1. Mélenchon n’est pas communiste. S’il était vraiment communiste, je serais de ses plus grands défenseurs. Mélenchon est un social-démocrate mitterandien, il est à des années lumières du communisme.
2. Le communisme n’a pas fait 100 millions de morts. Ces chiffres mensongers, tu les tiens du « Livre noir du communisme », un torchon désavoué par une partie de ses auteurs car il contient des données fabriquées et manipulées. Une telle fraude que même une usine à petits soldats néolibéraux comme Harvard a fini par le retirer de sa bibliothèque.
3. La Chine ne torture pas les Ouïghours.
4. Le communisme a éliminé le n*zisme. 80 à 85% des pertes militaires n*zies furent causés par l’armée rouge.
Rage bien. Le communisme domine le monde. Mais pas la France malheureusement.
Il est tout à fait normal que ceux qui rejettent Dieu goûtent à l’horreur de Son absence. C’est ça, l’Enfer.
Quant au Coran, sa doctrine est celle du Salut Universel et la pluralité religieuse est affirmée comme la volonté de Dieu :
Puis nous t’avons révélé cette Écriture, en toute vérité, confirmant les Écritures précédentes, et les supplantant. Tu statueras parmi eux conformément aux révélations de DIEU, et ne suis pas leurs désirs s’ils diffèrent de la vérité qui est venue à toi. Pour chacun de vous, nous avons décrété des lois et différents rites. Si DIEU avait voulu, Il aurait pu faire de vous une seule congrégation. Mais Il vous met ainsi à l’épreuve à travers les révélations qu’Il a données à chacun de vous. Vous rivaliserez dans la droiture. À DIEU est votre dernière destinée - à vous tous - alors Il vous informera de tout ce que vous aurez contesté.
5:48
La véritable redpill ne consiste pas à donner du crédit aux superstitions de l’occultisme (par opposition à une certaine tradition mystique et ésotérique qui peut avoir une pertinence herméneutique). Non, ça serait manquer cruellement d’esprit critique. La véritable redpill consiste plutôt à saisir leur rôle au sein de l’économie politique et de la parapolitique.
Autrement dit, les groupes et autres sectes qui pratiquent et étudient l’occultisme ont un lien précis avec la manière dont le pouvoir peut s’exercer au sein même de la classe dominante. Les services secrets s’en servent afin d’établir des réseaux d’espionnage, de chantage et de renseignement. Aleister Crowley, par exemple, travaillait pour les renseignements britanniques. Autre exemple plus probant encore : les services britanniques et l’élite allemande ont pu ainsi financer l’ascension du « H. » en imposant une doctrine théosophique (via la Société de Thule) très prisée parmi la classe moyenne-haute et la bourgeoisie de l’époque.
Ouais nan, ça a surtout aucun sens. Impossible de ranger un quelconque auteur pré-Guerres mondiales dans ces cases. à ce train-là Marx est d'ultra -droite hein, quand tu vois ses positions sur le travail, le rôle des femmes, les aides d'Etat, sa conception philosophique de la valeur, du labeur, et surtout du mérite.
L’alignement gauche-droite précède les deux guerres mondiales. Si aujourd’hui, cet alignement a une place différente dans le débat public, fondées sur des batailles discursives et axiologiques ridicules que les anglo-saxons appellent « culture wars », il ne faut pas le réduire à cela. La droite et la gauche sont incarnées en dehors de cette sphère souvent mis en exergue dans les médias. En l’occurrence, la gauche réelle - celle qui ne trahit pas ses fondations au nom d’un moralisme bourgeois - est aujourd’hui incarnée par des nations et des modes de production comme ceux de la la Chine et même - j’ose le dire - de la Russie. Deux pays qui maintiennent pourtant des « valeurs conservatrices » d’après les gauchistes occidentaux.
C'est ça votre soucis les marxistes : vous suivez toujours le catéchisme marxiste à la lettre, de manière rigoriste et fixe, là où même Marx lui-même disait que l'évolution des sociétés et des rapp de force doit pousser à toujours remettre en cause la séamntique qu'on utilise et les phénomènes sociaux observables
Mon gars, t’as sauté la partie où je disais ouvertement que je rejetais les définitions dans une perspective d’investigation scientifique et philosophique ? Justement parce qu’elles tendent à cristalliser le réel derrière des conceptions préconçues qui ont pu être véridiques à un moment certes, mais restent fondamentalement figées. Il y a effectivement des marxistes qui sont prisonniers d’un dogmatisme qui contredit nécessairement les fondations du projet marxiste en tant que tel - et je suis le premier à les critiquer - mais il serait judicieux de comprendre à qui tu t’adresses avant de jeter des anathèmes.
