Messages de BigFatCuck

Le timer de la première rencontre entre le mec et ses bienfaiteurs ?

On vit quand même dans un monde de fou,

Le mec casse une vitre d'une maison aléatoire pour chercher une meuf dans une chambre pour se vider et repart tranquillement

Le pire dans tout ça c'est que de ce que j'ai compris l'OP vit en coloc et par conséquent il y avait pas mal de chances que ses colocs soit à la maison à ce moment là, c'est vraiment une succession de malchance

C'est fou de se dire qu'un déchet pareil peut détruire la vie de quelqu'un de bien mieux

Il faudrait déjà commencer par définir le terme de dictature, sauf qu'évidemment tout les low IQs sont incapables de le faire :)

Le 30 juillet 2021 à 22:54:51 :

Le 30 juillet 2021 à 22:49:10 :

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Le 30 juillet 2021 à 22:43:21 :

Le 30 juillet 2021 à 22:42:34 :

Le 30 juillet 2021 à 22:37:45 :
Du coup, qu'est ce qui était conscient exactement il y'a un milliard d'années ? Les pierres ?

la conscience ou n'a jamais existé, ou tout est conscient.

tu n'as pas d'autres possibilités, ou alors un mix entre ces deux états constant ( superposé ) serait une possibilité selon le référentiel que tu choisis.

Quel est l'argument qui te permet de conclure sur ton affirmation :question:

le même axiome que celle dans la quel est ancré toute science, l'objectivité de la subjectivité de mon expérience phénomélogique.

ma théorie est que l'esprit ne peut que saisir des réflexions de l'essence du réel, jamais le réel.
cet essence n'étant pas quantifiable.. la science est une forme d'art.

et je juge l'art à mon impression esthétique. ( modèle pour faire sens de la réalité )

Oui en gros la science ne permet jamais de décrire le réel, simplement de proposer des modèles se comportant comme celui-ci,

Par contre je comprends toujours pas le rapport avec l'objet du départ :question:

Ou alors j'ai rien compris ce qui est aussi possible :question:

rien que dire "la science" si je prend une métaposition dans l'univers, invoquer le mot "la science" a autant de possibilités d'interprétations que "dieu".

si je dis c'est les lois de la cuisine, tu me demanderas de justifier quels sont ces lois.

tout reviendra toujours à la philosophie, donc à l'invention et la création de modèle.

en réalité le monde est si organique, et toute nos rubriques et référencement mentaux ne sont que des impressions mécaniques qui attendent d'être chargé par l'esthétique ( expérience concrète )

donc quant on dis la science, on invoque un bagage très lourd, mais imaginons que tu fasses références à la méthode scientifique, quel est t'elle cette méthode ? arbitraire, des axiomes assumés par les impressions.

mais qui peut affirmer que nos impressions ( venus de nos perceptions ) ont une valeur concluante pour être utiliser en tant qu'outil de mesure du monde.

toute nos mesures sont éternellement arbitraires, et nos résultats des suppositions.

c'est comme dire "c'est logique" oui mais de quel logique tu parles, tout les humains opèrent sur la "logique" à moins que tu fais références au moyen d'induire ta pensée dans une direction.

la logique elle même est une idée imaginaire, inventé par ton être, une sorte de mécanique dynamique qui tente de faire sens des "entry" dans le monde. ( distinctions faites par l'esprit sur les éléments de la nature/dieu/matrice )

Non la science a une définition propre lié à la méthode scientifique (qui est une méthode qui est elle aussi bien définie). Les multitudes d'interprétations que lui donne les individus n'en font pas quelque chose de flou de même que la méthode scientifique, c'est pas car certaines pensent que leurs méthode est la méthode scientifique qu'elle l'est, lorsqu'on d'un concept qui lui est flou comme Dieu, dans ce cas on le définit avant toute discussion.

Tu mélanges les impressions que l'on peut avoir lorsqu'on observe un phénomène et un terme définit clairement par l'Homme, ça n'a rien avoir dans un cas on n'est en aucun cas sur que l'observation correspond à la réalité dans l'autre il n'y a même pas à se poser la question de la réalité.

Bref ton pavé n'est là que pour semer la confusion en utilisant des termes qui te sont propres et que personne n'utilise (peut être pour se donner un certain style :sarcastic:), tu peux penser que tout est relatif et que tout n'est que le produit de tes observations et rien n'est absolu mais ça c'est encore et toujours une opinion. De plus il ne fait que répété ce que j'ai écrit en 2 phrases...

Et d'ailleurs tu n'as jamais répondu à la question <img src=))">

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Du coup, qu'est ce qui était conscient exactement il y'a un milliard d'années ? Les pierres ?

la conscience ou n'a jamais existé, ou tout est conscient.

tu n'as pas d'autres possibilités, ou alors un mix entre ces deux états constant ( superposé ) serait une possibilité selon le référentiel que tu choisis.

Quel est l'argument qui te permet de conclure sur ton affirmation :question:

le même axiome que celle dans la quel est ancré toute science, l'objectivité de la subjectivité de mon expérience phénomélogique.

ma théorie est que l'esprit ne peut que saisir des réflexions de l'essence du réel, jamais le réel.
cet essence n'étant pas quantifiable.. la science est une forme d'art.

et je juge l'art à mon impression esthétique. ( modèle pour faire sens de la réalité )

Oui en gros la science ne permet jamais de décrire le réel, simplement de proposer des modèles se comportant comme celui-ci,

Par contre je comprends toujours pas le rapport avec l'objet du départ :question:

Ou alors j'ai rien compris ce qui est aussi possible :question:

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Le 30 juillet 2021 à 22:05:55 :

Le 30 juillet 2021 à 22:02:52 :

Le 30 juillet 2021 à 21:57:04 :
Notre cerveau est évidemment lié à nos expériences mais il est une conséquences de nos perceptions plutôt que la chose elle-même qui est à l'origine de nos perceptions. Ça ne paraît assez évident non ?

Je n'ai pas compris.
Notre cerveau est la conséquence du filtre subjectif qui est réalisé par notre cerveau, il est une représentation. À partir de là, on dira que le cerveau est une conséquence de ce filtre et non la cause de ce filtre,de notre représntation, de notre expérience.

C'est mieux ?

Je ne comprends pas.

Et maintenant, je me suis trompé, en mettant deux fois cerveau:

Notre cerveau est la conséquence du filtre subjectif qui est réalisé par notre esprit, il est une représentation. À partir de là, on dira que le cerveau est une conséquence de ce filtre et non la cause de ce filtre, de notre représentation, de notre expérience.

