Messages de ColRoulinGalbe

Le RN :rire:
08/05/2021 12:35

J’ai tendance à fuir la réalité pour me réfugier sur le 18-25 lorsque mon anxiété est trop forte, je peux y rester 16h par jour pendant des semaines sans réussir à en sortir, c’est une addiction qui m’empêche d’accomplir les travaux nécessaires à ma réussite universitaire. Normalement, les procrastinateurs finissent par s’affoler au dernier moment, stimulés par l’imminence de l’échéance, ils parviennent alors au moins à bâcler leur travail.

Malheureusement, tel n’est pas mon cas : débordé par l’anxiété, je ne parviens pas à la convertir en ressource et je m’isole du reste du monde, j’ai honte de moi et deviens évitant, je ne réponds pas aux messages, au mails, au téléphone…

Mon nihilisme a amoindri les défenses immunitaires qui devraient m’empêcher de me morfondre ainsi : « Tu ne peux pas passer toute ta vie au lit, debout ! Réponds-lui ! Il s'inquiète pour toi ! » devrais-je me dire, mais cette sagesse élémentaire est aussitôt contrée par mon intime conviction qu’au fond tout est indifférent, rester au lit ou se lever pour se trémousser ou travailler, cela est égal. Je reste alors au lit, je flingue mon système dopaminergique en scrollant à l’infini sur internet et j’oublie alors mes obligations, je m’oublie jusqu’au soir où surgit parfois malgré moi les souvenirs les plus dégoutants de mon existence, mes hontes les plus vives, le spectacle de ma propre misère, je désespère alors de moi-même et de ma vie.

Ces souvenirs sont souvent liés à mes vanités, aux moments où je me suis mis en valeur de la manière la plus ridicule et pathétique, les moments où j’ai joué au singe savant pour paraître brillant, alors même que je m’aperçois à présent que je suis voué à décevoir mon entourage. Ils me donnent tant de choses, prêtent tant d’espoir en moi et je suis incapable de leur rendre un centième, je ne puis que les souiller de mes névroses.
Si au moins la volonté de rendre la pareille y était, ce serait un début.
Mais aujourd’hui, elle n’existe même pas : quelle que soit la quantité qu’on me donne, l’attention et l’affection qu’on me porte, je demeure indifférent : « ils se font du souci pour moi ? Ils n’ont aucun signe de vie ? Et alors ? ». N’est-ce pas monstrueux ?

Je ressens un profond dégoût pour moi même, je ne puis supporter ma propre compagnie, j’essai de m’oublier dans un forum impersonnel, où ma personne se dilue et se fragmente dans un flux ininterrompu d’informations, un tourbillon d’affects et de provocations grégaires. Je ne supporte plus la conversation personnelle, à deux (même lorsqu’elle est anonyme) car mon interlocuteur s’adresse à ma personne, il me rappelle mon existence, mon dégoût pour moi-même ainsi que mes obligations pressantes.

Ceci étant dit, je suis sur le point de réaffirmer mon existence et de reprendre contact avec réel, car qu’est-ce que ce texte si ce n’est une introspection, le premier sursaut de ma conscience réhabilitant ma personne depuis ma fuite ? Je suis sur le point de revenir dans ma demeure, je puis constater son délabrement accru depuis mon départ et m’atteler enfin à y mettre de l’ordre, à répondre à mes amis, mes enseignants, à bâcler mon mémoire, à reprendre les cours que j'ai loupé et à réviser mes partiels. Mais le simple fait de poster ce texte sur ce forum en y attendant une réponse plutôt que de m'atteler à la tâche tend à montrer que mon addiction et ma tentation de la passivité et de la fuite est toujours forte.

L’écriture a une vertu thérapeutique, c’est seulement en écrivant que je puis être absolument honnête, je ne puis m’empêcher de dissimuler, de minimiser mes turpitudes face à un psychologue car le regard de l’autre et trop pesant pour laisser libre cours à une introspection sans-borne, laquelle m’est nécessaire pour trouver les raisons de mon mal-être, de plus je m'aperçois que je ne suis pas tout à fait dénué de talent et c'est un grand réconfort pour mon ego.
Désormais, je dois m’imposer des règles en cas de fuite anxieuse du réel et d’addiction au forum : je dois écrire, pour prendre de la distance avec la source de mon anxiété, l’objectiver et non pas la nier pour pouvoir la dompter.

J’ai tendance à fuir la réalité pour me réfugier sur le 18-25 lorsque mon anxiété est trop forte, je peux y rester 16h par jour pendant des semaines sans réussir à en sortir, c’est une addiction qui m’empêche d’accomplir les travaux nécessaires à ma réussite universitaire. Normalement, les procrastinateurs finissent par s’affoler au dernier moment, stimulés par l’imminence de l’échéance, ils parviennent alors au moins à bâcler leur travail.

