Je vais démystifier sous vos yeux ébahis le plus grand dogme cosmopolite en vogue depuis plus de 40 ans : l'inexistence des races humaines. Souvent dissimulé derrière un verni scientifique, il s'agit en réalité d'un choix idéologique, je vais vous montrer que les trois arguments qui reviennent en boucle ne résistent pas à l'analyse approfondie.
1/Le sophisme de Lewontin
C'est celui qui revient le plus souvent chez les PNJ demi-habiles, vous l'avez sans-doute déjà rencontré. Il dénote une incompétence profonde en statistique et une vision périmée de la génétique.
Il se formule ainsi :
Affirmation très contre-intuitive s'il en est car on est tous capables de différencier des pygmées de japonais et de les catégoriser sans erreur. On peut même les identifier par leur microbiote de leur salive ou en scrutant leur cerveau à l'IRM.
Le simple fait que cette affirmation vaut également pour les chiens devrait nous alerter sur son manque de pertinence (seule 30% de la variation génétique au sens de Lewontin se situe entre les races de chiens). https://t.co/YWD33vzDY7?amp=1
Alors, où est l'erreur ?
Elle se trouve dans l'ambiguité de la notion de distance génétique. En effet, en mathématiques comme en génétique, il existe plusieurs façons très différentes de mesurer les distances.
La distance qu'utilise Lewontin pour réfuter le concept de race n'est pas pertinente : les généticiens ont abandonné l'approche univariante ne s'attachant qu'à analyser une petite somme de gènes rattachée à un seul locus, pour privilégier des analyses polygéniques et multi-locales. Or, Lewontin est resté sur cette approche simpliste et univariante, c'est une erreur statistique qui oblitère les effets d'agrégation des variables inter-groupes dans les fréquences alléliques situées dans une plus grande quantité de loci.
On sent que son approche est beaucoup trop univariante pour être valide quand il pose cette mauvaise question : "À quel point les fréquences des groupes sanguins A, B, AB et O doivent différer pour déclarer que que deux populations locales sont des "races" séparées ?".
La question ne se pose pas dans ces termes : personne n'a jamais prétendu que les races devaient se distinguer les unes des autres par une seule grosse différence exceptionnelle dans un seul trait, mais plutôt par la combinaison d'un nombre de différences légères ou modérées dans une multiplicité de traits. Ainsi, une distance polyvariante est plus appropriée que la distance utilisée par Lewontin. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12879450/
Contre Lewontin, a fortiori, les analyses montrent que si elles sont menées à un degré polygénique et multi-local, alors, observe Whiterspoon et al en 2007, à la question : "à quelle fréquence apparaît il qu'une paire d'individus d'une population soit génétiquement plus dissemblable que deux individus choisis de deux différentes populations ?" il s'agit de répondre : jamais. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1893020/
The number of loci analyzed is the most critical variable: with 100 polymorphisms, accurate classification is possible, but ω remains sizable, even when using populations as distinct as sub-Saharan Africans and Europeans. Phenotypes controlled by a dozen or fewer loci can therefore be expected to show substantial overlap between human populations. This provides empirical justification for caution when using population labels in biomedical settings, with broad implications for personalized medicine, pharmacogenetics, and the meaning of race.
Je suis raciste, pourtant la haine est un sentiment que j'ignore. J'ai simplement une conscience de race très développée et je prône invariablement la fraternité raciale.
Les individus passent mais la substance biologique perdure si elle est bien entretenue, c'est pourquoi la race a un degré d'existence supérieur à l'individu.
Le sujet du droit ne devrait plus être l'individu mais la race, les droits des peuples doivent ainsi balayer les droits de l'Homme.
La société diversitaire pacifiée est une illusion des sociétés d'abondance, l'avénement du monde fini nous renverra aux lois éternelles de la nature, à savoir la lutte des races pour l'accès aux ressources et la sécurisation d'un espace vital.
J'ai été redpillé par un documentaire sur les fourmis.
Permettez-moi de vous présenter un facteur génétique expliquant en partie la surcriminalité des congoïdes
En l'état actuel de nos connaissances, nous savons qu'il existe un gène qui joue un rôle dans le taux élevé de criminalité des Afro-Américains, le gène de la monoamine oxydase A (MAO-A). Ce gène produit une enzyme du même nom : l'enzyme MAOA qui décompose une classe de neurotransmetteurs appelés mono-amines, comme la dopamine, la sérotonine ou encore la noradrénaline; ceux-ci sont bien connus pour avoir un effet sur le comportement.
Certaines versions du gène MAOA conduisent à abaisser les niveaux de l'enzyme MAOA et, par conséquent, à augmenter l'activité du mono-amine dans le cerveau puisqu'il est décomposé plus lentement.
La différence moléculaire entre les différentes versions du gène MAOA réside dans le nombre de fois qu'une certaine section de sa région promotrice est répétée. Trois allèles répétés (3R) conduisent à des niveaux inférieurs à la moyenne de l'enzyme MAOA, deux allèles répétés (2R) conduisent à des niveaux encore plus bas de l'enzyme.
À partir des années 1990, les chercheurs ont commencé à soupçonner que la variation des niveaux de MAOA pourrait être liée à des traits comme l'agression ou le comportement criminel. Cette suspicion est survenue à la suite d'une étude sur une famille allemande qui portait une mutation rare conduisant à des niveaux extrêmement faibles de l'enzyme MAOA. Cette famille avait des violeurs, des incendiaires et d'autres criminels violents en son sein : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1682278/pdf/ajhg00064-0013.pdf
Plus tard, les généticiens ont introduit chez les rats une version artificielle du gène MAOA qui conduit à une faible production de l'enzyme MAOA. Il a été constaté que les rats agissaient de façon beaucoup plus violente que la normale :
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/17441000/
En 2014, Beaver et son équipe ont découvert que les hommes afro-américains porteurs de 2R étaient plus susceptibles d'être impliqués dans des actes d'une violence extrême - coups de feu et coups de couteau - que les hommes afro-américains avec des allèles MAOA à plus forte répétition (3R, 4R, 5R). Ce gène n'est pas réparti également entre les races. Dans la base de données Add Health, 5,5% des hommes afro-américains, 0,1% des hommes de race blanche et 0,00067% des hommes asiatiques sont porteurs de 2R.
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0191886912004047
Le 16 avril 2021 à 17:10:38 :
Le 16 avril 2021 à 17:09:10 :
ça fait bien longtemps ils peuvent juste se permettre de sortir petit à petit leur delire au grand jourHeu non ?
Nos pan ont du talent
Le 16 avril 2021 à 17:09:08 :
j'habite a l'étranger , j'aimerai venir m'installer en Francehttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1494048058-pppppppppppppppppppp.png
possible ?https://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1494048058-pppppppppppppppppppp.png
Non, on en a deja assez comme ça pour en prendre d'autres.