Oui, ça revient à dire que notre cerveau est aussi perçu. :hap:

La conscience est antérieure à tout.

Lit Matérialisme et empiriocriticisme de Lénine, il y démontre exactement le contraire.

Nie tu l'existence de l'univers antécédent à toute conscience ou crois tu en Dieu ?

Pour moi la conscience c'est l'être.

Je réitère ma question : que fais tu de ce qui était avant la conscience dans l'univers ?

S'il existait, la conscience était là. Etre et conscience sont les deux faces d'une même pièce.

Sauf que manifestement ce n'est pas le cas, on est capable de dater les premières formes de vies et elles sont apparues bien après la matière inerte. Toute la science contredit ce que tu avances.

La science ne parle même pas de la conscience ( https://youtu.be/EbCdiMy3KCk?t=1737 ) donc ça me ferait mal. :rire2:

Effectivement, par contre elle parle de la matière, qui n'est manifestement pas consciente, et qui précède toute forme de conscience. Si la matière a été avant la conscience,

Ce que je nie. :oui:

Tu le nie contre la totalité de la science moderne qui postule l'existence de la matière comme objet extérieur à nous et qui nous précède. Encore une fois, la seule manière de sauver la conscience, c'est Dieu, sauf que tu sembles rejeter la solution déiste.

Par contre il faudrait expliquer en quoi la science moderne postule ceci,

De plus la science moderne comme expliquée à de très nombreuses occasions n'est pas la vérité et elle ne prétend pas l'être.

Elle le postule parce que c'est la condition nécessaire de toute science, puisque qu'une science se définit avant tout par son objet. Si on nie l'objet, alors la science n'a pas lieu d'être.

C'est pas vraiment ça, la subtilité c'est que la Science se cantonne à une partie limité de la réalité

:oui:

Il est certainement concevable que l’énorme réussite des sciences empiriques tienne peut-être au fait qu’elles n’étudient qu’un sous-ensemble approprié de la réalité, et que les parties qu’elles omettent nécessitent des méthodes pour obtenir des connaissances à leur sujet qui ne sont simplement pas « plus de science empirique ». Par exemple, je soutiens que les sciences empiriques, telles qu’elles sont généralement conçues, ne produisent pas de connaissances sur ce qu’est une bonne pratique scientifique ; non pas parce qu’elles sont défectueuses d’une manière ou d’une autre, mais simplement parce qu’elles ne s’intéressent pas à ces choses-là. De telles connaissances seraient obtenues par la philosophie des sciences ou l’éthique. En outre, les sciences empiriques, même si elles sont couronnées de succès, n’étudient pas les objets mathématiques ; et nous disposons de méthodes pour obtenir des connaissances sur les objets mathématiques, telles que le raisonnement abstrait et la preuve mathématique, qui ne sont pas des expériences ou des « observations » scientifiques. Le statut ontologique même des objets mathématiques n’est pas quelque chose sur lequel les sciences empiriques peuvent nous informer : ce doit être pris comme une hypothèse. Donc si nous avons des connaissances sur leur statut ontologique, et je pense que nous en avons, ces connaissances doivent être au-delà de la portée de ce que les sciences empiriques produisent. Encore une fois, ce n’est pas un défaut des sciences empiriques, c’est juste un domaine d’enquête dont elles ne s’occupent pas ; une limitation méthodologique qu’elles s’imposent à elles-mêmes afin de concentrer leur attention sur l’acquisition de connaissances sur une certaine partie de la réalité. C’est tout à fait normal, il ne faut seulement pas que cela se transforme en une revendication sur la façon dont toutes les connaissances sont obtenues. La raison pour laquelle un domaine de recherche connaît une grande réussite peut être qu’il sélectionne seulement un très petit aspect de la réalité à étudier, tel que le facilement quantifiable ou abstractible, et qu’il construit beaucoup de connaissances et un grand succès technologique à partir de cela. Mais son succès ne signifierait pas qu’une telle méthode est le seul moyen d’acquérir des connaissances, simplement qu’elle est très efficace pour accomplir la tâche spécialisée qu’elle accomplit, à savoir acquérir des connaissances sur les aspects quantitatifs de la réalité. Sauf que nous avons d’excellentes raisons de penser que la réalité n’est pas totalement quantitative, parce que nous expérimentons des choses qualitatives comme les couleurs, les odeurs et les sons, tout le temps dans notre expérience quotidienne. Par conséquent, les techniques qui se concentrent uniquement sur le quantitatif ne sont pas censées fournir des connaissances sur les parties non-quantitatives de la réalité, même si elles ont un grand degré de succès matériel ; d’autres méthodes sont nécessaires pour acquérir des connaissances sur ces aspects, par exemple l’expérience directe.

Déjà les science empiriques c'est finit depuis les année 1900. Aujourd’hui on test les concepts théoriques par déconstruction d'un phénomène, test systématiques des limite d'un mécanisme supposé ou reproduction d'un phénomène théorique.

L'expérience a encore une part très importante dans la validation des différentes théories

C'est pas moi qui confonds science expérimentale (modalités exprimées dans mon message) et sciences empiriques (basées sur des observations sans déconstruction du test du système observé)

Autant pour moi <img src=))">

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Du coup, qu'est ce qui était conscient exactement il y'a un milliard d'années ? Les pierres ?

la conscience ou n'a jamais existé, ou tout est conscient.

tu n'as pas d'autres possibilités, ou alors un mix entre ces deux états constant ( superposé ) serait une possibilité selon le référentiel que tu choisis.

Quel est l'argument qui te permet de conclure sur ton affirmation :question:

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Notre cerveau est évidemment lié à nos expériences mais il est une conséquences de nos perceptions plutôt que la chose elle-même qui est à l'origine de nos perceptions. Ça ne paraît assez évident non ?

Je n'ai pas compris.
Notre cerveau est la conséquence du filtre subjectif qui est réalisé par notre cerveau, il est une représentation. À partir de là, on dira que le cerveau est une conséquence de ce filtre et non la cause de ce filtre,de notre représntation, de notre expérience.

C'est mieux ?

Je ne comprends pas.

Et maintenant, je me suis trompé, en mettant deux fois cerveau:

Notre cerveau est la conséquence du filtre subjectif qui est réalisé par notre esprit, il est une représentation. À partir de là, on dira que le cerveau est une conséquence de ce filtre et non la cause de ce filtre, de notre représentation, de notre expérience.

Oui, ça revient à dire que notre cerveau est aussi perçu. :hap:

La conscience est antérieure à tout.

Lit Matérialisme et empiriocriticisme de Lénine, il y démontre exactement le contraire.

Nie tu l'existence de l'univers antécédent à toute conscience ou crois tu en Dieu ?

