Le 29 septembre 2024 à 00:22:08 :
Qu'est-ce qu'il a sorti le brésilien ?
En gros c'est un monarchiste chrétien et il dit que la démocratie laïque c'est de la merde
Le 28 septembre 2024 à 23:14:29 sahit1 a écrit :
et pourquoi pas le nombre de lettre dans chaque race de chat?
Le 28 septembre 2024 à 23:05:22 :
La meuf a eu une question bien plus dure que les autres bordelhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/04/4/1611841177-ahiahiahi.png
la "difficulté" en question : savoir que l'ordre des voyelles est a e i o u y
Le 28 septembre 2024 à 23:04:08 VideFrigoo a écrit :
Bah 0 sauf si erreur industriellehttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506524542-ruth-perplexev2.png
mais
Le 28 septembre 2024 à 22:58:14 JamaisBanChiale a écrit :
Donc ça y a que 10% qui peuvent répondre à une question aussi simple ?https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506524542-ruth-perplexev2.png
Ils truquent les stats pour que le téléspectateur se complaise dans la supériorité, on me fera pas changer d'avis
Le 28 septembre 2024 à 21:20:30 :
Le matin finit par se lever, mais ce n’est pas un répit, c’est presque une insulte. Cette lumière grise qui perce à travers les volets, elle te renvoie à ton immobilité, à ta torpeur. Tu tentes de bouger, de t’arracher à ce lit qui te retient prisonnier. Chaque mouvement est une lutte contre ce poids immense qui t’écrase.La journée du dimanche qui s’annonce, c’est la prolongation du calvaire. C’est le temps suspendu, celui qui ne mène nulle part. Tu traînes tes pieds dans l’appartement, à la recherche d’un sens, d’un point d’ancrage. Mais tout est fade, tout est tiède, comme ce café que tu bois sans plaisir, juste pour meubler l’instant. Le monde autour se remet en branle, les familles s’agitent, les parcs se remplissent de cris d’enfants, et toi, tu restes là, en décalage, comme si tu appartenais à une autre dimension.
Le dimanche, c’est la gueule de bois de la vie. T’as beau ouvrir la fenêtre, laisser entrer l’air frais, rien n'y fait. Tu suffoques dans cette existence qui tourne en rond. Tu t’assois sur le canapé, les mains dans la tête, et tu sens monter cette rage, ce dégoût de tout. Le samedi soir, c’était la tempête dans l’âme, et le dimanche, c’est le calme plat, le désert où rien ne pousse, où tout s’effondre.
Alors, tu repenses à Céline, à ses mots qui claquent comme des gifles. Lui aussi, il les a traversés, ces nuits et ces matins de désespoir. Et d’un coup, tu te surprends à envier sa folie, son délire, car au moins, dans sa rage, il y avait une forme de vitalité. Toi, t’as l’impression de flotter dans le vide, sans but, sans feu. La vie te glisse entre les doigts, et les heures passent, insipides.
Tu voudrais partir, fuir cette cage de béton, mais pour aller où ? Tout semble pareil, partout, ce néant déguisé sous les apparences du quotidien. La semaine va reprendre, et tu t’y accrochais presque, à cette routine, parce qu’elle te distrait de ce gouffre intérieur. Mais au fond, tu sais que ça reviendra, encore et encore, ce samedi soir qui t’attend comme un vieux démon.
C'est bon khey on a compris tu peux lâcher ton prompt GPT