Messages de ChariaDeter
Le 18 novembre 2022 à 11:30:20 :
Je reconnais que c'est un top produithttps://image.noelshack.com/fichiers/2022/44/7/1667751937-puitpoison.png
Le 18 novembre 2022 à 11:28:39 :
Des seins quoi. T'es puceau ?
Non, mais durant toute ma vie je serai très reconnaissant de voir des très beau seins
Le 16 novembre 2022 à 03:05:44 :
Le 16 novembre 2022 à 03:02:45 :
Le 16 novembre 2022 à 02:10:00 :
Voici la vraie redpill :La civilisation industrielle, le confort que nous a apporté la modernité ainsi que la destruction des valeurs traditionnelles inhérente à celle-ci sont les vecteurs du vide existentiel qu'est la vie de l'homme moderne.
- Dissolution de la communauté : Autrefois, l'homme vivait intégré en communauté dans des villages, tout le monde se connaissait et se fréquentait, les fêtes de village étaient très courantes, cela créait un sentiment d'appartenance à un groupe, l'homme était socialement épanoui.
Aujourd'hui dans les grandes villes, les urbains se côtoient quotidiennement, par centaines, par milliers, mais personne ne connait personne, n'y ne s'intéresse à personne. Il n'y a pas de "communauté", il n'y a que des "cercles sociaux" (pour ceux qui en ont) baignant dans un océan d'individualisme. Ce phénomène n'a fait que de s'aggraver depuis l'apparition des smartphones.
- Le travail ne remplit plus sa fonction originelle : Autrefois on travaillait pour sa famille, ou bien pour sa communauté (son village). Soit on cultivait la terre et produisait sa nourriture pour son propre compte dans le cas des paysans, soit on rendait un service à la communauté dans le cas des artisans (le boucher du village, le charpentier du village etc).
Mais à cause justement de la dissolution de la communauté, le travail aujourd'hui ne remplit qu'une fonction purement matérielle et alimentaire. On travaille pour enrichir un grand groupe, ou bien dans une petite entreprise locale, mais on ne travaille plus pour rendre service à un membre de la communauté, on travaille pour "un client".
- Le travail est devenu une aliénation : Une bonne partie des emplois aujourd'hui sont devenus complètement aliénants : employés d'usine, employés du tertiaire occupant des bullshit jobs, ouvriers du BTP... tous ces métiers sont aliénants d'une manière ou d'une autre : soit ils vous usent physiquement, soit ils vous broient mentalement.
Depuis l'avènement de l'ère industrielle, jamais l'Homme n'a autant travaillé (la semaine de travail moyenne du paysan médiéval est équivalente à un 35 heures avec 190 jours de congé) . Et ce temps de travail est du temps qu'on ne peut donc plus consacrer à des préoccupations plus "élevées". Mais Dieu merci, ce temps de travail nous permet de consommer et de vivre confortablement
- L'illusion du confort de vie et du consumérisme : l'une des chimères de la modernité est de nous faire croire que notre cher confort de vie propre à notre civilisation industrielle serait indispensable à notre bonheur. Or le bonheur n'a rien à voir avec le confort de vie. Car le cerveau humain s'habitue à tout. Si vous vivez confortablement, votre cerveau prendra pour acquis ce niveau de confort, et de ce fait votre jauge de bonheur sera remise à zéro. Le confort est un terreau favorable à la déprime, à la dépression et tout simplement au fait de ressentir facilement des émotions négatives. L'inconfort au contraire vous ramène à des préoccupations plus terre-à-terre et plus primaires (cf. pyramide de Maslow) et vous éloigne de ce fait du malheur, car le malheur ne peut-être ressenti que si vous vivez au préalablement dans un certain confort. C'est également la raison pour laquelle la richesse ne vous rendra pas plus heureux, d'où la futilité de la quête de l'opulence et du consumérisme. Votre cerveau finira par toujours s'habituer à votre téléphone ou votre machine à laver dernier cri. Vivre difficilement n'est pas synonyme de vivre malheureusement, et inversement.
