Le 30 avril 2021 à 19:35:36 :
Le 30 avril 2021 à 19:33:18 :
Le 30 avril 2021 à 19:31:05 :
Les questions sont asses simple.Et le texte est plutôt médiocre. C’est même de la branlette intellectuelle.
L’intérêt réside uniquement dans la recherche des mots que tu ne comprend pas. Ouvre un dico quoi.
Et aussi dans le fait que Duras se plie elle aussi à la doxa commune de l’époque.Tu as fait des études de lettres ? Tu penses que tu pourrais m'aider ?
Non, sans être méchant, j’ai fait des études utiles.
Après mes études j’ai étudié de mon côté, par curiosité. La je bosse. Si t’es toujours bloqué dans le week-end, envois moi un message je prendrai le temps
C'est gentil khey, mais je dois le rendre pour demain matin 10:30 Faut vraiment que je termine ça ce soir, sinon c'est mort
Le 30 avril 2021 à 19:34:41 :
Go ne pas le passer et va en licence maths.
J'aime pas spécialement les maths malheureusement
Le 30 avril 2021 à 19:31:05 :
Les questions sont asses simple.Et le texte est plutôt médiocre. C’est même de la branlette intellectuelle.
L’intérêt réside uniquement dans la recherche des mots que tu ne comprend pas. Ouvre un dico quoi.
Et aussi dans le fait que Duras se plie elle aussi à la doxa commune de l’époque.
Tu as fait des études de lettres ? Tu penses que tu pourrais m'aider ?
Le 30 avril 2021 à 19:17:52 :
Utilise le dico pour comprendre les mots déjà puis après faut comprendre la volonté de l’auteur
Le message qu’il veut faire passer
tu trouves le sujet difficile ou abordable ? car vraiment je n'y arrive pas moi là
Le 30 avril 2021 à 19:15:59 :
up pour que quelqu'un t'aide. Je suis en lettres mais moi-même je perds le fil donc je peux pas aider
merci khey je suis dépité, je comprends pas mon sujet, j'ai le cours mais il m'aide pas du tout
courage à nous
Le sujet :
« C’est en 1980 aussi que Catherine Kerbrat-Orecchioni fit paraître le premier précis
consacré à une notion qui devait permettre une refondation : L’Énonciation. De la subjectivité dans la langue.
La linguistique de langue française serait désormais « énonciative » et « discursive » : elle considérerait d’abord l’énoncé comme le résultat d’un acte de production dont il garde les traces, 5 dans un contexte qui permet, seul, d’en saisir un sens qu’on ne saurait réduire à sa seule signification.
Avant le milieu des années 1970, le terme d’énonciation n’était guère entré dans le titre que de deux ou trois ouvrages rédigés en français, et toujours sous son acception juridique et surtout comptable (car les lois s’énoncent, et l’on énonce aussi des bilans de gestion). Avec son sens linguistique, il intitula une quinzaine de livres dans les années 1970 ; au moins le triple pour 10 chacune des décennies suivantes. […] Que quelque chose se catalysât vers 1980, on en trouverait d’autres preuves que les congruences déjà notées.
La plus simple consisterait à faire valoir la différence entre le « moment énonciatif » et celui qui l’a immédiatement précédé, le « moment structural », qui vit la convergence entre les tendances dominantes de la linguistique, les approches critiques 15 « textualistes » et un évident « formalisme » littéraire. La plus probante consisterait à faire valoir l’étonnant tournant « discursiviste » qui s’observa, peu après 1980, dans l’enseignement du français, langue et littérature mêlées : décloisonnement du littéraire, contextualisation, retour de la rhétorique et reflux de la grammaire, intérêt toujours plus vif pour les modalités de production des textes, les formes argumentatives, etc. En France, les Instructions officielles de 1994 20 entérinèrent cette mutation ; en 2000, le manuel le plus fréquemment utilisé pour l’enseignement du français en première année de collège présentait la notion de déictique dès son premier chapitre.