Marx lui-même disait que dans l'évolution historique occidentale, le patriarcat, l'honneur, le Roman, la piété, les valeurs chevalresques ou autres, pouvaient avoir des grandes vertus (et notamment agir comme des freins à l'exploitation de l'homme par l'homme, le capitalisme ayant tué le patriarcat, le corporatisme, et les vieilles valeurs qui s'y opposaient).
Tu te réfères à un passage précis du « Manifeste » (celui des « eaux glacées du calcul égoïste ») mais tu le paraphrases de manière erronée et tu n’en as pas compris le propos. Dans ce passage, Marx et Engels constatent que le basculement du féodalisme au mode de production capitaliste donc à la domination bourgeoise a été le catalysts de nombreux changements dans les rapports sociaux. Parce qu’en réorganisant la façon de produire, on réorganise la manière dont les hommes interagissent. Marx et Engels ne sont pas nostalgiques des mœurs et autres éléments sociaux-culturels que l’ascension de la bourgeoisie aura participé à balayer et effacer. Ils ne font que décrire ces changements et ce faisant, ils en énoncent les conséquences délétères. Marx et Engels comprennent l’histoire comme un développement. Par exemple : si le mariage bourgeois confère une certaine forme à la monogamie qu’Engels associe volontiers à la production, il rappelle que le basculement vers un mode de production communiste dans sa phase aboutie donnera à la monogamie une forme supérieure et complétée.
D'où vous vient cette lecture manichéenne du marxisme en vrai ? Pourquoi ? Pourtant vous savez bien que "Marx est amoral" (dans sa lecture historique en tout cas, pas dans son programme, Marx est au contraire TRES moral dans ses idées contemporaines).
Je sais pas à qui tu parles mais je me sens pas concerné.
Pattatarte22 j’avais quasiment fini de te répondre quand la page s’est actualisée sans raison, j’ai donc perdu tout ce que j’ai écrit. Je te cache pas que j’ai envie de me fracasser la tête contre le mur le plus proche, d’autant plus que c’était une réponse assez longue et qu’il ne me reste plus que 3% de batterie.
Reviens ce soir.
Le 16 juin 2024 à 14:56:21 :
La gauche est une maladie mentale
Ce que j'entends par la gauche = je ne vais pas le définir, le réel se suffira a lui même.
Si tu es bien de gauche tu es donc malade mental je suis désolé pour toi
Tu t’enfonces, mon grand.
Zinzolo Bien sûr. Ce gauchisme culturel aide mieux que le fascisme que le fascisme ne s’aide lui-même.
Le 16 juin 2024 à 14:56:20 :
Le 16 juin 2024 à 14:51:01 :
Catastrophique, le niveau du forum, décidément.mais qu'est-ce que tu veux qu'on te réponde franchement ? Tu parles de "la droite et la gauche" dans l'Histoire (el famoso matérialiste qui lit l'Histoire à travers des qualificatifs bourgeois totalement chargés en idéologie) . Bodin et Hobbes, les grands théoriciens de la philosophie politique étatique, c'est """la droite"""" aussi ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png
Je ne prétends pas réduire l’histoire à ces deux catégories, j’établis juste la différence philosophique fondamentale entre la droite et la gauche et ce faisant, je mets en lumière la faille primordiale de toute pensée de droite.
On peut catégoriser Hobbes et Bodin à droite même si ça serait peu pertinent. Disons que ça serait accommodant.
Puis même, en tant que marxiste c'est con de dire "la droite c'est la réaction", puisque la réaction, c'est le propre de la classe dominante à un instant T. Donc la droite, c'est TOUJOURS la classe dominante à tous les instants de l'Histoire ? Dans ce cas, dis "classe dominante", pas "la droite", c'est complètement con sinon. Puisqu'à ce train-là, une même classe sociale passe de "la gauche à la droite" par le mouvement hsitorique et l'appropriation de rapporrts de production qui lui sont favorables. Alors pourquoi dire "la gauche et la droite" ? Termes totalement galvaudés, en plus d'être fluctuants, qui en plus sont des conceptions totalement bourgeoises, puisqu'issus du système post-industriel en Occident.
La réaction, c’est aussi une idéologie. Or l’idéologie ne s’arrête pas à une classe même si en dernière instance, elle sert toujours la classe dominante en mystifiant la réalité des rapports sociaux.
Si je me réfère à cette distinction, c’est avant tout parce que je sais à qui je m’adresse. Pas parce que cette distinction me semble absolue.
Le 16 juin 2024 à 14:45:33 :
Le 16 juin 2024 à 14:44:15 :
Le 16 juin 2024 à 14:41:03 :
Le 16 juin 2024 à 14:34:45 :
Le 16 juin 2024 à 14:26:59 :
> Le 16 juin 2024 à 13:42:27 :
>La droite ne peut être portée par une quelconque rationnalité : elle est obsédée par ses propres réifications.