Malheureusement, tel n’est pas mon cas : débordé par l’anxiété, je ne parviens pas à la convertir en ressource et je m’isole du reste du monde, j’ai honte de moi et deviens évitant, je ne réponds pas aux messages, au mails, au téléphone…

Mon nihilisme a amoindri mes défenses immunitaires qui devraient m’empêcher de me morfondre ainsi : « Tu ne peux pas passer toute ta vie au lit, debout ! Réponds-lui ! Il s'inquiète pour toi ! » devrais-je me dire, mais cette sagesse élémentaire est aussitôt contrée par mon intime conviction qu’au fond tout est indifférent, rester au lit ou se lever pour se trémousser ou travailler, cela est égal. Je reste alors au lit, je flingue mon système dopaminergique en scrollant à l’infini sur internet et j’oublie alors mes obligations, je m’oublie jusqu’au soir où surgit parfois malgré moi les souvenirs les plus dégoutants de mon existence, mes hontes les plus vives, le spectacle de ma propre misère, je désespère alors de moi-même et de ma vie.

Ces souvenirs sont souvent liés à mes vanités, aux moments où je me suis mis en valeur de la manière la plus ridicule et pathétique, les moments où j’ai joué au singe savant pour paraître brillant, alors même que je m’aperçois à présent que je suis voué à décevoir mon entourage. Ils me donnent tant de choses, prêtent tant d’espoir en moi et je suis incapable de leur rendre un centième, je ne puis que les souiller de mes névroses.

Si au moins la volonté de rendre la pareille y était, ce serait un début.
Mais aujourd’hui, elle n’existe même pas : quelle que soit la quantité qu’on me donne, l’attention et l’affection qu’on me porte, je demeurre indifférent : « ils se font du souci pour moi ? Ils n’ont aucun signe de vie ? Et alors ? ». N’est-ce pas monstrueux ?

Je ressens un profond dégoût pour moi même, je ne puis supporter ma propre compagnie, j’essai de m’oublier dans un forum impersonnel, où ma personne se dilue et se fragmente dans un flux ininterrompu d’informations, un tourbillon d’affects et de provocations grégaires. Je ne supporte plus la conversation personnelle, à deux (même lorsqu’elle est anonyme) car mon interlocuteur s’adresse à ma personne, il me rappelle mon existence, mon dégoût pour moi-même ainsi que mes obligations pressantes.

Ceci étant dit, je suis sur le point de réaffirmer mon existence et de reprendre contact avec réel, car qu’est-ce que ce texte si ce n’est une introspection, le premier sursaut de ma conscience réhabilitant ma personne depuis ma fuite ? Je suis sur le point de revenir dans ma demeure, je puis constater son délabrement accru depuis mon départ et m’atteler enfin à y mettre de l’ordre, à répondre à mes amis, mes enseignants, à bâcler mon mémoire, à reprendre les cours que j'ai loupé et à réviser mes partiels. Mais le simple fait de poster ce texte sur ce forum en y attendant une réponse plutôt que de m'atteler à la tâche tend à montrer que mon addiction et ma tentation de la passivité et de la fuite est toujours forte.

L’écriture a une vertu thérapeutique, c’est seulement en écrivant que je puis être absolument honnête, je ne puis m’empêcher de dissimuler, de minimiser mes turpitudes face à un psychologue car le regard de l’autre et trop pesant pour laisser libre cours à une introspection sans-borne, laquelle m’est nécessaire pour trouver les raisons de mon mal-être, de plus je m'aperçois que je ne suis pas tout à fait dénué de talent et c'est un grand réconfort pour mon ego.

Désormais, je dois m’imposer des règles en cas de fuite anxieuse du réel et d’addiction au forum : je dois écrire, pour prendre de la distance avec la source de mon anxiété, l’objectiver et non pas la nier pour pouvoir la dompter.

Le 08 mai 2021 à 10:31:10 :

Le 08 mai 2021 à 10:15:55 :
C'est depuis que LaRem est au pouvoir.
Avant, même les socialo parlaient de France (et de Répupublique aussi bien sûr)https://image.noelshack.com/fichiers/2018/25/2/1529415961-faut-savoir.png
Là c'est "police de la république", "école républicaine", "valeurs de la république" bla blahttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/17/1493487432-soraldoigt.png
C'est parce qu'ils se rendent compte que leur pouvoir tombe donc ils veulent marteler leurs conceptions de la France à tout va !