Pour moi la conscience c'est l'être.

Je réitère ma question : que fais tu de ce qui était avant la conscience dans l'univers ?

S'il existait, la conscience était là. Etre et conscience sont les deux faces d'une même pièce.

Sauf que manifestement ce n'est pas le cas, on est capable de dater les premières formes de vies et elles sont apparues bien après la matière inerte. Toute la science contredit ce que tu avances.

La science ne parle même pas de la conscience ( https://youtu.be/EbCdiMy3KCk?t=1737 ) donc ça me ferait mal. :rire2:

Effectivement, par contre elle parle de la matière, qui n'est manifestement pas consciente, et qui précède toute forme de conscience. Si la matière a été avant la conscience,

Ce que je nie. :oui:

Tu le nie contre la totalité de la science moderne qui postule l'existence de la matière comme objet extérieur à nous et qui nous précède. Encore une fois, la seule manière de sauver la conscience, c'est Dieu, sauf que tu sembles rejeter la solution déiste.

Par contre il faudrait expliquer en quoi la science moderne postule ceci,

De plus la science moderne comme expliquée à de très nombreuses occasions n'est pas la vérité et elle ne prétend pas l'être.

Elle le postule parce que c'est la condition nécessaire de toute science, puisque qu'une science se définit avant tout par son objet. Si on nie l'objet, alors la science n'a pas lieu d'être.

C'est pas vraiment ça, la subtilité c'est que la Science se cantonne à une partie limité de la réalité

:oui:

Il est certainement concevable que l’énorme réussite des sciences empiriques tienne peut-être au fait qu’elles n’étudient qu’un sous-ensemble approprié de la réalité, et que les parties qu’elles omettent nécessitent des méthodes pour obtenir des connaissances à leur sujet qui ne sont simplement pas « plus de science empirique ». Par exemple, je soutiens que les sciences empiriques, telles qu’elles sont généralement conçues, ne produisent pas de connaissances sur ce qu’est une bonne pratique scientifique ; non pas parce qu’elles sont défectueuses d’une manière ou d’une autre, mais simplement parce qu’elles ne s’intéressent pas à ces choses-là. De telles connaissances seraient obtenues par la philosophie des sciences ou l’éthique. En outre, les sciences empiriques, même si elles sont couronnées de succès, n’étudient pas les objets mathématiques ; et nous disposons de méthodes pour obtenir des connaissances sur les objets mathématiques, telles que le raisonnement abstrait et la preuve mathématique, qui ne sont pas des expériences ou des « observations » scientifiques. Le statut ontologique même des objets mathématiques n’est pas quelque chose sur lequel les sciences empiriques peuvent nous informer : ce doit être pris comme une hypothèse. Donc si nous avons des connaissances sur leur statut ontologique, et je pense que nous en avons, ces connaissances doivent être au-delà de la portée de ce que les sciences empiriques produisent. Encore une fois, ce n’est pas un défaut des sciences empiriques, c’est juste un domaine d’enquête dont elles ne s’occupent pas ; une limitation méthodologique qu’elles s’imposent à elles-mêmes afin de concentrer leur attention sur l’acquisition de connaissances sur une certaine partie de la réalité. C’est tout à fait normal, il ne faut seulement pas que cela se transforme en une revendication sur la façon dont toutes les connaissances sont obtenues. La raison pour laquelle un domaine de recherche connaît une grande réussite peut être qu’il sélectionne seulement un très petit aspect de la réalité à étudier, tel que le facilement quantifiable ou abstractible, et qu’il construit beaucoup de connaissances et un grand succès technologique à partir de cela. Mais son succès ne signifierait pas qu’une telle méthode est le seul moyen d’acquérir des connaissances, simplement qu’elle est très efficace pour accomplir la tâche spécialisée qu’elle accomplit, à savoir acquérir des connaissances sur les aspects quantitatifs de la réalité. Sauf que nous avons d’excellentes raisons de penser que la réalité n’est pas totalement quantitative, parce que nous expérimentons des choses qualitatives comme les couleurs, les odeurs et les sons, tout le temps dans notre expérience quotidienne. Par conséquent, les techniques qui se concentrent uniquement sur le quantitatif ne sont pas censées fournir des connaissances sur les parties non-quantitatives de la réalité, même si elles ont un grand degré de succès matériel ; d’autres méthodes sont nécessaires pour acquérir des connaissances sur ces aspects, par exemple l’expérience directe.

Déjà les science empiriques c'est finit depuis les année 1900. Aujourd’hui on test les concepts théoriques par déconstruction d'un phénomène, test systématiques des limite d'un mécanisme supposé ou reproduction d'un phénomène théorique.

L'expérience a encore une part très importante dans la validation des différentes théories

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Je n'ai pas compris.
Notre cerveau est la conséquence du filtre subjectif qui est réalisé par notre cerveau, il est une représentation. À partir de là, on dira que le cerveau est une conséquence de ce filtre et non la cause de ce filtre,de notre représntation, de notre expérience.

C'est mieux ?

Je ne comprends pas.

Et maintenant, je me suis trompé, en mettant deux fois cerveau:

Notre cerveau est la conséquence du filtre subjectif qui est réalisé par notre esprit, il est une représentation. À partir de là, on dira que le cerveau est une conséquence de ce filtre et non la cause de ce filtre, de notre représentation, de notre expérience.

Oui, ça revient à dire que notre cerveau est aussi perçu. :hap:

La conscience est antérieure à tout.

Lit Matérialisme et empiriocriticisme de Lénine, il y démontre exactement le contraire.

Nie tu l'existence de l'univers antécédent à toute conscience ou crois tu en Dieu ?

Pour moi la conscience c'est l'être.

Je réitère ma question : que fais tu de ce qui était avant la conscience dans l'univers ?

S'il existait, la conscience était là. Etre et conscience sont les deux faces d'une même pièce.

Sauf que manifestement ce n'est pas le cas, on est capable de dater les premières formes de vies et elles sont apparues bien après la matière inerte. Toute la science contredit ce que tu avances.

La science ne parle même pas de la conscience ( https://youtu.be/EbCdiMy3KCk?t=1737 ) donc ça me ferait mal. :rire2:

Effectivement, par contre elle parle de la matière, qui n'est manifestement pas consciente, et qui précède toute forme de conscience. Si la matière a été avant la conscience,

Ce que je nie. :oui:

Tu le nie contre la totalité de la science moderne qui postule l'existence de la matière comme objet extérieur à nous et qui nous précède. Encore une fois, la seule manière de sauver la conscience, c'est Dieu, sauf que tu sembles rejeter la solution déiste.

