Messages de Dimassa

Merci. Je relance dans une heure. Merci pour votre contribution.
Un petit dernier
Encore 6
On essaie d'aller à 30.
Un autre
Encore 4
Allez encore 10 autres.
Encore un
Allez, 10 votes svp
Up
Up
Juste pour savoir :hap:

Le 09 avril 2022 à 03:09:53 :
VDD te fatigue pas, l'auteur fait semblant de pas comprendre avec ses monostickers débiles

C'est bien mon impression.https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png

Le 09 avril 2022 à 02:41:56 :

Le 09 avril 2022 à 02:38:36 :
L'op, tu caricatures la relation en la limitant à des personnes totalement étrangères l'une à l'autre au moment où elle débute, alors qu'en général, avant d'arriver à une relation amoureuse, il y a tout un historique, de parfois plusieurs années.

Par exemple, imagine un groupe d'étudiants, qui se connaissent bien, se fréquentent, et l'un d'eux a des parents très riches. Déjà, la richesse à la base donne de l'assurance. L'esprit est plus reposé, n'est pas miné par l'angoisse de l'avenir incertain, est plus confiant. Tandis que l'enfant d'une famille modeste sera plus intimidé, plus angoissé sur son avenir, aura moins d'assurance, etc. Le niveau social forge déjà une partie de la personnalité.

Les filles du groupe voient bien lequel des deux a un avenir radieux, et lequel a un avenir plus incertain.

Après, entre le riche et le pauvre, il n'y a pas de différence de base quant à leur personnalité. Le riche n'est pas forcément plus bête et plus moche que le pauvre. Lui aussi peut devenir attachant. Mais il paraitra plus intéressant parce qu'il aura forcément plus de choses à raconter, ayant une vie sociale beaucoup plus épanouie.

Donc les meufs vont s'attacher au riche, le trouver intéressant et attachant, vont nouer une complicité et vivre des choses avec lui, et finalement tomber amoureuses de lui. Alors que le pauvre, paraissant d'emblée beaucoup moins intéressant, n'aura même pas l'occasion de développer cette relation, et restera au final méconnu.

Oui donc c'est bien ce que je dis depuis le début !https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png

Ca n'est pas l'argent en tant que tel qui t'aide à baiser des nanas, c'est ton état d'esprit, ta culture générale et les discussions intéressantes que tu peux amener. C'est le fait que tu sois bien dans tes baskets grosso modohttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png

Donc un artisan qui gagne 3k par mois et qui est bien dans ses bottes va baiser davantage de nana que le PDG qui gagne 10k par mois mais qui est mal dans sa peauhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png

Non, tu caricatures, là encore. C'est tout un ensemble. L'argent participe au rayonnement de la personne. Ce n'est pas le fait d'être mal dans sa peau, ça n'a rien à voir. C'est plutôt l'assurance que l'on dégage. On peut avoir de l'assurance, ou bien inspirer de l'assurance, et être mal dans sa peau. La fonction sociale rehausse le caractère naturel.

Prenons Hubert, PDG à 10 000 EUR et Robert, employé affecté à la photocopieuse de la même boîte. Les deux ont exactement le même caractère dépressif. Mais déjà, ils ne font pas le même boulot et n'ont pas la même histoire. Ils ne sont pas habillés pareil. Imaginons Samantha, chef du service DRH. Elle n'en a strictement rien à cirer de Robert qui n'existe même pas à ses yeux. En plus, elle sait qu'il gagne le SMIC et vit dans un studio de banlieue pourrie en se tapant les transports. Sa tenue vestimentaire est nulle et il n'a aucune conversation.

Mais Hubert c'est différent, lui c'est le patron, il connait plein de choses sur le fonctionnement de la boîte, sa conversation est passionnante, il a un beau costume, une super coupe de cheveux, habite un bel appartement d'un beau quartier. Il paraît beaucoup plus intéressant, et en plus Samantha a de fréquents contacts professionnels de haut niveau avec lui.

Donc au final, la même personnalité de dépressif, qui dessert Robert, tourne à l'avantage de Hubert : Samantha lui trouvera tous les charmes, et dira que c'est une personnalité torturée et secrète, et n'en sera que plus amoureuse, parce qu'il y a tout le contexte autour qui change tout.

Et donc Hubert finira par sortir avec Samantha. Et Robert rentrera seul dans son triste studio de banlieue.

De son côté, René, le flamboyant plombier qui sait emballer les filles, certes on peut dire qu'il a autant de succès, si ce n'est plus, que Hubert, mais Hubert s'en branle, puisqu'il a Samantha. Et René n'a aucune chance avec Samantha. René aura plus de succès avec Ginette la poissonnière, et pourra éventuellement la tromper avec Amélie, caissière au Prisunic. En fait, René ne doit pas être comparé avec Hubert, mais plutôt avec Robert, qui n'a aucun succès parce qu'il est dépressif et a un travail sans intérêt.

L'op, tu caricatures la relation en la limitant à des personnes totalement étrangères l'une à l'autre au moment où elle débute, alors qu'en général, avant d'arriver à une relation amoureuse, il y a tout un historique, de parfois plusieurs années.