Première fois de ma vie que je vais ""défendre""" Lrem mais il me semble que ca date plutôt de Valls et 2013-2014 non ? :(

Il y avait un problème déjà du temps du RPR (Rassemblement Pour la République)... un parti de droite, il devrait plutôt s'appeler RPF

Le 08 mai 2021 à 10:27:25 :

Le 08 mai 2021 à 10:25:56 :

Le 08 mai 2021 à 10:19:00 :
The late Jean Raspail wrote of “The Fatherland Betrayed by the Republic.” What he meant is that the universalistic bromides of the French Revolution ultimately broke up the French themselves, destroying them as a nation, culture, and people.

Exa exa, le 17 juin 2004, dans un entretien au Figaro, Raspail, écrivain et explorateur, répond 31 ans après la parution de son livre prophétique Le camp des saints.

J’ai tourné autour de ce thème comme un maître-chien mis en présence d’un colis piégé. Difficile de l’aborder de front sans qu’il vous explose à la figure. Il y a péril de mort civile. C’est pourtant l’interrogation capitale. J’ai hésité. D’autant plus qu’en 1973, en publiant Le Camp des saints, j’ai déjà à peu près tout dit là-dessus. Je n’ai pas grand-chose à ajouter, sinon que je crois que les carottes sont cuites.

Car je suis persuadé que notre destin de Français est scellé, parce qu’« ils sont chez eux chez moi » (Mitterrand), au sein d’une « Europe dont les racines sont autant musulmanes que chrétiennes » (Chirac), parce que la situation est irréversible jusqu’au basculement définitif des années 2050 qui verra les « Français de souche » se compter seulement la moitié la plus âgée de la population du pays, le reste étant composé d’Africains, Maghrébins ou Noirs et d’Asiatiques de toutes provenances issus du réservoir inépuisable du tiers monde, avec forte dominante de l’islam, djihadistes et fondamentalistes compris, cette danse-là ne faisant que commencer.

La France n’est pas seule concernée. Toute l’Europe marche à la mort. Les avertissements ne manquent pas rapport de l’ONU (qui s’en réjouit), travaux incontournables de Jean-Claude Chesnais et Jacques Dupâquier, notamment , mais ils sont systématiquement occultés et l’Ined pousse à la désinformation. Le silence quasi sépulcral des médias, des gouvernements et des institutions communautaires sur le krach démographique de l’Europe des Quinze est l’un des phénomènes les plus sidérants de notre époque. Quand il y a une naissance dans ma famille ou chez mes amis, je ne puis regarder ce bébé de chez nous sans songer à ce qui se prépare pour lui dans l’incurie des « gouvernances » et qu’il lui faudra affronter dans son âge d’homme…

Sans compter que les « Français de souche », matraqués par le tam-tam lancinant des droits de l’homme, de « l’accueil à l’autre », du « partage » cher à nos évêques, etc., encadrés par tout un arsenal répressif de lois dites « antiracistes », conditionnés dès la petite enfance au « métissage » culturel et comportemental, aux impératifs de la « France plurielle » et à toutes les dérives de l’antique charité chrétienne, n’auront plus d’autre ressource que de baisser les frais et de se fondre sans moufter dans le nouveau moule « citoyen » du Français de 2050. Ne désespérons tout de même pas. Assurément, il subsistera ce qu’on appelle en ethnologie des isolats, de puissantes minorités, peut-être une quinzaine de millions de Français et pas nécessairement tous de race blanche qui parleront encore notre langue dans son intégrité à peu près sauvée et s’obstineront à rester imprégnés de notre culture et de notre histoire telles qu’elles nous ont été transmises de génération en génération. Cela ne leur sera pas facile.

Face aux différentes « communautés » qu’on voit se former dès aujourd’hui sur les ruines de l’intégration (ou plutôt sur son inversion progressive : c’est nous qu’on intègre à « l’autre », à présent, et plus le contraire) et qui en 2050 seront définitivement et sans doute institutionnellement installées, il s’agira en quelque sorte je cherche un terme approprié d’une communauté de la pérennité française. Celle-ci s’appuiera sur ses familles, sa natalité, son endogamie de survie, ses écoles, ses réseaux parallèles de solidarité, peut-être même ses zones géographiques, ses portions de territoire, ses quartiers, voire ses places de sûreté et, pourquoi pas, sa foi chrétienne, et catholique avec un peu de chance si ce ciment-là tient encore.

Cela ne plaira pas. Le clash surviendra un moment ou l’autre. Quelque chose comme l’élimination des koulaks par des moyens légaux appropriés. Et ensuite ?

Ensuite la France ne sera plus peuplée, toutes origines confondues, que par des bernard-l’ermite qui vivront dans des coquilles abandonnées par les représentants d’une espèce à jamais disparue qui s’appelait l’espèce française et n’annonçait en rien, par on ne sait quelle métamorphose génétique, celle qui dans la seconde moitié de ce siècle se sera affublée de ce nom. Ce processus est déjà amorcé.