- Perte de valeurs : L'homme moderne est perdu. Plus rien de grand, ni de noble ne le guide. Il n'a plus aucun devoir moral. Plus aucun sens de l'honneur. L'homme tout comme la femme ne parviennent plus à trouver leur place dans la société.
Autrefois, l'homme et la femme étaient guidés par des valeurs morales ainsi que des injonctions propres à leur sexe. Cela donnait un but à son existence propre, pour l'homme de protéger son foyer et de subvenir aux besoins du foyer. Pour la femme, donner naissance et administrer le foyer. Tous ces rôles définis étaient profondément porteurs de sens et gratifiants pour chaque sexe. Aujourd'hui les relations homme femme ne sont plus que consommation, mais on ne construit rien, chaque sexe a du mal à trouver son rôle. Hommes et femmes se trompent mutuellement en espérant que l'herbe soit plus verte ailleurs mais encore une fois le cerveau s'habitue à tout, et enchaîner vainement des relations à court ou long terme sera toujours vide de sens comparé à la fondation d'une famille.
- Matérialisme/athéisme : La plupart d'entre nous ne croyons en rien, pas de Dieu, pas de pratique et de rites religieux qui nous lient à une communauté et cadre nos journées, pas de principe transcendantal qui nous dépasse, les légendes, les croyances et les superstitions n'existent plus, le monde n'est qu'un amas de molécules vide de sens. C'est aussi l'une des principales causes à la démoralisation de la société.
- Éloignement de la nature : Autrefois, l'homme vivait en harmonie avec la nature. Nature essentielle à notre équilibre intérieure, la nature est belle, nous émerveille et nous apaise, mais elle recèle aussi plein de mystères et a toujours été pourvoyeuses de contes et légendes. L'urbain moderne vit entouré d'asphalte et de blocs de parpaings. L'architecture moderne, utilisant des outils et matériaux modernes et répondant à une problématique de rentabilité est devenue complètement inexpressive, aseptisée et sans âme. Rien de comparable avec le charme des maisons en pierre ou en torchis dans lesquelles vivait les paysans d'autrefois. Le mobilier et la menuiserie moderne sont également le reflet de cette époque insipide.
- Bonus: La bouffe industrielle : Ca aussi c'est une redpill, la tomate du maraîcher vs. la tomate du supermarché, la viande du boucher vs. la viande en barquette..., la bouffe industrielle est complètement insipide
Voilà, j'ai résumé en quelques points pourquoi la vie moderne est une aliénation mais il y aurait encore énormément à redire.
Fort de ce constat, l'homme lucide ne voit qu'une option s'ouvrir à lui, renoncer à la vie moderne et embrasser un mode de vie plus sain et proche de celui de nos ancêtres. Quittez les villes, installez-vous à la campagne, réduisez votre confort de vie et votre niveau de dépense, apprenez l'artisanat traditionnel, la permaculture, la chasse, la pêche, tentez de fonder une famille traditionnel et de reconstruire des communautés. Tout cela est extrêmement difficile à mettre en place, mais si l'on y parvient, on réussira à échapper à l'aliénation et le néant existentiel qu'est la vie moderne.
On lui dit ou pas?
Souveraineté -> économie forte pour créer des liens d'interdépendances et pour générer une armée capable de défendre nos frontières.
Si on devient tous des paysans du 16ème siècle la France sert plus à rien et se fera envahir. C'est aussi simple que ça le bisounours.
Oui clé, j'ai déjà eu cette réflexion
Mais à vrai dire, ma réflexion est une réflexion sociologique, je ne prends pas en compte les impacts politique d'un retour à un tel mode de vie
Après, j'ai envie de dire que dans tous les cas la France se fait déjà envahir
Personnellement, je pense que la meilleur solution c'est de dominé ce système infernal en travaillant sur quelques choses qui donne un sens local et qui te permet d'oublier le temps qui passe.
Je pense notamment à la science, et l'ingénierie qui a permis à la France de rester puissante et se doter de magnifique atouts infrastructurels.
Je suis d'accord que la situation est très peu enviable actuellement, mais fuir le système n'est pas la meilleure solution.
