CE FORUM
Le 29 avril 2021 à 14:01:20 :
Le 29 avril 2021 à 14:00:08 :
Le 29 avril 2021 à 13:58:42 :
Lui pisser dessusah ouais bien vue
par contre il risque de te mordre
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/6/1522514698-risitassueurz.png https://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1494112573-risi10.png non, je l'ai fait une fois, ya rien eu mais il a gueuler bien plus fort par contre
Bonsoir, ce soir je n’ai pas spécialement besoin de parler, je me sens ni bien ni mal. Mais faut bien évacuer, avancer, en parler est une solution comme une autre.
Je suis un mélange entre Célestin survivaliste et Célestin système D. Je vais éviter de trop étaler ma vie, juste faire le point sur ma situation actuelle. La redondance de « je » « moi » m’agace d’une force.
27 ans, Rsaiste, pas de projet, sans toucher une femme depuis environ 6 ans. Il n’y pas vraiment de manque, d’envie, je me suis résigné, j’accepte d’être hors circuit et un poil superficiel sur le physique. De physique banal, ni moche ni beau je ne pourrais pas être avec une femme laide, obèse, qui a quelque chose qui me bloque, même si c’est la femme parfaite sur tous les autres plans. Je suis un pourri la dessus, c’est vrai, et j’ai conscience qu’une femme correct ne voudra pas de moi, c’est normal. Finir seul, je me suis fait à l’idée comme tout le reste. Et surtout je refuse de gouter à l’amour, cette chose me détruit à chaque fois, tellement destructeur. Un gars castré.
J’ai toujours étais perdu d’un sens,
Conseillère d’orientation en 3eme :
-Alors vous voulez faire quoi plus tard ?
-J’en sais rien, entuber moi pour aller étudier dans un endroit ou y a aucune demande.
J’ai fait un Bep Frigoriste, pour les deux du fond qui s’interrogent, c’est un plombier amélioré, spécialisé dans le froid.
A la sortie je savais à peine faire une soudure, j’ai jamais rien compris en électricité, et tout ce qui concerne le métier aussi. J’étais là-dedans par défaut. Mais je l’ai obtenu de justesse, merci le Français, l’histoire ect.
18 ans, diplôme en poche, seul vivant chez mon père et sans garder aucun contact avec ce qui me servait de camarade. J’enchaine les travails en intérim, faire le ménage, l’usine, serveur. Ma relation avec mon père se dégrade jusqu’au silence total. Un paysan chasseur resté bloquer dans les années 70,qui gagne même pas le smic, dur, me reprochant que mes études lui ont couté un bras, m’insultant dès que possible de bon à rien, de raté et de tout un tas de nom d’oiseau. Et pourtant il a jamais vraiment rien fait pour moi, comme si je devais m’en vouloir d’être né, je suis un boulet qu’il n’a pas demandé. L’été je le passais pas avec mes potes, je travaillais dans les champs, je faisais les jardins du voisinage, je gardais des chiens, de la surveillance, bref je gagnais ma vie comme je pouvais. Ce bonheur quand j’ai pu acheter ma PS2 et tout ce que j’avais besoin. Naitre dans une famille de pauvre, y a sois disant de l’amour en contrepartie, j’attends toujours.
Bref j’enchaine les mois de travail et les mois ou je m’enferme sur le net. Seul et je rencontre une fille, vraiment belle et adorable, proche de la princesse Disney et avec le temps je pars emménager chez sa mère, en région parisienne, la bas je trouve dans la journée un boulot de serveur, et plus tard de barman. La vie me sourit enfin, ce bonheur mais je ne me sens pas à l’aise, un campagnard dans cette prison c’est vraiment irrespirable. La belle maman qui me met la pression pour trouver un logement, mon ex qui pique des crises et qui m’étouffe aussi. Sans compter le travail, une grosse qui se croit bonne que j’ai recalé monte le patron contre moi, un patron qui payer pas toute mes heures mais je m’en foutais, heureux de faire se taff malgré tout, conscient d’avoir de la chance. Le manque de ma région, de mon environnement ou j’ai grandis et après avoir frappé le patron quand il m’annonce mon licenciement me font revenir chez moi. C’est vrai, j’étais parfois en retard, mal rasé, c’est par là que débute mon insomnie. J’aurais pu forcer, me retrouver un boulot, un logement surement mais non, je me sentais pas à ma place.