Par contre il faudrait expliquer en quoi la science moderne postule ceci,

De plus la science moderne comme expliquée à de très nombreuses occasions n'est pas la vérité et elle ne prétend pas l'être.

Elle le postule parce que c'est la condition nécessaire de toute science, puisque qu'une science se définit avant tout par son objet. Si on nie l'objet, alors la science n'a pas lieu d'être.

La science moderne se définit grosse merdo par sa méthode (et d'autre truc qui vont avec) et non ses objets.

Il n'y a pas de méthode si on nie le monde matériel auquel la méthode s'applique.

Le monde matériel n'a en aucun cas besoin d'exister si l'on se borne aux limites dans lequel il se comporte comme s'il existait.

Le 30 juillet 2021 à 22:30:37 :

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Le 30 juillet 2021 à 22:04:28 :

pour donner un sens à ma vie.

C'est que tu n'y réfléchis pas assez, je pense. Si chacun donne le sens qu'il veut à la vie, c'est qu'elle n'en a pas. Le physicalisme, c'est la fin de tout sens et de toute morale. Bien compris, on ne peut que déprimer, selon moi.

C'est qu'elle n'en a pas un, intrinsèque et absolu. La nuance est quand même abyssale, rien n'empêche de se le fixer soi-même. Et ce serait seulement la fin de toute morale absolue, chose qui n'a jamais existé par ailleurs, donc je ne vois pas vraiment le souci. Et je pense y réfléchir suffisamment mais bon.

Tu n'as aucune preuve qu'il n'y a pas de sens intrinsèque et absolu à la vie ni de preuve que la morale absolue n'existe pas,

Tout ça sont tes croyances personnelles qui peuvent être issues de raisonnement ou non,

Les présenter comme des évidences n'en font pas d'elles des vérités.

y'a pas les messages d'avant mais c'était dans le cas où nous sommes juste des êtres physiques. Sinon toute l'histoire est une réfutation empirique d'une quelconque morale absolue, où alors de l'incapacité de cet absolu moral à s'installer dans toutes les sociétés humaines, et donc dans ce cas-là il n'a plus rien d'absolu

Effectivement j'ai pas lu les messages précédent et si il y avait un contexte et que je t'ai prêté des opinions qui ne sont pas les tiennes c'est de ma faute,

Pour ce qui suit, comme je l'ai dit c'est on opinion qui peut être issue de x ou y réflexions, comme la croyance en Dieu en soit, si cela te conduit à penser que la morale absolue n'existe pas soit, ce n'est pas pour autant que c'est une preuve.

Oui, eh bien, j'essayais juste de défendre le cas où dieu n'existerait pas et nous serions seulement matière car à mon sens ça ne conduirait pas seulement au nihilisme. J'ai pas essayé de dire que c'était le cas pour tous (ni pour moi). Sinon hs mais que constitue une preuve pour ce genre de sujet pour toi ? Je vois mal ce qu'on peut envisager d'autre que des réflexions x qui mènent à x position.

Justement pour ce genre de sujet c'est improuvable, on peut trouver des réflexions qui nous incitent à prendre x ou y positions mais on ne sera jamais sur à 100% comme on peut l'être pour une démonstration mathématiques

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Notre cerveau est évidemment lié à nos expériences mais il est une conséquences de nos perceptions plutôt que la chose elle-même qui est à l'origine de nos perceptions. Ça ne paraît assez évident non ?

Je n'ai pas compris.
Notre cerveau est la conséquence du filtre subjectif qui est réalisé par notre cerveau, il est une représentation. À partir de là, on dira que le cerveau est une conséquence de ce filtre et non la cause de ce filtre,de notre représntation, de notre expérience.

C'est mieux ?

Je ne comprends pas.

Et maintenant, je me suis trompé, en mettant deux fois cerveau:

Notre cerveau est la conséquence du filtre subjectif qui est réalisé par notre esprit, il est une représentation. À partir de là, on dira que le cerveau est une conséquence de ce filtre et non la cause de ce filtre, de notre représentation, de notre expérience.

Oui, ça revient à dire que notre cerveau est aussi perçu. :hap:

La conscience est antérieure à tout.

Lit Matérialisme et empiriocriticisme de Lénine, il y démontre exactement le contraire.

Nie tu l'existence de l'univers antécédent à toute conscience ou crois tu en Dieu ?

Pour moi la conscience c'est l'être.

Je réitère ma question : que fais tu de ce qui était avant la conscience dans l'univers ?

S'il existait, la conscience était là. Etre et conscience sont les deux faces d'une même pièce.

Sauf que manifestement ce n'est pas le cas, on est capable de dater les premières formes de vies et elles sont apparues bien après la matière inerte. Toute la science contredit ce que tu avances.

La science ne parle même pas de la conscience ( https://youtu.be/EbCdiMy3KCk?t=1737 ) donc ça me ferait mal. :rire2:

Effectivement, par contre elle parle de la matière, qui n'est manifestement pas consciente, et qui précède toute forme de conscience. Si la matière a été avant la conscience,

Ce que je nie. :oui:

Tu le nie contre la totalité de la science moderne qui postule l'existence de la matière comme objet extérieur à nous et qui nous précède. Encore une fois, la seule manière de sauver la conscience, c'est Dieu, sauf que tu sembles rejeter la solution déiste.

Par contre il faudrait expliquer en quoi la science moderne postule ceci,

De plus la science moderne comme expliquée à de très nombreuses occasions n'est pas la vérité et elle ne prétend pas l'être.

Elle le postule parce que c'est la condition nécessaire de toute science, puisque qu'une science se définit avant tout par son objet. Si on nie l'objet, alors la science n'a pas lieu d'être.

C'est pas vraiment ça, la subtilité c'est que la Science se cantonne à une partie limité de la réalité, dans cette partie on peut considérer que l'objet existe mais rien n'assure qu'il existe lorsqu'on prend la réalité dans sa globalité

Le 30 juillet 2021 à 22:26:50 :

Le 30 juillet 2021 à 22:19:50 :

Le 30 juillet 2021 à 22:17:18 :

Le 30 juillet 2021 à 20:59:36 :
J'aimerais quand même savoir ce qui selon vous cause la conscience.

Et si d'après vous les animaux l'ont.

Derrière j'aurais quelques questions par rapport à l'évolution des espèces.

La conscience est la dernière et la plus tardive évolution de la vie organique, et par conséquent ce qu'il y a moins d'accompli et de plus fragile en elle.