Il faut le dompter, le dominer. Apprendre à devenir un humain accomplis malgré ses conditions difficile d'un point de vue psychique.
Utiliser les merveilleux outils et infrastructures dev par nos aïeux, pour en tirer le meilleur et permettre à la France de rester puissante et inspirante dans le monde.
Le 16 novembre 2022 à 02:10:00 :
Voici la vraie redpill :La civilisation industrielle, le confort que nous a apporté la modernité ainsi que la destruction des valeurs traditionnelles inhérente à celle-ci sont les vecteurs du vide existentiel qu'est la vie de l'homme moderne.
- Dissolution de la communauté : Autrefois, l'homme vivait intégré en communauté dans des villages, tout le monde se connaissait et se fréquentait, les fêtes de village étaient très courantes, cela créait un sentiment d'appartenance à un groupe, l'homme était socialement épanoui.
Aujourd'hui dans les grandes villes, les urbains se côtoient quotidiennement, par centaines, par milliers, mais personne ne connait personne, n'y ne s'intéresse à personne. Il n'y a pas de "communauté", il n'y a que des "cercles sociaux" (pour ceux qui en ont) baignant dans un océan d'individualisme. Ce phénomène n'a fait que de s'aggraver depuis l'apparition des smartphones.
- Le travail ne remplit plus sa fonction originelle : Autrefois on travaillait pour sa famille, ou bien pour sa communauté (son village). Soit on cultivait la terre et produisait sa nourriture pour son propre compte dans le cas des paysans, soit on rendait un service à la communauté dans le cas des artisans (le boucher du village, le charpentier du village etc).
Mais à cause justement de la dissolution de la communauté, le travail aujourd'hui ne remplit qu'une fonction purement matérielle et alimentaire. On travaille pour enrichir un grand groupe, ou bien dans une petite entreprise locale, mais on ne travaille plus pour rendre service à un membre de la communauté, on travaille pour "un client".
- Le travail est devenu une aliénation : Une bonne partie des emplois aujourd'hui sont devenus complètement aliénants : employés d'usine, employés du tertiaire occupant des bullshit jobs, ouvriers du BTP... tous ces métiers sont aliénants d'une manière ou d'une autre : soit ils vous usent physiquement, soit ils vous broient mentalement.
Depuis l'avènement de l'ère industrielle, jamais l'Homme n'a autant travaillé (la semaine de travail moyenne du paysan médiéval est équivalente à un 35 heures avec 190 jours de congé) . Et ce temps de travail est du temps qu'on ne peut donc plus consacrer à des préoccupations plus "élevées". Mais Dieu merci, ce temps de travail nous permet de consommer et de vivre confortablement
- L'illusion du confort de vie et du consumérisme : l'une des chimères de la modernité est de nous faire croire que notre cher confort de vie propre à notre civilisation industrielle serait indispensable à notre bonheur. Or le bonheur n'a rien à voir avec le confort de vie. Car le cerveau humain s'habitue à tout. Si vous vivez confortablement, votre cerveau prendra pour acquis ce niveau de confort, et de ce fait votre jauge de bonheur sera remise à zéro. Le confort est un terreau favorable à la déprime, à la dépression et tout simplement au fait de ressentir facilement des émotions négatives. L'inconfort au contraire vous ramène à des préoccupations plus terre-à-terre et plus primaires (cf. pyramide de Maslow) et vous éloigne de ce fait du malheur, car le malheur ne peut-être ressenti que si vous vivez au préalablement dans un certain confort. C'est également la raison pour laquelle la richesse ne vous rendra pas plus heureux, d'où la futilité de la quête de l'opulence et du consumérisme. Votre cerveau finira par toujours s'habituer à votre téléphone ou votre machine à laver dernier cri. Vivre difficilement n'est pas synonyme de vivre malheureusement, et inversement.
- Perte de valeurs : L'homme moderne est perdu. Plus rien de grand, ni de noble ne le guide. Il n'a plus aucun devoir moral. Plus aucun sens de l'honneur. L'homme tout comme la femme ne parviennent plus à trouver leur place dans la société.