De retour en campagne à crever de faim, l’usine me rappeler chaque été, j’ai pu mettre de l’argent de côté que j’ai toujours. 6 km aller, 6km retour pour aller chercher un peu de bouffe en ville, sous la chaleur je tombais affamer et épuisé, la dépression frappe à ma porte. Il n’y avait pas d’eau chaude aussi, je faisais chauffer de l’eau dans un plat au micro-onde pour me laver un peu. C’est la que j’ai commencé à fumer, pas grand-chose à foutre de mourir d’un cancer à 40 ans, je ne compte pas vivre aussi longtemps.
J’ai largué ma copine, elle commencer à regarder si l’herbe du voisin était plus verte. 2 ans ensemble, par la suite je rencontrerais une blonde toujours en région parisienne, mais sans intérêt juste de la fesse. Et des histoires sur le net, qui me donneront juste de faux espoir.
C’est par là, je dois avoir 21/22 ans, que ma première pensée suicidaire commence, à chaque anniversaire, à chaque noël, à chaque nouvel an toujours avec de l’alcool dans le brouillard, un rappel de ma solitude, un retour à la réalité, sans projet, sans futur.
Et un jour je croise mon père qui me dit :
-Prend tes valises et dégage
La rue, j’y avais déjà gouté avec mon ex, à la fin quand je venais la voir je n’avais pas le droit de dormir chez elle. C’était l’hôtel, mais parfois elle me retenait et je louper mon train pour repartir, ou encore cette fois ou mon frère ma vidé mon compte en banque, je me suis retrouver à poil. Depuis je ne lui ai toujours pas reparlé.
Bref quelques mois dans la rue, un vieux bunker prêt d’une gare, le train de 06h00 qui me sers de réveil. La chaleur dans le couloir d’un Hlm, la concierge qui me propose du café. Attendre le jour des poubelles pour se servir en carton sur le trottoir des bars. Ne dormir que d’un œil, chaque bruit produit de l’adrénaline, la douleur dans tout le corps pour avoir dormi une fois de plus sur un sol bien dur.
Un jour j’appelle ma mère, pas vu depuis que mes parents se sont séparés. Un enfer pour un autre. Je vie chez elle avec un beau père violent, à une démarche et un physique à la marc Dutroux, injurieux qui me met la pression, me frappe et attend que je le frappe pour aller voir les flics, ce bruit sourd quand vous vous prenez un coup de bâton derrière a tête, la vue qui se trouble. Ma mère aussi était seule, elle a pris le premier acteur venu. Là je suis vite parti en formation de serveur, un an de répit, une association qui paye le loyer. Et j’ai forcé ma mère à aller voir les flics, il devenait de plus en plus incontrôlable. Il a perdu sa maison et aucune garde de sa fille qu’il a eu avec ma mère.
J’ai 24 ans, je retourne vivre chez ma mère après être retourné à l’usine et avoir pris un logement chez un propriétaire louche. Pas de boite au lettre, pas d’adresse, pas de caf, un logement pourri, bien cher pour ce que c’est, bref.
Les mois passe, je reste devant mon écran, je fuis la réalité. Elle retrouve un mec, et en ce début d’année ils se mettent ensemble. Bien sûr je ne suis pas la bienvenue, ils ne m’ont jamais proposé de venir le temps que je trouve un logement, car ce n’est pas simple avec seulement un RSA. J’ai passé ces derniers mois dans un garage sous cette chaleur infernale, j’ai suivi la coupe du monde dans des bars et passer mon plus grand temps dans la bibliothèque, seul comme toujours.
