas lieu à bannir cette pratique.L'avortement est un meurtre que ça te plaise ou non. Et par "meurtre" j'entends "homicide", soit la fin de la vie d'un être humain provoquée par un autre être humain.
Partant, j'ai deux choses à démontrer : que l'enfant à naître est un être humain, et qu'il est vivant.
Il ne fait aucun doute que le fœtus est bien un être humain. Être à un stade de développement différent ne signifie pas appartenir à une espèce différente. La rose n'est pas moins une rose avant d'avoir éclot. Le louveteau n'est certes pas un loup, mais il est bien un canis lupus. De même, le fœtus étant destiné à devenir un homme, il ne peut être qu'homo sapiens ; un être ne saurait changer d'espèce en se développant. Les gens qui tentent de nier la qualité d'Homme à un fœtus sont des hypocrites : vous ne les verrez jamais dire à une femme heureuse de sa grossesse que son enfant est un parasite dont elle doit se débarrasser. L'humanité du fœtus est dépendante à leurs yeux de la volonté arbitraire de la mère. Cette position est illégitime de par son incohérence.
On pourrait penser que démontrer que le fœtus est vivant est une tâche ardue. Beaucoup d'opposants à l'avortement se résignent d'ailleurs à dire qu'on ne sait pas quand la vie apparaît, et qu'on ne peut donc pas prendre le risque d'y mettre fin. Pourtant, comme son humanité, la vie du fœtus est indéniable. Il y a trois états de "non-vie" : la non-existence, la mort, et l'existence sans vie. Les deux premiers s'expliquent aisément. Mon fils n'est pas vivant, car il n'existe pas. Mes grands-parents ne sont pas vivants, car ils ne sont plus vivants. Le troisième est plus problématique. Comment distinguer l'existence vivante de l'existence sans vie ? Qu'est-ce qui rend le chêne vivant et pas le rocher ? Le critère qui permet de distinguer la vie de la non-vie est ce que j'appellerai la croissance. Notion en réalité plus vaste, elle regroupe l'ensemble des transformations qui affectent un être, mais qui sont le produit de l'être lui-même plutôt que de facteurs extérieurs. Sous cette définition, les trois états de non-vie se rejoignent. Mon fils n'existant pas, il ne peut croître. Les changements qui affectent mes grands-parents depuis leur décès (i.e. la décomposition) sont bien le produit d'acteurs externes (les bactéries et autres engeances de la nature). Enfin, si le rocher subit lui aussi des transformations (notamment l'érosion), elles aussi sont dues à des éléments extérieurs au rocher lui-même (vent, pluie, etc). Le fœtus rentre de fait sans conteste dans le vivant, car il croît bien par lui-même. On pourrait m'avancer que la croissance du fœtus est provoquée par la mère. Je répondrais que la mère n'est pas responsable de la croissance du fœtus, seulement de son alimentation. Tous les êtres vivants sont dépendants de facteurs externes assurant leur alimentation : le chêne requiert certes des minéraux de la terre et l'énergie lumineuse du Soleil pour croître, mais la terre ou le Soleil ne sont pas pour autant responsables de la croissance du chêne.
Il apparaît évident que l'enfant est dès la conception un être humain vivant. Ne vous laissez pas en douter. La question n'est pas "L'avortement est-il la mise à mort d'un être humain ?" mais "La mise à mort d'un être humain que représente l'avortement est-elle morale ?", question à laquelle ma réponse est déjà bien tranchée.
QED. La leçon est terminée.
Avec ton raisonnement tout spermatozoide et toute ovule sont des êtres humains à un stade de développement peu avancé
Chacune de tes branlettes est un génocide, j'espère que t'es content
Le spermatozoïde et l'ovule ne se développent pas
Si je n'altère pas l'état d'un spermatozoïde, rien ne se passe
Si je n'altère pas l'état d'un foetus, il devient un bébéJe suis opposé à la masturbation quoi qu'il en soit nonobstant donc bon
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/10/2/1615328575-unitinu-1.png
Bah si ils se développent si et seulement si les conditions adéquates sont réunies : pénétration, fécondation
Comme un foetus, il se développe si et seulement si les conditions adéquates sont réunies : pas de fausse couche, pas de complications à l'accouchement et donc, pas d'IVG
Et depuis quand la définition de la vie c'est se développer? Un trou noir se développe c'est donc un être vivant?