>
> Pour ne pas penser le changement propre au mouvement de l’Histoire et ce qu’il implique - contradictions, dépassements, réconciliations etc. - la pensée de droite s’efforce de figer les objets qu’elle examine et de fait, elle ne raisonne déjà plus. La droite veut balayer le réel pour mieux le supplanter par une galerie de représentation fétichisée : la famille n’est louée que pour son aspect bourgeois (une forme toute à fait moderne louée pourtant comme caractéristique d’une « tradition »), la hiérarchie et l’ordre social ne sauraient être ébranlés, leur revendication raciale tient moins de la science darwinienne que des superstitions et élucubrations pseudo-ésotériques de la théosophie et autres formes tardives de syncrétisme prisé en milieu bourgeois etc.
>
> C’est la gauche, d’abord avec Hegel puis dans une forme supérieure, avec Marx, qui pense le réel en tant que ce qu’il est : un mouvement continu. C’est la gauche qui, dès lors, saisit l’Histoire comme une avancée vers la liberté, un développement de ce qui fait de l’être humain un être humain : sa raison. C’est la gauche qui saisit les moments décisifs de l’histoire pour opérer des révolutions. C’est la gauche qui s’efforce de faire l’examen critique de toute chose, y compris de ses propres fondements théoriques (qui d’autres de plus rigoureux que les grands penseurd communistes ?).
>
> Il existe un gauchisme stérile, souvent de nature anarchiste même sans s’avouer comme tel. Cet anarchisme n’est qu’une forme inférieure du fascisme. C’est pour cela que Soros ou encore Rockefeller et Rothschild ne trouvent aucun mal à financer puis manipuler les mouvements gauchistes. Mais le gauchisme n’est pas la gauche, là où la droite, qu’elle soit extrême ou non, reste ce qu’elle est : la réaction, la suspension de la pensée critique, l’hypostase comme méthode et système.
Bah si le gauchisme c'est la gauche, Lénine le dit clairement en plus, les mouvances du communisme d'extrême gauche qui sont dans un refus de participer au syndicat qui n'est pas communiste donc radical comme tu le dis les anarchistes mais les trotskystes et maoïstes.
Depuis mai 68 comme mentionner par Philippe Buton la situation est devenu encore plus claire, le gauchisme a aider le libéralisme en France, Donc Soros et compagnie peuvent en effet les remerciés. Par exemple avec la pensée rocardienne.
Et puis Hegel ce n'est pas que la gauche comme le montre les Vieux hégéliens même s'ils furent vite éclipsés.
Le gauchisme que décrit Lénine n’est pas le gauchisme sous sa forme actuelle. Se référer à Lénine, ça devrait t’aider à comprendre qu’il y a des éléments de ses observations et de ses descriptions qui sont spécifiques à l’époque à laquelle il les observe.
Hegel a pu, évidemment, être approprié par la droite. Mais cette appropriation s’est avérée stérile. Sans nécessairement mener au marxisme, une compréhension complète de l’historicisme hégélien, de sa conception de l’État et de la communauté mène nécessairement à la gauche.
La forme actuel du gauchisme est compliquer à décrire vu que la base même du mouvement a disparu, maintenant on parle plus de gauchisme culturel.
La gauche trouve son incarnation dans la Chine, par exemple.
Le 16 juin 2024 à 14:40:48 :
Le 16 juin 2024 à 14:36:59 :
Le 16 juin 2024 à 14:34:34 :
> Le 16 juin 2024 à 14:30:52 :
>> Le 16 juin 2024 à 14:20:44 :
> >Je me suis assez attardé sur ce topic. L'auteur ce médiocre ne parvient même pas à répondre quand on lui pose la question préliminaire, quand on lui demande ce que c'est que la droite. Et c'est pas faute de lui avoir laissé le temps de l'expliquer. ça fait 20 minutes que j'attends. Il a répondu à tous les messages les plus insignifiants mais pas au mien.
> >
> > Je ne vais pas réfuter sa bouillie stupide, je n'en ai pas le temps ni l'envie de le faire. Il appartient à la déchetterie intellectuelle. Passons sa négation infantile de la métaphysique, son matérialisme grotesque qu'il ne peut pas démontrer, et d'ailleurs facilement réfutables, ses croyances qu'il croît être des arguments philosophiques, sa négation des universaux et de l'importance des idées (que pourtant lui-même pratique). Passons tout cela.
> >
> > Je me contenterais de signaler que sa définition de la gauche non seulement ne sie pas à toute la gauche, mais sie au fascisme, le fascisme qui pourtant s'avère bien contre-révolutionnaire.
