Ces phrases de mon roman sur 20 ?
Koalay
2021-11-11 19:17:23
Le 11 novembre 2021 à 19:15:45 :
Ah" s'écria t-elle en sentant la colère lui donner une envie de vengeance.
ça c'est beau par contre
Ratkeeng
2021-11-11 19:18:08
Indigeste.
Phrases trop longues, trop pompeuses, trop lourdes et ultra redondantes.
Épures en essayant d'en dire le plus avec le moins de mots possible.
MC-VIE-SOUPYFAC
2021-11-11 19:19:29
L'op tu te donne un style
C'est lourd et pompeux, c'est illisible, opaque au possible
Mais superficiel, comme quelqu'un qui trouble une flaque d'eau en chiant dedans et qui dis " oh ! Regardez les vagues ! "
lidldejeune
2021-11-11 19:19:44
Je sais pas où tu veux en venir avec tes phrases, mais perso j'ai pas envie de déchiffrer te poésie pendant des heures.
D'ailleurs qui lit, ou écrit de la poésie aujourd'hui..?
Perso le style littéraire c'est bien, mais c'est juste la cerise sur le gâteau dans un bouquin.
C'est le scénario qui compte, et les personnages.
Qui sont tes références littéraires ?
CaviarDeFoutre
2021-11-11 19:19:56
Mon dieu quelle plume khey, incroyable
Sûrement un proche du très fameux Valek
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/7/1633295253-tison-lunette.png
YvesVernal
2021-11-11 19:23:00
Le 11 novembre 2021 à 19:19:44 :
Qui sont tes références littéraires ?
Kafka, Nietzsche, Dumas, Hugo, Proust, de Troyes.
pingoyss
2021-11-11 19:23:19
Pompeux au possible, on dirait sardoche sur Twitter
YvesVernal
2021-11-11 19:26:35
Le 11 novembre 2021 à 19:19:56 :
Mon dieu quelle plume khey, incroyable
Sûrement un proche du très fameux Valek
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/7/1633295253-tison-lunette.png
Je ne fais pas de fautes, par contre.
BolloKhey
2021-11-11 19:29:05
Le 11 novembre 2021 à 19:09:31 :
Je suis probablement celui qui écrit le mieux de tout le forum.
J'ai vu des centaines de pavés mille fois mieux écrits que ce que tu nous laisses entrevoir.
Par exemple
Des plus mignonnes aux plus laides, des mariées aux célibataires, toutes le font, et une fois que vous le savez, un plaisir laid vous envahit quand vous les croisez et leur parlez.
Nous feignons l'amitié alors que nous pénétrons leur intimité, en profondeur, malgré elles, par le simple exercice de la pensée perverse.
En effet, bien que les plus culottés nous affirment que ce n'est point un coït, nous, nous affirmons le contraire : nous pénétrons, à distance certes, mais une pénétration quand même ! Nous les scrutons loin, jusqu'à ne plus désirer que l'imaginaire, plus satisfaisant que n'importe quel acte.
Toutefois, elles se confient à nous, et se pensent protégées, tandis que nous y allons, sans protection ni lubrifiant, et y rentrons sans toquer, tout en remerciant bien fort Marianne, de ne point nous condamner pour cette infraction.
Et enfin, nous y voilà. Se les imaginer titillant gentiment leur bouton, et exercer des pressions timides tandis qu'elles sont sous leur couette tout en gémissant doucement... si doucement...
Les regarder d'un œil coquin et averti, lui prêter des façons originales d'atteindre l'orgasme. La boudinée ? Sans doute en chevauchant un de ses coussins ; et la fine ingénue, ravissante de pudeur et de discrétion ? Sans doute avec l'aide du jet d'eau, dans la douche.
Et puis, se figurer leurs entrailles, leur vulve et leur pilosité, l'odeur de ce coinstot-là et du dessous de ce bourrelet. Peut-être qu'elles aussi aiment à y racler leurs ongles, sur ces graisses, et renifler ensuite la moisson grasse et âcres de leur éreintante journée.
Et qui sait comment elles terminent ? Chacun de nous sait, pourvu qu'il mette à la besogne sa cervelle ; mais la tâche est bien facile puisque chacune termine ainsi, explosant de joie, les cuisses clôturées, étouffant leurs frémissements, la vulve gorgée de sang et bien ouverte, la main sur un de leur sein et l'autre sur le bouton ; et puis leur corps entier s'agite d'un mouvement violent et incontrôlé, en particulier le périnée tremblant de ses spasmes réguliers et visant à la correcte pénétration de l’éjaculât, toutefois absent.