Autrefois, l'homme et la femme étaient guidés par des valeurs morales ainsi que des injonctions propres à leur sexe. Cela donnait un but à son existence propre, pour l'homme de protéger son foyer et de subvenir aux besoins du foyer. Pour la femme, donner naissance et administrer le foyer. Tous ces rôles définis étaient profondément porteurs de sens et gratifiants pour chaque sexe. Aujourd'hui les relations homme femme ne sont plus que consommation, mais on ne construit rien, chaque sexe a du mal à trouver son rôle. Hommes et femmes se trompent mutuellement en espérant que l'herbe soit plus verte ailleurs mais encore une fois le cerveau s'habitue à tout, et enchaîner vainement des relations à court ou long terme sera toujours vide de sens comparé à la fondation d'une famille.
- Matérialisme/athéisme : La plupart d'entre nous ne croyons en rien, pas de Dieu, pas de pratique et de rites religieux qui nous lient à une communauté et cadre nos journées, pas de principe transcendantal qui nous dépasse, les légendes, les croyances et les superstitions n'existent plus, le monde n'est qu'un amas de molécules vide de sens. C'est aussi l'une des principales causes à la démoralisation de la société.
- Éloignement de la nature : Autrefois, l'homme vivait en harmonie avec la nature. Nature essentielle à notre équilibre intérieure, la nature est belle, nous émerveille et nous apaise, mais elle recèle aussi plein de mystères et a toujours été pourvoyeuses de contes et légendes. L'urbain moderne vit entouré d'asphalte et de blocs de parpaings. L'architecture moderne, utilisant des outils et matériaux modernes et répondant à une problématique de rentabilité est devenue complètement inexpressive, aseptisée et sans âme. Rien de comparable avec le charme des maisons en pierre ou en torchis dans lesquelles vivait les paysans d'autrefois. Le mobilier et la menuiserie moderne sont également le reflet de cette époque insipide.
- Bonus: La bouffe industrielle : Ca aussi c'est une redpill, la tomate du maraîcher vs. la tomate du supermarché, la viande du boucher vs. la viande en barquette..., la bouffe industrielle est complètement insipide
Voilà, j'ai résumé en quelques points pourquoi la vie moderne est une aliénation mais il y aurait encore énormément à redire.
Fort de ce constat, l'homme lucide ne voit qu'une option s'ouvrir à lui, renoncer à la vie moderne et embrasser un mode de vie plus sain et proche de celui de nos ancêtres. Quittez les villes, installez-vous à la campagne, réduisez votre confort de vie et votre niveau de dépense, apprenez l'artisanat traditionnel, la permaculture, la chasse, la pêche, tentez de fonder une famille traditionnel et de reconstruire des communautés. Tout cela est extrêmement difficile à mettre en place, mais si l'on y parvient, on réussira à échapper à l'aliénation et le néant existentiel qu'est la vie moderne.
On lui dit ou pas?
Souveraineté -> économie forte pour créer des liens d'interdépendances et pour générer une armée capable de défendre nos frontières.
Si on devient tous des paysans du 16ème siècle la France sert plus à rien et se fera envahir. C'est aussi simple que ça le bisounours.
Le 28 octobre 2022 à 10:37:53 :
Le 28 octobre 2022 à 10:30:17 :
Le 28 octobre 2022 à 10:27:19 :
en fait c'est le gosse qui nous genait quand on allait chez lui car passait son temps a mal parlé et a répondre à sa mère mais qui a grandit et qui se croit toujours subversif en le faisant...
...
aucun respect pour ses ainés... un bébé gaté qui a grandit.Quel est le rapport avec le respect pour les boomers?
a travers les boomers c'est toujours l'image de sa famille qu'il utilise...
un peu comme un enfant qui se croit subersif et et est content de le montrer a ses amis en parlant mal à/ de ses parents alors qu'en fait il n'inspire que la gene et la tristesse pour ne pas respecté ses parents.Orelsan commence à inspirer la même chose quand au nom d'une soit disante pertinente critique générationnelle il ne fait que descendre l'image de ses ainés et du coup des ainés des Français...
En tout cas on voit chez lui la peur de grandir et de prendre des responsabilités d'homme.
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