> >
> > Mussolini et Gentile l'entendent ainsi :
> >
> > > Comme toute saine conception politique, le fascisme associe la pensée à l’action. C’est une action animée par une doctrine. Cette doctrine est née d’un système donné de forces historiques, auquel elle reste intimement liée et qui reçoit d’elle son impulsion intérieure. Il a donc une forme correspondant aux contingences de lieu et de temps, mais il a en même temps un contenu idéal qui l’élève au rang de vérité supérieure dans l’histoire de la pensée.
> > >
> > > On ne saurait agir spirituellement sur le monde, en tant que volonté humaine dominant d’autres volontés, sans une conception de la réalité passagère et particulière sur laquelle il faut agir, et de cette autre réalité permanente et universelle à laquelle la première emprunte son être et sa vie. Pour connaître les hommes il faut connaître l’homme, il faut connaître la réalité et ses lois. Il n’y a pas de conception de l’État qui ne soit dans le fond une conception de la vie. C’est une philosophie ou une intuition, un système d’idées qui se traduit dans une construction logique ou qui se résume dans une vision ou dans une foi, mais c’est toujours, au moins virtuellement, une conception organique du monde.
> >
> > La conjoncture s'entend non seulement par le mouvement mais par la permanence, la permanence que pratiquent constamment (et comme tout le monde) ces imbéciles de sous-vermines comme l'auteur, sans même s'en rendre compte, tout en niant sa pertinence.
>
> Une investigation scientifique rigoureuse nécessite d’écarter les définitions. Celles-ci figent justement le réel derrière des constructions verbales réifiantes. Ce que je me suis attelé à faire, c’était décrire les failles fondamentales qui sous-tendent toute pensée de droite.
>
> Si tu ne t’essayes pas à un exercice de réfutation, c’est parce que tu ne saurais y parvenir. En témoignent tes hommes de paille stériles : où ai-je fait la négation de la métaphysique ? Pourquoi ne pas réfuter mon prétendu matérialisme si c’est si facile ? Comment puis-je faire la « négation des universaux » tout en réaffirmant la liberté et la raison comme constitutive du développement de la l’humanité ?
>
> Mussolini vient de l’anarchisme (l’anarcho-syndicalisme, pour être précis), Demeurin. Un anarchisme que je rapproche à juste titre du fascisme en me fondant sur l’histoire de ce mouvement et ses fondations. Mon dernier paragraphe revient sur le potentiel contrerévolutionnaire et dangereux du gauchisme.
Et donc comment tu arrives à entreprendre une ” investigation scientifique rigoureuse ” en écartant les définition ?
Tu te mets a genoux les mains qui se croisent sur le bord et de ton lit et tu demandes a Dieu ?Non, tu te contentes d’investiguer et décrire la réalité. La méthode se dévoile a posteriori. Si une définition préconçue ne reflète pas un phénomène, il faut s’en défaire. La droite fait l’inverse, elle persiste à maintenir ses réifications, coûte que coûte.
Oui donc en fait t'es juste en train de me dire « UP mon topic dans 10 ans tu verras bien que j'ai raison »
Source: le réel je l'ai vu
C'est pas très sérieuxCe qui est pas très sérieux, c’est de m’imputer des propos qui ne sont pas les miens. Par ailleurs, j’ai jamais affirmé faire des prédictions.
Donc comment tu peux arriver à attribuer des caractéristiques spécifiques aux choses que sont la droite ou à la gauche sans même pouvoir les définir ?
Le réel ne se suffit pas à lui même
Pourquoi le réel ne se suffirait pas ? Quel autre objet que le réel pour un projet philosophique digne de ce nom ?
Le 16 juin 2024 à 14:41:03 :
Le 16 juin 2024 à 14:34:45 :
Le 16 juin 2024 à 14:26:59 :
Le 16 juin 2024 à 13:42:27 :
La droite ne peut être portée par une quelconque rationnalité : elle est obsédée par ses propres réifications.Pour ne pas penser le changement propre au mouvement de l’Histoire et ce qu’il implique - contradictions, dépassements, réconciliations etc. - la pensée de droite s’efforce de figer les objets qu’elle examine et de fait, elle ne raisonne déjà plus. La droite veut balayer le réel pour mieux le supplanter par une galerie de représentation fétichisée : la famille n’est louée que pour son aspect bourgeois (une forme toute à fait moderne louée pourtant comme caractéristique d’une « tradition »), la hiérarchie et l’ordre social ne sauraient être ébranlés, leur revendication raciale tient moins de la science darwinienne que des superstitions et élucubrations pseudo-ésotériques de la théosophie et autres formes tardives de syncrétisme prisé en milieu bourgeois etc.
C’est la gauche, d’abord avec Hegel puis dans une forme supérieure, avec Marx, qui pense le réel en tant que ce qu’il est : un mouvement continu. C’est la gauche qui, dès lors, saisit l’Histoire comme une avancée vers la liberté, un développement de ce qui fait de l’être humain un être humain : sa raison. C’est la gauche qui saisit les moments décisifs de l’histoire pour opérer des révolutions. C’est la gauche qui s’efforce de faire l’examen critique de toute chose, y compris de ses propres fondements théoriques (qui d’autres de plus rigoureux que les grands penseurd communistes ?).