Il existe une seconde hypothèse que je ne saurais formuler autrement qu’en privé et qui nécessiterait auparavant que je consultasse mon avocat, c’est que les derniers isolats résistent jusqu’à s’engager dans une sorte de reconquista sans doute différente de l’espagnole mais s’inspirant des mêmes motifs. Il y aurait un roman périlleux à écrire là-dessus. Ce n’est pas moi qui m’en chargerai, j’ai déjà donné. Son auteur n’est probablement pas encore né, mais ce livre verra le jour à point nommé, j’en suis sûr…

Ce que je ne parviens pas à comprendre et qui me plonge dans un abîme de perplexité navrée, c’est pourquoi et comment tant de Français avertis et tant d’hommes politiques français concourent sciemment, méthodiquement, je n’ose dire cyniquement, à l’immolation d’une certaine France (évitons le qualificatif d’éternelle qui révulse les belles consciences) sur l’autel de l’humanisme utopique exacerbé. Je me pose la même question à propos de toutes ces associations omniprésentes de droits à ceci, de droits à cela, et toutes ces ligues, ces sociétés de pensée, ces officines subventionnées, ces réseaux de manipulateurs infiltrés dans tous les rouages de l’Etat (éducation, magistrature, partis politiques, syndicats, etc.), ces pétitionnaires innombrables, ces médias correctement consensuels et tous ces « intelligents » qui jour après jour et impunément inoculent leur substance anesthésiante dans l’organisme encore sain de la nation française.

Même si je peux, à la limite, les créditer d’une part de sincérité, il m’arrive d’avoir de la peine à admettre que ce sont mes compatriotes. Je sens poindre le mot renégat, mais il y a une autre explication :ils confondent la France avec la République. Les « valeurs républicaines » se déclinent à l’infini, on le sait jusqu’à la satiété, mais sans jamais de référence à la France. Or la France est d’abord une patrie charnelle. En revanche, la République, qui n’est qu’une forme de gouvernement, est synonyme pour eux d’idéologie, idéologie avec un grand « I », l’idéologie majeure. Il me semble, en quelque sorte, qu’ils trahissent la première pour la seconde.

Parmi le flot de références que j’accumule en épais dossiers à l’appui de ce bilan, en voici une qui sous des dehors bon enfant éclaire bien l’étendue des dégâts. Elle est extraite d’un discours de Laurent Fabius au congrès socialiste de Dijon, le 17 mai 2003 : « Quand la Marianne de nos mairies prendra le beau visage d’une jeune Française issue de l’immigration, ce jour-là la France aura franchi un pas en faisant vivre pleinement les valeurs de la République… »

Puisque nous en sommes aux citations, en voici deux, pour conclure : « Aucun nombre de bombes atomiques ne pourra endiguer le raz de marée constitué par les millions d’êtres humains qui partiront un jour de la partie méridionale et pauvre du monde, pour faire irruption dans les espaces relativement ouverts du riche hémisphère septentrional, en quête de survie. » (Président Boumediene, mars 1974.)

Et celle-là, tirée du XXe chant de l’Apocalypse : « Le temps des mille ans s’achève. Voilà que sortent les nations qui sont aux quatre coins de la terre et qui égalent en nombre le sable de la mer. Elles partiront en expédition sur la surface de la terre, elles investiront le camp des saints et la ville bien-aimée. »

Il avait tout dit.https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png

ah oui c'est un long texte

j'ai un peu la flemme actuellement, je viens déjà de lire un assez long article (dont j'ai tiré les deux citations en anglais), mais je mets de côté :ok:

En lecture audio si tu préfères :d)


:ok:

Le 08 mai 2021 à 10:19:00 :
The late Jean Raspail wrote of “The Fatherland Betrayed by the Republic.” What he meant is that the universalistic bromides of the French Revolution ultimately broke up the French themselves, destroying them as a nation, culture, and people.

Exa exa, le 17 juin 2004, dans un entretien au Figaro, Raspail, écrivain et explorateur, répond 31 ans après la parution de son livre prophétique Le camp des saints.

J’ai tourné autour de ce thème comme un maître-chien mis en présence d’un colis piégé. Difficile de l’aborder de front sans qu’il vous explose à la figure. Il y a péril de mort civile. C’est pourtant l’interrogation capitale. J’ai hésité. D’autant plus qu’en 1973, en publiant Le Camp des saints, j’ai déjà à peu près tout dit là-dessus. Je n’ai pas grand-chose à ajouter, sinon que je crois que les carottes sont cuites.

