Messages de Fiat_Lux

C'est parti pour une plongée dans le doux enfer des années 70, 80, 90... Certains 2000 peu préparés vont probablement saigner des yeux et des oreilles et revoir entièrement leurs croyances sur le sens profond de l'existence.

Gros risque d'AVC ou de perte (transitoire voire définitive) de la raison. Vous êtes prévenus, je décline toute responsabilité .

Passé ce seuil, on abandonne toute pudeur, on ose tout, il n'y a plus aucune limite.

Ici, on abandonne toute prétention au bon goût.

Ici, on respecte rigoureusement le critère suivant : une moitié de notre cerveau trouve la chanson parfaitement kitsch mais l'autre moitié l'aime sincèrement, sans 2e degré, sans se faire prier.

Lâchez-vous les kheys, cette nuit tout est pardonné

Le 02 mai 2021 à 01:50:57 :
J'ai bandé mais je fais le NNM donc je ne t'en demande pas plus et je m'en vais me coucher

Belle écriture en dépit de enthttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

Bonne nuit

En passant (un peu hors sujet quoi que), si un khey connaissait la référence de cette musique ?

La 3ème lettre définitivement trop choquante pour la modération...

https://www.pileface.com/sollers/spip.php?article470#section6

https://image.noelshack.com/fichiers/2021/17/7/1619910780-nora-james.jpgNora Barnacle et James Joyce

Ma douce petite pute Nora

J’ai fait comme tu me disais, ma sale p***** f****, et je me suis branlé deux fois en lisant ta lettre. Je suis ravi de voir que tu aimes être foutue par le cul. Oui, maintenant je peux me rappeler cette nuit où je t’ai foutue si longtemps par derrière. Chérie, ça a été la baise la plus dégueulasse que je t’ai jamais faite. Ma pine est restée plantée dans toi pendant des heures, te foutant et te refoutant par en dessous ta croupe redressée. Je sentais tes grosses fesses grasses en sueur sous mon ventre et je voyais ta face enfiévrée et tes yeux fous. A chaque coup de queue que je te donnais ta langue impudique jaillissait d’entre tes lèvres et si je t’en donnais un coup plus fort plus profond que d’habitude des pets bien gras bien sales sortaient en crachotant de ton derrière. Tu avais un cul plein de pets cette nuit-là, chérie, et je te les sortais en te foutant, des bons gros copains bien gras, des longs venteux, des petits craquants gai rapide et tout un tas de petits minuscules polissons de pets qui se terminaient en une coulée jaillissant de ton trou. C’est merveilleux de foutre une femme qui a des pets quand chaque coup de queue les fait sortir un par un. Je crois que je reconnaîtrais n’importe où un pet de Nora. Je crois que je pourrais repérer le sien dans une salle pleine de femmes péteuses. C’est un bruit plutôt f******* pas le pet mouillé lâche que j’imagine chez les femmes grasses. Il est soudain et sec et sale comme celui qu’une p***** f**** effrontée décocherait la même nuit pour rire dans un dortoir. J’espère que Nora me décochera sans fin ses pets dans la face pour que je puisse aussi connaître leur parfum.

Tu dis que quand je reviendrai tu me suceras et tu veux que je te lèche le con, petite salope dépravée. J’espère qu’une fois tu me surprendras quand je dors et que je suis habillé, que tu t’approcheras furtive avec l’ardeur d’une putain dans tes yeux ensommeillés, et tu me déboutonneras doucement bouton après bouton la braguette de mon pantalon et doucement tu y prendras le gros mickey de ton amant, et que tu l’avaleras de ta bouche humide et que tu le suceras encore et encore jusqu’à ce qu’il devienne plus gros et plus raide et qu’il te décharge dans la bouche. Moi aussi une fois je te surprendrai endormie, je te remonterai les jupes et j’ouvrirai doucement ta culotte brûlante, puis je m’étendrai doucement à côté de toi et je commencerai à lécher paresseusement tout autour de ta fourrure. Tu commenceras à te remuer et à t’agiter alors je lécherai les lèvres du con de ma chérie. Tu commenceras à gémir et grogner et soupirer et péter de joie dans ton sommeil. Alors je lécherai plus vite et plus vite comme un chien vorace jusqu’à ce que ton con soit une masse de bave et que ton corps se torde sauvagement.

Bonne nuit, ma petite Nora péteuse, mon dégoûtant petit oiseau fouteur. Il y a un mot charmant , chérie, que tu as souligné pour que je me branle mieux. Ecris-moi plus sur ça et toi, avec douceur, plus sale , PLUS SALE.

Jim.

Comme j'aime pas trop qu'on me claque la porte au visage, surtout pour des enfantillages, on y retourne...

Sinon, les modos, c'est "petite fille" et "fillette" qui ne passent pas ?

James Joyce en 1909 = 27 ans
Nora Barnacle en 1909 = 25 ans

Figure de style, c'est pourtant simple à comprendre.

