Turisas - To Holmegard and Beyond.
http://www.myspace.com/turisasofficial
Far beyond the sea and distant lands
Came men with thirty ships
Had wanted to reach the Neva by night
But the weather was not on their side
And as the wind grew stronger and stronger
The rain ran down our cheeks
The bow was turned towards Gardar
The sail flew up again
That´s where the winds will us guide
For fame and for gold
Set sail for those lands unknown
Osmo and Dalk, Kyy, Kokko and Ulf
Were glad to be off the oars
Turo had eaten too much again
Now hanging himself overboard
The Tostensson twins were excited as always
Adventure was their game
Myself, Hakon the Bastard
was out to find my name
Holmgard and beyond
That´s where the winds will us guide
For fame and for gold
Set sail for those lands unknown
Who is "I" without a past?
A river without a source?
An event without a cause?
Threads of different lengths
Some longer, some shorter
So many of them spun together
The crones keep on weaving
The algorithm of our lives
Cause and effect, the fates of men
We know the way to Aldeigju
Upstream the river Alode
You take us to the portage
And further [South]
Long is the way to the unknown
Long are the rivers in the East
Far lies the land that Ingvar
And his men desire to reach
Many dangers lie ahead
Some of us may never return
Rather sold as a slave to the Saracens
Than chained to your bed, chained by your life!
Holmgard and beyond
That´s where the winds will us guide
For fame and for gold
Set sail for those lands unknown
J´adore.
Bonsoir tout le monde,
Tout d´abord je jure que cette histoire n´est pas un fake, elle m´est réellement arrivée, et ce, pour ma plus grande honte
C´était un samedi soir, on était partit bouffer au resto avec ma p´tite famille. Ce soir là, étrangement, je me sentais pas bien, j´avais un peu mal au bide et j´avais très faim.
Mais bon je pensais que ça allais passer, comme ça le fait d´habitude.
Une fois arrivé au resto, on se pose, on taille ( j´avais une faim de loup, je bouffais les portions de viande de ma soeur qui n´en voulais plus, bref, et le tout à une vitesse assez impressionnante pour la taille et la consistance des plats ) et, une fois le dessert terminé, mes parents se tapent la discute avec un couple ( des copains à eux ) à la table d´à côté.
Evidemment, je me fait royalement chier, et une heure et demi plus tard, on y est encore ( oui mes parents sont de grands causeurs ).
Vient alors une envie irrépressible de chier, ça se tordait dans mes boyeaux, et je sentais que si je me retenais un peu plus longtemps, à côté de ça Hiroshima ça serait de la gnognotte.
Merde, ça devait être le phare breton qui passait pas.
je me dirige derechef aux chiottes, sensées être au bout d´un long couloir.
Première merde, le couloir n´étais pas éclairé, on n´y voyait comme dans le cul d´une poule, plus sombre tu meurs. Je tente d´allumer la lumière, rien. Pas d´electricité ici, alors que dans le reste du resto tout marchait bien -_-´
Je marche à tâtons droit devant moi, assez rapidement, et je prends en plein pif un pan de mur.
A gauche et à droite, je supposais que ça devait être les chiottes des hommes et des femmes.
Restait à savoir quelle direction emprunter. Gauche ou droite ? Je tente la gauche, espérant ne pas me retrouver dans les chiottes des filles.
Tant bien que mal, je tente de repérer la porte qui me mènera au cabinet, au combien salutaire, et je prends mon mal en patience ( ) au moment de déboutonner mon jean ( toujours dans le noir, je précise, pas d´electicité non plus de ce côté là ).
Enfin vient le moment tant attendu oû je pose mon cul sur la cuvette. Et là, avec un plaisir malsain et frénétique, je me met à chier comme un porc, - excusez moi l´expression -, et vous savez le bruit exessivement bruyant que vous faites quand avez la chiasse, ben moi c´était pareil, un concert de bruits mouillés et détonants, qui me fit le plus grand bien. ( faut le dire )
Et ce n´est pas l´electricité qui était revenue ( pour une raison obscure que je vous citerai plus loin ) qui me troublât, encore moins le bruit des pas de personnes qui attendaient, trop occupé que j´étais à délivrer le poids que j´avais sur le bide depuis une heure et demie dans un concert détonnant
Ma besogne achevée, et avec un sourire de contentement extrême comme je n´en avais jamais connu, je tire la chasse et je sors du cagibi.
Et là, horreur et putréfaction, je tombe sur une nana canon qui me regarde avec un air dégoûté au possible.
Comme par hasard, je m´étais trompé de chiottes.
Mais le pire, c´est que je la connaissais de vue au lycée, comme ça, et c´était une vraie pétasse. Je bredouille des excuses comme un triso, je m´embrouille, tentant de dire qu´il y avait pas d´electricité, pour finalement me tirer des chiottes, rouge de honte.
D´après ce que j´ai compris par la suite, certains interrupteurs marchaient une fois sur trois -_-´
Ca, c´était la honte de ma vie, j´ai eu tellement honte que j´ai presque voulu sécher les cours du lundi tellement je craignais de la rtencontrer xD