Messages de Dezgze

Le 09 septembre 2024 à 23:42:25 :

Le 09 septembre 2024 à 23:40:32 :
Okay donc elle était donc consciente que le mec lui écrivait souvent, ne l'a pas bloqué, le laissait continuer dans son délire... et ça a bien dû boost son égo.

Sa réaction ? Bah elle l'affiche :)

elle l'a affiché a cause de ce commentaire :https://image.noelshack.com/fichiers/2024/37/1/1725918100-capture-d-cran-2024-09-08-17-10-22.png

Non, elle l'a affiché pour flex que des gars s'intéressent à elle tout en faisant la sainte nitouche en filigrane

Le 07 septembre 2024 à 21:20:17 :
ils peuvent pas s'empêcher de foutre de l'humour forcéhttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1494048058-pppppppppppppppppppp.png

Ne pas savoir qu'il y a toujours eu un humour semblable dans Zorro et faire le puriste :(

Même ma série animée Zorro de 5 secondes est mieuxhttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/13/1491076680-1489162412-1465686632-jesuus-zorro.jpg

https://youtube.com/shorts/aRKAjwOA-iM?si=MeQWPwfEBQTs8EP0

Nos kheys ont du talent :cool:

Up
Moi je trouve ça tout à fait normal quand je vois des noirs dans mon quartier, j'ai même toujours sur moi un petit sac avec des cacahuètes à leurs lancer. :(

Le 09 septembre 2024 à 22:30:40 :
Tu veux pas aérer ton texte ?

C'est dommage

Non dsl

Up

PS 2:

La contraception consiste à pratiquer un acte qui vous lie à quelqu'un pour l'éternité en soustrayant des conséquences, l'incarnation de la responsabilité de cet acte qu'est l'enfant. Mais l'enfant est une garantie, garantie qui, en quelque sorte, en tant que garantie, tourne en dérision ce qu'il garantie, il n'est pas la responsabilité elle-même. L'enfant, en cela, n'est pas sans rappeler l'épisode biblique de la femme adultère sauvée par le Christ. Le pire de la lapidation, ce n'est pas sa violence, ni même le fait qu'elle représente un masque trop opportun au pécheur. Le pire de la lapidation, c'est qu'elle pousse à se dire : « après tout, si c'est à ce prix-là qu'on s'en préserve, l'adultère n'est peut-être pas si mal ». Même moi, parfois, je doute, c'est là l'horreur de tout châtiment, il pousse à relativiser le crime. Je doute, mais quand je lis : « vas, et ne pèche plus », mon poing se resserre, mes dents se mettent à grincer, non pas que l'idée châtiment me soit chère dans une quelconque disposition d'esprit, mais que quelqu'un ose se donner pour juge suprême tandis qu'il estime la question épuisée en aboutissant à cette morale, et parce qu'elle aboutit à cette morale. Il avait enlevé à la foule le droit qu'elle usurpait, il aurait plutôt dû dire à la femme : « Va, et enlève-toi la vie. Prie d'abord pour que ton âme soit effacée, par la grâce de Dieu. Car ce que tu as fait te concerne toi et non pas Dieu, et si Dieu t'accordait le paradis, tu emmènerais ton propre enfer au paradis, celui de te rappeler à jamais la vie que tu as menée ici bas, et de te dire à tout propos - Qu'ai-je mérité tant de bien ! Hélas, châtiez-moi ! - et plus le temps passera, et plus tu seras bonne, et plus tu seras bonne, et plus tu regretteras, la profondeur de tes regrets ne connaîtra jamais sa dernière limite, car ta bonté ne connaîtra jamais sa dernière limite, mais à jamais alors, il sera bien trop tard, mais un jour ta bonté sera telle, que tu regretteras même oser regretter, car tu penseras n'être pas digne d'une pensée qui allègerait ta faute, n'être digne que d'appétit en réjouissances célestes, mais les regrets que tu regretteras croîtront néanmoins, démultipliant les regrets quant aux regrets, et ceux-ci feront l'objet d'autres regrets encore qui auront pour multiplicateurs des regrets multipliés par des regrets et ce dans un empilement tendant à une vitesse exponentielle vers l'infini. Ton âme goûtera jusqu'à s'y confondre l'infinité des derniers délices du possible, et il viendra un jour où tu seras si bonne que tes regrets nommeront ces délices - Abomination ! -, car c'est à toi qu'ils seront octroyés, cette dénomination occasionnera une seconde configuration de regrets ne freinant pas la progression de la première, tu maudiras maudire le fleuron des bienfaits du tout puissant, et ne jamais assez le regretter. ». C'est ainsi, seulement, qu'il aurait été doux et juste à son endroit, mais au contraire cet infâme condamnera plus tard le suicide par le truchement d'un traître auxquel il souhaitait des maux plus cruels que les remords, de sorte que l'on dirait à s'y méprendre que ce « juste parmi les justes » pouvait tout-à-fait en concevoir - certainement sont-ce là les maladies morales de l'omniscient… mais du juste ?! Il est abominable au plus haut degré que dépenser sa virginité représente pour quelqu'un moins que l'accomplissement d'une vie, et que cela soit tenu pour ne pas infirmer son appartenance à la même espèce que quelqu'un pour qui ça l'est.