Phrase de low IQ qui est pas capable d'argumenter
Le 12 décembre 2021 à 16:58:49 :
Le 12 décembre 2021 à 16:56:09 :
Sinon il y a une conclusion bien plus simple à tout çaMême si on considère que le foetus est un être humain la vie humaine ne vaut rien, donc osef
Range ta chambre puant le sperme et tu feras un pas vers la fin de ta dépression
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/10/2/1615328575-unitinu-1.png Le 12 décembre 2021 à 16:56:16 :
Une fournaise intense attend les femmes qui avorteLes avortax ne réalisent pas que leurs actions auront des conséquences
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/10/2/1615328575-unitinu-1.png Le 12 décembre 2021 à 16:58:49 :
Le 12 décembre 2021 à 16:56:09 :
Sinon il y a une conclusion bien plus simple à tout çaMême si on considère que le foetus est un être humain la vie humaine ne vaut rien, donc osef
Range ta chambre puant le sperme et tu feras un pas vers la fin de ta dépression
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Une fournaise intense attend les femmes qui avorteLes avortax ne réalisent pas que leurs actions auront des conséquences
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Sinon il y a une conclusion bien plus simple à tout çaMême si on considère que le foetus est un être humain la vie humaine ne vaut rien, donc osef
Range ta chambre puant le sperme et tu feras un pas vers la fin de ta dépression
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Une fournaise intense attend les femmes qui avorteLes avortax ne réalisent pas que leurs actions auront des conséquences
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Sinon il y a une conclusion bien plus simple à tout çaMême si on considère que le foetus est un être humain la vie humaine ne vaut rien, donc osef
Range ta chambre puant le sperme et tu feras un pas vers la fin de ta dépression
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Une fournaise intense attend les femmes qui avorteLes avortax ne réalisent pas que leurs actions auront des conséquences
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Sinon il y a une conclusion bien plus simple à tout çaMême si on considère que le foetus est un être humain la vie humaine ne vaut rien, donc osef
Range ta chambre puant le sperme et tu feras un pas vers la fin de ta dépression
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Une fournaise intense attend les femmes qui avorteLes avortax ne réalisent pas que leurs actions auront des conséquences
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Sinon il y a une conclusion bien plus simple à tout çaMême si on considère que le foetus est un être humain la vie humaine ne vaut rien, donc osef
Range ta chambre puant le sperme et tu feras un pas vers la fin de ta dépression
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Une fournaise intense attend les femmes qui avorteLes avortax ne réalisent pas que leurs actions auront des conséquences
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Le 12 décembre 2021 à 16:56:09 :
Sinon il y a une conclusion bien plus simple à tout çaMême si on considère que le foetus est un être humain la vie humaine ne vaut rien, donc osef
Range ta chambre puant le sperme et tu feras un pas vers la fin de ta dépression
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/10/2/1615328575-unitinu-1.png
Aucune dépression, j'ai une très bonne vie, mais ça m'empêche pas d'être conscient de la futilité de croire que nous être humains nous sommes importants, on reste que poussière par rapport à notre univers et notre passage sur terre est un clin d'œil à l'échelle du temps
Ce qui empêche pas (et même bien au contraire) de profiter à fond et de pas prendre la vie au sérieux, un gosse te ferais chier ? Tu avorte et comme ça pas de problèmes
Le 12 décembre 2021 à 16:59:13 :
Le 12 décembre 2021 à 16:53:28 :
Le 12 décembre 2021 à 16:50:50 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:53 OdeurDuZyklonB a écrit :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:30 :
Le fœtus est un être vivant mais n'est pas une personne humaine. Or le meurtre répond à une définition précise qui consiste à ôter la vie intentionnellement d'une personne humaine. Partant on ne peut pas considérer l'avortement comme un meurtre, donc il n'y a pas lieu à bannir cette pratique.L'avortement est un meurtre que ça te plaise ou non. Et par "meurtre" j'entends "homicide", soit la fin de la vie d'un être humain provoquée par un autre être humain.
Partant, j'ai deux choses à démontrer : que l'enfant à naître est un être humain, et qu'il est vivant.
Il ne fait aucun doute que le fœtus est bien un être humain. Être à un stade de développement différent ne signifie pas appartenir à une espèce différente. La rose n'est pas moins une rose avant d'avoir éclot. Le louveteau n'est certes pas un loup, mais il est bien un canis lupus. De même, le fœtus étant destiné à devenir un homme, il ne peut être qu'homo sapiens ; un être ne saurait changer d'espèce en se développant. Les gens qui tentent de nier la qualité d'Homme à un fœtus sont des hypocrites : vous ne les verrez jamais dire à une femme heureuse de sa grossesse que son enfant est un parasite dont elle doit se débarrasser. L'humanité du fœtus est dépendante à leurs yeux de la volonté arbitraire de la mère. Cette position est illégitime de par son incohérence.