Car je suis persuadé que notre destin de Français est scellé, parce qu’« ils sont chez eux chez moi » (Mitterrand), au sein d’une « Europe dont les racines sont autant musulmanes que chrétiennes » (Chirac), parce que la situation est irréversible jusqu’au basculement définitif des années 2050 qui verra les « Français de souche » se compter seulement la moitié la plus âgée de la population du pays, le reste étant composé d’Africains, Maghrébins ou Noirs et d’Asiatiques de toutes provenances issus du réservoir inépuisable du tiers monde, avec forte dominante de l’islam, djihadistes et fondamentalistes compris, cette danse-là ne faisant que commencer.

La France n’est pas seule concernée. Toute l’Europe marche à la mort. Les avertissements ne manquent pas rapport de l’ONU (qui s’en réjouit), travaux incontournables de Jean-Claude Chesnais et Jacques Dupâquier, notamment , mais ils sont systématiquement occultés et l’Ined pousse à la désinformation. Le silence quasi sépulcral des médias, des gouvernements et des institutions communautaires sur le krach démographique de l’Europe des Quinze est l’un des phénomènes les plus sidérants de notre époque. Quand il y a une naissance dans ma famille ou chez mes amis, je ne puis regarder ce bébé de chez nous sans songer à ce qui se prépare pour lui dans l’incurie des « gouvernances » et qu’il lui faudra affronter dans son âge d’homme…

Sans compter que les « Français de souche », matraqués par le tam-tam lancinant des droits de l’homme, de « l’accueil à l’autre », du « partage » cher à nos évêques, etc., encadrés par tout un arsenal répressif de lois dites « antiracistes », conditionnés dès la petite enfance au « métissage » culturel et comportemental, aux impératifs de la « France plurielle » et à toutes les dérives de l’antique charité chrétienne, n’auront plus d’autre ressource que de baisser les frais et de se fondre sans moufter dans le nouveau moule « citoyen » du Français de 2050. Ne désespérons tout de même pas. Assurément, il subsistera ce qu’on appelle en ethnologie des isolats, de puissantes minorités, peut-être une quinzaine de millions de Français et pas nécessairement tous de race blanche qui parleront encore notre langue dans son intégrité à peu près sauvée et s’obstineront à rester imprégnés de notre culture et de notre histoire telles qu’elles nous ont été transmises de génération en génération. Cela ne leur sera pas facile.

Face aux différentes « communautés » qu’on voit se former dès aujourd’hui sur les ruines de l’intégration (ou plutôt sur son inversion progressive : c’est nous qu’on intègre à « l’autre », à présent, et plus le contraire) et qui en 2050 seront définitivement et sans doute institutionnellement installées, il s’agira en quelque sorte je cherche un terme approprié d’une communauté de la pérennité française. Celle-ci s’appuiera sur ses familles, sa natalité, son endogamie de survie, ses écoles, ses réseaux parallèles de solidarité, peut-être même ses zones géographiques, ses portions de territoire, ses quartiers, voire ses places de sûreté et, pourquoi pas, sa foi chrétienne, et catholique avec un peu de chance si ce ciment-là tient encore.

Cela ne plaira pas. Le clash surviendra un moment ou l’autre. Quelque chose comme l’élimination des koulaks par des moyens légaux appropriés. Et ensuite ?

Ensuite la France ne sera plus peuplée, toutes origines confondues, que par des bernard-l’ermite qui vivront dans des coquilles abandonnées par les représentants d’une espèce à jamais disparue qui s’appelait l’espèce française et n’annonçait en rien, par on ne sait quelle métamorphose génétique, celle qui dans la seconde moitié de ce siècle se sera affublée de ce nom. Ce processus est déjà amorcé.

Il existe une seconde hypothèse que je ne saurais formuler autrement qu’en privé et qui nécessiterait auparavant que je consultasse mon avocat, c’est que les derniers isolats résistent jusqu’à s’engager dans une sorte de reconquista sans doute différente de l’espagnole mais s’inspirant des mêmes motifs. Il y aurait un roman périlleux à écrire là-dessus. Ce n’est pas moi qui m’en chargerai, j’ai déjà donné. Son auteur n’est probablement pas encore né, mais ce livre verra le jour à point nommé, j’en suis sûr…

Ce que je ne parviens pas à comprendre et qui me plonge dans un abîme de perplexité navrée, c’est pourquoi et comment tant de Français avertis et tant d’hommes politiques français concourent sciemment, méthodiquement, je n’ose dire cyniquement, à l’immolation d’une certaine France (évitons le qualificatif d’éternelle qui révulse les belles consciences) sur l’autel de l’humanisme utopique exacerbé. Je me pose la même question à propos de toutes ces associations omniprésentes de droits à ceci, de droits à cela, et toutes ces ligues, ces sociétés de pensée, ces officines subventionnées, ces réseaux de manipulateurs infiltrés dans tous les rouages de l’Etat (éducation, magistrature, partis politiques, syndicats, etc.), ces pétitionnaires innombrables, ces médias correctement consensuels et tous ces « intelligents » qui jour après jour et impunément inoculent leur substance anesthésiante dans l’organisme encore sain de la nation française.