Il existe un gauchisme stérile, souvent de nature anarchiste même sans s’avouer comme tel. Cet anarchisme n’est qu’une forme inférieure du fascisme. C’est pour cela que Soros ou encore Rockefeller et Rothschild ne trouvent aucun mal à financer puis manipuler les mouvements gauchistes. Mais le gauchisme n’est pas la gauche, là où la droite, qu’elle soit extrême ou non, reste ce qu’elle est : la réaction, la suspension de la pensée critique, l’hypostase comme méthode et système.
Bah si le gauchisme c'est la gauche, Lénine le dit clairement en plus, les mouvances du communisme d'extrême gauche qui sont dans un refus de participer au syndicat qui n'est pas communiste donc radical comme tu le dis les anarchistes mais les trotskystes et maoïstes.
Depuis mai 68 comme mentionner par Philippe Buton la situation est devenu encore plus claire, le gauchisme a aider le libéralisme en France, Donc Soros et compagnie peuvent en effet les remerciés. Par exemple avec la pensée rocardienne.
Et puis Hegel ce n'est pas que la gauche comme le montre les Vieux hégéliens même s'ils furent vite éclipsés.
Le gauchisme que décrit Lénine n’est pas le gauchisme sous sa forme actuelle. Se référer à Lénine, ça devrait t’aider à comprendre qu’il y a des éléments de ses observations et de ses descriptions qui sont spécifiques à l’époque à laquelle il les observe.
Hegel a pu, évidemment, être approprié par la droite. Mais cette appropriation s’est avérée stérile. Sans nécessairement mener au marxisme, une compréhension complète de l’historicisme hégélien, de sa conception de l’État et de la communauté mène nécessairement à la gauche.
La forme actuel du gauchisme est compliquer à décrire vu que la base même du mouvement a disparu, maintenant on parle plus de gauchisme culturel.
C’est ce gauchisme culturel, entre autres, que je critique.
La gauche réelle, elle, trouve son incarnation dans la Chine, par exemple.
Le 16 juin 2024 à 14:40:48 :
Le 16 juin 2024 à 14:36:59 :
Le 16 juin 2024 à 14:34:34 :
Le 16 juin 2024 à 14:30:52 :
Le 16 juin 2024 à 14:20:44 :
Je me suis assez attardé sur ce topic. L'auteur ce médiocre ne parvient même pas à répondre quand on lui pose la question préliminaire, quand on lui demande ce que c'est que la droite. Et c'est pas faute de lui avoir laissé le temps de l'expliquer. ça fait 20 minutes que j'attends. Il a répondu à tous les messages les plus insignifiants mais pas au mien.Je ne vais pas réfuter sa bouillie stupide, je n'en ai pas le temps ni l'envie de le faire. Il appartient à la déchetterie intellectuelle. Passons sa négation infantile de la métaphysique, son matérialisme grotesque qu'il ne peut pas démontrer, et d'ailleurs facilement réfutables, ses croyances qu'il croît être des arguments philosophiques, sa négation des universaux et de l'importance des idées (que pourtant lui-même pratique). Passons tout cela.
Je me contenterais de signaler que sa définition de la gauche non seulement ne sie pas à toute la gauche, mais sie au fascisme, le fascisme qui pourtant s'avère bien contre-révolutionnaire.
Mussolini et Gentile l'entendent ainsi :
> Comme toute saine conception politique, le fascisme associe la pensée à l’action. C’est une action animée par une doctrine. Cette doctrine est née d’un système donné de forces historiques, auquel elle reste intimement liée et qui reçoit d’elle son impulsion intérieure. Il a donc une forme correspondant aux contingences de lieu et de temps, mais il a en même temps un contenu idéal qui l’élève au rang de vérité supérieure dans l’histoire de la pensée.
>
> On ne saurait agir spirituellement sur le monde, en tant que volonté humaine dominant d’autres volontés, sans une conception de la réalité passagère et particulière sur laquelle il faut agir, et de cette autre réalité permanente et universelle à laquelle la première emprunte son être et sa vie. Pour connaître les hommes il faut connaître l’homme, il faut connaître la réalité et ses lois. Il n’y a pas de conception de l’État qui ne soit dans le fond une conception de la vie. C’est une philosophie ou une intuition, un système d’idées qui se traduit dans une construction logique ou qui se résume dans une vision ou dans une foi, mais c’est toujours, au moins virtuellement, une conception organique du monde.
La conjoncture s'entend non seulement par le mouvement mais par la permanence, la permanence que pratiquent constamment (et comme tout le monde) ces imbéciles de sous-vermines comme l'auteur, sans même s'en rendre compte, tout en niant sa pertinence.
