Messages de druiven
En gros ça faisait grave de temps que j'avais pas emmené prosper au cirque. ( rupture difficile bref)
Ducoup semaine dernière je go tinder et consorts et je me trouve une 2-9/10.
Je m'explique: corps d'actrice de cul d'où le 9
Gueule de jean pierre coffe en perruque d'où le 2
Histoire de m'assurer une conclusion sexuelle je me suis vendu pendant toute la semaine en mode "après plusieurs orgasmes pas sur que tu remarche normalement"
"on m'appelle le marathonien"
J'ai même lâché pour la vanne le fameux "depechons nous je n'ai que quelques heures" de oss 117
Résultat:
Elle arrive chez moi, déjà la fille a zéro conversation elle passe plus de temps avec ma chienne qu'à me parler 
Bon même si elle se rapprochait de moi au fil de la conversation ( enfin "conversation")
Bref on fait des prelis et je me retrouve vite avec mon popol en mode passion dentiste et je sens la purée monter au bout de 2min même pas
donc je l'arrête en prétextant je cite : "une envie urgente de te dévorer la chatte"
Je m'y attele 15 min malgré ses demande
"viens en moi célestin"
Moi ballec je joue le chrono
Mais je ne peux pas repousser l'échéance ad vitam eternal 
Elle se pose a quatre patte cambrée comme une actrice de boulard, une chance ducoup je vois pas sa tronche
mais ce paramètre, bien que fort excitant, jouera en ma défaveur quelques minutes plus tard.
Je me jette donc, résigné par un destin que je ne peux que deviner, dans une blitzkrieg.
En effet, après 2 minutes de va et viens ininterrompus j'envoie mes célestins juniors dans la pochette lubrifié qui leur servira d'ultime demeure.
Adieu les amis, vous êtes (vraiment pour le coup) partis trop tôt
Feignant l'indifférence j'ai continué, muni d'un chibre aussi mou que François Hollande en assemblée,
Une fois cela fait, "allons dans ta chambre plutôt" me chuchote t'elle
"vas y en première je te rejoins" lui rétorquai-je
Cette habile parade me permis enfait de me débarrasser du condom et de nettoyer d'un habile coup de sopalain mon ami de toujours.
Une fois allongés, tout le flux de données de mon cerveau n'agissait que dans le but d'avoir l'air détaché.
"je vais te remotiver avec ma bouche"
Me dit t'elle
Elle pensait donc à une simple panne, elle n'avait donc pas remarqué mon orgasme
Je ne lui dit pas la vérité, sans doute aurais-ce été pire
Je me retrouve donc, triste, nu, sur mon lit, dans une ambiance tamisée, me faisant inonder de bave le soldat casqué par une 2/10. Mes doigts se baladants sur ses deux jolies fesses bombées
"ça va que dans la position actuelle je ne vois pas son visage" me dis je intérieurement
Et elle suça, de longues minutes, sans jamais relâché l'effort mais rien n'y fit.
Moi qui me suis souvent salué de ma capacité à recharger les munition de manière rapide, cette fois ci le monstre m'avais dompté, son visage monosourcilé poussa mon pont levis à resté abaissé. Abaissé, comme pour laisser le mal être m'envahit.
Après son essai qui, bien que rempli de bonne volonté, ne fut pas concluant, nous retournames à mon salon, ma chienne était interloquée mais je n'y fit pas attention.
Nous buvions une nouvelle bière et la technique consistant à simuler une urgence pour un pote afin de la faire partir était lancée.
Mais à ce moment là, quelque chose se passait. La perversité du cerveau humain m'a rendu excitante à souhait la vision du visage de cette femme.
Dans un élan de balekouy ultime je me leva devant elle et lui présenta mon fier poteau, dressé comme jamais en offrande. Et elle réagit positivement
( comme quoi le non respect avec les meuf ça marche les gars)
Je lui pris les cheveux pour un ultime throatfuck, afin de regagner une once d'estime de mes ancêtre qui assistaient jusque là dépités à ce triste spectacle que leur offrait leur descendance.
Après de plus longues minutes que les premières nommées dans ce récit, je larguait enfin un deuxième escadron de célestins parachutiste dans la bouche experte de ma convive du soir.
Apaisé, je remonta mon pantalon le temps qu'elle envoie mes fils qui ne naîtront jamais dans le toboggan de son système digestif.
Je me rassis, me rouvri une bière de manière virile et accompagna ma conquête jusqu'à la fin de son verre.
Elle partit, me fit promettre de la revoir, je ne tiendrai jamais cette promesse, elle parlera peut être (sûrement) de moi comme d'un mauvais coup.
Mais je ne cache rien à mes kheys
Ce fut une parenthèse drôle, et passionnante, dans la vie de votre humble quille