Le 31 juillet 2023 à 21:33:23 :
Ta meuf a 3 toutous à la maison, en tout cas
Le 31 juillet 2023 à 20:30:39 :
Ils ont renouveler le contrat récemment avec les société privé type vincihttps://image.noelshack.com/fichiers/2023/23/2/1686056359-20230606-145702-0000.png
Ça va coûter encore plus cher
Le 31 juillet 2023 à 20:21:13 :
C'est un influenceurhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/06/7/1613318160-4k.png
Belle analyse bro
Pour rappel les sociétés d'autoroutes a peages françaises,qui ont été finances par les francais via l'etat qui était principal actionnaire. ont ceder les droit d'exploitation a des entreprise privées
L’etat etait endetté et a vendu le droit d'exploitation, car non rentable, mais sur le point de le devenir, effectivement 9ans apres la cession des droits les autoroutes devenaient rentables a hauteur d'une dixaine de milliards par ans, de l'argent qui devait rentrer dans les caisses de l'etat et qui ira dans les poches des actionnaires
Un « fiasco », un « désastre financier », un « racket »… Les parlementaires de tous bords n’ont pas eu de mots assez durs contre les concessions autoroutières, lors du débat sur la privatisation de Groupe ADP (ex-Aéroports de Paris). Les opérations répétées de « gilets jaunes » sur des barrières de péage n’y sont pas pour rien. Elles ont réveillé la polémique sur cette privatisation qui, près de quinze ans après, n’a toujours pas été vraiment digérée : le transfert de 9 000 kilomètres d’autoroutes au secteur privé. Signe de cette effervescence : la ministre des transports, Elisabeth borne, a dû proclamer publiquement qu’il n’était pas question de renationaliser le réseau concédé.
Huit mois de boulot et 321 pages assaisonnées sur le bilan de la privatisation des autoroutes françaises, vingt ans après le début du processus. Une commission d'enquête sur «le contrôle, la régulation et l'évolution des concessions autoroutières» dresse un tableau édifiant sur la manière dont l'Etat a cédé le contrôle du secteur autoroutier à des entreprises, dont deux poids lourds français du BTP Vinci et Eiffage. Non seulement la puissance publique aurait péché en ne vendant pas à sa juste valeur ce patrimoine mais le déséquilibre aurait été permanent entre les sociétés concessionnaires du réseau autoroutier et l'Etat «qui n'a pas suffisamment blindé les contrats» précise à Libération Vincent Delahaye, sénateur UDI de l'Essonne et rapporteur de la commission d'enquête.
Prix de vente trop bas
L'histoire commence en 2002 lorsque Lionel Jospin, alors Premier ministre, décide d'ouvrir le capital des autoroutes du sud de la France (ASF) afin de financer le fonds de réserve des retraites. Le gouvernement de Dominique de Villepin poursuit le mouvement en 2006, dans le but de désendetter l'Etat. La privatisation de 9 100 km d'autoroutes sur un réseau de 12 000 km fait alors rentrer 14,8 milliards euros dans les caisses de l'Etat. C'est précisément la faiblesse de cette somme que pointent les sénateurs. Ils considèrent que le prix de vente des actions des sociétés d'autoroute a été fixé un niveau trop bas. Le moment choisi pour ces privatisations est également contesté. La commission d'enquête estime donc que l'Etat a perdu «5,3 milliards d'euros de recettes potentielles».
https://www.google.com/amp/s/www.liberation.fr/france/2020/09/18/le-senat-en-remet-une-couche-sur-la-privatisation-contestee-des-autoroutes_1799821/%3foutputType=amp
ministre des transports, de l'équipement, du tourisme et de la mer sur la privatisation amorcée des concessions d'autoroutes. En effet, il estime que cette décision du Gouvernement s'oppose à l'intérêt général et que, pire encore, elle revient à privatiser l'impôt. Lors du vote du budget des transports l'année dernière, le Parlement a décidé de créer l'agence de financement des infrastructures de transport (AFTIF), ses ressources provenant essentiellement des péages des autoroutes. La privatisation des concessions d'autoroute remet donc directement en cause l'existence même de cette agence en la privant de recettes pérennes.