Une investigation scientifique rigoureuse nécessite d’écarter les définitions. Celles-ci figent justement le réel derrière des constructions verbales réifiantes. Ce que je me suis attelé à faire, c’était décrire les failles fondamentales qui sous-tendent toute pensée de droite.
Si tu ne t’essayes pas à un exercice de réfutation, c’est parce que tu ne saurais y parvenir. En témoignent tes hommes de paille stériles : où ai-je fait la négation de la métaphysique ? Pourquoi ne pas réfuter mon prétendu matérialisme si c’est si facile ? Comment puis-je faire la « négation des universaux » tout en réaffirmant la liberté et la raison comme constitutive du développement de la l’humanité ?
Mussolini vient de l’anarchisme (l’anarcho-syndicalisme, pour être précis), Demeurin. Un anarchisme que je rapproche à juste titre du fascisme en me fondant sur l’histoire de ce mouvement et ses fondations. Mon dernier paragraphe revient sur le potentiel contrerévolutionnaire et dangereux du gauchisme.
Et donc comment tu arrives à entreprendre une ” investigation scientifique rigoureuse ” en écartant les définition ?
Tu te mets a genoux les mains qui se croisent sur le bord et de ton lit et tu demandes a Dieu ?Non, tu te contentes d’investiguer et décrire la réalité. La méthode se dévoile a posteriori. Si une définition préconçue ne reflète pas un phénomène, il faut s’en défaire. La droite fait l’inverse, elle persiste à maintenir ses réifications, coûte que coûte.
Oui donc en fait t'es juste en train de me dire « UP mon topic dans 10 ans tu verras bien que j'ai raison »
Source: le réel je l'ai vu
C'est pas très sérieux
Ce qui est pas très sérieux, c’est de m’imputer des propos qui ne sont pas les miens. Par ailleurs, j’ai jamais affirmé faire des prédictions.
Le 16 juin 2024 à 14:38:25 :
Le 16 juin 2024 à 13:49:36 :
Le 16 juin 2024 à 13:46:42 :
Dixit les gauchistes qui passent leur temps à appeler aux meurtres sur les réseaux et en manifs, gauchistes dont le dogme est essentiellement constitué sur une base morale, donc qui repose sur l'émotionnel et non le rationnel.
L'op se prend sûrement pour un espèce d'intellectuel de Gauche du style Friot alors qu'il n'a même pas le bagout d'un BégaudeauImagine t’es stupide au point de penser que ton petit épouvantail rhétorique allait visait juste alors que j’établis moi-même une critique du gauchisme dans mon petit texte.
Imagine t’es stupide au point de penser qu’une « base morale » est nécessairement « émotionnelle », plus de deux millénaires après Aristote et plusieurs siècles après Kant ou encore Hegel.
Je rigole.
Mais imagine.
"Allait visait juste"
Demi-habile détecté, opinion ignorée
Putain, t’as détecté une des nombreuses fautes d’attention parmi les autres induites par le correcteur automatique de mon téléphone.
Je suis fichu.
Le 16 juin 2024 à 14:36:42 :
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/24/7/1718541391-capture-d-cran-2024-06-16-143223.png
voila c'est quoi la gauche: la haine des autres
Aucun rapport avec la gauche que je mentionne. Bouge.
Le 16 juin 2024 à 14:34:34 :
Le 16 juin 2024 à 14:30:52 :
Le 16 juin 2024 à 14:20:44 :
Je me suis assez attardé sur ce topic. L'auteur ce médiocre ne parvient même pas à répondre quand on lui pose la question préliminaire, quand on lui demande ce que c'est que la droite. Et c'est pas faute de lui avoir laissé le temps de l'expliquer. ça fait 20 minutes que j'attends. Il a répondu à tous les messages les plus insignifiants mais pas au mien.Je ne vais pas réfuter sa bouillie stupide, je n'en ai pas le temps ni l'envie de le faire. Il appartient à la déchetterie intellectuelle. Passons sa négation infantile de la métaphysique, son matérialisme grotesque qu'il ne peut pas démontrer, et d'ailleurs facilement réfutables, ses croyances qu'il croît être des arguments philosophiques, sa négation des universaux et de l'importance des idées (que pourtant lui-même pratique). Passons tout cela.
Je me contenterais de signaler que sa définition de la gauche non seulement ne sie pas à toute la gauche, mais sie au fascisme, le fascisme qui pourtant s'avère bien contre-révolutionnaire.
Mussolini et Gentile l'entendent ainsi :
Comme toute saine conception politique, le fascisme associe la pensée à l’action. C’est une action animée par une doctrine. Cette doctrine est née d’un système donné de forces historiques, auquel elle reste intimement liée et qui reçoit d’elle son impulsion intérieure. Il a donc une forme correspondant aux contingences de lieu et de temps, mais il a en même temps un contenu idéal qui l’élève au rang de vérité supérieure dans l’histoire de la pensée.
