Messages de bitcoin_boy

Le 04 juillet 2024 à 17:18:08 :

Le 04 juillet 2024 à 17:15:28 :

Le 04 juillet 2024 à 17:12:00 :
3300€ à 47 et 43 ans, c'est vrai que c'est chaud quand même...

1300€ pour Madame, ça veut dire que ce n'est même pas un SMIC à temps complet... :pf:

T'es prof t'es déjà très bien payé pour ce que tu fais (c'est pas un reproche, tant mieux hein)

Mais un mec avec un bac à cet âge là ne peut pas avoir plus que le SMIC à moins d'être pistonné.

Non, je suis mal payé.

J'ai bac+5+concours.

Avec mon niveau d'études, j'ai 100% des concours de catégorie A de la FP qui me sont ouverts en interne, comme inspecteur des Finances publiques, par exemple. Et leur salaire est de 1000€ / mois supérieur au mien. :)

Et c'est plus facile de devenir inspecteurs des finances qu'agrégé, largement plus facile même.

Tu as fait le choix d'être mal payé en restant en France. Un de mes amis est prof d'espagnol depuis 20 ans, ça fait 15 ans qu'il est prof à l'étranger (lycée français, il est toujours lié à l'académie de Lille). Il a fait Athène, Hong kong, L.A, Malaisie, dernièrement Tahiti... A chaque fois 2-3 ans (il ne peut pas aller au delà de trois ans, le seul point négatif au détachement). Avec toutes les primes d'éloignements et j'en passe, il est monté jusqu'à 8k net par mois; 10k à Tahiti avec les bonus de déménagement. Je te parle pas de combien tu touches comme directeur d'établissement à l'étranger...

Si tu veux gagner de l'argent en étant prof, c'est totalement possible. Avoir du respect des élèves aussi (la mentalité, population des élèves dans les lycées FR à l'étranger est très différente).

Tu peux vivre une vie de voyageur, être en vacances, découvrir le monde, avec un salaire assez dingue, au frais de l'état, et gagner potentiellement plus qu'un ministre/président. C'est ton choix de rester en France et subir.

Le sujet de la disparition du Français au Québec est vraiment intéressante. C'est plus complexe que "gnegneu c'est mieux l'anglais". Il y a eu une politique de répression du Québec par le fédéral (le Canada britanique) depuis que la France les a abandonné. Le Québec a été une province "usine + pauvre" qui a été exploité pendant un long moment + des conflits qui ont continué même après la guerre (il y a eu des massacres, pendaisons de Québecois qui ne voulaient pas rejoindre l'armée. "Je me souviens" (la devise)).

Il y a eu plusieurs tentatives de référendum, dont le dernier qui n'est pas passé loin du Oui pour l'indépendance. Mais il y a (encore de nos jours) des enquêtes sur des financements illégaux et pratiques illégales de l'état fédéral pour que le Oui perde. Ils ont poussé et accepté beaucoup de migrant anglophone dans la province, donné la résidence, j'en passe. C'est pour ça que de nos jours, le Québec est la seule province à imposer une pré-selection (Certificat selection québecoise, CSQ) sur son immigration. Dont l'un des critères et le niveau de français.

Les Québecois sont des américains, faut pas se le cacher. Culturellement c'est très différent, énormément influencé par les USA. Par contre, c'est BEAUCOUP plus tranquille que de l'autre côté de la frontière. D'ailleurs, les gens se préoccupent pas des affaires des autres (c'est positif et négatif). Tu peux sortir en pyjama dans la rue, personne ne te dira rien. La province (surtout la ville de Québec) est très sécuritaire, d'ailleurs, Québec est toujours la 5ème ville la plus sécuritaire au monde (Il y a pas plus de police, il se passe juste rien. Les gens sont civilisés. Il y a des petits fait divers à droite et à gauche, mais rien comparé à la France. D'ailleurs je traumatisme mes amis avec les news en France. Je montre à quel point on est des sauvages à côté).

Le plus gros conflit politique de ces 15 dernières années au Québec, c'est de se battre sur oui ou non, il y aura un tramway à Québec (pour donner le niveau. C'est comme si Macron faisait 10 ans de politique, pour être élu président pour faire un tramway dans une ville). Ca donne une idée de quel est l'échelle des problèmes. Il y a des problèmes biensûr (inflation, dégradation des institutions, profs, médical...), mais c'est une partie du global qui est encore civilisée.