J’ai 27 ans, j’ai mon appartement, pas d’eau chaude depuis quelques semaines, je ne sais pas si j’appelle la maintenance ou le plombier et je m’en cogne un peu, l’habitude de l’eau froide, de se débrouiller comme je peux avec ce que j’ai sous la main. Toujours pas déménager mes affaires, dans le garage. J’appréhende le coup d’une entreprise pour deux voyages. Je dors sur quelques couvertures. J’ai gout à rien, le vide, le silence. Je fais tout pour ne pas avoir de pensés sombres, je me distrais via les jeux ou les séries, un film parfois. Ne pas avoir à penser que la vie existe. Les jours passent et quand je m’interroge sur le futur, le néant. Quel avenir pour moi ? Je me vois mal travailler vu la larve que je suis devenu, plus aucun cardio. Je ne sais plus rien faire, même réfléchir me semble compliquer. Je ne ressens plus grand-chose non plus, je prends du poids, ma vie est devenu un remake d’un jour sans fin. La solitude me pèse plus, je me demande même si au fond ce n’est pas ce que je voulais. Je me sens bien comme ça, j’ai croisé trop de cons, trop de pourri, trop de déception, je suis un poil trop fragile pour ce monde.
Et la suite à tout ça ? Y en-t-il une, je vais finir comme ces fous qu’on croise en ville, bas fond de la société.
Si quelqu’un a eu le courage de lire, merci.
Bonsoir, ce soir je n’ai pas spécialement besoin de parler, je me sens ni bien ni mal. Mais faut bien évacuer, avancer, en parler est une solution comme une autre.
Je suis un mélange entre Célestin survivaliste et Célestin système D. Je vais éviter de trop étaler ma vie, juste faire le point sur ma situation actuelle. La redondance de « je » « moi » m’agace d’une force.
27 ans, Rsaiste, pas de projet, sans toucher une femme depuis environ 6 ans. Il n’y pas vraiment de manque, d’envie, je me suis résigné, j’accepte d’être hors circuit et un poil superficiel sur le physique. De physique banal, ni moche ni beau je ne pourrais pas être avec une femme laide, obèse, qui a quelque chose qui me bloque, même si c’est la femme parfaite sur tous les autres plans. Je suis un pourri la dessus, c’est vrai, et j’ai conscience qu’une femme correct ne voudra pas de moi, c’est normal. Finir seul, je me suis fait à l’idée comme tout le reste. Et surtout je refuse de gouter à l’amour, cette chose me détruit à chaque fois, tellement destructeur. Un gars castré.
J’ai toujours étais perdu d’un sens,
Conseillère d’orientation en 3eme :
-Alors vous voulez faire quoi plus tard ?
-J’en sais rien, entuber moi pour aller étudier dans un endroit ou y a aucune demande.
J’ai fait un Bep Frigoriste, pour les deux du fond qui s’interrogent, c’est un plombier amélioré, spécialisé dans le froid.
A la sortie je savais à peine faire une soudure, j’ai jamais rien compris en électricité, et tout ce qui concerne le métier aussi. J’étais là-dedans par défaut. Mais je l’ai obtenu de justesse, merci le Français, l’histoire ect.
18 ans, diplôme en poche, seul vivant chez mon père et sans garder aucun contact avec ce qui me servait de camarade. J’enchaine les travails en intérim, faire le ménage, l’usine, serveur. Ma relation avec mon père se dégrade jusqu’au silence total. Un paysan chasseur resté bloquer dans les années 70,qui gagne même pas le smic, dur, me reprochant que mes études lui ont couté un bras, m’insultant dès que possible de bon à rien, de raté et de tout un tas de nom d’oiseau. Et pourtant il a jamais vraiment rien fait pour moi, comme si je devais m’en vouloir d’être né, je suis un boulet qu’il n’a pas demandé. L’été je le passais pas avec mes potes, je travaillais dans les champs, je faisais les jardins du voisinage, je gardais des chiens, de la surveillance, bref je gagnais ma vie comme je pouvais. Ce bonheur quand j’ai pu acheter ma PS2 et tout ce que j’avais besoin. Naitre dans une famille de pauvre, y a sois disant de l’amour en contrepartie, j’attends toujours.