On ne saurait agir spirituellement sur le monde, en tant que volonté humaine dominant d’autres volontés, sans une conception de la réalité passagère et particulière sur laquelle il faut agir, et de cette autre réalité permanente et universelle à laquelle la première emprunte son être et sa vie. Pour connaître les hommes il faut connaître l’homme, il faut connaître la réalité et ses lois. Il n’y a pas de conception de l’État qui ne soit dans le fond une conception de la vie. C’est une philosophie ou une intuition, un système d’idées qui se traduit dans une construction logique ou qui se résume dans une vision ou dans une foi, mais c’est toujours, au moins virtuellement, une conception organique du monde.
La conjoncture s'entend non seulement par le mouvement mais par la permanence, la permanence que pratiquent constamment (et comme tout le monde) ces imbéciles de sous-vermines comme l'auteur, sans même s'en rendre compte, tout en niant sa pertinence.
Une investigation scientifique rigoureuse nécessite d’écarter les définitions. Celles-ci figent justement le réel derrière des constructions verbales réifiantes. Ce que je me suis attelé à faire, c’était décrire les failles fondamentales qui sous-tendent toute pensée de droite.
Si tu ne t’essayes pas à un exercice de réfutation, c’est parce que tu ne saurais y parvenir. En témoignent tes hommes de paille stériles : où ai-je fait la négation de la métaphysique ? Pourquoi ne pas réfuter mon prétendu matérialisme si c’est si facile ? Comment puis-je faire la « négation des universaux » tout en réaffirmant la liberté et la raison comme constitutive du développement de la l’humanité ?
Mussolini vient de l’anarchisme (l’anarcho-syndicalisme, pour être précis), Demeurin. Un anarchisme que je rapproche à juste titre du fascisme en me fondant sur l’histoire de ce mouvement et ses fondations. Mon dernier paragraphe revient sur le potentiel contrerévolutionnaire et dangereux du gauchisme.
Et donc comment tu arrives à entreprendre une ” investigation scientifique rigoureuse ” en écartant les définition ?
Tu te mets a genoux les mains qui se croisent sur le bord et de ton lit et tu demandes a Dieu ?
Non, tu te contentes d’investiguer et décrire la réalité. La méthode se dévoile a posteriori. Si une définition préconçue ne reflète pas un phénomène, il faut s’en défaire. La droite fait l’inverse, elle persiste à maintenir ses réifications, coûte que coûte.
Le 16 juin 2024 à 14:26:59 :
Le 16 juin 2024 à 13:42:27 :
La droite ne peut être portée par une quelconque rationnalité : elle est obsédée par ses propres réifications.Pour ne pas penser le changement propre au mouvement de l’Histoire et ce qu’il implique - contradictions, dépassements, réconciliations etc. - la pensée de droite s’efforce de figer les objets qu’elle examine et de fait, elle ne raisonne déjà plus. La droite veut balayer le réel pour mieux le supplanter par une galerie de représentation fétichisée : la famille n’est louée que pour son aspect bourgeois (une forme toute à fait moderne louée pourtant comme caractéristique d’une « tradition »), la hiérarchie et l’ordre social ne sauraient être ébranlés, leur revendication raciale tient moins de la science darwinienne que des superstitions et élucubrations pseudo-ésotériques de la théosophie et autres formes tardives de syncrétisme prisé en milieu bourgeois etc.
C’est la gauche, d’abord avec Hegel puis dans une forme supérieure, avec Marx, qui pense le réel en tant que ce qu’il est : un mouvement continu. C’est la gauche qui, dès lors, saisit l’Histoire comme une avancée vers la liberté, un développement de ce qui fait de l’être humain un être humain : sa raison. C’est la gauche qui saisit les moments décisifs de l’histoire pour opérer des révolutions. C’est la gauche qui s’efforce de faire l’examen critique de toute chose, y compris de ses propres fondements théoriques (qui d’autres de plus rigoureux que les grands penseurd communistes ?).
Il existe un gauchisme stérile, souvent de nature anarchiste même sans s’avouer comme tel. Cet anarchisme n’est qu’une forme inférieure du fascisme. C’est pour cela que Soros ou encore Rockefeller et Rothschild ne trouvent aucun mal à financer puis manipuler les mouvements gauchistes. Mais le gauchisme n’est pas la gauche, là où la droite, qu’elle soit extrême ou non, reste ce qu’elle est : la réaction, la suspension de la pensée critique, l’hypostase comme méthode et système.
Bah si le gauchisme c'est la gauche, Lénine le dit clairement en plus, les mouvances du communisme d'extrême gauche qui sont dans un refus de participer au syndicat qui n'est pas communiste donc radical comme tu le dis les anarchistes mais les trotskystes et maoïstes.
