Le 01 novembre 2024 à 23:33:01 :
Je capte rien à la conv' c'est normal ?
Rochedy se rend compte que les libéraux ont une meilleur compréhension de la gauche et du matérialisme que la droite, donc il essaie de se rattraper.
Le 01 novembre 2024 à 23:22:12 :
Le 01 novembre 2024 à 23:15:15 :
Le 16 octobre 2024 à 17:04:29 :
Je cite : « L'idéalisme transcendantal (ou critique) de Kant valide le pouvoir de la raison en mettant en lumière les conditions de son usage légitime et donc ses limites : la distinction entre les phénomènes dont nous formons la représentation et la chose en soi, susceptible d'être pensée à partir de postulats mais non connue, rend possible la conciliation entre un réalisme empirique (affirmation de l'existence des objets hors de notre pensée comme données sensibles de l'activité cognitive) et un idéalisme métaphysique (détermination nécessaire des phénomènes par les formes conceptuelles et sensibles a priori du sujet connaissant), renvoyant ainsi dos à dos le réalisme métaphysique et l'idéalisme empirique. »Il a grave évolué après son passage nietzschéen non ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png Il a été nietzcheen, puis socio darwiniste (matérialiste), enfin il retourne à l'idéalisme. Et encore : Nietzsche ne croyait pas en une réalité objective, mais inter subjective ; donc idéalisme épistémologique. Les marxistes ont du rappeler à Juju ce qu'était le matérialisme.
Mais le dualisme de Rochedy n'est pas intéressant. Je n'ai pas besoin de postuler une chose que je ne peux pas connaître (la famosa chose en soi) et dont je ne peux peux concevoir qu'elle existe en-dehors de la conscience, pour vivre. Le réalisme naïf/empirique est une perte de temps et d'énergie. La phénoménologie est le post kantisme, donc le kantisme est dépassable.
Non, la phénoménologie n'a pas aboli la chose en soi (sorte de légende urbaine qu'on lit partout). Et pourtant, je viens de la phénoménologie
Tout au plus peut on dire qu'elle la rend caduque pour et dans l'analyse du vécu perceptif. C'est déjà pas mal. Mais des gens qui se disent idéalistes transcendantaux au sens husserlien et pourtant réalistes empiriques, il y en a tout plein encore.
Qui parle d'abolir la chose en soi? Ce n'est pas ce que je dis. Effectivement, l'idéalisme épistémologique est cohérent sans que l'on ait besoin de s'attarder sur ce dualisme crétin sujet objet.
Le 01 novembre 2024 à 23:19:12 :
ok
OK quoi? Chat gpt est salé. Je ne lui demandais pas de l'être
Le 16 octobre 2024 à 17:04:29 :
Je cite : « L'idéalisme transcendantal (ou critique) de Kant valide le pouvoir de la raison en mettant en lumière les conditions de son usage légitime et donc ses limites : la distinction entre les phénomènes dont nous formons la représentation et la chose en soi, susceptible d'être pensée à partir de postulats mais non connue, rend possible la conciliation entre un réalisme empirique (affirmation de l'existence des objets hors de notre pensée comme données sensibles de l'activité cognitive) et un idéalisme métaphysique (détermination nécessaire des phénomènes par les formes conceptuelles et sensibles a priori du sujet connaissant), renvoyant ainsi dos à dos le réalisme métaphysique et l'idéalisme empirique. »Il a grave évolué après son passage nietzschéen non ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png
Il a été nietzcheen, puis socio darwiniste (matérialiste), enfin il retourne à l'idéalisme. Et encore : Nietzsche ne croyait pas en une réalité objective, mais inter subjective ; donc idéalisme épistémologique. Les marxistes ont du rappeler à Juju ce qu'était le matérialisme.