Pour en revenir au Français, il va disparaitre ici d'ici 20 ans. Malgré tous les efforts des gouvernements (ils imposent beaucoup de choses) pour essayer de le sauver, le Fédéral gagnera en imposant une immigration anglophone (Quand on immigre côté Québec, le processus pour être résident est très LONG. Quand le dossier est validé côté Québec, il dort souvent côté fédéral... ça boycote de leur côté).

Malgré tout, c'est un beau pays (et province), ENORME, beaucoup de choses à voir (faut aimer la nature). Et malgré tout, les gens parlent/comprennent le français, c'est juste que c'est du fran-glais. Montréal est bientôt en majorité anglophone. Mais du côté de Québec, ça fait de la resistance.

Dans tous les cas, si la France mettait tous les efforts que le Québec fait pour préserver la langue, c'est sûr que le niveau irait vers le haut. Mais le Québec se bat contre trop fort (toutes les autres provinces), et les québecois c'est 20/25% du pays.

Aussi, il y a un gros nivellement vers le bas côté études. Ici c'est travail, travail, les études ça sert à rien. Beaucoup ne dépassent pas l'équivalent du Brevet et ne finissent pas leur lycée pour arriver au BAC (secondaire-cegep). L'université, j'en parle même pas. Le français est mal enseigné, et beaucoup trop tard, ça créé les problèmes qu'ils ont aujourd'hui. Même des collègues qui sont très éduqués font énormément de fautes (et mon orthographe s'est bien dégradée depuis que je suis ici).

Mais c'est très cool le Quebec quand on ne se préoccupe pas de ça !

Le 25 octobre 2023 à 15:35:40 :

Le 25 octobre 2023 à 15:31:35 :

Le 25 octobre 2023 à 15:22:26 :

Le 25 octobre 2023 à 15:16:52 :
t'as deja parler avec des québécois ? Ahi un mot sur deux provient de l'anglais , le gouvernement a beau tout franciser les resultats sont pas trop là

Non, mais je regarde juste ce qu'ils font pour trouver les équivalents français de tous les anglicismes. :noel:

Je suis au Québec depuis quelques années :

1. 24% d'analphabètes + 30% d'analphabètes fonctionnel. 50% de la population a un problème avec le français (ils arrivent à lire un peu, des textes assez facile). En France, c'est 7% à titre de comparaison. Le reste du Canada/Ontario, c'est 14% (pour l'Anglais).

:d) En réalité, il y a probablement plus d'analphabètes en France qu'au Québec. Le barème servant à évaluer le niveau d'alphabétisation est juste beaucoup plus sévère au Québec que presque partout ailleurs (et tout le monde refuse de niveler par le bas depuis des années).

Un Français qui a échoué à un test de français pour immigrer dénonce un processus «trop sélectif»

Yohan Flaman est Français et a fait toute sa scolarité dans cette langue. Arrivé au Québec en 2018, il a pourtant échoué à une partie du test de français pour obtenir sa résidence permanente. Il dénonce « un processus beaucoup trop sélectif », trop cher et « contre-productif », symptomatique selon lui des autres cafouillages récents du système d’immigration dans la province.

« Sincèrement, on dirait que c’est un examen qui est fait pour être raté », lance-t-il aujourd’hui après avoir réussi le test à son deuxième essai et déposé sa demande de résidence permanente. « Je m’étais dit que c’était dans la poche, mais les consignes sont tellement longues et certaines questions sont tirées par les cheveux. » Chaque section du test est également minutée de manière très serrée, ajoute-t-il.

Pour être sélectionné comme immigrant permanent à travers le Programme de l’expérience québécoise (PEQ), une personne doit en effet démontrer sa maîtrise du français. Il y a plusieurs façons de le faire : en ayant une scolarité de trois ans en français de niveau équivalent au secondaire, en prouvant la réussite d’un cours de francisation de niveau 7 ou encore en passant l’un des tests reconnus par le ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI). https://www.ledevoir.com/societe/598181/langue-un-francais-qui-a-echoue-a-un-test-de-francais-pour-immigrer-au-quebec-denonce-un-processus-trop-selectif

Le processus/examen (TCF / TCFQ) est simple pour un francophone. J'y suis allé les mains dans les poches en ayant pas dormi et j'ai eu C2 partout. La personne devait avoir des gros problèmes en lecture/écriture/oral pour ne pas avoir B2 (si il est natif). On te demande B2 minimum, ce qui est le niveau en français d'un élève en début primaire. Par contre, la France est beaucoup moins selective, on te demande B1 (c'est maternel) pour la Citoyennetée (pas la résidence).