On pourrait penser que démontrer que le fœtus est vivant est une tâche ardue. Beaucoup d'opposants à l'avortement se résignent d'ailleurs à dire qu'on ne sait pas quand la vie apparaît, et qu'on ne peut donc pas prendre le risque d'y mettre fin. Pourtant, comme son humanité, la vie du fœtus est indéniable. Il y a trois états de "non-vie" : la non-existence, la mort, et l'existence sans vie. Les deux premiers s'expliquent aisément. Mon fils n'est pas vivant, car il n'existe pas. Mes grands-parents ne sont pas vivants, car ils ne sont plus vivants. Le troisième est plus problématique. Comment distinguer l'existence vivante de l'existence sans vie ? Qu'est-ce qui rend le chêne vivant et pas le rocher ? Le critère qui permet de distinguer la vie de la non-vie est ce que j'appellerai la croissance. Notion en réalité plus vaste, elle regroupe l'ensemble des transformations qui affectent un être, mais qui sont le produit de l'être lui-même plutôt que de facteurs extérieurs. Sous cette définition, les trois états de non-vie se rejoignent. Mon fils n'existant pas, il ne peut croître. Les changements qui affectent mes grands-parents depuis leur décès (i.e. la décomposition) sont bien le produit d'acteurs externes (les bactéries et autres engeances de la nature). Enfin, si le rocher subit lui aussi des transformations (notamment l'érosion), elles aussi sont dues à des éléments extérieurs au rocher lui-même (vent, pluie, etc). Le fœtus rentre de fait sans conteste dans le vivant, car il croît bien par lui-même. On pourrait m'avancer que la croissance du fœtus est provoquée par la mère. Je répondrais que la mère n'est pas responsable de la croissance du fœtus, seulement de son alimentation. Tous les êtres vivants sont dépendants de facteurs externes assurant leur alimentation : le chêne requiert certes des minéraux de la terre et l'énergie lumineuse du Soleil pour croître, mais la terre ou le Soleil ne sont pas pour autant responsables de la croissance du chêne.
Il apparaît évident que l'enfant est dès la conception un être humain vivant. Ne vous laissez pas en douter. La question n'est pas "L'avortement est-il la mise à mort d'un être humain ?" mais "La mise à mort d'un être humain que représente l'avortement est-elle morale ?", question à laquelle ma réponse est déjà bien tranchée.
QED. La leçon est terminée.
Toute ta démonstration est vouée à l'échec à partir du moment où on ne reconnaît pas juridiquement la qualité de personne humaine au fœtus. Il n'y a pas lieu d'appliquer le régime correspond au meurtre. Point.
Je ne te parle pas de ce que dit la loi le golem
Et si tu commençais à penser au lieu de répéter ?https://image.noelshack.com/fichiers/2021/10/2/1615328575-unitinu-1.png Tu utilises le meurtre qui est une notion juridique
Mais la loi ne t'intéresse pas
Tu veux parler de loi ? On peut parler de loi
La personnalité juridique peut être rétroactivement accordée à l'enfant au jour de sa conception si cela est dans son intérêt (i.e. pour l'héritage si le père meurt durant la grossesse)
J'avance que "ne pas être tué" est dans l'intérêt de l'enfant et que la personnalité juridique devrait donc être accordée d'office à tous les enfants au jour de leur conception
Bah ils ont raison, c'est un homicide nécessaire. Interdire l'avortement c'est très valable dans une utopie où les gens se respecteraient, sinon ça n'a aucun sens.
Le 12 décembre 2021 à 17:04:11 :
Le 12 décembre 2021 à 16:59:13 :
Le 12 décembre 2021 à 16:53:28 :
Le 12 décembre 2021 à 16:50:50 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:53 OdeurDuZyklonB a écrit :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:30 :
Le fœtus est un être vivant mais n'est pas une personne humaine. Or le meurtre répond à une définition précise qui consiste à ôter la vie intentionnellement d'une personne humaine. Partant on ne peut pas considérer l'avortement comme un meurtre, donc il n'y a pas lieu à bannir cette pratique.L'avortement est un meurtre que ça te plaise ou non. Et par "meurtre" j'entends "homicide", soit la fin de la vie d'un être humain provoquée par un autre être humain.