Même si je peux, à la limite, les créditer d’une part de sincérité, il m’arrive d’avoir de la peine à admettre que ce sont mes compatriotes. Je sens poindre le mot renégat, mais il y a une autre explication : ils confondent la France avec la République. Les « valeurs républicaines » se déclinent à l’infini, on le sait jusqu’à la satiété, mais sans jamais de référence à la France. Or la France est d’abord une patrie charnelle. En revanche, la République, qui n’est qu’une forme de gouvernement, est synonyme pour eux d’idéologie, idéologie avec un grand « I », l’idéologie majeure. Il me semble, en quelque sorte, qu’ils trahissent la première pour la seconde.

Parmi le flot de références que j’accumule en épais dossiers à l’appui de ce bilan, en voici une qui sous des dehors bon enfant éclaire bien l’étendue des dégâts. Elle est extraite d’un discours de Laurent Fabius au congrès socialiste de Dijon, le 17 mai 2003 : « Quand la Marianne de nos mairies prendra le beau visage d’une jeune Française issue de l’immigration, ce jour-là la France aura franchi un pas en faisant vivre pleinement les valeurs de la République… »

Puisque nous en sommes aux citations, en voici deux, pour conclure : « Aucun nombre de bombes atomiques ne pourra endiguer le raz de marée constitué par les millions d’êtres humains qui partiront un jour de la partie méridionale et pauvre du monde, pour faire irruption dans les espaces relativement ouverts du riche hémisphère septentrional, en quête de survie. » (Président Boumediene, mars 1974.)

Et celle-là, tirée du XXe chant de l’Apocalypse : « Le temps des mille ans s’achève. Voilà que sortent les nations qui sont aux quatre coins de la terre et qui égalent en nombre le sable de la mer. Elles partiront en expédition sur la surface de la terre, elles investiront le camp des saints et la ville bien-aimée. »

Il avait tout dit.https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png

Le 08 mai 2021 à 10:12:35 :
Barrer vous au Canada toute à l'Est tant qu'il est possible les kheys, pensez à vos enfants qui vivront dans ce mondehttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/09/6/1615033715-z.png

Tu rigoles ? Trudeau veut 100 millions de migrants d'ici à 2100 pour un pays qui ne comporte que 38 millions d'habitants, ce sera encore pire que la France

Le 08 mai 2021 à 10:07:12 :
L’explosion de la haine généralisée grandissante depuis quelques années entre les minorités elles-mêmes est susceptible de réveiller la société dans son ensemble en mettant en exergue l'échec du multiculturalisme.

Oui je souhaite qu'il y ait des émeutes à la 2005 avant 2022

Le 08 mai 2021 à 10:06:43 :
Putain les commentaires du tweet cité sont à archiver
Ils arrivent à défendre des mecs qui sont armés de kalashnikov, je sais pas si c'est moi ou eux qui se trouve dans une dimension parallèle

On nous a martelé que la violence n'était jamais une solution, qu'il ne faut pas se faire justice soi-même, que celui-qui s'énerve et qui voit rouge perd la face... Nous sommes domestiqués en un sens. Mais eux ce n'est pas du tout cette culture, pour eux celui-qui ne répond pas à la violence est un lâche qui se déshonore.

Le 08 mai 2021 à 09:59:32 :
Ca me rappel une histoire dans mon ancien quartier. Ces roms avaient pris le "monopole" du quartier (les mecs étaient partout, on avait un camps d'en moins 1000 roms dans le quartier entassés dans des maisons de tôles), certains ont commencé a vouloir faire la loi, (insulte, harcèlement de passant, vol dans les voitures).

Ils se sont fait déloger en même pas 3 jours par des rebeus et renois deter qui ont brulé leur camps comme dans vikinghttps://image.noelshack.com/fichiers/2016/24/1466366209-risitas24.png

C'est jamais passé aux info malgré le gros nuage de fumé pendant 10hhttps://image.noelshack.com/fichiers/2016/24/1466366209-risitas24.png

Si les blancs faisaient 1% de ce qu'on permet aux rebeus, ça ferait la une de tous les journaux pendant des semaines et on se recueillerait encore 30 ans plus tard pour ne pas oublier les heures les plus sombreshttps://image.noelshack.com/fichiers/2016/24/1466366209-risitas24.png

Le 08 mai 2021 à 09:38:12 :

Le 08 mai 2021 à 09:32:15 :
Pourquoi les chofa me DDB quand je souligne leur hypocrisie monstrueuse ? :rire:

Vous êtes pas capables de vous défendre c’est votre problème mais venez pas chialer parce que les autres ont encore de couilles alors que vous rêvez de faire pareil.https://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1494079122-06088e21c95acba9b2a4a53f6b277b66-memes-attack-on-titan-memesuper-attack-on-titan-meme-500-500.jpeg

Parce que si des blancs faisaient ça la police nous tomberait dessus tout simplement et y'aurait des articles pour dire comment des blancs racistes tirs à la kalash sur des migrants.

