Le 08 août 2021 à 21:47:17 DbolWyald a écrit :
Le 08 août 2021 à 21:46:31 :
Le 08 août 2021 à 21:44:48 :
Petite piqure de rappel sur le Talmud :
Les « goyim » ne sont pas des humains. Ce sont des bêtes.
(Baba Mezia 114b)
"Si vous mangez avec un" goy "c'est la même chose que manger avec un chien."
(Tosapoth, Jebamoth 94b)
« Même les meilleurs des ‘goyim’ devraient tous être tués. »
(Soferim 15)
« Les relations sexuelles entre les ‘goyim’ sont comme les relations sexuelles entre animaux. »
(Sanhédrin 74b)
"Quand il s'agit d'un Gentil en temps de paix, on peut lui nuire indirectement, par exemple en enlevant une échelle après qu'il soit tombé dans une crevasse."
(Shulkan Arukh, Yoreh De 'ah, 158, édition hébraïque uniquement)
« Si un « goy » (Gentil) frappe un juif, il doit être tué. »
(Sanhédrin 58b)
« Si un Juif trouve un objet perdu par un ‘goy’, il n’a pas à être rendu. »
(Baba Mezia 24a)
« Si un Juif assassine un ‘goy’, il n’y aura pas de peine de mort. » (Sanhédrin 57a) Ce qu'un juif vole à un "goy", il peut le garder.
(Sanhédrin 57a)
« Les Juifs peuvent utiliser des subterfuges pour contourner un ‘goy’. » (Baba Kamma 113a) « Tous les enfants des ‘goyim’ (Gentils) sont des animaux.
Dérapage talmudique je 410https://image.noelshack.com/fichiers/2017/38/2/1505805442-poutinelol.png
Et ça continue pourtant
Les préceptes talmudiques sont clairs : ils établissent deux morales, l'une qui s'applique au prochain, c'est-à-dire aux Juifs, et l'autre qui sert dans les rapports avec les goyim, les non-Juifs; Et toute action délictueuse ou indigne selon la première morale cesse de l'être pour la seconde. C'est ainsi que le Talmud et le Schulchan Arukh autorisent à voler le non-Juif; du prêt usuraire ils font non seulement un droit, mais presque un devoir; ils prescrivent de ne pas témoigner ou de faire un faux témoignage lors d'un procès opposant un Juif et un non-Juif; ils considèrent que «le patrimoine et les biens des non-Juifs doivent être considérés sans propriétaire et que le premier arrivé a des droits sur eux»; ils précisent seulement que si plusieurs Juifs procèdent à une tromperie, ils sont seulement tenus d'en partager équitablement le fruit; ils exhortent à prêter de l'argent, mais refusent d'en emprunter; ils ne respectent pas la parole donnée, et ainsi de suite. La polémique antisémite a recueilli toute une série de maximes de ce genre, avec l'indication de leur origine et de leur caractère orthodoxe. D'ailleurs, si on lit aussi dans le Talmud «qu'un goy qui étudie le Talmud et un Juif qui l'aide, doivent être mis à mort»; s'il est précisé que «communiquer quoi que ce soit de notre loi à un goy, équivaut à un massacre de tous les Juifs, puisque si les goyim savaient ce que nous enseignons à leur égard, ils nous auraient sans aucun doute exterminés»; si on lit de telles phrases, on a la confirmation précise de la pleine conscience que les Juifs avaient de la double morale contenue dans leurs textes orthodoxes.
Dans un texte talmudique, on lit : «Partout où les Juifs s'établissent, ils doivent devenir les patrons; et tant qu'ils n'auront pas le pouvoir absolu, ils se considéreront comme des exilés, des prisonniers ... tant qu'ils ne dominent pas entièrement, ils ne doivent pas cesser de crier : Quel tourment! quelle indignité!» Il s'agit, là encore, d'un thème de la Loi, dérivé de l'ancienne Promesse qui, une fois oubliée la justification religieuse, devait laisser comme trace un instinct révolutionnaire agissant par lui-même comme ferment d'agitation et de subversion continuelle. C'est ainsi que les Juifs furent largement représentés dans tous les mouvements subversifs révolutionnaires modernes, sans exception, et particulièrement dans le communisme et le socialisme dont les principaux représentants sont juifs, Karl Marx, Lassalle, Rosa Luxemburg, Kautsky, Trotsky ... Quant à la structure de l'Etat à détruire, elle importe peu : «Dans une monarchie, les Juifs sont républicains; dans une république conservatrice, ils seront socialistes; dans une république socialiste, ils seront communistes. Tout ceci revient au même pourvu qu'ils détruisent l'Etat existant. Ils s'opposeront à la société en place tant qu'elle conservera un reste de base non-juive». A nouveau, c'est un instinct qui subsiste comme un héritage, ayant pour origine lointaine et inconsciente l'idée que tout système qui ne remplit pas encore la promesse de domination dévolue au peuple élu est un système injuste, illégitime et usurpé
«Ton Dieu te veut riche» et «tu prêteras de l'argent à de nombreux peuples mais tu n'emprunteras à personne»
Le Juif s'est émancipé hébraïquement en s'appropriant le pouvoir de l'argent, mais aussi en réussissant à faire de l'argent une puissance mondiale. Ainsi, l'esprit utilitaire juif est devenu l'esprit utilitaire des peuples chrétiens. Les Juifs se sont émancipés en judaïsant les chrétiens. Le Dieu des Juifs s'est sécularisé et est devenu le dieu de la terre. Le taux de change est le vrai dieu des Juifs». A la puissance de l'or fait écho, dans l'action du judaïsme contemporain, la puissance de l'intelligence au service de la révolution. Nous faisons ici allusion au ferment de subversion qui ne se limite plus au champ social, mais agit sur le plan spirituel et culturel sous les formes les plus variées, trouvant sa source dans l'inclination de «l'homme de la rédemption» incarné
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Même si dans ton pavé le Talmud était bien restitué (pas vraiment), où sont les preuves que les J le suivent à la lettre ? Ainsi selon un sondage récent 50 % des J américains ne s'identifient plus à leur religion
Quant à ta généalogie de la morale, si j'ose dire ("gneugneu l'argent c'est mal c'est à cause des J"), c'est très discutable et ça correspond à la pensée extrêmiste, d'abord d'extrême-gauche. Intéressant que tu critiques le socialisme et le communisme juste au dessus