La tradition philosophique a tendance à l'identifier comme siège de l'ego (principe unifiant) qui te donne l'impression (falsifiée, erronée, mais nécessaire à la survie) d'une unité continue et de répétitions dans le flux des représentations (alors que le réel est devenir, chaos, où rien n'est identique à rien). C'est la conscience comme unité synthétique de l'aperception. Cette conscience "subit" les différentes volontés corporelles (désir, dégoût, plaisir), dans le sens où elle les reconnaît d'abord passivement. Ce qui ne l'empêche pas de pouvoir agir sur elles a posteriori, soit par leur refoulement, soit par leur acceptation.

Mais en fait, la réalité est bien "pire" que cela.

Car la conscience ou l'ego n'est jamais qu'un organe (au sens fort) tardif de l'évolution : les scientifiques pensent que la couche du néo-cortex et ses connexions à l'origine du sens logique, de l'identité et de la conscience est venu en dernier dans la genèse du cerveau. Il y a tout à parier que les formes de vie antérieures, plus primitives, inconscientes, vivaient dans et percevaient un réel plus réel que le nôtre, "plongées dans le flux" ; la conscience n'est apparue que lorsqu'elle devait percevoir dans le flux du devenir et du chaos des sensations des formes identiques à elles-mêmes qui approchaient (des prédateurs par exemple). La conscience est certes un formidable outil de survie, mais un formidable outil de falsification du réel, une erreur vitale à notre survie que l'on est obligé d'admettre comme une vérité.

En d'autres termes, en plus d'être imparfaite et pauvre, la conscience n'est elle-même que le produit des différentes forces ou volontés corporelles à l'origine de la formation organique qui, en se hiérarchisant les unes les autres suivant le principe fluide de la volonté de puissance, produisent les organes, ces documents d'une interprétation et ces monuments d'une domination. Pour moi, à l'échelle de la formation organique, la conscience est le produit suprême de la volonté de puissance à l'origine des volontés corporelles qui a eu besoin, pour maintenir l'unité hiérarchique et fluide de l'organisme, de contredire sa valeur de conquête en se retournant contre elle-même en volonté de conservation pour garantir l'homéostase et la conservation de l'organisme dans son milieu.

La conscience est un pare-feu simplificateur, une bêtise conservatrice incorporée, un filtre issue de notre évolution, qui nous masque la réalité de notre activité vitale, de cette foule de forces et de volontés corporelles, créatrices, qui agissent sans cesse en nous au niveau inconscient et que l'on ne maîtrise pas, réalité qui est infiniment plus riche, plus complexe, plus profonde et intéressante que n'importe quelle production du sens logique ou mathématique que la conscience induit (le principe d'identité à l'origine du Je = je est un principe d'identité logique).

Il suffit d'observer les "malades mentaux" ou les "cas psychatriques" qui, lorsqu'ils basculent, s'effraient des potentialités qui bouillonnent en eux, ou de certains événements qui, dans ta vie, t'ont amené à réagir sans que tu te reconnaisses dans ce que tu fais (comme ça a été mon cas durant une agression au couteau en prépa qui s'est terminée par mon agresseur transpercé à l'épaule) pour constater que la conscience, au fond, est vraiment quelque chose d'imparfait, de récent, de brouillon, qui donne l'impression que la maîtrise est possible, alors qu'on ne contrôle, au fond, strictement rien, qui te donne l'illusion d'une unité du moi, alors que tu es plusieurs.

C'est la conscience qui maintient ton identité (Je=je) dans le flux des représentations par une simplification salutaire, c'est elle qui te fait percevoir des formes différentes des autres dans le flux du devenir, sans conscience AUCUNE forme de vie n'aurait pu survivre à ses prédateurs, ou se nourrir, et n'aurait pu maintenir son intégrité organique.

Ma définition de la conscience s'étend également aux animaux puisqu'à partir du moment où ces derniers perçoivent des formes qui se répètent dans le flux du devenir, que A = A à un instant T et T +1, à partir du moment où la perception visuelle/sonore/auditive reconnaît des formes semblables, qu'il y a une mémoire même courte, ben ils sont conscients, s'ils ne l'étaient pas les prédateurs seraient incapables de chasser et les proies, de fuir.

La seule différence avec la conscience humaine c'est que la conscience humaine est beaucoup plus raffinée (abstraction) mais ça n'est vraiment qu'une différence de degrés, pas de nature, avec le reste du règne animal, au fond c'est exactement le même phénomène, mais saisi à des stades de complexification évolutive différents.

Que les animaux agissent par instinct n'exclut pas a priori l'existence d'une conscience chez ces derniers, bien au contraire, c'est juste qu'elle est minimale.

J'ai pas tout lu

Mais rien que la première phrase présentée comme une vérité absolue n'est que ton opinion ou un postulat non prouvé.

Vous prenez la science pour une vérité absolue et les scientifiques pour ses prophètes sans connaitre quels sont les mécanismes qui mènent à x ou y théories.

Comment tu peux réfuter toute une partie de mon message (la partie importante qui plus est pour comprendre ce que j'essaye d'expliquer) puis ensuite parler de mécanismes qui mènent à x théories ? :rire2:

La conscience est un produit avancé du règne animal puisqu'elle permet la conservation de l'organisme en te faisant percevoir le réel et toi-même de manière formé, simplifiée et répétitive. Ce que tout le monde sait.

J'ai réfuté ta première phrase, j'ai lu quelques phrases de plus puis j'ai arrêté car tout se basait sur ce postulat.

Ta phrase n'est en aucun cas une preuve, c'est pas car la conscience te permet d'avoir un avantage sur le règne animal qu'elle est issue de l'évolution. Tu pars encore d'un autre postulat que toutes propriétés biologique est issue de l'évolution, t'en rends tu seulement compte ?

"Ce que tout le monde sait" plutôt ce que les idiots pensent savoir :sarcastic:

Le 30 juillet 2021 à 22:25:05 :

Le 30 juillet 2021 à 22:23:13 :

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Le 30 juillet 2021 à 22:16:45 :

Le 30 juillet 2021 à 22:15:41 :

Le 30 juillet 2021 à 22:15:15 :

Le 30 juillet 2021 à 22:10:49 :

Le 30 juillet 2021 à 22:10:02 :

Le 30 juillet 2021 à 22:07:52 :

Le 30 juillet 2021 à 22:05:55 :

Le 30 juillet 2021 à 22:02:52 :

Le 30 juillet 2021 à 21:57:04 :
Notre cerveau est évidemment lié à nos expériences mais il est une conséquences de nos perceptions plutôt que la chose elle-même qui est à l'origine de nos perceptions. Ça ne paraît assez évident non ?