PS : soutirer des rapports sexuels par la perspective d'un amour éternel, puis se départir de cette promesse initiale, et ce quelque soit la sincérité initiale, est un viol comme les autres :(..
par des couples, qui se formèrent par hasard, puis ne se dissolurent jamais. Jamais l'idée d'une telle relation, ni un lointain pressentiment de ce que pouvait être de l’« excitation sexuelle », n'avait effleuré l'esprit de l'un ou l'autre des membres de ces couples avant leurs formations. Ils crurent inventer, contre toute morale, une forme de jeu, ou bien d'installation mentale, qui les rendait à jamais incompréhensibles à quiconque. Ils crurent être à ce point étranges et dérangés, et n'en revinrent pas que non seulement il s'avère exister quelqu'un d'autre qui puisse s'enthousiasmer de quelque chose d'aussi tordu, absurde que de réunir les organes de la honte, ou bien de convenir, comme d'un secret ésotérique, qu'ils sentent bon et non mauvais - invention du sentiment poétique, c'est-à-dire transgression de ce que l'on perçoit par ailleurs comme du bon sens - mais qu'en outre ils se soient trouvés, et qu'il soit advenu qu'au travers de leurs échanges, ils aient, chacun de leur côté, fait le pari fou de se livrer l'un à l'autre en une matière aussi insensée. Ils se pensaient unis par une folie si singulière qu'elle n'avait jamais connu d'équivalent, et les séparaient absolument de l'Humanité. Ils n'avaient pas tort en un sens : on ne peut pas faire partie d'un couple, ET de l'Humanité. Les témoins de leur indéfectible fidélité l'un à l'autre, ne recevant aucune attention de leur part, estimèrent spontanément qu'il leur manquait quelque chose : qu'au côté de cela, les rapports sexuels qu'ils connaissaient à l'issue d'attirances multiples avaient quelque chose de machinal, quelque chose qui, s'il ne les rendait pas plus mal en soi, du moins les occupait beaucoup sans qu'ils en tirent quelque avantage de rang social, et représentait donc une perte sèche. Les plus ambitieux décidèrent donc de se différencier du grand nombre en rentabilisant leur sexualité, cette occupation chronophage. Ils firent de leur penchant un spectacle visant à induire l'idée qu'ils appartenaient à la race de ceux qu'ils avaient observé vivre dans leur pureté innocente. Genèse du mariage. Le mariage est à l'Amour ce que la Santé est à la médecine. Alors que l'Amour commence par le mépris absolu, c'est-à-dire sans conscience, de la communauté, le mariage commence précisément parce qu'il porte le sceau d'une communauté. Par cela, le mariage, tandis qu'il se veut être l'antithèse de la prostitution, est la Sublime Prostitution. D'ailleurs, qui est capable d'en douter lorsqu'il considère la dot ? Ils s'accaparèrent également par cette ruse des spécimens de cette race pour couronner leur sombre entreprise. Ils mirent des générations à revenir de leur erreur par l'insurrection contre les instances qu'ils avaient désignées pour réguler leurs désirs. Ils ne pouvaient cependant pas renier totalement la tyrannie qu’ils s’étaient imposée - vivre conformément au modèle d’une nature étrangère, contre la sienne propre - sans tomber dans la catégorie épouvantail qu’ils avaient érigée, décalquée d’après leur réalité profonde : la prostitution d’ordre inné, soit, dans le référentiel qu'ils s'étaient absurdement imposé, la propension à commettre l'adultère. Ils commencèrent par créer le divorce, dont les conditions s'assouplirent progressivement, jusqu'à ce que tout ce que représente désormais un mariage soit transposable dans le non-mariage, dans le couple moderne, dans un contrat d'exclusivité amiable, rétractable à tout moment. Désormais, s'engager dans un « couple » indépendamment de son passé sexuel, se rétracter puis répéter l'opération à loisir est sérieusement considéré comme distinct de s'offrir au tout venant. Pire, cela se veut moins éloigné de la monogamie absolue que de la partouze.
Je les ai eu gratos dans mon package par défaut, rage ? :)
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Faux ! La preuve : Hitler