Le 25 octobre 2023 à 15:22:26 :

Le 25 octobre 2023 à 15:16:52 :
t'as deja parler avec des québécois ? Ahi un mot sur deux provient de l'anglais , le gouvernement a beau tout franciser les resultats sont pas trop là

Non, mais je regarde juste ce qu'ils font pour trouver les équivalents français de tous les anglicismes. :noel:

Je suis au Québec depuis quelques années :

1. 24% d'analphabètes + 30% d'analphabètes fonctionnel. 50% de la population a un problème avec le français (ils arrivent à lire un peu, des textes assez facile). En France, c'est 7% à titre de comparaison. Le reste du Canada/Ontario, c'est 14% (pour l'Anglais).

2. Il est Impossible pour un Québecois de ne pas parler en Fran-glais; c'est à dire, faire des phrases/parties de phrases en Anglais dans son vocabulaire de tout les jours. Ca n'a rien avoir avec emprunter un mot comme on peut le faire en France (Tu ne vois pas des gens switch du Français à l'Anglais comme si de rien n'était).

3. Ils traduisent... un peu de façon random. Il y a souvent des mots pour tout, mais l'Anglais est très présent malgré tout. A Québec (la ville), ça résiste un peu. Mais l'enjeu du Français au Québec est énorme (J'ai même dû passé un test de français, malgré que je sois diplomé en France et de nationalité Française). C'est principalement l'immigration qui remonte le niveau : Le niveau de français est CATASTROPHIQUE. A tel point, que le Fédéral en a rien à faire (il y a des fautes en français dans le test officiel de Démocratie et citoyenneté).

Les gens sont sympa, il y a beaucoup de point positif, mais l'état du français ici est déplorable. Et d'ailleurs, les spécialistes visent 2045/2050 pour la disparition de la langue (20% et moins). On est déjà en dessous des 50% de gens qui parlent le français comme langue principale dans la province.

Un petit lien pour plus de détails : https://www.lefigaro.fr/actualite-france/2019/02/05/01016-20190205ARTFIG00269--fonction-egale-le-salaire-d-un-professeur-va-de-1500-a-12000-euros.php
https://07.snuipp.fr/IMG/pdf/le_guide_hors_de_france_partir_enseigner_hors_de_france_et_dans_les_com.pdf

Il faudra m'expliquer pourquoi les profs arrêtent de bosser en France pour un autre job (si ils ont la passion), alors qu'ils ont une porte de sortie en Or.

J'ai eu cette discussion avec mon ami, et on lui fait souvent la reflexion, surtout des anciens collègues qui sont restés au pays (ça fait 20 ans qu'il est dans le métier) : " t'as de la chance" "j'aimerai bien faire comme toi", et personne n'ose se lancer, et ça ne fait que se plaindre. Même ceux qui sont célibataires, n'ont pas d'énorme lien avec le pays.

Un prof français peut gagner beaucoup (beaucoup) d'argent à l'étranger (travail pour l'état français dans des collèges ou lycées à l'étranger). J'ai un ami qui a fait Grèce/HK/Los Angeles/Malaisie et dernièrement Tahiti (retour en France donc). Entre la prime d'éloignement, l'indexation coût de la vie, l'indexation éloignement géographique, il se fait des salaires de ministre (4-6keur net+ en fonction des endroits où il a été). Et il a des grosses primes 10k net à droite et à gauche chaque année, plus quand il doit rebouger vers un autre pays. Si il était chef d'établissement (proviseur), ça serait encore plus.

Il y a moyen d'être très bien loti en travaillant comme prof. Il faut faire 2-3 ans pour pouvoir être prof à l'étranger. Avoir passé le capes + aggrégé aide aussi.