Je n'ai pas compris.
Notre cerveau est la conséquence du filtre subjectif qui est réalisé par notre cerveau, il est une représentation. À partir de là, on dira que le cerveau est une conséquence de ce filtre et non la cause de ce filtre,de notre représntation, de notre expérience.

C'est mieux ?

Je ne comprends pas.

Et maintenant, je me suis trompé, en mettant deux fois cerveau:

Notre cerveau est la conséquence du filtre subjectif qui est réalisé par notre esprit, il est une représentation. À partir de là, on dira que le cerveau est une conséquence de ce filtre et non la cause de ce filtre, de notre représentation, de notre expérience.

Oui, ça revient à dire que notre cerveau est aussi perçu. :hap:

La conscience est antérieure à tout.

Lit Matérialisme et empiriocriticisme de Lénine, il y démontre exactement le contraire.

Nie tu l'existence de l'univers antécédent à toute conscience ou crois tu en Dieu ?

Pour moi la conscience c'est l'être.

Je réitère ma question : que fais tu de ce qui était avant la conscience dans l'univers ?

S'il existait, la conscience était là. Etre et conscience sont les deux faces d'une même pièce.

Sauf que manifestement ce n'est pas le cas, on est capable de dater les premières formes de vies et elles sont apparues bien après la matière inerte. Toute la science contredit ce que tu avances.

La science ne parle même pas de la conscience ( https://youtu.be/EbCdiMy3KCk?t=1737 ) donc ça me ferait mal. :rire2:

Effectivement, par contre elle parle de la matière, qui n'est manifestement pas consciente, et qui précède toute forme de conscience. Si la matière a été avant la conscience,

Ce que je nie. :oui:

Tu le nie contre la totalité de la science moderne qui postule l'existence de la matière comme objet extérieur à nous et qui nous précède. Encore une fois, la seule manière de sauver la conscience, c'est Dieu, sauf que tu sembles rejeter la solution déiste.

Par contre il faudrait expliquer en quoi la science moderne postule ceci,

De plus la science moderne comme expliquée à de très nombreuses occasions n'est pas la vérité et elle ne prétend pas l'être.

Le 30 juillet 2021 à 22:18:50 :

Le 30 juillet 2021 à 22:13:12 :

Le 30 juillet 2021 à 22:11:18 :

Le 30 juillet 2021 à 22:04:28 :

pour donner un sens à ma vie.

C'est que tu n'y réfléchis pas assez, je pense. Si chacun donne le sens qu'il veut à la vie, c'est qu'elle n'en a pas. Le physicalisme, c'est la fin de tout sens et de toute morale. Bien compris, on ne peut que déprimer, selon moi.

C'est qu'elle n'en a pas un, intrinsèque et absolu. La nuance est quand même abyssale, rien n'empêche de se le fixer soi-même. Et ce serait seulement la fin de toute morale absolue, chose qui n'a jamais existé par ailleurs, donc je ne vois pas vraiment le souci. Et je pense y réfléchir suffisamment mais bon.

Tu n'as aucune preuve qu'il n'y a pas de sens intrinsèque et absolu à la vie ni de preuve que la morale absolue n'existe pas,

Tout ça sont tes croyances personnelles qui peuvent être issues de raisonnement ou non,

Les présenter comme des évidences n'en font pas d'elles des vérités.

y'a pas les messages d'avant mais c'était dans le cas où nous sommes juste des êtres physiques. Sinon toute l'histoire est une réfutation empirique d'une quelconque morale absolue, où alors de l'incapacité de cet absolu moral à s'installer dans toutes les sociétés humaines, et donc dans ce cas-là il n'a plus rien d'absolu

Effectivement j'ai pas lu les messages précédent et si il y avait un contexte et que je t'ai prêté des opinions qui ne sont pas les tiennes c'est de ma faute,

Pour ce qui suit, comme je l'ai dit c'est on opinion qui peut être issue de x ou y réflexions, comme la croyance en Dieu en soit, si cela te conduit à penser que la morale absolue n'existe pas soit, ce n'est pas pour autant que c'est une preuve.

Le 30 juillet 2021 à 22:17:18 :

Le 30 juillet 2021 à 20:59:36 :
J'aimerais quand même savoir ce qui selon vous cause la conscience.

Et si d'après vous les animaux l'ont.

Derrière j'aurais quelques questions par rapport à l'évolution des espèces.

La conscience est la dernière et la plus tardive évolution de la vie organique, et par conséquent ce qu'il y a moins d'accompli et de plus fragile en elle.

La tradition philosophique a tendance à l'identifier comme siège de l'ego (principe unifiant) qui te donne l'impression (falsifiée, erronée, mais nécessaire à la survie) d'une unité continue et de répétitions dans le flux des représentations (alors que le réel est devenir, chaos, où rien n'est identique à rien). C'est la conscience comme unité synthétique de l'aperception. Cette conscience "subit" les différentes volontés corporelles (désir, dégoût, plaisir), dans le sens où elle les reconnaît d'abord passivement. Ce qui ne l'empêche pas de pouvoir agir sur elles a posteriori, soit par leur refoulement, soit par leur acceptation.

Mais en fait, la réalité est bien "pire" que cela.

Car la conscience ou l'ego n'est jamais qu'un organe (au sens fort) tardif de l'évolution : les scientifiques pensent que la couche du néo-cortex et ses connexions à l'origine du sens logique, de l'identité et de la conscience est venu en dernier dans la genèse du cerveau. Il y a tout à parier que les formes de vie antérieures, plus primitives, inconscientes, vivaient dans et percevaient un réel plus réel que le nôtre, "plongées dans le flux" ; la conscience n'est apparue que lorsqu'elle devait percevoir dans le flux du devenir et du chaos des sensations des formes identiques à elles-mêmes qui approchaient (des prédateurs par exemple). La conscience est certes un formidable outil de survie, mais un formidable outil de falsification du réel, une erreur vitale à notre survie que l'on est obligé d'admettre comme une vérité.

En d'autres termes, en plus d'être imparfaite et pauvre, la conscience n'est elle-même que le produit des différentes forces ou volontés corporelles à l'origine de la formation organique qui, en se hiérarchisant les unes les autres suivant le principe fluide de la volonté de puissance, produisent les organes, ces documents d'une interprétation et ces monuments d'une domination. Pour moi, à l'échelle de la formation organique, la conscience est le produit suprême de la volonté de puissance à l'origine des volontés corporelles qui a eu besoin, pour maintenir l'unité hiérarchique et fluide de l'organisme, de contredire sa valeur de conquête en se retournant contre elle-même en volonté de conservation pour garantir l'homéostase et la conservation de l'organisme dans son milieu.