Le 09 septembre 2024 à 17:08:12 :
Plutôt que ton pavé, contentons nous de cette citation de Rousseau : l'amour a été inventé par les femmes pour permettre à ce sexe de dominer alors qu'il était fait pour obéir

C'est de la merde

par des couples, qui se formèrent par hasard, puis ne se dissolurent jamais. Jamais l'idée d'une telle relation, ni un lointain pressentiment de ce que pouvait être de l’« excitation sexuelle », n'avait effleuré l'esprit de l'un ou l'autre des membres de ces couples avant leurs formations. Ils crurent inventer, contre toute morale, une forme de jeu, ou bien d'installation mentale, qui les rendait à jamais incompréhensibles à quiconque. Ils crurent être à ce point étranges et dérangés, et n'en revinrent pas que non seulement il s'avère exister quelqu'un d'autre qui puisse s'enthousiasmer de quelque chose d'aussi tordu, absurde que de réunir les organes de la honte, ou bien de convenir, comme d'un secret ésotérique, qu'ils sentent bon et non mauvais - invention du sentiment poétique, c'est-à-dire transgression de ce que l'on perçoit par ailleurs comme du bon sens - mais qu'en outre ils se soient trouvés, et qu'il soit advenu qu'au travers de leurs échanges, ils aient, chacun de leur côté, fait le pari fou de se livrer l'un à l'autre en une matière aussi insensée. Ils se pensaient unis par une folie si singulière qu'elle n'avait jamais connu d'équivalent, et les séparaient absolument de l'Humanité. Ils n'avaient pas tort en un sens : on ne peut pas faire partie d'un couple, ET de l'Humanité. Les témoins de leur indéfectible fidélité l'un à l'autre, ne recevant aucune attention de leur part, estimèrent spontanément qu'il leur manquait quelque chose : qu'au côté de cela, les rapports sexuels qu'ils connaissaient à l'issue d'attirances multiples avaient quelque chose de machinal, quelque chose qui, s'il ne les rendait pas plus mal en soi, du moins les occupait beaucoup sans qu'ils en tirent quelque avantage de rang social, et représentait donc une perte sèche. Les plus ambitieux décidèrent donc de se différencier du grand nombre en rentabilisant leur sexualité, cette occupation chronophage. Ils firent de leur penchant un spectacle visant à induire l'idée qu'ils appartenaient à la race de ceux qu'ils avaient observé vivre dans leur pureté innocente. Genèse du mariage. Le mariage est à l'Amour ce que la Santé est à la médecine. Alors que l'Amour commence par le mépris absolu, c'est-à-dire sans conscience, de la communauté, le mariage commence précisément parce qu'il porte le sceau d'une communauté. Par cela, le mariage, tandis qu'il se veut être l'antithèse de la prostitution, est la Sublime Prostitution. D'ailleurs, qui est capable d'en douter lorsqu'il considère la dot ? Ils s'accaparèrent également par cette ruse des spécimens de cette race pour couronner leur sombre entreprise. Ils mirent des générations à revenir de leur erreur par l'insurrection contre les instances qu'ils avaient désignées pour réguler leurs désirs. Ils ne pouvaient cependant pas renier totalement la tyrannie qu’ils s’étaient imposée - vivre conformément au modèle d’une nature étrangère, contre la sienne propre - sans tomber dans la catégorie épouvantail qu’ils avaient érigée, décalquée d’après leur réalité profonde : la prostitution d’ordre inné, soit, dans le référentiel qu'ils s'étaient absurdement imposé, la propension à commettre l'adultère. Ils commencèrent par créer le divorce, dont les conditions s'assouplirent progressivement, jusqu'à ce que tout ce que représente désormais un mariage soit transposable dans le non-mariage, dans le couple moderne, dans un contrat d'exclusivité amiable, rétractable à tout moment. Désormais, s'engager dans un « couple » indépendamment de son passé sexuel, se rétracter puis répéter l'opération à loisir est sérieusement considéré comme distinct de s'offrir au tout venant. Pire, cela se veut moins éloigné de la monogamie absolue que de la partouze.