Et les voilà assommées, honteuses, sous la couette, suintant ; ou sous la douche, mouillées ; voire contre le coin de la table, bien embrochées, encore le con étouffé contre l'un des triangles. Le souffle coupé, elles déposent leur objet, le doigt ou la machine, et s'en vont de leur état violent pour s'appesantir en une douce volupté des sens.
Et pourtant, ce monde bien troublé qu'elles ont rejoint hier peut-être, ou avant-hier, elles le cachent délicatement, par une voix maîtrisée et des paroles sages, et elles pensent alors, en nous regardant, à toute leur perversité et se rient de nous imaginer ignares de leur secret.
Alors, lorsque notre regard souverain croise le leur, vicieux, et que chacun sait la pensée de l'autre qui dévoile doucement, une étincelle parait en chacun, et une idée surgit qui nous dit : "Je sais ce que tu as fait, mais, ma fille, je te pardonne, parce que je suis pécheur aussi."
Et nous nous quittons, le cœur plein d'un de ces secrets, que nous jurons de garder bien profond en nous-mêmes.Je nourri sûrement un troll mais ça permet de célébrer un beau pavé du forum
YvesVernal
2021-11-11 19:47:49
Le 11 novembre 2021 à 19:29:05 :
Le 11 novembre 2021 à 19:09:31 :
Je suis probablement celui qui écrit le mieux de tout le forum.
J'ai vu des centaines de pavés mille fois mieux écrits que ce que tu nous laisses entrevoir.
Par exemple
Des plus mignonnes aux plus laides, des mariées aux célibataires, toutes le font, et une fois que vous le savez, un plaisir laid vous envahit quand vous les croisez et leur parlez.
Nous feignons l'amitié alors que nous pénétrons leur intimité, en profondeur, malgré elles, par le simple exercice de la pensée perverse.
En effet, bien que les plus culottés nous affirment que ce n'est point un coït, nous, nous affirmons le contraire : nous pénétrons, à distance certes, mais une pénétration quand même ! Nous les scrutons loin, jusqu'à ne plus désirer que l'imaginaire, plus satisfaisant que n'importe quel acte.
Toutefois, elles se confient à nous, et se pensent protégées, tandis que nous y allons, sans protection ni lubrifiant, et y rentrons sans toquer, tout en remerciant bien fort Marianne, de ne point nous condamner pour cette infraction.
Et enfin, nous y voilà. Se les imaginer titillant gentiment leur bouton, et exercer des pressions timides tandis qu'elles sont sous leur couette tout en gémissant doucement... si doucement...
Les regarder d'un œil coquin et averti, lui prêter des façons originales d'atteindre l'orgasme. La boudinée ? Sans doute en chevauchant un de ses coussins ; et la fine ingénue, ravissante de pudeur et de discrétion ? Sans doute avec l'aide du jet d'eau, dans la douche.
Et puis, se figurer leurs entrailles, leur vulve et leur pilosité, l'odeur de ce coinstot-là et du dessous de ce bourrelet. Peut-être qu'elles aussi aiment à y racler leurs ongles, sur ces graisses, et renifler ensuite la moisson grasse et âcres de leur éreintante journée.
Et qui sait comment elles terminent ? Chacun de nous sait, pourvu qu'il mette à la besogne sa cervelle ; mais la tâche est bien facile puisque chacune termine ainsi, explosant de joie, les cuisses clôturées, étouffant leurs frémissements, la vulve gorgée de sang et bien ouverte, la main sur un de leur sein et l'autre sur le bouton ; et puis leur corps entier s'agite d'un mouvement violent et incontrôlé, en particulier le périnée tremblant de ses spasmes réguliers et visant à la correcte pénétration de l’éjaculât, toutefois absent.
Et les voilà assommées, honteuses, sous la couette, suintant ; ou sous la douche, mouillées ; voire contre le coin de la table, bien embrochées, encore le con étouffé contre l'un des triangles. Le souffle coupé, elles déposent leur objet, le doigt ou la machine, et s'en vont de leur état violent pour s'appesantir en une douce volupté des sens.
Et pourtant, ce monde bien troublé qu'elles ont rejoint hier peut-être, ou avant-hier, elles le cachent délicatement, par une voix maîtrisée et des paroles sages, et elles pensent alors, en nous regardant, à toute leur perversité et se rient de nous imaginer ignares de leur secret.
Alors, lorsque notre regard souverain croise le leur, vicieux, et que chacun sait la pensée de l'autre qui dévoile doucement, une étincelle parait en chacun, et une idée surgit qui nous dit : "Je sais ce que tu as fait, mais, ma fille, je te pardonne, parce que je suis pécheur aussi."