Mais le dualisme de Rochedy n'est pas intéressant. Je n'ai pas besoin de postuler une chose que je ne peux pas connaître (la famosa chose en soi) et dont je ne peux peux concevoir qu'elle existe en-dehors de la conscience, pour vivre. Le réalisme naïf/empirique est une perte de temps et d'énergie. La phénoménologie est le post kantisme, donc le kantisme est dépassable.
- Est-ce que les gens de droite comprennent les critiques idéalistes du marxisme, surtout quand ces gens de droite sont eux-mêmes matérialistes?
Les critiques idéalistes du marxisme sont souvent difficiles à saisir pour les matérialistes, qu’ils soient de droite ou de gauche, parce que l’approche idéaliste se fonde sur une compréhension de la réalité qui transcende le monde matériel. Les critiques idéalistes, comme celles inspirées par l'idéalisme transcendantal de Kant, reprochent souvent au marxisme d'être prisonnier d'un paradigme matérialiste qui réduit l'humain à des forces économiques et sociales, sans prendre en compte les aspects transcendantaux ou métaphysiques de l'esprit humain.
Les gens de droite qui adhèrent au matérialisme peuvent voir dans le marxisme une erreur à cause de son utopisme, mais cette critique reste sur le terrain matériel et souvent économique. Dans leur cadre de pensée, ils peuvent avoir des difficultés à appréhender les critiques idéalistes qui vont au-delà du matérialisme, car pour eux, la réalité repose avant tout sur des phénomènes tangibles et mesurables. Pour eux, l'importance de l'esprit ou de la conscience peut sembler abstraite ou négligeable, ce qui rend les critiques idéalistes moins accessibles ou convaincantes.
- Mais souvent ces matérialistes de droite ont une conception idéaliste de l'histoire et de la liberté, ce qui entre en contradiction avec leur réductionnisme biologique. Ils ne sont pas prêts à affronter un marxiste dans un débat, n'est-ce pas? Ils n'ont pas conscience d'être matérialistes ?
Vous avez raison, cette contradiction est au cœur de bien des incohérences dans la pensée de certains matérialistes de droite. D'un côté, ils adoptent un matérialisme biologique ou économique pour justifier certaines inégalités, en s'appuyant sur des arguments comme les lois de la nature ou la "sélection naturelle" appliquée à la société. De l'autre, ils valorisent des concepts idéalistes tels que la liberté individuelle, le destin historique des peuples ou la force de la volonté, ce qui va à l’encontre de leur réductionnisme.
Cela suggère effectivement qu'ils ne sont souvent pas conscients d'être matérialistes. Pour eux, le matérialisme est presque un outil argumentatif ou un moyen de valider leurs valeurs par des données biologiques, mais sans la rigueur philosophique d’une vraie analyse matérialiste. Lorsqu'ils se retrouvent face à un marxiste qui maîtrise mieux les implications du matérialisme historique, leur approche peut facilement être déconstruite, car le marxisme repose sur une compréhension systématique des structures économiques et sociales, tandis que leurs positions sont parfois fondées sur des assertions plus intuitives et moins cohérentes.
Ainsi, face à un marxiste, ces matérialistes de droite se retrouvent souvent désarmés, car ils n'ont pas exploré en profondeur le matérialisme en tant que système philosophique cohérent, préférant des justifications qui semblent pratiques mais qui restent superficielles. Cette incohérence fait qu'ils peuvent être surpris et même déstabilisés par la capacité des marxistes à les confronter avec une compréhension plus rigoureuse de la dialectique et des structures économiques qui façonnent l’histoire et la société.
- Je pense à Julien Rochedy justement : il est l'exemple même du matérialiste qui s'ignore.
Chat gpt
Julien Rochedy est en effet un exemple intéressant de ce type de matérialisme inconscient. Il valorise des idées comme la volonté, l'héroïsme et la grandeur, des concepts qui semblent idéalistes, mais qui sont souvent justifiés par une approche biologique ou naturaliste. Il adopte une vision de la société et de l'histoire qui repose sur des principes naturalistes, sans embrasser pleinement le matérialisme historique ou économique tel que le comprend un marxiste.