Point positifs :
- Avantages de l'expatriation : sensation d'être en vacance même si tu travailles, les locaux peuvent très bien te traiter, exotique, tu peux te barrer à un autre endroit et "recommencer" si ça se passe mal (en France, tu restes dans ta merde, à l'endroit où t'es, surtout si t'as 5 gosses).
- Des salaires très conséquants, surtout dans le temps vs rester en France (de x2 à x5 ton salaire en fonction de l'éloignement)
- Des primes énormes (pour du service public, j'ai halluciné; moi qui pensait que l'Etat était radin).
- Tu as le choix parmis des centaines d'établissements français à l'étranger, il y a toujours de la place quelque part, même si tu n'as pas forcément tout le temps de la place où tu veux (certains endroits sont plus prisés que d'autres).
- Les élèves ont tendance à venir de famille ayant des moyens, le respect du prof est toujours là comme dans les années 60-80 (rien à voir avec la France).

Il y a des inconvéniants tout de même :
- Ca dûre 4 ans maximum, après tu dois rebouger. 2 ans de base, 2 ans de plus possible. On te demande à la 1ère année si tu veux partir sur deux ans.
- Il faut être capable de bouger/s'éloigner de sa famille (il faut faire des choix dans sa vie après ;))
- Revenir en France peut-être violant, surtout quand ça fait une dizaine d'année qu'on y travaille plus (ce qui arrive à mon ami qui devient proviseur adjoint. Même dans un petit village c'est devenu un shithole, les élèves, très loin des standards à HK ou même à Tahiti où les gens sont super sympas).
- Parfois l'expérience peut-être moyenne (ça sera jamais du niveau d'être muté à Paris en banlieu). Exemple : A LA, pas mal de riches (souvent le cas dans les lycées FR à l'étranger hors départements français).
- Dans certains pays à tendance latino (LA), les élèves peuvent parfois parler nativement la langue que tu enseignes (dans le cas ici, l'espanol). Ce qui mène à faire des cours un peu différent qu'un cours de langue classique (comme nos cours de français, plus de l'analyse qu'apprendre à parler).
- Il y a des endroits où tu peux être isolé géographiquement (polynésie), mais c'est un choix de vie, et certaines personnes préfèrent la campagne que les grosses villes.

Tout ça est connu de tous, car tout est transparent et disponibles (grilles d'indexation prof à l'étranger, ect).

On peut être prof français et vivre la belle vie + acquérir un beau patrimoine financier. C'est une question de choix.

@founeVelue: On est au Canada

Le 05 décembre 2022 à 18:37:26 :
https://www.youtube.com/watch?t=632&v=FE9VcBf3Gmg&feature=youtu.be

Ils n'étaient pas readyhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/43/4/1635454847-elton-john-tison-golem.png

Khey je sais pas ce que tu vis mais tu boucles tout les jours pour bâcher le canada/quebec; je pensais que c'était isolé sur l'autre topic, mais là en cherchant avec ton pseudo c'est TOUT le temps, t'es dans une boucle infinie de haine (en plus de colporter des clichés et informations parfois inexactes pour appuyer tes propos haineux et/ou ton mal-être). Il faut sortir khey et profiter de la beauté de l'hiver, t'es pas en bonne santé mentale là. Faire un topic tous les jours pour juste cracher, faut vraiment être au plus bas dans la vie; si tu as besoin d'aide/support psy hésites pas :ange:

C'est comme les US : tout dépend de ton contrat. Ici la mentalité est différente qu'en Europe, les gens prennent des plus gros breaks quand ils ont les moyens, et moins de petites vacances. C'est assez simple (en fonction du secteur) de trouver du boulot quand tu es qualifié, ou même du boulot alimentaire. Au Macdo en France on va te demander un diplôme limite, alors qu'ici n'importe qui te prendra quitte à te payer au black car ils ne trouvent pas de main-d'œuvre (c'est ça ou fermer la porte).

Le min légal : 2 semaines par an
La moyenne : 3-4 semaines
IT/Grosse compagnies : 4-5+ semaines

Moi j'ai 5 semaines de base + une semaine flexible (que j'utilise pour n'importe quoi, vacances, rendez-vous...).

Je connais des gens dans le bâtiment qui se permettent de prendre des vacances presque n'importe quand tellement leur métier est en tention. J'ai un ami menuisier/charpentier qui est la moitié de l'année en vac (une partie sans solde par contre) en partant quand il veut car son patron veut pas le virer (trop besoin de ses compétences).