Partant, j'ai deux choses à démontrer : que l'enfant à naître est un être humain, et qu'il est vivant.
Il ne fait aucun doute que le fœtus est bien un être humain. Être à un stade de développement différent ne signifie pas appartenir à une espèce différente. La rose n'est pas moins une rose avant d'avoir éclot. Le louveteau n'est certes pas un loup, mais il est bien un canis lupus. De même, le fœtus étant destiné à devenir un homme, il ne peut être qu'homo sapiens ; un être ne saurait changer d'espèce en se développant. Les gens qui tentent de nier la qualité d'Homme à un fœtus sont des hypocrites : vous ne les verrez jamais dire à une femme heureuse de sa grossesse que son enfant est un parasite dont elle doit se débarrasser. L'humanité du fœtus est dépendante à leurs yeux de la volonté arbitraire de la mère. Cette position est illégitime de par son incohérence.
On pourrait penser que démontrer que le fœtus est vivant est une tâche ardue. Beaucoup d'opposants à l'avortement se résignent d'ailleurs à dire qu'on ne sait pas quand la vie apparaît, et qu'on ne peut donc pas prendre le risque d'y mettre fin. Pourtant, comme son humanité, la vie du fœtus est indéniable. Il y a trois états de "non-vie" : la non-existence, la mort, et l'existence sans vie. Les deux premiers s'expliquent aisément. Mon fils n'est pas vivant, car il n'existe pas. Mes grands-parents ne sont pas vivants, car ils ne sont plus vivants. Le troisième est plus problématique. Comment distinguer l'existence vivante de l'existence sans vie ? Qu'est-ce qui rend le chêne vivant et pas le rocher ? Le critère qui permet de distinguer la vie de la non-vie est ce que j'appellerai la croissance. Notion en réalité plus vaste, elle regroupe l'ensemble des transformations qui affectent un être, mais qui sont le produit de l'être lui-même plutôt que de facteurs extérieurs. Sous cette définition, les trois états de non-vie se rejoignent. Mon fils n'existant pas, il ne peut croître. Les changements qui affectent mes grands-parents depuis leur décès (i.e. la décomposition) sont bien le produit d'acteurs externes (les bactéries et autres engeances de la nature). Enfin, si le rocher subit lui aussi des transformations (notamment l'érosion), elles aussi sont dues à des éléments extérieurs au rocher lui-même (vent, pluie, etc). Le fœtus rentre de fait sans conteste dans le vivant, car il croît bien par lui-même. On pourrait m'avancer que la croissance du fœtus est provoquée par la mère. Je répondrais que la mère n'est pas responsable de la croissance du fœtus, seulement de son alimentation. Tous les êtres vivants sont dépendants de facteurs externes assurant leur alimentation : le chêne requiert certes des minéraux de la terre et l'énergie lumineuse du Soleil pour croître, mais la terre ou le Soleil ne sont pas pour autant responsables de la croissance du chêne.
Il apparaît évident que l'enfant est dès la conception un être humain vivant. Ne vous laissez pas en douter. La question n'est pas "L'avortement est-il la mise à mort d'un être humain ?" mais "La mise à mort d'un être humain que représente l'avortement est-elle morale ?", question à laquelle ma réponse est déjà bien tranchée.
QED. La leçon est terminée.
Toute ta démonstration est vouée à l'échec à partir du moment où on ne reconnaît pas juridiquement la qualité de personne humaine au fœtus. Il n'y a pas lieu d'appliquer le régime correspond au meurtre. Point.
Je ne te parle pas de ce que dit la loi le golem
Et si tu commençais à penser au lieu de répéter ?https://image.noelshack.com/fichiers/2021/10/2/1615328575-unitinu-1.png Tu utilises le meurtre qui est une notion juridique
Mais la loi ne t'intéresse pas
Tu veux parler de loi ? On peut parler de loi
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/10/2/1615328575-unitinu-1.png La personnalité juridique peut être rétroactivement accordée à l'enfant au jour de sa conception si cela est dans son intérêt (i.e. pour l'héritage si le père meurt durant la grossesse)
J'avance que "ne pas être tué" est dans l'intérêt de l'enfant et que la personnalité juridique devrait donc être accordée d'office à tous les enfants au jour de leur conceptionhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/10/2/1615328575-unitinu-1.png
Donc on controle la sexualité de toutes les femmes, intelligent
Un fonctionnaire se cachera sous le lit de tous les couples pour voir s'ils baisent sans capote et sans pilule
Le 12 décembre 2021 à 16:58:44 :
Le 12 décembre 2021 à 16:52:58 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:53 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:30 :
Le fœtus est un être vivant mais n'est pas une personne humaine. Or le meurtre répond à une définition précise qui consiste à ôter la vie intentionnellement d'une personne humaine. Partant on ne peut pas considérer l'avortement comme un meurtre, donc il n'y a pas lieu à bannir cette pratique.L'avortement est un meurtre que ça te plaise ou non. Et par "meurtre" j'entends "homicide", soit la fin de la vie d'un être humain provoquée par un autre être humain.