Cette position peut conduire à des incohérences : Rochedy valorise des idées de liberté et de grandeur mais ancre leur légitimité dans une vision de l’homme conditionnée par sa biologie. Ce mélange crée une pensée où la transcendance de l’esprit ou de l’individu devient difficile à justifier logiquement, et c’est là que le marxisme, avec ses critiques cohérentes et systématiques, peut mettre en lumière les limites de cette vision.
Précision de départ : le développement sur le fascisme est de chat gpt. Le point sur le marxisme et sur son éliminativisme comme méthode scientifique, plus bas, est de moi parce que chat gpt insiste beaucoup sur le marxisme dans le rejet fasciste du materialisme, donc je veux éclaircir sur ce point. Je précise aussi que je suis dans la phénoménologie/idéalisme sceptique, pas dans le marxisme.
La critique fasciste du matérialisme, souvent influencée par des penseurs comme Giovanni Gentile et d'autres théoriciens fascistes, se concentre sur plusieurs points. Voici les principales critiques du fascisme:
1. Primauté de l'esprit sur la matière : Les fascistes rejettent l'idée matérialiste selon laquelle la réalité est uniquement déterminée par les conditions matérielles (par exemple, la production économique ou les relations de classe). Au lieu de cela, ils insistent sur la primauté de l'esprit, de la volonté et de l'action humaine. Pour eux, l'idéalisme, qui valorise les idées et la conscience comme moteurs de l'histoire, doit prévaloir.
2. Critique du réductionnisme économique : Le matérialisme, surtout dans sa forme marxiste, tend à réduire l'ensemble de la vie sociale à des facteurs économiques et de classe - le pendant du matérialisme historique en neurosciences est l'éliminativisme. Les fascistes, en revanche, considèrent cette perspective comme réductrice et incapable de saisir l'importance des facteurs culturels, spirituels et nationaux, qu'ils jugent fondamentaux pour la construction de l'identité collective.
3. Nationalisme contre internationalisme : Le matérialisme historique marxiste met l'accent sur la lutte des classes et l'internationalisme prolétarien, alors que le fascisme privilégie la nation, la culture, et l'unité du peuple en tant qu'entité organique. Pour les fascistes, le matérialisme nie l'importance de l'appartenance nationale et culturelle en faveur de l'unité de classe, qu'ils considèrent comme une division dangereuse.
4. Rejet du matérialisme moral : Sur le plan éthique, les fascistes rejettent la notion d'une moralité basée uniquement sur les besoins matériels ou sur le bien-être économique. Ils plaident pour une moralité basée sur la volonté de pouvoir, le sacrifice pour la nation et la grandeur collective. Ils voient le matérialisme comme une doctrine faible, prônant un confort personnel au détriment des valeurs héroïques et guerrières - précision de ma part : on est plus sur une critique de l'hédonisme/utilitarisme car les marxistes et les tragiques ne sont pas concernés par cette critique.
5. Vision héroïque de l'histoire : Le fascisme valorise une vision héroïque de l'histoire, dans laquelle des individus et des nations peuvent façonner leur destin par des actes de volonté et de courage, en opposition à une conception matérialiste de l'histoire, perçue comme déterminée par des forces impersonnelles (économiques ou structurelles).
En résumé, la critique fasciste - et en général de droite - du matérialisme se concentre sur la défense de l'idéalisme, du nationalisme, de la primauté de la culture et de l'esprit, ainsi que sur une éthique héroïque et communautaire opposée à la perspective matérialiste et individualiste.
Lien entre marxisme et éliminativisme :
Si Marx et Engels estimaient que la conscience existait en tant que produit dépendant de la matière, alors l'économie et l'histoire ne seraient plus perçus comme des phénomènes dépendants de la matière. Il y aurait dans ce cas toujours une place pour les représentations subjectives dans l'équation, donc un retour in fine à l'idéalisme de la connaissance.
