Le 05 octobre 2024 Ă 22:07:40 :
Rester Ă Saint-Jacques
C'est une stratégie connue des maghrebix de menacer les commerces locaux pour qu'ils fuient et puissent ouvrir leurs propres commerces. Ou alors prendre un café à 2€ et squatter toute l'après-midi une terrasse à 5 ou 6 pour faire fuir le reste des clients. Ils font ça dans toutes les villes de France.
Le 05 octobre 2024 Ă 21:59:37 :
Après sa déclaration concernant le Liban et Israël, il est finito est d’accord ?
MAIS EN MĂŠME TEMPS
Le 05 octobre 2024 Ă 21:17:17 :
Alors que les chrétiens du Liban eux-même ont la rage
https://youtu.be/0sOM7zQtkMI?t=2829
le mec sa haine a dépassé sa raison
Il a raison. Il faut continuer des bombarder sans relâche les terroristes du hamas et du hezbollah pour leur inculquer les valeurs de la République.
Le 05 octobre 2024 Ă 22:02:57 :
"J’ai déposé plainte et ça a servi à quoi ?”, lance-t-il, agacé. “Rien ne change ici. On est abandonné ! C’est vraiment à désespérer !” (…)"Mais au lieu de désespérer, ne serait-il pas temps de s'unir avec tous les gens qui en ont marre et d'aller demander, de gré ou de force aux gens responsables de cette insécurité pourquoi un certain groupe de personnes ne subissent absolument aucune représailles, a croire qu'ils bénéficient d'une protection d'Etat?
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/25/2/1529422413-risitaszoom.png L'Etat échoue a te protéger, ne serait-il pas temps non plus de prendre ta sécurité rapprochée entre tes mains?
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/25/2/1529422413-risitaszoom.png Ce manque de bon sens, c'est ça qui est a désespérer
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/25/2/1529422413-risitaszoom.png
La Justice Française est du côté des dealers.
Les faits se sont déroulés samedi 28 septembre en début d’après-midi. Parti de la Bocca, le cortège d’un couple de promis s’est rapidement fait remarquer sur les écrans du centre municipal de vidéosurveillance. Excès de vitesse, coups de klaxons intempestifs, passagers grimpés sur des portières au mépris du danger, voire, contresens.
“Le cortège s’est rendu coupable de nombreuses infractions au Code de la route et de troubles à l’ordre public, ce qui a nécessité l’intervention des motards de la police municipale”, indique la Ville.
Cette “escorte policière” malgré elle a dû alors s’y reprendre à trois fois, d’abord sur le boulevard Picaud puis sur la rue Clémenceau pour que les fêtards avant l’heure calment enfin leurs ardeurs.
Hélas, loin de faire profil bas, un proche des futurs époux aurait intimé au conducteur d’une voiture cet ordre: “Écrase-le! Écrase-le!”, et l’agent visé aurait dû éviter la trajectoire du véhicule, selon la Ville.
…
“On ne peut pas accepter ce type de comportement, alors avec l’aval du maire, on a décidé d’annuler la cérémonie et de repousser ce mariage.” explique l’élu.
À la barre du tribunal, présidé par la juge Mélanie Mistral, le prévenu, défendu par Me Jessica Desconnet, raconte sa version des faits. “J’ai été doublé devant le distributeur de pizzas, j’ai demandé des excuses et je me suis fait traiter de sale noir “ explique Zakaria. Scénario tout autre du côté des victimes qui contredisent la version de l’agresseur. Les témoignages sont accablants, confirmés par les images des caméras de surveillance. Tout est dans le dossier d’enquête des policiers de Bayonne : le prévenu, guinéen de 21 ans, va prendre dans le coffre la manivelle du cric de la voiture qu’il utilise comme une arme, frappe sa victime à terre à coups de poings et menace de lui trancher la gorge avec un cutter sorti de sa poche. Bilan médical : nombreuses plaies et traumatisme crânien.
Victime retrouvée au sol et en sang
“Lorsque les enquêteurs arrivent sur place très rapidement, ils vont découvrir deux jeunes filles apeurées et en pleurs et un jeune homme au sol et en sang” insiste le procureur de la République. Pierrick Alain demande six mois de prison ferme sans mandat de dépôt à l’encontre de ce prévenu arrivé en France à l’âge de six ans après l’assassinat de ses parents lors d’une manifestation d’opposants politiques en Guinée en 2009. Le tribunal suit les réquisitions du parquet : six mois de prison ferme aménagés en détention à domicile sous bracelet électrique. La justice sera amenée prochainement à juger le complice de Zakaria dont le dossier a été disjoint. Le jeune homme, également d’origine guinéenne, très alcoolisé et sous stupéfiants au moment des faits, avait tenté de s’emparer de l’arme d’un policier qui intervenait et avait été neutralisé par l’utilisation d’un taser.
La voix chevrotante, la Clermontoise peine à servir ses clients. Choquée, elle partage ses peurs, soutenue par les paroles réconfortantes de ses clients venus en nombre. Quelques heures plus tôt, au lever du jour, elle s’est retrouvée seule face à un dealer menaçant.
“Je n’ai pas voulu lui faire cadeau de ce qu’il m’a pris. Il s’est largement servi et il lui manquait de l’argent. Il est devenu très agressif. Il m’a alors fixé droit dans les yeux, avant de me menacer. Il m’a dit que j’avais de la chance pour cette fois-ci… laissant entendre que la prochaine fois ça serait pire…”
Les larmes au bord des yeux, la commerçante avoue s’être accrochée à ce bouton de sécurité placé sous sa caisse. “Heureusement que j’ai cela et puis les caméras… Je me suis sentie bien seule.”
Installée depuis près de 20 ans dans le quartier, la quinquagénaire a vu la situation se dégrader depuis deux ans. “Avant, ils dealaient dans la muraille de Chine, ils ont été délogés, ils sont chez nous maintenant. Ils trafiquent devant nos portes !” Pire, depuis trois semaines, une nouvelle équipe, beaucoup plus agressive, “terrorise le quartier et ses commerçants, assure-t-elle. On sent que ce ne sont pas les mêmes. Ils ne sont pas du coin.”
Et à l’heure d’aller déposer plainte, la commerçante ne se fait guère d’illusion. Son mari, lui-même agressé il y a quelque temps, non plus. “Moi, ils m’ont volé un couteau à pain et j’ai failli me faire poignarder. J’ai déposé plainte et ça a servi à quoi ?”, lance-t-il, agacé. “Rien ne change ici. On est abandonné ! C’est vraiment à désespérer !” (…)
En attendant des jours qu’elle espère meilleurs, la Clermontoise s’accroche à son commerce, à sa vie, à ce quartier où elle a passé toute son enfance. “Ça empire… Heureusement que mes enfants ne sont plus là . Mais j’estime que ce n’est pas à moi de partir.”
Et demain ? “J’ai peur. On vient de franchir un palier… On va changer nos horaires avec mon mari afin que je ne sois plus seule, ni mon employée d’ailleurs”