Et nous nous quittons, le cœur plein d'un de ces secrets, que nous jurons de garder bien profond en nous-mêmes.Je nourri sûrement un troll mais ça permet de célébrer un beau pavé du forum
Je le trouve très bof, ce pavé.
BolloKhey
2021-11-11 19:58:46
Le 11 novembre 2021 à 19:47:49 :
Le 11 novembre 2021 à 19:29:05 :
Le 11 novembre 2021 à 19:09:31 :
Je suis probablement celui qui écrit le mieux de tout le forum.
J'ai vu des centaines de pavés mille fois mieux écrits que ce que tu nous laisses entrevoir.
Par exemple
Des plus mignonnes aux plus laides, des mariées aux célibataires, toutes le font, et une fois que vous le savez, un plaisir laid vous envahit quand vous les croisez et leur parlez.
Nous feignons l'amitié alors que nous pénétrons leur intimité, en profondeur, malgré elles, par le simple exercice de la pensée perverse.
En effet, bien que les plus culottés nous affirment que ce n'est point un coït, nous, nous affirmons le contraire : nous pénétrons, à distance certes, mais une pénétration quand même ! Nous les scrutons loin, jusqu'à ne plus désirer que l'imaginaire, plus satisfaisant que n'importe quel acte.
Toutefois, elles se confient à nous, et se pensent protégées, tandis que nous y allons, sans protection ni lubrifiant, et y rentrons sans toquer, tout en remerciant bien fort Marianne, de ne point nous condamner pour cette infraction.
Et enfin, nous y voilà. Se les imaginer titillant gentiment leur bouton, et exercer des pressions timides tandis qu'elles sont sous leur couette tout en gémissant doucement... si doucement...
Les regarder d'un œil coquin et averti, lui prêter des façons originales d'atteindre l'orgasme. La boudinée ? Sans doute en chevauchant un de ses coussins ; et la fine ingénue, ravissante de pudeur et de discrétion ? Sans doute avec l'aide du jet d'eau, dans la douche.
Et puis, se figurer leurs entrailles, leur vulve et leur pilosité, l'odeur de ce coinstot-là et du dessous de ce bourrelet. Peut-être qu'elles aussi aiment à y racler leurs ongles, sur ces graisses, et renifler ensuite la moisson grasse et âcres de leur éreintante journée.
Et qui sait comment elles terminent ? Chacun de nous sait, pourvu qu'il mette à la besogne sa cervelle ; mais la tâche est bien facile puisque chacune termine ainsi, explosant de joie, les cuisses clôturées, étouffant leurs frémissements, la vulve gorgée de sang et bien ouverte, la main sur un de leur sein et l'autre sur le bouton ; et puis leur corps entier s'agite d'un mouvement violent et incontrôlé, en particulier le périnée tremblant de ses spasmes réguliers et visant à la correcte pénétration de l’éjaculât, toutefois absent.
Et les voilà assommées, honteuses, sous la couette, suintant ; ou sous la douche, mouillées ; voire contre le coin de la table, bien embrochées, encore le con étouffé contre l'un des triangles. Le souffle coupé, elles déposent leur objet, le doigt ou la machine, et s'en vont de leur état violent pour s'appesantir en une douce volupté des sens.
Et pourtant, ce monde bien troublé qu'elles ont rejoint hier peut-être, ou avant-hier, elles le cachent délicatement, par une voix maîtrisée et des paroles sages, et elles pensent alors, en nous regardant, à toute leur perversité et se rient de nous imaginer ignares de leur secret.
Alors, lorsque notre regard souverain croise le leur, vicieux, et que chacun sait la pensée de l'autre qui dévoile doucement, une étincelle parait en chacun, et une idée surgit qui nous dit : "Je sais ce que tu as fait, mais, ma fille, je te pardonne, parce que je suis pécheur aussi."
Et nous nous quittons, le cœur plein d'un de ces secrets, que nous jurons de garder bien profond en nous-mêmes.Je nourri sûrement un troll mais ça permet de célébrer un beau pavé du forum
Je le trouve très bof, ce pavé.
Il est pourtant si charmant.
YvesVernal
2021-11-12 02:33:08
Le 11 novembre 2021 à 19:19:56 :
Mon dieu quelle plume khey, incroyable
Sûrement un proche du très fameux Valek
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/7/1633295253-tison-lunette.png
Je ne fais pas de fautes, par contre.
YvesVernal
2021-11-13 21:42:01
Le 11 novembre 2021 à 19:19:56 :
Mon dieu quelle plume khey, incroyable
Sûrement un proche du très fameux Valek
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/39/7/1633295253-tison-lunette.png
Cela n'a rien à voir avec. Ma grammaire, syntaxe et mon orthographe sont soignés.