Affirmatif, mais qui es-tu le glossateur ?
Nul homo sapiens présent physiquement n’a l’advertance de ta matérialité
Interviens-tu dans l’aboutissement d’entonner la folie globale ?
Tu intronises un mal-être unanime, subséquemment tu es prié de prendre la poudre d’escampette
Ataraxie sur ta créature, en dépit de
Affirmatif, mais qui es-tu le glossateur ?
Nul homo sapiens présent physiquement n’a l’advertance de ta matérialité
Interviens-tu dans l’aboutissement d’entonner la folie globale ?
Tu intronises un mal-être unanime, subséquemment tu es prié de prendre la poudre d’escampette
Ataraxie sur ta créature, en dépit de
Désolé pour le titre un peu cru, mais il résume parfaitement ce qu'il m'est arrivé vendredi dernier.
J'avais un partiel d'histoire, et je suis quelqu'un de naturellement très anxieux, donc dés que j'ai un examen, je me met à stresser comme un porc, à avoir des maux de ventre, et accessoirement donc, une bonne diarrhée de dingo.
Ce fut un calvaire monumental.
10 minutes après le début de l'épreuve, j'avais la merde aux fesses. J'ai levé la main, tout le monde m'a regardé (forcément, amphi de 300 personnes). Un surveillant est venu vers moi, je lui ai dis:
"S'il vous plait je peux aller aux toilettes ? C'est très urgent. "
Il m'a répondu:
"Bon sang l'épreuve a commencé il y'a juste 10 minutes, vous auriez pu y aller avant... Bon allez y mais faites vite. "
Je suis donc allé poser ma pêche dans les toilettes les plus proches de l'amphi. J'ai lâché un truc immonde, je chiais en quantité industrielle, ma merde sortait plus vite que les bombes des américains dans les usines de productions pendant la guerre mondiale.
Je suis retourné l'amphi après avoir mis 10 minutes à m'essuyer, le surveillant, à mon retour, m'a dit:
"Jeune homme, j'avais dis rapidement, ça fait un quart d'heure que vous êtes parti. Retournez vite à votre place. "
Un quart d'heure après, ce fût pire encore, le sujet du partiel était trop compliqué, je ne savais pas quoi écrire, le stress redoublait, la chiasse se pointait.
J'ai relevé la main. Le surveillant est revenu, il m'a chuchoté:
"Quoi encore ?! "
J'ai répondu que je devais très vite retourner aux toilettes car j'avais des maux d'estomacs. Il m'a dit:
"C'est la dernière fois bon sang. Et je vous accompagne devant les toilettes, qui me dis que vous trichez pas ? Vous êtes resté plus d'un quart d'heure aux cabinets tout à l'heure. "
Il m'a suivi et est resté planté devant la porte.
Ça m'a bloqué, je ne peux PAS chier quand quelqu'un attend devant la porte, c'est impossible !
Pendant 5 bonnes minutes, je me forçais en poussant comme un dingue (je m'aidais des murs en écartant les bras) mais rien ne sortait, bordel de bordel.
Le surveillant a toqué à la porte et a dit:
"Bon dépêchez vous monsieur."
Ce fdp m'empêchait de chier du coup je suis sortis même si j'avais encore cette boule au ventre.
On est retourné dans l'amphi, et encore une fois TOUT LE MONDE me regardait, c'était insoutenable, ça se voyait qu'ils savaient tous que j'avais la chiasse, que j'étais un fragile qui ne savait pas gérer sont stress.
Du coup ça m'a encore plus angoissé.
Bref ça faisait déjà 40 bonnes minutes que l'exam avait commencé et j'avais rien écris.
Je serrais les fesses le plus fort possible, je ne pouvais pas écrire car je devais absolument me concentrer à ne pas laisser s'échapper une flaque de merde liquide dans mon froc.
Au bon d'un moment, à force de contracter mon cul, j'ai commencé à suer de la raie des fesses, mais comme je ne pouvais pas toucher, je ne savais pas si c'était de la chiasse ou bien de la transpi.
Je priais pour que ce soit de la transpi et je contractais encore plus fort !
Je me penchais de droite à gauche, je gesticulais sur le banc, je suis persuadé que tout le monde avait déjà capté ce qui m'arrivait.
Au bout de 20 minutes, un surveillant est venu me voir, et me demanda presque en criant:
"Qu'est ce qu'il y a? Vous êtes malade?"
Le problème c'est que ce consanguin a fait en sorte que tout le monde entende sa question, du coup tout le monde m'a regardé, et alors que j'allais lui répondre oui, il rajouta:
"Vous avez la diarrhée?"
ABSOLUMENT tout l'amphi me fixait dans les yeux, et c'est juste impossible à ce moment que je réponde "oui" au surveillant, du coup j'ai dit:
"non non, tout va bien hein, le sujet est juste difficile "
Ce con a ruiné mes chances de m'en sortir (je ne pouvais plus demander à aller aux toilettes du coup).
J'avais le ventre qui se tordait dans tout les sens, je sentais un liquide chaud se répandre dans ma raie du cul, c'était horrible, je sentais comme des coups de couteaux dans mon ventre !
Je transpirais de la tête aux pieds
Je devais absolument me sortir de cette situation, du coup j'ai commencé à travailler sur ma respiration, j'essayais de me calmer, mais les gens autours de moi me regardaient bizarrement comme je faisais du bruit en respirant.
J'ai finis par laisser sortir un pet silencieux qui me libéra le bide, cependant je sentais toujours la transpi couler entre mon cul, et c'était incroyablement gênant. J'ai été obligé de passer ma main dans le cul genre comme pour se gratter le cul, mais à ce moment là, j'ai sentis que je venais d'étaler un truc partout sur mon cul.
Le doute n'était plus permis, ce n'était pas de la transpi mais belle et bien de la chiasse
J'espérais de tout mon être que ça ne puerait pas, que personne ne sentirait, et pour essayer de faire passer le temps plus vite, car il semblait s'écouler au ralentis, j'ai bosser sans penser à ma chiasse.
Après 10 minutes, je vois la fille qui était à ma droite lever la main. Le surveillant qui m'avait accompagné aux chiottes vient la voir, et ils commencent à parler pendant 20 secondes en chuchotant.
Après ça, le surveillant retourna à sa place, et 2 minutes plus tard commença à venir vers moi. Il commença à tourner dans les rangés à coté de moi, puis s'arrêta au moins 1 minutes derrière moi. Je paniquais intérieurement, je priais pour qu'il ne sente pas. Puis le type à ma gauche l'appela, et comme pour la fille à ma droite, ils chuchotèrent 20 secondes.
Le surveillant est directement venu me voir et s'est penché vers moi pour me dire quelque chose (dès ce moment là je savais déjà ce qu'il allait me dire; ils savaient tous que je m'étais chier dessus, ça puait la merde et j'empêchais les autres de travailler ).
Il me chuchota:
"Suis moi, on va aux toilettes"
J'avais tellement honte, j'ai faillit vomir, mais pire encore, dès que je me suis levé, mes jambes sont devenues toutes molles, j'étais aussi faible qu'un toxicomane atteint du SIDA, de l’Hépatite, et qui n'a pas mangé depuis 3 jours .
J'ai relâché dans un bruit immonde une flopée de chiasse dans mon froc
Les quelques mètres jusqu'à la porte de sortie semblaient être des kilomètres, j'ai dû tourner le dos et montrer mon cul plein de merde à 300 personnes pour sortir de l'amphi.
Bref, la plus grande HONTE de toute ma vie. J'ai juste envie de MOURIR !