Le 12 septembre 2024 à 12:17:08 :
Merde j'ai peur pour elle si tu sais pas te tenir
Le 12 septembre 2024 à 11:49:52 :
L'auteur qui va entendre les couilles qui claquent (pas les siennes) tous les soirs
j'en ai bien peur ...
Le 12 septembre 2024 à 11:49:51 :
Fais lui découvrir la culture culinaire du pays en commençant par ton pepperoni
je sais vraiment bien faire a manger en plus je propose de faire a manger ce soir ?
Le 12 septembre 2024 à 10:14:44 :
Tu n'es pas raciste mais lourd.
non jsuis lambda je voulais vraiment pas creer ce malaise en plis
Le 12 septembre 2024 à 10:09:11 :
C'est raciste de penser qu'un mec asiatique bosse dans un restau vietnamien et qu'il comprend pas le français?
apparement oui
Le 12 septembre 2024 à 09:39:04 :
Qui manque a ce point de confiance en soit pour mesurer son sex ?
t'es homo je pense il faut de tout pour faire un monde
Le 12 septembre 2024 à 09:38:34 :
12,5cm ici
honnete, pulco ?
Le 12 septembre 2024 à 09:32:33 :
Y a quasiment 100% de français sur le forum
toi tes francais de france ?
Le 12 septembre 2024 à 09:29:32 :
En vrai c'est factuellement faux
ok le facteur
Le 12 septembre 2024 à 09:29:17 :
Baise-la.
je suis pulco a 35 ans
Le 12 septembre 2024 à 09:24:57 :
Le 12 septembre 2024 à 09:19:16 :
Le 12 septembre 2024 à 09:18:43 :
Mais quel bolossy'a quoi de drole ?
Bah t’as l’air d’etre un gros bouffon puceau qui pose des questions de merde sur un forum de jeux videos (comme 80% du forum quoi)
et pourquoi tu me racontes ta vie ? allez looser
Le 12 septembre 2024 à 09:23:23 :
C'était un samedi matin, vers 11h. Je jouais à GTA IV sur ma ps3, la porte de ma chambre était entre-ouverte, donnant une délicieuse vue sur la salle de bain du premier étage. Une vue dégagée, mais discrète, ma chambre était plutôt sombre de par sa configuration.Des bruits de pas, dans l'escalier, c'est la meilleur amie de ma sœur qui monte, les cheveux mouillés, une serviette tenant autours de son corps de mannequin, ses vêtements dans sa main gauche et la main droite tenant la serviette. Elle avait passer la nuit ici, avec ma sœur, et revenait, souriante, de sa douche matinale.
Elle se dirige vers la salle de bain et laisse la porte entre-ouverte. Je ne prête pas attention car elle se contente d'être coquette. Elle lâche ses vêtements de sa main gauche, se tourne, contemple son doux et fin visage dans le miroir, tente de remettre ses cheveux noirs comme l'ébène dans une position confortable.
Soudain, surprise, étonnement, la jeune femme de 18 ans fait tomber sa serviette. Elle ne m'a pas vu, je reste incrédule, l'érection montante, devant ce spectacle à couper le souffle. Elle ne me voit toujours pas, elle continue de se tourner, de se contempler, dandinante comme une déesse, tandis que je savoure le spectacle. Je vois l'intégralité de son corps, de sa silhouette, par les entrebâillements des deux portes me séparant de cette créature. Malgré mon jeune âge (6ème-5ème au collège), je reconnais toutes les parties sublimes du corps humain. Je vois et me délecte de ses petits seins en forme de poire, de ses fesses rebondies qu'Aphrodite elle-même ne saurait égaler. Elle se tourne, se regarde dans le miroir, et je ne sais quoi faire devant ses empreintes de bronzages et ce corps de mannequin de 18 ans, j'ai envie d'elle.
La scène dure 30 secondes, peut-être une minute, et c'est la fin. La déesse fait un pas en arrière, je ne la vois plus.
Mais encore, elle revient, elle met son soutien-gorge en dentelle noir dont je n'aurais su rêver dans mes rêves les plus fous, du haut de mon jeune âge. Son soutien-gorge remis, m'effaçant l'accès à sa délicieuse poitrine, elle met sa petite culotte, noire, elle-aussi, de dentelle décorée. Je ne vois plus que la courbure de ses fesses et la cambrure de son corps. Malgré cela, la dernière scène sera la plus édifiante. Elle tente de mettre son jean, un jean très slim, terriblement serré. Elle n'y arrive pas, ses fesses rebondies l'en empêche. Elle se tourne, les fesses directement en face de moi et, mon cœur se serait arrêté si je n'avais pas eu jeune âge : j'ai devant moi ses fesses, terriblement lisses et d'une forme courbée, telles deux collines de couleur chaire, qui rebondissent et se plissent sous la compression du jean.
Elle fait ensuite un pas en arrière, met son t-shirt, et ça en est fini. Je me recule avec ma chaise de bureau pour ne pas lui laisser penser que j'ai pu assister à la scène.
Dès qu'elle eut terminée est est retournée dans la chambre de ma sœur, j'ai fermé ma porte et me suis branlé. Je me suis branlé sur cette scène des années durant, jusqu'à la découverte de scènes que vous connaissez bien, vous aussi.
Je voulais vous partager cette scène terrible mes kheys, cette scène a forgée mon âme et mon être.
c'est bien écrit