La conscience est un pare-feu simplificateur, une bêtise conservatrice incorporée, un filtre issue de notre évolution, qui nous masque la réalité de notre activité vitale, de cette foule de forces et de volontés corporelles, créatrices, qui agissent sans cesse en nous au niveau inconscient et que l'on ne maîtrise pas, réalité qui est infiniment plus riche, plus complexe, plus profonde et intéressante que n'importe quelle production du sens logique ou mathématique que la conscience induit (le principe d'identité à l'origine du Je = je est un principe d'identité logique).

Il suffit d'observer les "malades mentaux" ou les "cas psychatriques" qui, lorsqu'ils basculent, s'effraient des potentialités qui bouillonnent en eux, ou de certains événements qui, dans ta vie, t'ont amené à réagir sans que tu te reconnaisses dans ce que tu fais (comme ça a été mon cas durant une agression au couteau en prépa qui s'est terminée par mon agresseur transpercé à l'épaule) pour constater que la conscience, au fond, est vraiment quelque chose d'imparfait, de récent, de brouillon, qui donne l'impression que la maîtrise est possible, alors qu'on ne contrôle, au fond, strictement rien, qui te donne l'illusion d'une unité du moi, alors que tu es plusieurs.

C'est la conscience qui maintient ton identité (Je=je) dans le flux des représentations par une simplification salutaire, c'est elle qui te fait percevoir des formes différentes des autres dans le flux du devenir, sans conscience AUCUNE forme de vie n'aurait pu survivre à ses prédateurs, ou se nourrir, et n'aurait pu maintenir son intégrité organique.

Ma définition de la conscience s'étend également aux animaux puisqu'à partir du moment où ces derniers perçoivent des formes qui se répètent dans le flux du devenir, que A = A à un instant T et T +1, à partir du moment où la perception visuelle/sonore/auditive reconnaît des formes semblables, qu'il y a une mémoire même courte, ben ils sont conscients, s'ils ne l'étaient pas les prédateurs seraient incapables de chasser et les proies, de fuir.

La seule différence avec la conscience humaine c'est que la conscience humaine est beaucoup plus raffinée (abstraction) mais ça n'est vraiment qu'une différence de degrés, pas de nature, avec le reste du règne animal, au fond c'est exactement le même phénomène, mais saisi à des stades de complexification évolutive différents.

Que les animaux agissent par instinct n'exclut pas a priori l'existence d'une conscience chez ces derniers, bien au contraire, c'est juste qu'elle est minimale.

J'ai pas tout lu

Mais rien que la première phrase présentée comme une vérité absolue n'est que ton opinion ou un postulat non prouvé.

Vous prenez la science pour une vérité absolue et les scientifiques pour ses prophètes sans connaitre quels sont les mécanismes qui mènent à x ou y théories.

Le 30 juillet 2021 à 22:15:05 :

Le 30 juillet 2021 à 22:13:57 :
on peut également prendre une autre approches

""soit c'est conscient soit ça l'est pas" et l'approche commune sauf que finalement le tout ou rien c'est pas forcement vrai
par exemple on peut postuler que tous les objets matérielle sont conscients

la différence ce serait le degré de conscience

un insecte ou arbre c''est conscient mais pas au même niveau et evidement l'humain a un degré élevé
même un caillou serait conscient mais ce serait tellement négligeable que y'a aucune consequence

si un caillou une conscience de 1 un humain aurait une conscience de 10^125525422066223556
on va dire que c'est une approche de matheux, c'est juste une autre vision

Et là, tu penses aux expériences quantiques où l'atome réagit en fonction de l'observation.https://image.noelshack.com/fichiers/2017/24/6/1497706607-morpheus1.png

"L'atôme" réagit selon l'observation selon nos modèles, c'est simplement la meilleure interprétation que l'on possède actuellement dans le cadre de la physique quantique, rien n'assure que celle-ci est la vérité et qu'elle décrit réellement les phénomènes qui se produisent.

Elle permet simplement d'expliquer certains résultat et dans prédire d'autres dans une certaine mesure, rien ne prouve que dans 100 ans une autre théorie explique les phénomènes à l'échelle atomique n'ayant rien à voir avec la physique quantique actuelle.

Le 30 juillet 2021 à 22:11:56 :

Le 30 juillet 2021 à 22:11:20 :

Le 30 juillet 2021 à 22:09:28 :

Le 30 juillet 2021 à 22:08:08 :

Le 30 juillet 2021 à 22:05:02 :

Le 30 juillet 2021 à 22:04:18 :

Le 30 juillet 2021 à 22:02:29 :

Le 30 juillet 2021 à 22:01:44 :

Le 30 juillet 2021 à 22:00:38 :

Le 30 juillet 2021 à 21:59:42 :

Le 30 juillet 2021 à 21:58:54 :

Le 30 juillet 2021 à 21:57:43 :

Le 30 juillet 2021 à 21:56:51 :

Le 30 juillet 2021 à 21:54:23 :

Le 30 juillet 2021 à 21:49:06 :

Je ne suis pas d'accord. Un cellule est consciente, elle a une forme (primaire) de vie subjective.

Oulah. Je te ne suis clairement pas là-dessus, ça me parait incongruent avec ce que l'on sait. Tu dirais que tout les êtres vivants sont conscients toi?

Oui.
La conscience, c'est juste la capacité à percevoir. Tout ce qui est vivant est conscient, pour moi.

Le 30 juillet 2021 à 21:54:53 :
C'est bien sympa comme pavé mais je vois pas l'intérêt de la question, je ne suis pas neurologue après tout, concrètement que nos processus mentaux soient uniquement physiques ou qu'ils soient, en partie ou en totalité, métaphysiques, ça ne change à ma vie.

Bah une position te dit que tu es immortel et une "partie" de Dieu, l'autre que tu es un déchet organique éphémère dans un univers vide de sens. Ca change pas mal de chose je trouve. :hap:

Une cellule ça perçoit quoi concrètement ?

Bah c'est vivant. Ca a une vie subjective. Ca se nourrit, ça vit, ça meurt.

Ça répond pas à la question, ça perçoit quoi?

J'en sais rien, et je ne peux pas le savoir. C'est pour ça qu'on parle de vie subjective, seul le sujet y a accès. Voir :

Donc si j'ai bien compris, selon toi tout ce qui est vivant perçoit soi même et par conséquent est conscient ?

Oui.

Ça semble être plutôt une propriété intrinsèque et réservée à l'être humain selon moi, ce qui expliquerait sa singularité par rapport aux autres êtres vivants

Je suis assez aristotélicien sur ça : ce qui différencie l'être humain des animaux et des plantes, c'est sa rationalité, pas sa sentience.