Partant, j'ai deux choses à démontrer : que l'enfant à naître est un être humain, et qu'il est vivant.
Il ne fait aucun doute que le fœtus est bien un être humain. Être à un stade de développement différent ne signifie pas appartenir à une espèce différente. La rose n'est pas moins une rose avant d'avoir éclot. Le louveteau n'est certes pas un loup, mais il est bien un canis lupus. De même, le fœtus étant destiné à devenir un homme, il ne peut être qu'homo sapiens ; un être ne saurait changer d'espèce en se développant. Les gens qui tentent de nier la qualité d'Homme à un fœtus sont des hypocrites : vous ne les verrez jamais dire à une femme heureuse de sa grossesse que son enfant est un parasite dont elle doit se débarrasser. L'humanité du fœtus est dépendante à leurs yeux de la volonté arbitraire de la mère. Cette position est illégitime de par son incohérence.
On pourrait penser que démontrer que le fœtus est vivant est une tâche ardue. Beaucoup d'opposants à l'avortement se résignent d'ailleurs à dire qu'on ne sait pas quand la vie apparaît, et qu'on ne peut donc pas prendre le risque d'y mettre fin. Pourtant, comme son humanité, la vie du fœtus est indéniable. Il y a trois états de "non-vie" : la non-existence, la mort, et l'existence sans vie. Les deux premiers s'expliquent aisément. Mon fils n'est pas vivant, car il n'existe pas. Mes grands-parents ne sont pas vivants, car ils ne sont plus vivants. Le troisième est plus problématique. Comment distinguer l'existence vivante de l'existence sans vie ? Qu'est-ce qui rend le chêne vivant et pas le rocher ? Le critère qui permet de distinguer la vie de la non-vie est ce que j'appellerai la croissance. Notion en réalité plus vaste, elle regroupe l'ensemble des transformations qui affectent un être, mais qui sont le produit de l'être lui-même plutôt que de facteurs extérieurs. Sous cette définition, les trois états de non-vie se rejoignent. Mon fils n'existant pas, il ne peut croître. Les changements qui affectent mes grands-parents depuis leur décès (i.e. la décomposition) sont bien le produit d'acteurs externes (les bactéries et autres engeances de la nature). Enfin, si le rocher subit lui aussi des transformations (notamment l'érosion), elles aussi sont dues à des éléments extérieurs au rocher lui-même (vent, pluie, etc). Le fœtus rentre de fait sans conteste dans le vivant, car il croît bien par lui-même. On pourrait m'avancer que la croissance du fœtus est provoquée par la mère. Je répondrais que la mère n'est pas responsable de la croissance du fœtus, seulement de son alimentation. Tous les êtres vivants sont dépendants de facteurs externes assurant leur alimentation : le chêne requiert certes des minéraux de la terre et l'énergie lumineuse du Soleil pour croître, mais la terre ou le Soleil ne sont pas pour autant responsables de la croissance du chêne.
Il apparaît évident que l'enfant est dès la conception un être humain vivant. Ne vous laissez pas en douter. La question n'est pas "L'avortement est-il la mise à mort d'un être humain ?" mais "La mise à mort d'un être humain que représente l'avortement est-elle morale ?", question à laquelle ma réponse est déjà bien tranchée.
QED. La leçon est terminée.
propre
Admirer le tueur du zodiac et être opposé à L'IVG c'est un peu contradictoire cependant.
Je n'ai pas d'admiration pour les tueurs en série.