Le 02 mai 2021 à 01:02:16 :
https://voca.ro/12rUWbhA836Z

C'est un tout autre style...plus prosaïque

La 3ème lettre presque intégralement censurée. La fragilité et la pruderie des modérateurs quand même.
Bonne nuit...
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/17/6/1619828226-nora-james.jpg
Bonne nuit, ma petite Nora péteuse, mon dégoûtant petit oiseau fouteur. Il y a un mot charmant , chérie, que tu as souligné pour que je me branle mieux. Ecris-moi plus sur ça et toi, avec douceur, plus sale , PLUS SALE.
Tu dis que quand je reviendrai tu me suceras et tu veux que je te lèche le con, petite salope dépravée. J’espère qu’une fois tu me surprendras quand je dors et que je suis habillé, que tu t’approcheras furtive avec l’ardeur d’une putain dans tes yeux ensommeillés, et tu me déboutonneras doucement bouton après bouton la braguette de mon pantalon et doucement tu y prendras le gros mickey de ton amant, et que tu l’avaleras de ta bouche humide et que tu le suceras encore et encore jusqu’à ce qu’il devienne plus gros et plus raide et qu’il te décharge dans la bouche. Moi aussi une fois je te surprendrai endormie, je te remonterai les jupes et j’ouvrirai doucement ta culotte brûlante, puis je m’étendrai doucement à côté de toi et je commencerai à lécher paresseusement tout autour de ta fourrure. Tu commenceras à te remuer et à t’agiter alors je lécherai les lèvres du con de ma chérie. Tu commenceras à gémir et grogner et soupirer et péter de joie dans ton sommeil. Alors je lécherai plus vite et plus vite comme un chien vorace jusqu’à ce que ton con soit une masse de bave et que ton corps se torde sauvagement.

Ma douce petite pute Nora

J’ai fait comme tu me disais, ma sale petite fille, et je me suis branlé deux fois en lisant ta lettre. Je suis ravi de voir que tu aimes être foutue par le cul. Oui, maintenant je peux me rappeler cette nuit où je t’ai foutue si longtemps par derrière. Chérie, ça a été la baise la plus dégueulasse que je t’ai jamais faite. Ma pine est restée plantée dans toi pendant des heures, te foutant et te refoutant par en dessous ta croupe redressée. Je sentais tes grosses fesses grasses en sueur sous mon ventre et je voyais ta face enfiévrée et tes yeux fous. A chaque coup de queue que je te donnais ta langue impudique jaillissait d’entre tes lèvres et si je t’en donnais un coup plus fort plus profond que d’habitude des pets bien gras bien sales sortaient en crachotant de ton derrière. Tu avais un cul plein de pets cette nuit-là, chérie, et je te les sortais en te foutant, des bons gros copains bien gras, des longs venteux, des petits craquants gai rapide et tout un tas de petits minuscules polissons de pets qui se terminaient en une coulée jaillissant de ton trou. C’est merveilleux de foutre une femme qui a des pets quand chaque coup de queue les fait sortir un par un. Je crois que je reconnaîtrais n’importe où un pet de Nora. Je crois que je pourrais repérer le sien dans une salle pleine de femmes péteuses. C’est un bruit plutôt fillette pas le pet mouillé lâche que j’imagine chez les femmes grasses. Il est soudain et sec et sale comme celui qu’une petite fille effrontée décocherait la même nuit pour rire dans un dortoir. J’espère que Nora me décochera sans fin ses pets dans la face pour que je puisse aussi connaître leur parfum.

Dernière lettre, la plus sale...ou la plus amoureuse...
T’ai-je choquée avec les saletés que je t’ai écrites. Tu penses peut-être que mon amour est chose immonde. Il l’est ma chérie, à certains moments. Je rêve de toi parfois dans des poses obscènes. J’imagine des choses si sales que je ne les écrirai pas avant d’avoir vu comment tu écris toi-même. Les plus petites choses me font terriblement bander - un mouvement putassier de ta bouche, une petite tache marron sur le fond de ta culotte blanche, un mot sale que crachent tout à coup tes lèvres humides, un bruit impudique que tu fais derrière, suivi d’une mauvaise odeur qui monte en volutes de tes fesses. En ces moments-là, je désire comme un fou le faire d’une manière cochonne, sentir tes lèvres brûlantes et lubriques me suçant à n’en plus finir, jouir entre tes nichons aux bouts roses et juter sur ton visage, giclant sur tes joues et tes yeux brûlants, te le flanquer entre tes fesses et t’enculer.
Basta per stasera !
J’espère que tu as eu mon télégramme et que tu l’as compris.
Adieu, ma chérie que j’essaie de dégrader et de dépraver. Comment, au nom du ciel, peux-tu bien aimer un individu de mon espèce ?
Oh, que j’ai hâte d’avoir ta réponse, ma chérie !
Noretta mia ! J’ai reçu ce soir ta lettre pitoyable où tu m’annonces que tu sors sans dessous. Je n’ai pas eu 200 couronnes le 25 mais seulement 50, et à nouveau 50 le 1er. Assez parlé d’argent. Je t’envoie un petit billet, espérant qu’il te permettra de t’acheter au moins une jolie culotte à volants, et je t’en adresserai d’autres lorsqu’on me paiera à nouveau. J’aimerais que tu portes des culottes à trois ou quatre volants superposés aux genoux et sur les cuisses, avec de grands noeuds de ruban cramoisi, j’entends : non pas des culottes d’écolière avec une bordure de dentelle minable, serrant les jambes et si légères qu’on voit la chair à travers, mais des culottes de femme (ou, si tu préfères) de dame, avec un fond grand et large et des jambes dégagées, tout en volants, dentelles et rubans, et si chargées de parfum que lorsque tu les montres, en relevant ta robe vivement pour faire quelque chose ou bien en te caressant gentiment pour que je t’enfile, je ne puisse voir qu’une masse gonflante d’étoffe blanche et de volants, et que, en me penchant sur toi pour les ouvrir et te donner un baiser brûlant et lubrique sur ton cul tout nu de polissonne, je puisse sentir le parfum de ta culotte aussi bien que la chaude odeur de ton con et celle, lourde, de ton derrière.
C'est reparti...