Je fais cas d'un philosophe dans la mesure où il est capable de fournir un exemple.
Mélenchon c'est un Jacobin, il mange des crevettes, la gauche n'est plus de gauche depuis 1983...
NIETZSCHE : Un animal grégaire, un être docile, maladif, médiocre, l’Européen d’aujourd’hui ! Le destin fatal de l’Europe... Comme une perte de confiance et d’espérance, ayant cessé de craindre l’homme, nous avons aussi cessé de l’aimer, de le respecter, d’espérer en lui, tout bonnement de le vouloir. L’aspect de l’homme nous lasse désormais. – Qu’est-ce que le nihilisme, si ce n’est cette lassitude ? Nous sommes fatigués de l’homme.
ONFRAY : On nous a dit l'Euro l'Europe on nous a dit que ce serait formidable.
Le 08 avril 2021 à 21:05:24 :
Woodman pratique un autre yogahttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/07/4/1613639007-risichauve.png
"chérie regarde c'est du yoga faut qu'on fasse pareil"
Le 08 avril 2021 à 20:58:55 :
Preuve que c'est la fille de Woodman ?https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png
c'est vérifiable il faut le savoir hein voilà
Le philosophe Michel Onfray annonce dans une tribune qu'il ne sera pas commissaire de l'exposition consacrée à Albert Camus qui doit se tenir à Aix-en-Provence en 2013, après la publication d'une enquête dans Le Monde.
La double page que votre journal consacre à ce qui est devenu depuis l'été l'affaire Camus me décide à prendre le large de cette pétaudière où se mélangent de façon déraisonnable les egos surdimensionnés, la chiennerie de la politique politicienne, les pathologies mentales, les intrigues de réseaux, le copinage d'anciens combattants d'extrême gauche reconvertis dans l'opportunisme social-démocrate, la morgue de l'impuissance universitaire , la niaiserie d'une ministre confondant usage public des crédits et punition idéologique, la veulerie des institutionnels de la culture , le double langage de l'un, la schizophrénie de l'autre, le tout sur fond de guerres picrocholines organisées et orchestrées par le journalisme parisien...
Je bénis cette aventure de m'avoir fait découvrir cette nef des fous ! Mais je n'en suis plus... Je n'avais encore rien signé, j'économise donc une démission. Pas besoin de quitter le bateau, il n'y aura jamais eu que le projet d'y être – mais la compagnie s'avère décidément trop nauséabonde. En France, l'atmosphère intellectuelle est toujours de guerre civile.
Albert Camus aura été le grand perdant de ce qui aurait pu être une belle aventure. Mais tout ce qu'il détestait est revenu dans cette affaire comme un boomerang : les politiciens, les héritiers, les réseaux, les tribus, les universitaires, les journalistes, les ministres, Paris... Rien de neuf sous le soleil.
J'avais pour fil conducteur le projet de montrer le trajet rectiligne d'un libertaire au XXe siècle, le combat reste à mener, je le mènerai ailleurs. Pour moi, il y a une vie après Camus... Que mes ennemis se rassurent, ils auront d'autres occasions de me poursuivre de leur haine, je prendrai soin de leur procurer d'autres raisons.