Je connais pas le mot sentience,

Conscient, qui a une vie subjective, qui fait l'expérience.

Bâtir des temples, vouer des cultes à des dieux divers dont l'existence est improuvable me semble peu rationnel, pourtant c'est une des principales singularités de l'homme par rapport aux autres êtres vivants

La rationalité aussi évolue :https://image.noelshack.com/fichiers/2021/30/5/1627675766-ratio.png

Non la rationalité c'est le fait d'avoir un raisonnement logique exempt de biais,

Les maths sont le produit de la rationalité humaine, on doit pas avoir la même définition de ce qu'est la rationalité.

Oui, là je parlais de cognition au sens large. Mais tu as raison : la rationalité, c'est la capacité à abstraire et à appliquer des raisonnements formels.

Néanmoins tu as raison quelque part, la rationalité de l'homme le différencie aussi des autres êtres vivants mais ce n'est pas la seule différence cf les multitudes de cultes

Le 30 juillet 2021 à 22:11:18 :

Le 30 juillet 2021 à 22:04:28 :

pour donner un sens à ma vie.

C'est que tu n'y réfléchis pas assez, je pense. Si chacun donne le sens qu'il veut à la vie, c'est qu'elle n'en a pas. Le physicalisme, c'est la fin de tout sens et de toute morale. Bien compris, on ne peut que déprimer, selon moi.

C'est qu'elle n'en a pas un, intrinsèque et absolu. La nuance est quand même abyssale, rien n'empêche de se le fixer soi-même. Et ce serait seulement la fin de toute morale absolue, chose qui n'a jamais existé par ailleurs, donc je ne vois pas vraiment le souci. Et je pense y réfléchir suffisamment mais bon.

Tu n'as aucune preuve qu'il n'y a pas de sens intrinsèque et absolu à la vie ni de preuve que la morale absolue n'existe pas,

Tout ça sont tes croyances personnelles qui peuvent être issues de raisonnement ou non,

Les présenter comme des évidences n'en font pas d'elles des vérités.

Le 30 juillet 2021 à 22:09:28 :

Le 30 juillet 2021 à 22:08:08 :

Le 30 juillet 2021 à 22:05:02 :

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Le 30 juillet 2021 à 22:02:29 :

Le 30 juillet 2021 à 22:01:44 :

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Le 30 juillet 2021 à 21:59:42 :

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Je ne suis pas d'accord. Un cellule est consciente, elle a une forme (primaire) de vie subjective.

Oulah. Je te ne suis clairement pas là-dessus, ça me parait incongruent avec ce que l'on sait. Tu dirais que tout les êtres vivants sont conscients toi?

Oui.
La conscience, c'est juste la capacité à percevoir. Tout ce qui est vivant est conscient, pour moi.

Le 30 juillet 2021 à 21:54:53 :
C'est bien sympa comme pavé mais je vois pas l'intérêt de la question, je ne suis pas neurologue après tout, concrètement que nos processus mentaux soient uniquement physiques ou qu'ils soient, en partie ou en totalité, métaphysiques, ça ne change à ma vie.

Bah une position te dit que tu es immortel et une "partie" de Dieu, l'autre que tu es un déchet organique éphémère dans un univers vide de sens. Ca change pas mal de chose je trouve. :hap:

Une cellule ça perçoit quoi concrètement ?

Bah c'est vivant. Ca a une vie subjective. Ca se nourrit, ça vit, ça meurt.

Ça répond pas à la question, ça perçoit quoi?

J'en sais rien, et je ne peux pas le savoir. C'est pour ça qu'on parle de vie subjective, seul le sujet y a accès. Voir :

Donc si j'ai bien compris, selon toi tout ce qui est vivant perçoit soi même et par conséquent est conscient ?

Oui.

Ça semble être plutôt une propriété intrinsèque et réservée à l'être humain selon moi, ce qui expliquerait sa singularité par rapport aux autres êtres vivants

Je suis assez aristotélicien sur ça : ce qui différencie l'être humain des animaux et des plantes, c'est sa rationalité, pas sa sentience.

Je connais pas le mot sentience,

Conscient, qui a une vie subjective, qui fait l'expérience.

Bâtir des temples, vouer des cultes à des dieux divers dont l'existence est improuvable me semble peu rationnel, pourtant c'est une des principales singularités de l'homme par rapport aux autres êtres vivants

La rationalité aussi évolue :https://image.noelshack.com/fichiers/2021/30/5/1627675766-ratio.png

Non la rationalité c'est le fait d'avoir un raisonnement logique exempt de biais,

Les maths sont le produit de la rationalité humaine, on doit pas avoir la même définition de ce qu'est la rationalité.

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Le 30 juillet 2021 à 21:54:23 :

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Je ne suis pas d'accord. Un cellule est consciente, elle a une forme (primaire) de vie subjective.

Oulah. Je te ne suis clairement pas là-dessus, ça me parait incongruent avec ce que l'on sait. Tu dirais que tout les êtres vivants sont conscients toi?

Oui.
La conscience, c'est juste la capacité à percevoir. Tout ce qui est vivant est conscient, pour moi.

Le 30 juillet 2021 à 21:54:53 :
C'est bien sympa comme pavé mais je vois pas l'intérêt de la question, je ne suis pas neurologue après tout, concrètement que nos processus mentaux soient uniquement physiques ou qu'ils soient, en partie ou en totalité, métaphysiques, ça ne change à ma vie.

Bah une position te dit que tu es immortel et une "partie" de Dieu, l'autre que tu es un déchet organique éphémère dans un univers vide de sens. Ca change pas mal de chose je trouve. :hap:

Une cellule ça perçoit quoi concrètement ?

Bah c'est vivant. Ca a une vie subjective. Ca se nourrit, ça vit, ça meurt.

Ça répond pas à la question, ça perçoit quoi?

J'en sais rien, et je ne peux pas le savoir. C'est pour ça qu'on parle de vie subjective, seul le sujet y a accès. Voir :

Donc si j'ai bien compris, selon toi tout ce qui est vivant perçoit soi même et par conséquent est conscient ?

Oui.

Ça semble être plutôt une propriété intrinsèque et réservée à l'être humain selon moi, ce qui expliquerait sa singularité par rapport aux autres êtres vivants

Je suis assez aristotélicien sur ça : ce qui différencie l'être humain des animaux et des plantes, c'est sa rationalité, pas sa sentience.

Je connais pas le mot sentience,

Bâtir des temples, vouer des cultes à des dieux divers dont l'existence est improuvable me semble peu rationnel, pourtant c'est une des principales singularités de l'homme par rapport aux autres êtres vivants