Depuis mai 68 comme mentionner par Philippe Buton la situation est devenu encore plus claire, le gauchisme a aider le libéralisme en France, Donc Soros et compagnie peuvent en effet les remerciés. Par exemple avec la pensée rocardienne.
Et puis Hegel ce n'est pas que la gauche comme le montre les Vieux hégéliens même s'ils furent vite éclipsés.
Le gauchisme que décrit Lénine n’est pas le gauchisme sous sa forme actuelle. Se référer à Lénine, ça devrait t’aider à comprendre qu’il y a des éléments de ses observations et de ses descriptions qui sont spécifiques à l’époque à laquelle il les observe.
Hegel a pu, évidemment, être approprié par la droite. Mais cette appropriation s’est avérée stérile. Sans nécessairement mener au marxisme, une compréhension complète de l’historicisme hégélien, de sa conception de l’État et de la communauté mène nécessairement à la gauche.
Le 16 juin 2024 à 14:20:44 :
Je me suis assez attardé sur ce topic. L'auteur ce médiocre ne parvient même pas à répondre quand on lui pose la question préliminaire, quand on lui demande ce que c'est que la droite. Et c'est pas faute de lui avoir laissé le temps de l'expliquer. ça fait 20 minutes que j'attends. Il a répondu à tous les messages les plus insignifiants mais pas au mien.Je ne vais pas réfuter sa bouillie stupide, je n'en ai pas le temps ni l'envie de le faire. Il appartient à la déchetterie intellectuelle. Passons sa négation infantile de la métaphysique, son matérialisme grotesque qu'il ne peut pas démontrer, et d'ailleurs facilement réfutables, ses croyances qu'il croît être des arguments philosophiques, sa négation des universaux et de l'importance des idées (que pourtant lui-même pratique). Passons tout cela.
Je me contenterais de signaler que sa définition de la gauche non seulement ne sie pas à toute la gauche, mais sie au fascisme, le fascisme qui pourtant s'avère bien contre-révolutionnaire.
Mussolini et Gentile l'entendent ainsi :
Comme toute saine conception politique, le fascisme associe la pensée à l’action. C’est une action animée par une doctrine. Cette doctrine est née d’un système donné de forces historiques, auquel elle reste intimement liée et qui reçoit d’elle son impulsion intérieure. Il a donc une forme correspondant aux contingences de lieu et de temps, mais il a en même temps un contenu idéal qui l’élève au rang de vérité supérieure dans l’histoire de la pensée.
On ne saurait agir spirituellement sur le monde, en tant que volonté humaine dominant d’autres volontés, sans une conception de la réalité passagère et particulière sur laquelle il faut agir, et de cette autre réalité permanente et universelle à laquelle la première emprunte son être et sa vie. Pour connaître les hommes il faut connaître l’homme, il faut connaître la réalité et ses lois. Il n’y a pas de conception de l’État qui ne soit dans le fond une conception de la vie. C’est une philosophie ou une intuition, un système d’idées qui se traduit dans une construction logique ou qui se résume dans une vision ou dans une foi, mais c’est toujours, au moins virtuellement, une conception organique du monde.
La conjoncture s'entend non seulement par le mouvement mais par la permanence, la permanence que pratiquent constamment (et comme tout le monde) ces imbéciles de sous-vermines comme l'auteur, sans même s'en rendre compte, tout en niant sa pertinence.
Une investigation scientifique rigoureuse nécessite d’écarter les définitions. Celles-ci figent justement le réel derrière des constructions verbales réifiantes. Ce que je me suis attelé à faire, c’était décrire les failles fondamentales qui sous-tendent toute pensée de droite.
Si tu ne t’essayes pas à un exercice de réfutation, c’est parce que tu ne saurais y parvenir. En témoignent tes hommes de paille stériles : où ai-je fait la négation de la métaphysique ? Pourquoi ne pas réfuter mon prétendu matérialisme si c’est si facile ? Comment puis-je faire la « négation des universaux » tout en réaffirmant la liberté et la raison comme constitutive du développement de la l’humanité ?
Mussolini vient de l’anarchisme (l’anarcho-syndicalisme, pour être précis), Demeurin. Un anarchisme que je rapproche à juste titre du fascisme en me fondant sur l’histoire de ce mouvement et ses fondations. Mon dernier paragraphe revient sur le potentiel contrerévolutionnaire et dangereux du gauchisme.
Le 16 juin 2024 à 14:17:28 :
Y'a pas plus irrationnel que la pensée matérialiste de Marx qui dénue toute spiritualité à l'homme
Évidemment, si je te demande de développer, tu vas sortir hors contexte la fameuse citation sur « l’opium du peuple », hein ?