Le 12 décembre 2021 à 17:03:21 :
Le 12 décembre 2021 à 17:01:07 :
Le 12 décembre 2021 à 16:57:48 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:53 :
Le 12 décembre 2021 à 16:49:30 :
Le fœtus est un être vivant mais n'est pas une personne humaine. Or le meurtre répond à une définition précise qui consiste à ôter la vie intentionnellement d'une personne humaine. Partant on ne peut pas considérer l'avortement comme un meurtre, donc il n'y a pas lieu à bannir cette pratique.L'avortement est un meurtre que ça te plaise ou non. Et par "meurtre" j'entends "homicide", soit la fin de la vie d'un être humain provoquée par un autre être humain.
Partant, j'ai deux choses à démontrer : que l'enfant à naître est un être humain, et qu'il est vivant.
Il ne fait aucun doute que le fœtus est bien un être humain. Être à un stade de développement différent ne signifie pas appartenir à une espèce différente. La rose n'est pas moins une rose avant d'avoir éclot. Le louveteau n'est certes pas un loup, mais il est bien un canis lupus. De même, le fœtus étant destiné à devenir un homme, il ne peut être qu'homo sapiens ; un être ne saurait changer d'espèce en se développant. Les gens qui tentent de nier la qualité d'Homme à un fœtus sont des hypocrites : vous ne les verrez jamais dire à une femme heureuse de sa grossesse que son enfant est un parasite dont elle doit se débarrasser. L'humanité du fœtus est dépendante à leurs yeux de la volonté arbitraire de la mère. Cette position est illégitime de par son incohérence.
On pourrait penser que démontrer que le fœtus est vivant est une tâche ardue. Beaucoup d'opposants à l'avortement se résignent d'ailleurs à dire qu'on ne sait pas quand la vie apparaît, et qu'on ne peut donc pas prendre le risque d'y mettre fin. Pourtant, comme son humanité, la vie du fœtus est indéniable. Il y a trois états de "non-vie" : la non-existence, la mort, et l'existence sans vie. Les deux premiers s'expliquent aisément. Mon fils n'est pas vivant, car il n'existe pas. Mes grands-parents ne sont pas vivants, car ils ne sont plus vivants. Le troisième est plus problématique. Comment distinguer l'existence vivante de l'existence sans vie ? Qu'est-ce qui rend le chêne vivant et pas le rocher ? Le critère qui permet de distinguer la vie de la non-vie est ce que j'appellerai la croissance. Notion en réalité plus vaste, elle regroupe l'ensemble des transformations qui affectent un être, mais qui sont le produit de l'être lui-même plutôt que de facteurs extérieurs. Sous cette définition, les trois états de non-vie se rejoignent. Mon fils n'existant pas, il ne peut croître. Les changements qui affectent mes grands-parents depuis leur décès (i.e. la décomposition) sont bien le produit d'acteurs externes (les bactéries et autres engeances de la nature). Enfin, si le rocher subit lui aussi des transformations (notamment l'érosion), elles aussi sont dues à des éléments extérieurs au rocher lui-même (vent, pluie, etc). Le fœtus rentre de fait sans conteste dans le vivant, car il croît bien par lui-même. On pourrait m'avancer que la croissance du fœtus est provoquée par la mère. Je répondrais que la mère n'est pas responsable de la croissance du fœtus, seulement de son alimentation. Tous les êtres vivants sont dépendants de facteurs externes assurant leur alimentation : le chêne requiert certes des minéraux de la terre et l'énergie lumineuse du Soleil pour croître, mais la terre ou le Soleil ne sont pas pour autant responsables de la croissance du chêne.
Il apparaît évident que l'enfant est dès la conception un être humain vivant. Ne vous laissez pas en douter. La question n'est pas "L'avortement est-il la mise à mort d'un être humain ?" mais "La mise à mort d'un être humain que représente l'avortement est-elle morale ?", question à laquelle ma réponse est déjà bien tranchée.
QED. La leçon est terminée.
Avec ton raisonnement tout spermatozoide et toute ovule sont des êtres humains à un stade de développement peu avancé
Chacune de tes branlettes est un génocide, j'espère que t'es content
Le spermatozoïde et l'ovule ne se développent pas
Si je n'altère pas l'état d'un spermatozoïde, rien ne se passe
Si je n'altère pas l'état d'un foetus, il devient un bébéJe suis opposé à la masturbation quoi qu'il en soit nonobstant donc bon
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/10/2/1615328575-unitinu-1.png Bah si ils se développent si et seulement si les conditions adéquates sont réunies : pénétration, fécondation
Comme un foetus, il se développe si et seulement si les conditions adéquates sont réunies : pas de fausse couche, pas de complications à l'accouchement et donc, pas d'IVG
C'est censée être une contradiction ? Cela reste un homicide malgré tout.