Mais l’évidence d’un moment peut également se vérifier dans l’infléchissement d’une pratique d’auteur, que l’on serait d’abord tenté de rapporter à une évolution purement 25 personnelle.
Ainsi, lorsque 1980, après une décennie largement consacrée au cinéma, Marguerite Duras revint pleinement à l’écriture, le sensibilité commune à la littérature et à la langue avait changé : désormais, l’énoncé intéresserait moins parce qu’il dit que parce qu’il est dit : par les traces de l’acte qui l’a produit. Si Duras radicalisa des choix personnels qui travaillaient sa prose depuis dix ou vingt ans, elle suivit aussi, tout simplement, la pente commune. Sans doute le fit-elle avec 30 plus de talent que d’autres, puisqu’elle ne tarda pas à devenir le grand auteur de son temps : désormais écrivaine du je, de la parole et de la voix, elle incarna, en sa dernière période, le « moment énonciatif » de la littérature française. »
Gilles Philippe, Pourquoi le style change-t-il ?, 2021
1. Comment expliquez-vous les répétitions de la date « 1980 » (l. 1, 11, 16 et 25) et des formules comme « moment énonciatif » ou « tournant discursiviste » (l. 11-12, 16, 32) ? [4 pts]
2. À quel endroit une définition linguistique de l’énonciation est-elle donnée ? Citez précisément le texte et reformulez l’idée principale avec vos propres termes. Pourquoi ce sens ne doit-il pas être confondu avec la définition « juridique » ou « comptable » (l. 7-8) de l’énonciation ? [3 pts]
3. À votre tour, donnez une définition de la « rhétorique » (l. 18). Dans l’enseignement du français à partir des années 1980, comment se fait-il que la rhétorique ait pu être associée au « décloisonnement du littéraire », à la « contextualisation » et à « l’intérêt toujours plus vif pour les modalités de production des textes, les formes argumentatives » (l. 17-19) ? Plusieurs réponses sont possibles, essayez d’en donner au moins deux différentes. [3 pts]
4. Qu’est-ce qu’une approche critique « textualiste » (l. 15) à votre avis ? Même question pour le « formalisme » (l. 15) en littérature. [4 pts]
5. Si l’on suit l’auteur, qu’est-ce qui a changé dans la sensibilité de Duras « à la littérature et à la langue » (l. 26) ? Pourquoi ce changement l’intéresse-t-il ? Comment le nuance-t-il ? [3 pts]
6. Quelle thèse est défendue ici sur l’énonciation ? Résumez en quelques mots ses arguments et ses exemples.
Vous a-t-elle convaincu(e) ? Si oui, pourquoi ? Si non, quelles idées voudriez-vous lui opposer ? [3 pts].
Je peux rémunérer 25euros là et 25e à nouveau lundi, je comprends presque aucune question, je trouve le sujet très difficile
Un khey samaritain pour m'aider ?
En gros je dois imaginer un décor pour la scène ou Macbeth perd sa femme, faut juste avoir de l’imagination, j’ai quelques idées mais si quelqu’un pourrait m’aider à développer ça serait super !
La scène c’est celle ci
J’ai quelques idées déjà
Quelque chose inspiré des décors de château, surtout les salles du trône peut être ?
Au centre de la pièce MacBeth, avec une lumière plongeante, afin d'avoir un visage très sombre et illustrer la déchéance du personnage
L’entrée dans la pièce accompagnés par des bruits de tambour, quelques soldats
Peut être mettre en fond sonore des bruitages d'épées qui s'entrechoquent, des cris et des pleurs
J’ai déjà commencé à rédiger, il faut que ça fasse une page et demie
Svp les kheys
Le 25 avril 2021 à 15:48:47 :
Il y a un film Mcbeeth
Merci beaucoup !
Le 25 avril 2021 à 15:44:00 :
Sers-toi du film
Quel film ?
Le 25 avril 2021 à 15:37:53 :
Tu es puceau?
Non