On est plus dans un délire tribaliste mais allez y moquez vous, si un jour les blancs se mettent à faire pareil c'est la guerre qui éclate.

Oui ça ferait la une des infos pendant une semaine et il y aurait encore des recueillements trente ans plus tard comme pour Brahim Bouarram https://twitter.com/coherence_e/status/1388423137251966981

Le 08 mai 2021 à 09:33:15 :

Le 08 mai 2021 à 09:32:15 :
Pourquoi les chofa me DDB quand je souligne leur hypocrisie monstrueuse ? :rire:

Vous êtes pas capables de vous défendre c’est votre problème mais venez pas chialer parce que les autres ont encore de couilles alors que vous rêvez de faire pareil.https://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1494079122-06088e21c95acba9b2a4a53f6b277b66-memes-attack-on-titan-memesuper-attack-on-titan-meme-500-500.jpeg

Ce khey a raison

On ne nous laisserait pas faire 1% de ce que les occupants peuvent faire, on est en anarcho-tyrannie : répression pour les autochtones et laxisme extrême pour les occupants :)

Le 08 mai 2021 à 09:30:53 :

Le 08 mai 2021 à 09:29:56 ColRoulinGalbe a écrit :

Le 08 mai 2021 à 09:27:47 :
Les modos y'a rien d'illégal, on parle de l'actualitéhttps://image.noelshack.com/fichiers/2016/46/1479491701-jesusguevara1.png

Si c'est pas repris par les médias officiels, ça ne doit pas sortir :)
Il faudrait plutôt parler des quelques couteaux et des munitions, et pas d’armes à feu que la police à saisi chez trois tocards néonazis :)

Le terrible Remy Daillethttps://image.noelshack.com/fichiers/2016/46/1479491701-jesusguevara1.png

La menace terroriste d'extrême droite vaut celle des islamistes :)

Le 08 mai 2021 à 09:27:47 :
Les modos y'a rien d'illégal, on parle de l'actualitéhttps://image.noelshack.com/fichiers/2016/46/1479491701-jesusguevara1.png

Si c'est pas repris par les médias officiels, ça ne doit pas sortir :)
Il faudrait plutôt parler des quelques couteaux et des munitions, et pas d’armes à feu que la police à saisi chez trois tocards néonazis :)

Baséhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/05/2/1612300972-15783-full.png

Le 07 mai 2021 à 21:23:26 :
les chiffres de l'INSEE et de l'escroc hervé le bras, qui prétendent qu'il y a autant d'étrangers en France en 2021 qu'en 1950 ??? QUI PEUT CROIRE CA ???https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585774081-castaldi-altieri.png

Evidemment quand on aura donné des papiers Français à toute la planète, il n'y aura plus d'étrangers :rire:

Exactement, le Grand Remplacement sera achevé lorsqu'il n'y aura plus d'étranger.

Le 07 mai 2021 à 21:22:57 :

Le 07 mai 2021 à 21:19:38 :

Le 07 mai 2021 à 21:16:59 :

Le 07 mai 2021 à 21:14:41 :
Zemmour ferait mieux de prendre parti pour la méthodologie de Michèle Tribalat dans la controverse Le Bras/Tribalat plutôt que de dire que les chiffres sont bidonnés. :(

Rarement controverse entre démographes a pris une telle ampleur. Pamphlets, droits de réponse, lettres anonymes, procès en diffamation : déjà suspecte du fait de ses liens historiques avec la Fondation française pour l'étude des problèmes humains instituée par Vichy en 1941 et dirigée par le médecin eugéniste Alexis Carrel, l'Institut national d'études démographiques (INED) se voit aujourd'hui accusé de servir de facto les desseins du Front national. La démographie française serait " en passe de devenir (...) un moyen d'expression du racisme ", estime le démographe Hervé Le Bras.

Les propos de ce membre éminent de l'institution visent directement Michèle Tribalat, l'une des plus grandes spécialistes des statistiques de l'immigration. Au début des années 90, cette démographe a brisé le " tabou français " qui limitait les critères d'analyse de ce phénomène à la seule nationalité. Après avoir en 1991 travaillé sur l'apport de l'immigration à la population française, elle a, en 1995, étudié l'intégration en utilisant deux critères : celui de l'" appartenance ethnique ", défini à partir de la langue maternelle des enquêtés et de leurs parents, et celui de l'" origine ethnique ", fondée sur le lieu de naissance des individus et de leurs parents.