Ça dépend donc de quel corps de métier et surtout la boîte, les vacances ça se négocie hormis si t'es en bas de la chaîne alimentaire (petits boulots).

MCX: Ils ont renommé maternité pour plus d'inclusivité. T'es pas prêt. C'est le pays qui est à côté des US, il faut pas oublier.

Après, une chose que tu peux pas faire en France : Tu t'isoles. T'achète ou loue une baraque hors ville assez loin/en foret/campagne. T'es tranquille si tu sais t'occuper.

Mangou: dès qu'on sort du classique j'suis d'accord que ça peut-être bon. Mais là c'est plus la poutine traditionnelle. Poutine au boeuf fumé (un peu un goût de jerky), meilleure que j'ai mangé.
Zemmour: D'accord sur le fait que t'as plus de probabilité de bien manger dans un resto en France (que tu connais pas). Ils sont pas trop au point niveau qualité. Mais il y a eu un énorme nivellement vers le bas depuis qu'un chef cuisto est payé comme de la merde vs un serveur. J'ai une amie qui se fait 95k au vieux QC, plus qu'un chef de son établissement réputé... Les salaires à pourboire c'est n'importe quoi. En plus que ça soit le client qui paye la grosse partie du salaire au lieu que le patron paye correctement. Mais ironiquement, les serveurs veulent pas le laisser tomber car ils se font des couilles en or.
Mais la poutine c'est pas un repas 🤣 (j'avoue que je réussi pas mon intégration en disant ça). Je suis du Nord, j'ai l'habitude de la bouffe grasse... Mais honnêtement ça goûte rien la poutine nature/de base. C'est bien pour le folklore :-)
La bouffe il y a des bons restos comme partout (à QC, je vais pas assez à Montréal pour donner mon avis surtout qu'à chaque fois sue j'y vais la pandémie en ferme un). Par contre, pizza : ils savent pas faire, bouffe asiat : moyen. Perso, je suis cuisine 3/4 du temps, c'est le meilleur moyen de bien manger partout ;). Si vous voulez des bonnes adresses à Québec hésitez pas.
C'est interdit mais j'ai déjà pris en video/photo ces situations d'escalavage légaux d'enfants pour montrer à la famille et amis. Je posterai pas ici car c'est interdit même si je floute, mais c'est bien réel dans plusieurs endroits. Dans les épiceries ça a tendance à être plus du 11/12+ le weekend.
Il faudrait renommer le topic : technique de vol au Québec, à ce stade là 🤣
Je connais pas mal de familles dont les enfants ont pas connu de vraies vacances. Pratiquement tous ceux qui en ont eu vraiment (2 semaines ou plus, voire un mois) sont des familles étrangères. Les Québécois aiment vivre pour travailler... (même si ils finissent le travail plus tôt/17h30ish). Les enfants en France ont pas à se plaindre sur plan là. C'est un plan culturel ''capitaliste/travail " que je comprends pas trop, mais bon, différent continent :)
Jura: Je parle pas de couilles mais d'enfants. Il y a pas d'âge min au Québec, tant que c'est pas sur les heures de classe, et l'usine c'est 12 ou 13 ans min je crois. Mais pour un métier hors usine, sur le papier tu peux commencer à 1-2 ans. Les autres provinces ont intégré l'âge min, mais le Québec est l'une des seules exception d'occident à ne pas le faire.
Mangou: J'ai bougé la première fois avec 5k euro sur mon compte en banque en UK, c'est pas non plus énorme. Le reste c'est les salaires qui ont payé. Après, aide à la relocalisation (1 mois au frais de la boîte...) ect.
Par contre, il y a une chose qui me choque au Québec, c'est l'esclavage des enfants. Sérieux se faire servir au drive par un gosse de 8 ans c'est perturbant. Des gosses en situation de stress ou grosse fatigue j'en vois partout. À cet âge je me serai mis une balle. J'envie pas leur enfance à la Québécoise... La dernière fois au Tim hurton proche de la baie st paul, il y avait QUE des gosses et deux ados 12+.
J'ai bossé 7 ans à roubaix au smic dans le jv, l'expatriation ça m'a fait step up. À chaque pays, toujours + (je bouge pas si il y a pas en premier un intérêt économique, et après qualité de vie/intérêt pour le pays). Les gens qui le peuvent devraient faire la même chose si ils s'en donnent les moyens.