Bref j’enchaine les mois de travail et les mois ou je m’enferme sur le net. Seul et je rencontre une fille, vraiment belle et adorable, proche de la princesse Disney et avec le temps je pars emménager chez sa mère, en région parisienne, la bas je trouve dans la journée un boulot de serveur, et plus tard de barman. La vie me sourit enfin, ce bonheur mais je ne me sens pas à l’aise, un campagnard dans cette prison c’est vraiment irrespirable. La belle maman qui me met la pression pour trouver un logement, mon ex qui pique des crises et qui m’étouffe aussi. Sans compter le travail, une grosse qui se croit bonne que j’ai recalé monte le patron contre moi, un patron qui payer pas toute mes heures mais je m’en foutais, heureux de faire se taff malgré tout, conscient d’avoir de la chance. Le manque de ma région, de mon environnement ou j’ai grandis et après avoir frappé le patron quand il m’annonce mon licenciement me font revenir chez moi. C’est vrai, j’étais parfois en retard, mal rasé, c’est par là que débute mon insomnie. J’aurais pu forcer, me retrouver un boulot, un logement surement mais non, je me sentais pas à ma place.
De retour en campagne à crever de faim, l’usine me rappeler chaque été, j’ai pu mettre de l’argent de côté que j’ai toujours. 6 km aller, 6km retour pour aller chercher un peu de bouffe en ville, sous la chaleur je tombais affamer et épuisé, la dépression frappe à ma porte. Il n’y avait pas d’eau chaude aussi, je faisais chauffer de l’eau dans un plat au micro-onde pour me laver un peu. C’est la que j’ai commencé à fumer, pas grand-chose à foutre de mourir d’un cancer à 40 ans, je ne compte pas vivre aussi longtemps.
J’ai largué ma copine, elle commencer à regarder si l’herbe du voisin était plus verte. 2 ans ensemble, par la suite je rencontrerais une blonde toujours en région parisienne, mais sans intérêt juste de la fesse. Et des histoires sur le net, qui me donneront juste de faux espoir.
C’est par là, je dois avoir 21/22 ans, que ma première pensée suicidaire commence, à chaque anniversaire, à chaque noël, à chaque nouvel an toujours avec de l’alcool dans le brouillard, un rappel de ma solitude, un retour à la réalité, sans projet, sans futur.
Et un jour je croise mon père qui me dit :
-Prend tes valises et dégage
La rue, j’y avais déjà gouté avec mon ex, à la fin quand je venais la voir je n’avais pas le droit de dormir chez elle. C’était l’hôtel, mais parfois elle me retenait et je louper mon train pour repartir, ou encore cette fois ou mon frère ma vidé mon compte en banque, je me suis retrouver à poil. Depuis je ne lui ai toujours pas reparlé.
Bref quelques mois dans la rue, un vieux bunker prêt d’une gare, le train de 06h00 qui me sers de réveil. La chaleur dans le couloir d’un Hlm, la concierge qui me propose du café. Attendre le jour des poubelles pour se servir en carton sur le trottoir des bars. Ne dormir que d’un œil, chaque bruit produit de l’adrénaline, la douleur dans tout le corps pour avoir dormi une fois de plus sur un sol bien dur.
Un jour j’appelle ma mère, pas vu depuis que mes parents se sont séparés. Un enfer pour un autre. Je vie chez elle avec un beau père violent, à une démarche et un physique à la marc Dutroux, injurieux qui me met la pression, me frappe et attend que je le frappe pour aller voir les flics, ce bruit sourd quand vous vous prenez un coup de bâton derrière a tête, la vue qui se trouble. Ma mère aussi était seule, elle a pris le premier acteur venu. Là je suis vite parti en formation de serveur, un an de répit, une association qui paye le loyer. Et j’ai forcé ma mère à aller voir les flics, il devenait de plus en plus incontrôlable. Il a perdu sa maison et aucune garde de sa fille qu’il a eu avec ma mère.
J’ai 24 ans, je retourne vivre chez ma mère après être retourné à l’usine et avoir pris un logement chez un propriétaire louche. Pas de boite au lettre, pas d’adresse, pas de caf, un logement pourri, bien cher pour ce que c’est, bref.
Les mois passe, je reste devant mon écran, je fuis la réalité. Elle retrouve un mec, et en ce début d’année ils se mettent ensemble. Bien sûr je ne suis pas la bienvenue, ils ne m’ont jamais proposé de venir le temps que je trouve un logement, car ce n’est pas simple avec seulement un RSA. J’ai passé ces derniers mois dans un garage sous cette chaleur infernale, j’ai suivi la coupe du monde dans des bars et passer mon plus grand temps dans la bibliothèque, seul comme toujours.