Par exemple, imagine un groupe d'étudiants, qui se connaissent bien, se fréquentent, et l'un d'eux a des parents très riches. Déjà, la richesse à la base donne de l'assurance. L'esprit est plus reposé, n'est pas miné par l'angoisse de l'avenir incertain, est plus confiant. Tandis que l'enfant d'une famille modeste sera plus intimidé, plus angoissé sur son avenir, aura moins d'assurance, etc. Le niveau social forge déjà une partie de la personnalité.

Les filles du groupe voient bien lequel des deux a un avenir radieux, et lequel a un avenir plus incertain.

Après, entre le riche et le pauvre, il n'y a pas de différence de base quant à leur personnalité. Le riche n'est pas forcément plus bête et plus moche que le pauvre. Lui aussi peut devenir attachant. Mais il paraitra plus intéressant parce qu'il aura forcément plus de choses à raconter, ayant une vie sociale beaucoup plus épanouie.

Donc les meufs vont s'attacher au riche, le trouver intéressant et attachant, vont nouer une complicité et vivre des choses avec lui, et finalement tomber amoureuses de lui. Alors que le pauvre, paraissant d'emblée beaucoup moins intéressant, n'aura même pas l'occasion de développer cette relation, et restera au final méconnu.

Ça sert à rien

Le 28 avril 2021 à 23:23:18 :

Si, parce que le Christ a donné les Clefs du bon Dieu à Pierre en personne. Donc, c'est bel et bien l'Eglise qui pardonne ou refuse de pardonner.

En tout cas, ça marche comme ça dans le catholicisme. Dans les autres religions, je ne dis pas.

Sauf que Pierre est assisté à l'Esprit-Saint, donc c'est bien Dieu aux commandes.

Il est assisté de l'Esprit Saint, mais il garde son discernement et son libre arbitre. Du reste, le terrain est balisé : tu pardonneras 77 fois 7 fois, cela signifie que tout pénitent sera pardonné. Donc le pardon est automatique. Mais le Christ a voulu que ce pardon transite par l'Eglise. Telle a été sa volonté.

Le 28 avril 2021 à 23:17:17 :

Le 28 avril 2021 à 23:09:35 :
Pour être pardonné il faut être dans un véritable état de contrition

Regretter ses péchés plus que tout, avoir la ferme intention de réparer au possible nos fautes et de s'éloigner à jamais du mal et de tout ce qui y conduit

Le pardon n'est ni "automatique", ni simplement extérieur

Sans des dispositions intérieures ça ne sert à rien

Wait pourquoi je réponds à un énième troll pas drôle

Mais comment tu peux faire la différence entre quelqu'un de sincère et un bon comédien ?
Avant, on t'envoyait faire un pèlerinage pour te calmer quand même. Maintenant, il n'y a plus rien, non ?

Personne n'oblige quelqu'un à aller au confessionnal. Si quelqu'un fait la démarche de se confesser, c'est qu'il cherche à se réconcilier avec Dieu, et c'est cela seul qui compte. Le manque de sincérité n'est pas un problème. L'homme est pécheur, donc il aime le mal. C'est dans sa nature déchue. Se tourner vers Dieu, c'est aussi demander son secours, pour se convertir réellement. Et c'est Dieu qui accorde la grâce d'une conversion parfaite.

Tu confonds ce qui est volontaire (le fait de s'adresser à Dieu pour implorer son aide) avec ce qui n'est pas volontaire (la sincérité).

On ne contrôle pas sa sincérité. J'ai adoré manger un gâteau au chocolat. C'est le péché de gourmandise. Si je m'en accuse au confessionnal, ma démarche est sincère dans le fait que je souhaite me détourner du péché. Mais mon attachement à ce même péché demeure, car ma nature de pécheur fait que j'ai quand même adoré manger ce gâteau au chocolat, j'y ai pris un plaisir infini, et il m'est difficile de renier sincèrement le plaisir que j'y ai pris. Donc, mon regret de ce péché n'est pas tout à fait sincère. Mais je suis sincère lorsque je demande à Dieu sa grâce pour que je réussisse à haïr parfaitement ce péché.

Ce n'est pas tout blanc ou tout noir. L'âme humaine est extraordinairement complexe. Et nous sommes tous comme ça.

Le 28 avril 2021 à 23:09:32 :
Le prêtre t'accorde le pardon bien sur, mais seul Dieu sais si tu a été sincere :)

C'est plus compliqué que ça. Quand le prêtre pardonne, le pardon de l'Eglise est accordé. A cette minute précise, le pénitent est en état de grâce.

Mais le Christ a dit : ne vous foutez pas de la gueule de Dieu. C'est dans les Evangiles.

Donc, le pénitent qui a manqué de sincérité (et de toute façon, une confession manque toujours quelque part de sincérité), la Providence divine va provoquer des épreuves au cours de la vie du pénitent qui vont le pousser à choisir sa voie entre Dieu et la perdition. Au final, Dieu obtiendra ce qu'il exige, et ne sera pas "volé" par un pénitent malhonnête.

Le 28 avril 2021 à 23:08:30 :

Plus exactement, c'est l'Eglise qui pardonne.

Non :)

Si, parce que le Christ a donné les Clefs du bon Dieu à Pierre en personne. Donc, c'est bel et bien l'Eglise qui pardonne ou refuse de pardonner.

En tout cas, ça marche comme ça dans le catholicisme. Dans les autres religions, je ne dis pas.