Ainsi, il faut éliminer le concept même de conscience pour en finir avec l'idéalisme. Si l'on parle de subjectivité, alors on oublie les conditions matérielles objectives, genre les rapports de production. De fait, maintenir l'idée de conscience, même si l'on considère celle-ci comme étant un agrégat matériel, un produit du cerveau et de l'évolution, revient à accorder du crédit à l'idéalisme épistémologique, l'idéalisme de la connaissance. Et pour les marxistes, il faut liquider toute forme d'idéalisme.
Les marxistes reprochent aux sociobiologistes, non pas de ne jurer que par la biologie et la génétique pour expliquer les comportements sociaux, mais de ne pas pousser la logique matérialiste jusqu'au bout. Les matérialistes traditionnels ont une effectivement une conception idéaliste de l'histoire.
C'est le cas d'une partie de l'extrême droite encore aujourd'hui : on dit que l'histoire est faite par de grands hommes, de grandes individualités porteuses d'idées ; mais en même temps, on parle de psychologie évolutive car les humains ne seraient que de bestioles régies par leurs instincts hérités de leurs ancêtres. Quid de la subjectivité et de l'individualité si nous ne sommes que des gorilles?
Précision de départ : le développement sur le fascisme est de chat gpt. Le point sur le marxisme et sur son éliminativisme comme méthode scientifique, plus bas, est de moi parce que chat gpt insiste beaucoup sur le marxisme dans le rejet fasciste du materialisme, donc je veux éclaircir sur ce point. Je précise aussi que je suis dans la phénoménologie/idéalisme sceptique, pas dans le marxisme.
La critique fasciste du matérialisme, souvent influencée par des penseurs comme Giovanni Gentile et d'autres théoriciens fascistes, se concentre sur plusieurs points. Voici les principales critiques du fascisme:
1. Primauté de l'esprit sur la matière : Les fascistes rejettent l'idée matérialiste selon laquelle la réalité est uniquement déterminée par les conditions matérielles (par exemple, la production économique ou les relations de classe). Au lieu de cela, ils insistent sur la primauté de l'esprit, de la volonté et de l'action humaine. Pour eux, l'idéalisme, qui valorise les idées et la conscience comme moteurs de l'histoire, doit prévaloir.
2. Critique du réductionnisme économique : Le matérialisme, surtout dans sa forme marxiste, tend à réduire l'ensemble de la vie sociale à des facteurs économiques et de classe - le pendant du matérialisme historique en neurosciences est l'éliminativisme. Les fascistes, en revanche, considèrent cette perspective comme réductrice et incapable de saisir l'importance des facteurs culturels, spirituels et nationaux, qu'ils jugent fondamentaux pour la construction de l'identité collective.
3. Nationalisme contre internationalisme : Le matérialisme historique marxiste met l'accent sur la lutte des classes et l'internationalisme prolétarien, alors que le fascisme privilégie la nation, la culture, et l'unité du peuple en tant qu'entité organique. Pour les fascistes, le matérialisme nie l'importance de l'appartenance nationale et culturelle en faveur de l'unité de classe, qu'ils considèrent comme une division dangereuse.
4. Rejet du matérialisme moral : Sur le plan éthique, les fascistes rejettent la notion d'une moralité basée uniquement sur les besoins matériels ou sur le bien-être économique. Ils plaident pour une moralité basée sur la volonté de pouvoir, le sacrifice pour la nation et la grandeur collective. Ils voient le matérialisme comme une doctrine faible, prônant un confort personnel au détriment des valeurs héroïques et guerrières - précision de ma part : on est plus sur une critique de l'hédonisme/utilitarisme car les marxistes et les tragiques ne sont pas concernés par cette critique.