Une dotation exceptionnelle de 4 milliards d'euros, comme elle est annoncée, ne revient pas aux 1,5 milliard d'euros de recettes par an pendant 20 ans qui aurait dû alimenter les recettes de cette agence. Le bénéfice escompté par l'Etat de cette privatisation est de 12 à 13 milliards d'euros servant essentiellement à la réduction de la dette publique mais sans ambition de service public. La qualité de service est en effet le quatrième critère d'attribution des marchés.
Cette privatisation aura aussi, à l'évidence, des conséquences sur les personnels. L'objectif de cette agence lors de sa création était, selon le Gouvernement, la promotion d'une politique des transports qui favorise les modes de transports alternatifs à la route, notamment le rail, par le financement des grands projets d'infrastructures tels que définis lors du CIADT de décembre 2003. Qu'en sera-t-il lorsque ses ressources seront asséchées ? De plus, cette décision gouvernementale ne se justifie pas économiquement, les sociétés concessionnaires des autoroutes sont de plus en plus bénéficiaires. Cela s'explique par le fait qu'elles ont de moins en moins de charges notamment de remboursements d'emprunt et que parallèlement le coût des péages augmente. Ainsi, pour ne prendre que l'exemple d'ASF, son chiffre d'affaires depuis 1990 a cru de 7,6 %. On offre ainsi aux grandes entreprises du bâtiment la possibilité d'un investissement sans risque puisque monopolistique et à rendement maximum. Ce sont, en effet, 37 milliards d'euros de dividendes qui sont attendus dans les 25 prochaines années. Autrement dit, ce projet va permettre la rémunération du capital privé en retirant à la puissance publique des ressources nécessaires pour un aménagement du territoire harmonieux, orienté vers la satisfaction des besoins de transport du xxie siècle. Il souhaite donc connaître les projets du Gouvernement pour permettre un financement pérenne de l'AFTIF, mais aussi pour promouvoir concrètement le rééquilibrage des modes de transports vers les modes les plus respectueux de l'environnement. (déposée le 9 septembre 2005 - annoncée en séance publique lors de l'ouverture de la session 2005-2006).
https://www.senat.fr/questions/base/2005/qSEQ05090003A.html
Le 31 juillet 2023 à 20:00:38 :
Tapez « roiproprietaire » et « pointeur-laser » dans « rechercher »L’auteur est un puceau misogyne OBSÉDÉ par l’affaire Jubillar.
Il jubile de savoir que la femme est morte, et il fait abstraction du faisceau d’indices accablant pour son cassos de mari.Pourquoi ? Parce que à ses yeux, la meuf méritait la mort car elle avait un amant.
Ce mec est taré, il n’arrête pas de salir delphine jubillar dans tous ses topics.
Vous pouvez écrire comme je l’ai fait à penal@avocats-battikh.com, c’est l’adresse mail publique de l’avocat de la famille Delphine Jubillar, ce taré va devoir rendre des comptes.
Preuve que Delphine est morte ?
Lui qui était assidu à 14h (heure locale) pour alimenter la boucle et distinguer les vrais des newfagz ™️
Répétant inlassablement les mêmes mots et ce dans le respect de la sélection naturelle
Tacos est aujourd’hui décédé
Lui qui était assidu à 14h (heure locale) pour alimenter la boucle et distinguer les vrais des newfagz ™️
Répétant inlassablement les mêmes mots et ce dans le respect de la sélection naturelle
Tacos est aujourd’hui décédé
Le 30 juillet 2023 à 22:08:18 :
retire la capote de ton cul pour pas laisser de tracehttps://image.noelshack.com/fichiers/2016/49/1481221589-jesuszoom2.jpg
Déjà fait, elle est en train de sécher j’y retourne demain