J’ai 27 ans, j’ai mon appartement, pas d’eau chaude depuis quelques semaines, je ne sais pas si j’appelle la maintenance ou le plombier et je m’en cogne un peu, l’habitude de l’eau froide, de se débrouiller comme je peux avec ce que j’ai sous la main. Toujours pas déménager mes affaires, dans le garage. J’appréhende le coup d’une entreprise pour deux voyages. Je dors sur quelques couvertures. J’ai gout à rien, le vide, le silence. Je fais tout pour ne pas avoir de pensés sombres, je me distrais via les jeux ou les séries, un film parfois. Ne pas avoir à penser que la vie existe. Les jours passent et quand je m’interroge sur le futur, le néant. Quel avenir pour moi ? Je me vois mal travailler vu la larve que je suis devenu, plus aucun cardio. Je ne sais plus rien faire, même réfléchir me semble compliquer. Je ne ressens plus grand-chose non plus, je prends du poids, ma vie est devenu un remake d’un jour sans fin. La solitude me pèse plus, je me demande même si au fond ce n’est pas ce que je voulais. Je me sens bien comme ça, j’ai croisé trop de cons, trop de pourri, trop de déception, je suis un poil trop fragile pour ce monde.
Et la suite à tout ça ? Y en-t-il une, je vais finir comme ces fous qu’on croise en ville, bas fond de la société.
Si quelqu’un a eu le courage de lire, merci.
Le 29 avril 2021 à 13:54:25 :
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/15/5/1586530423-fapfapfap.png
Le 29 avril 2021 à 13:39:22 :
Le 29 avril 2021 à 13:37:41 :
Le 29 avril 2021 à 13:36:48 :
Le 29 avril 2021 à 13:32:09 :
Le 29 avril 2021 à 13:26:36 :
Le 29 avril 2021 à 13:14:17 :
Tu penses quoi de tes pieds ?https://image.noelshack.com/fichiers/2016/48/1480464160-1474488578-jesus20.png Y'a des jours je les aime, comme y'a des jours je les déteste
pk ?????
quand tu marches beaucoup dans la journée, tes pieds ils finissent par gonfler mdr
t'aimerais qu'on te les lèche ?
j'ai jamais capté le délire sérieusement ;^;*
Le 29 avril 2021 à 13:37:34 :
Photo
avatar ^^
Le 29 avril 2021 à 13:36:48 :
Le 29 avril 2021 à 13:32:09 :
Le 29 avril 2021 à 13:26:36 :
Le 29 avril 2021 à 13:14:17 :
Tu penses quoi de tes pieds ?https://image.noelshack.com/fichiers/2016/48/1480464160-1474488578-jesus20.png Y'a des jours je les aime, comme y'a des jours je les déteste
pk ?????
quand tu marches beaucoup dans la journée, tes pieds ils finissent par gonfler mdr
t'aimerais qu'on te les lèche ?
je réponds ^^
dédi feet si on atteint les 10 pages 😘😘
Le 29 avril 2021 à 13:32:23 :
Le 29 avril 2021 à 13:21:48 :
Place VIP pour l'enfer ✔️Très méchant et surtout très hypocrite de ta part , sachant tout les péchés que tu dois cacher
ça parle chinois hein
Le 29 avril 2021 à 13:26:36 :
Le 29 avril 2021 à 13:14:17 :
Tu penses quoi de tes pieds ?https://image.noelshack.com/fichiers/2016/48/1480464160-1474488578-jesus20.png Y'a des jours je les aime, comme y'a des jours je les déteste
pk ?????
Le 29 avril 2021 à 13:25:54 :
Ton chat veux sortir, tu l'empêche juste de le faire.
oui mais il sort tout seul, un chien faut le promener en laisse
un chien c'est :
- dégueu, il a une sale gueule
- sale
- ça veut tout le temps sortir (petite pensée aux no life comme moi)
- ça aboie
et un chat :
- trop gnon
- propre
- ne veut jamais sortir, dort tout le temps
- ça miaule
Le 29 avril 2021 à 13:21:04 :
Les musulmans qui peuvent pas accéder au French Dreampetit labrador, petit crédit usurier
au pire ils achètent un chat à la place + c'est plus mignon et - chiant