Le 16 octobre 2024 à 23:54:01 :
Tu devrais te concentrer sur l'objectif de ton pseudo plutôt qu'à la réflexion scientifique
Premier golem triple dosé
Regarder la réfraction d'un laser (un type spécial de laser pas un truc bas de gamme) sous DMT permet de voir un espèce de code informatique, comme si c'était un code caché de la programmation de l'univers
Même Neoxys du collectif Trash (un énorme normie athée moyen, scientiste spé tronche en biais) s'est fait redpill par la DMT
Circulez
https://voca.ro/1eEKIBkJfWEk
Lors de votre mort clinique, votre corps va immédiatement produire du DMT endogène, votre glande pinéale va être sensible à cette substance et va commencer à capter l'énergie quantique, puis s'ensuit une avalanche de données vibratoires que votre glande pinéale va analyser pour les transformer en son et image. Vous deviendriez temporairement clairvoyant
Puis votre conscience va se détacher de votre corps physique vous allez commencer à flotter dans les airs, un bourdonnement sourd et lointain se fera entendre, puis des cloches ayant une tonalité harmonieuse et extatique vous réconfortera. Il n'y aura ni peur, ni sentiments négatifs, même si votre mort est violente vous serez totalement apaisé par le son divin
Donc quand on claque :
- Sensation de flottement
- Bourdonnement
- Bi-location de la conscience
- Visuels kaléidoscopiques interpénètres sur plusieurs dimensions
- Sensation d'un retour à la maison
- Etre hybride qui communiquent par télépathie
En gros votre âme rejoint la mer de Dirac, votre corps demiurgique retourne à la glaise d'où il vient et votre ego se fait pulvériser.
Après quelques heures/jours, qui sont en réalité quelques minutes vous allez arriver dans une salle d'attente sans mur, imperceptible. Des êtres humanoïdes vont venir à votre rencontre et vont vous parler par télépathie, vous pourrez leur poser des questions, ils vous répondront le plus sincèrement possible dans l'amour le plus total. Pas l'amour eco+ sur Terre mais l'amour profond et réel
Circulez
Le 16 octobre 2024 à 23:42:18 :
laisse-la tranquille le taré
Le 16 octobre 2024 à 23:41:47 :
Jean Jacques Roussedhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/01/4/1610042669-cochon-d-inde-clown-papillon-fee.png
Le 16 octobre 2024 à 23:28:22 :
Je n'ai jamais compris ceux prêts à mourir pour leur pays alors que le pays se fout des gens.C'est comme j'ai vu il n'y a pas encore longtemps une vidéo où un militaire sort le fameux "on parlerait allemand si ...."
Sauf que je suis Belge. J'habite à 15km de la partie germanophone et 25 de la partie flamande.
Et la meilleure partie du pays, c'est justement la partie germanophone
Tu ne meurs pas pour un pays mais pour des riches
Je le dis en tant que libéral
Si la Passion christique est salvatrice, c'est parce qu'elle dépasse de loin les souffrances humaines dans le fait même qu'elle les assument paradoxalement toutes.
Souffrances réunies en un seul Homme bien supérieures à toutes les souffrances des hommes réunis. Voilà ce qui caractérise le Dieu fait homme pour que tous les hommes ne puissent douter que cet Homme était Dieu. C'est cette unicité de la souffrance temporalisée de l'humanité une et entière et intemporellement endossée par un Seul qui en dévoile sans conteste la marque de fabrique divine. Jésus-Christ est bien, comme le définit Fabrice Hadjadj, "cet éclaireur du gouffre qu'il creuse encore au-delà du concevable, nous attendant là où personne ne l'attendait, nous soutenant là où personne n'est là pour le soutenir." Le Christ est l'Indicible personnifié. Et c'est par cette hypostase, cette personnification de la douleur, cette immersion du divin dans le charnel souffrant, dira-t-on, que se juxtapose et s'harmonise en Lui souffrance et salut.
Comment, dès lors, qualifier la Shoah et la modalité de son mal ?
La dogmatique chrétienne, comme à son habitude (et bien qu'elle en reconnaisse la singularité), aura tendance à subsumer cette souffrance là dans la Croix de Jésus. C'est pourquoi le pape Jean-Paul II a judicieusement décrit Auschwitz comme le "Golgotha du monde contemporain", circonscrivant la portée douloureuse de l'événement à une époque et renforçant, par cette restriction temporelle, l'atemporalité de la sotériologie christologique. Mais qu'en est-il quand, par la suite, son successeur a affirmé sans ambages que la Shoah était sans équivalent dans l'Histoire ? Ne faut-il pas là y voir un cran supplémentaire dans la spécification, au point d'en redouter un effacement progressif du reste des souffrances, et donc de former un hiatus avec les paroles de son prédécesseur, jusqu'à ce qu'une sorte de concurrence de la non-équivalence entre en ligne de compte dans l'économie du salut ?
Le professeur juif, Robert Jan Van Pelt, nous explique que l'épicentre du génocide se situe précisément dans la morgue 1 du Krema II de Birkenau. "Dans cette pièce de 210 m², nous indique-t-il, est mort plus de gens que dans n'importe quel autre point de la planète. Si l'on voulait établir une carte géographique de la souffrance humaine, elle en serait le centre absolu." Cette phrase, à elle seule, donne une profondeur inattendue aux mots de Benoit XVI, elle les corrobore à la perfection et confère son sens plénier à cette autre affirmation comme quoi Auschwitz est autre chose qu'une des horreurs de l'Histoire, qu'il échappe à la banalité du mal.
Qu'on le veuille ou non, et contre toute relativisation négationniste, la souffrance juive occupe indiscutablement le sommet dans la hiérarchie historique du souffrir humain. Et c'est parce qu'il est très intelligemment démontré par Van Pelt qu'elle en est ce centre absolu paroxystique, qu'elle est cette souffrance sans mesure commune avec toutes les autres et à laquelle aucune autre ne peut se mesurer, qu'elle sort du cadre des considérations purement physiques pour atteindre une dimension proprement métaphysique, une dimension concurrentielle avec celle de l'Homme-Dieu, du Dieu fait homme, au point d'inexorablement entrer en conflit avec Lui jusqu'à l'obtention définitive de sa descente du podium eschatologique.
Là, et là seule, est peut être la vraie raison de ce silence de Dieu que certains, et non des moindres, ont pu déceler à Auschwitz.