Le 02 janvier 2021 à 11:05:32 GuapoDeGuap a écrit :
Le 02 janvier 2021 à 11:03:12 CrocoDinguo18 a écrit :
Le 02 janvier 2021 à 11:00:09 GuapoDeGuap a écrit :
Le 02 janvier 2021 à 10:57:54 CrocoDinguo18 a écrit :
Osef des fautes, la langue évolue selon sa pratique sociale et non selon une norme édictée.Sauf que l'on pense avec le langage. La destruction de temps et de modes comme le passé simple ou le subjonctif, c'est des matrices entières de réflexion que tu perds. Tu ajoutes à cela que des pans entiers du vocabulaire perdent leur sens à force d'être mal utilisés, tu te retrouves avec une population incapable de penser correctement
Bof. Ce qui ne se pratique plus aujourd'hui peut très bien être remis au goût du jour dans le futur. Par définition on ne sait pas de quoi sera fait demain.
Des mots disparaissent chaque année faute d'utilisation, et tombent en désuétude ; et réciproquement d'autres mots font leur apparition dans le dictionnaire. Il y a un "turn-over" continu de la langue. On n'utilise et n'emploie pas les mêmes mots de la même manière entre les différents siècles mais ça ne signifie pas pour autant que notre langue actuelle se soit appauvrie.
Ce n'est pas parce que la langue évolue qu'elle change en bien, il faut arrêter avec ce biais cognitif du progrès. Le nivellement par le bas est réel, arrêtons de nous voiler la face. La disparition de certains temps, c'est objectif une grande perte pour la Pensée. Les mots dont les définitions se galvaudent une par une, c'est une grande perte pour la Pensée. Non, l'évolution n'est pas toujours une bonne chose
Ces temps n'ont pas disparu ; ils sont simplement désuets quant à leur utilisation à l'oral. On les étudie encore à l'école (ou alors merci de me confirmer l'inverse) car grand nombre de livres étudiés ont recours au passé-simple, plus-que-parfait, subjonctif imparfait, etc.
C'est comme les langues dites "mortes" ; on ne le pratique plus à l'oral, ou très peu, mais sont encore pour partie étudier par certains ce qui maintient leur "survie".
Le 02 janvier 2021 à 11:04:59 Solipsist a écrit :
pourquoi pas en cas de mariage civil, vu qu'on a brisé un serment sur l'honneur (supprimer le serment fonctionnerait aussi)
mais c'est typiquement le genre de question politique qui divise pour pas grand chose
L'adultère est déjà considéré comme une faute civile susceptible d'engendrer un divorce pour faute + allocation de dommages-intérêts pour l'époux cocu.
Le 02 janvier 2021 à 11:00:09 GuapoDeGuap a écrit :
Le 02 janvier 2021 à 10:57:54 CrocoDinguo18 a écrit :
Osef des fautes, la langue évolue selon sa pratique sociale et non selon une norme édictée.Sauf que l'on pense avec le langage. La destruction de temps et de modes comme le passé simple ou le subjonctif, c'est des matrices entières de réflexion que tu perds. Tu ajoutes à cela que des pans entiers du vocabulaire perdent leur sens à force d'être mal utilisés, tu te retrouves avec une population incapable de penser correctement
Bof. Ce qui ne se pratique plus aujourd'hui peut très bien être remis au goût du jour dans le futur. Par définition on ne sait pas de quoi sera fait demain.
Des mots disparaissent chaque année faute d'utilisation, et tombent en désuétude ; et réciproquement d'autres mots font leur apparition dans le dictionnaire. Il y a un "turn-over" continu de la langue. On n'utilise et n'emploie pas les mêmes mots de la même manière entre les différents siècles mais ça ne signifie pas pour autant que notre langue actuelle se soit appauvrie.
Le 02 janvier 2021 à 10:57:33 KheyPicardBeau a écrit :
Le 02 janvier 2021 à 10:56:10 CrocoDinguo18 a écrit :
Question débile posée à une grosse majorité de puceauxTu en as encore d'autres des conneries comme ça ? Sous le prétexte de ne pas être des criminels, tu crois qu'on peut se poser des questions débiles du type " faut-il interdire le meurtre ? "
https://image.noelshack.com/fichiers/2019/08/3/1550618004-risitas-deux-mains-rire2.png
Oui oui bien sûr. La question n'a plus lieu d'être car jamais l'adultère sera de nouveau réprimé pénalement.
C'est comme la question "pour ou contre la peine de mort"