5. Vision héroïque de l'histoire : Le fascisme valorise une vision héroïque de l'histoire, dans laquelle des individus et des nations peuvent façonner leur destin par des actes de volonté et de courage, en opposition à une conception matérialiste de l'histoire, perçue comme déterminée par des forces impersonnelles (économiques ou structurelles).
En résumé, la critique fasciste - et en général de droite - du matérialisme se concentre sur la défense de l'idéalisme, du nationalisme, de la primauté de la culture et de l'esprit, ainsi que sur une éthique héroïque et communautaire opposée à la perspective matérialiste et individualiste.
Lien entre marxisme et éliminativisme :
Si Marx et Engels estimaient que la conscience existait en tant que produit dépendant de la matière, alors l'économie et l'histoire ne seraient plus perçus comme des phénomènes dépendants de la matière. Il y aurait dans ce cas toujours une place pour les représentations subjectives dans l'équation, donc un retour in fine à l'idéalisme de la connaissance.
Ainsi, il faut éliminer le concept même de conscience pour en finir avec l'idéalisme. Si l'on parle de subjectivité, alors on oublie les conditions matérielles objectives, genre les rapports de production. De fait, maintenir l'idée de conscience, même si l'on considère celle-ci comme étant un agrégat matériel, un produit du cerveau et de l'évolution, revient à accorder du crédit à l'idéalisme épistémologique, l'idéalisme de la connaissance. Et pour les marxistes, il faut liquider toute forme d'idéalisme.
Les marxistes reprochent aux sociobiologistes, non pas de ne jurer que par la biologie et la génétique pour expliquer les comportements sociaux, mais de ne pas pousser la logique matérialiste jusqu'au bout. Les matérialistes traditionnels ont une effectivement une conception idéaliste de l'histoire.
C'est le cas d'une partie de l'extrême droite encore aujourd'hui : on dit que l'histoire est faite par de grands hommes, de grandes individualités porteuses d'idées ; mais en même temps, on parle de psychologie évolutive car les humains ne seraient que de bestioles régies par leurs instincts hérités de leurs ancêtres. Quid de la subjectivité et de l'individualité si nous ne sommes que des gorilles?
Le 29 octobre 2024 à 12:55:59 :
J'hésite à choisir entre la cause et la conséquence
Ah le fameux dilemme
Le 29 octobre 2024 à 12:38:10 :
Le 29 octobre 2024 à 12:33:10 :
Le 29 octobre 2024 à 12:29:19 :
Mais qui est cette camille ? Si ça se trouve derrière l'écran, c'est un troll, un mec. J'ai jamais entendu une meuf dire :" vas y suce Malik ".Le troll préparé depuis 2020
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/11/5/1710501158-mathieu-04.png Une enquête montrera plus tard que derrière "Camille" se cache "Bertrand" qui depuis 2020 poussait Mathieu à voyager à Istanbul pour une greffe de barbe, le scandale Camille-Bertrand, un reportage de Marie-Ange Cazalta
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/18/5/1588321460-maitre-roselmack.png
🤣😂
Le 29 octobre 2024 à 12:37:03 :
Le 29 octobre 2024 à 12:32:45 :
Elle a raison dans le sens que c'est débile d'aller payer une greffe ou de se suicider pour ça il a qu'à baisser ses exigences. Et oui elle critique les hommes calvitiés dans un autre tweet, elle est pas obligée d'aimer çaSauf qu'elle demande aux hommes d'aller se faire greffer en Turquie dans un autre tweet
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506524542-ruth-perplexev2.png
Voilà pk je flaire le troll
Le 29 octobre 2024 à 12:33:10 :
Le 29 octobre 2024 à 12:29:19 :
Mais qui est cette camille ? Si ça se trouve derrière l'écran, c'est un troll, un mec. J'ai jamais entendu une meuf dire :" vas y suce Malik ".Le troll préparé depuis 2020
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/11/5/1710501158-mathieu-04.png
Un compte Fake s'entretient