Pour Hervé Le Bras, qui dirige le laboratoire de démographie historique à l'Ecole des hautes études en sciences sociales (Ehess), Michèle Tribalat aurait, ce faisant, remis en question le modèle républicain qui considère la nationalité comme l'unique critère acceptable. Cette démarche irait, selon lui, au devant des préjugés raciaux et porterait en germe le risque d'une dérive xénophobe. Elle aboutirait à la dénaturalisation (au moins théorique) - de Français dont les origines ne devraient pas, pour lui, faire l'objet d'études au niveau national.

http://census.web.ined.fr/debat/Presse-publique/LeMonde0611-10.html

mais les chiffres de l'insee ne sont pas bidonné :(
t'a absolument toutes les données qui vont dans son sens en cherchant :(

Oui c'est pour ça que je dis que sa réthorique est mauvaise.

non elle est bonne les chiffres sont bien bidonnés car l'insee est obligé de considerer toute personne avec un bou de carton appelé carte d'identité comme Francais. Ce quiu est fort pratique pour virer des stats des millions d'individu venant d'ailleurs

Et comme elle est donnée à qui le veut il est donc tres facile de l'avoir et donc d'etre "francais", c'est ce qui fait que Meraj ou les freres Kouachi sont aussi Francais que de Gaulle ou Louis XIV

Je suis parfaitement d'accord avec toi mais dans ce cas Zemmour doit dire que la méthodologie de l'INSEE qui se borne à ne considérer que nationalité administrative qu'on a distribué comme des petits-pains n'est pas la bonne pour déceler le changement de peuple et de civilisation, mais pas que les chiffres sont bidonnés, la nuance est importante.

Chiffres de l'INSEE sur l'origine des nouveaux nés en France :d)https://image.noelshack.com/fichiers/2020/34/3/1597828669-002-768x554.pnghttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/34/3/1597828694-001.png
https://www.insee.fr/fr/statistiques/2381382

“L’Archipel français” de Jérôme Fourquet (directeur du département « opinion et stratégies d’entreprise » de l'IFOP) à partir du fichier des prénoms de l’INSEE :d)https://image.noelshack.com/fichiers/2020/34/3/1597830058-egczpsdxoaax3z3.png

Le 07 mai 2021 à 21:16:59 :

Le 07 mai 2021 à 21:14:41 :
Zemmour ferait mieux de prendre parti pour la méthodologie de Michèle Tribalat dans la controverse Le Bras/Tribalat plutôt que de dire que les chiffres sont bidonnés. :(

Rarement controverse entre démographes a pris une telle ampleur. Pamphlets, droits de réponse, lettres anonymes, procès en diffamation : déjà suspecte du fait de ses liens historiques avec la Fondation française pour l'étude des problèmes humains instituée par Vichy en 1941 et dirigée par le médecin eugéniste Alexis Carrel, l'Institut national d'études démographiques (INED) se voit aujourd'hui accusé de servir de facto les desseins du Front national. La démographie française serait " en passe de devenir (...) un moyen d'expression du racisme ", estime le démographe Hervé Le Bras.

Les propos de ce membre éminent de l'institution visent directement Michèle Tribalat, l'une des plus grandes spécialistes des statistiques de l'immigration. Au début des années 90, cette démographe a brisé le " tabou français " qui limitait les critères d'analyse de ce phénomène à la seule nationalité. Après avoir en 1991 travaillé sur l'apport de l'immigration à la population française, elle a, en 1995, étudié l'intégration en utilisant deux critères : celui de l'" appartenance ethnique ", défini à partir de la langue maternelle des enquêtés et de leurs parents, et celui de l'" origine ethnique ", fondée sur le lieu de naissance des individus et de leurs parents.

Pour Hervé Le Bras, qui dirige le laboratoire de démographie historique à l'Ecole des hautes études en sciences sociales (Ehess), Michèle Tribalat aurait, ce faisant, remis en question le modèle républicain qui considère la nationalité comme l'unique critère acceptable. Cette démarche irait, selon lui, au devant des préjugés raciaux et porterait en germe le risque d'une dérive xénophobe. Elle aboutirait à la dénaturalisation (au moins théorique) - de Français dont les origines ne devraient pas, pour lui, faire l'objet d'études au niveau national.

http://census.web.ined.fr/debat/Presse-publique/LeMonde0611-10.html

mais les chiffres de l'insee ne sont pas bidonné :(
t'a absolument toutes les données qui vont dans son sens en cherchant :(

Oui j'en doute, c'est pour ça que je dis que sa réthorique est mauvaise.

Le 07 mai 2021 à 21:10:46 :
:rire:
https://www.insee.fr/fr/statistiques/4187349

Oui et un bac +3 au Mali ne vaut pas un bac+3 français :(