Le 09 septembre 2024 à 16:10:00 :
Ce texte décrit l'évolution des relations amoureuses et sexuelles, en partant de l'idée d'union spontanée entre deux personnes qui, avant de se rencontrer, n'avaient jamais envisagé une telle relation. Ils se croyaient uniques et incompris, vivant une forme de transgression poétique. Avec le temps, le mariage est né de l'observation et de l'imitation de cette pureté, mais il est vu comme une forme de "prostitution sublime", car il institutionnalise ce qui était au départ une relation indépendante de la communauté. Finalement, les normes évoluent vers des unions plus flexibles, comme le divorce et les couples modernes, où l'engagement peut être rétracté librement.

OK chat gpt

Up

Le 09 septembre 2024 à 16:00:40 :
Aère moins ton texte stp, il est trop lisible et attirant

Sérieux c'est du troll le même commentaire inutile à chaque fois sur les topics similaires ? :pf:

par des couples, qui se formèrent par hasard, puis ne se dissolurent jamais. Jamais l'idée d'une telle relation, ni un lointain pressentiment de ce que pouvait être de l’« excitation sexuelle », n'avait effleuré l'esprit de l'un ou l'autre des membres de ces couples avant leurs formations. Ils crurent inventer, contre toute morale, une forme de jeu, ou bien d'installation mentale, qui les rendait à jamais incompréhensibles à quiconque. Ils crurent être à ce point étranges et dérangés, et n'en revinrent pas que non seulement il s'avère exister quelqu'un d'autre qui puisse s'enthousiasmer de quelque chose d'aussi tordu, absurde que de réunir les organes de la honte, ou bien de convenir, comme d'un secret ésotérique, qu'ils sentent bon et non mauvais - invention du sentiment poétique, c'est-à-dire transgression de ce que l'on perçoit par ailleurs comme du bon sens - mais qu'en outre ils se soient trouvés, et qu'il soit advenu qu'au travers de leurs échanges, ils aient, chacun de leur côté, fait le pari fou de se livrer l'un à l'autre en une matière aussi insensée. Ils se pensaient unis par une folie si singulière qu'elle n'avait jamais connu d'équivalent, et les séparaient absolument de l'Humanité. Ils n'avaient pas tort en un sens : on ne peut pas faire partie d'un couple, ET de l'Humanité. Les témoins de leur indéfectible fidélité l'un à l'autre, ne recevant aucune attention de leur part, estimèrent spontanément qu'il leur manquait quelque chose : qu'au côté de cela, les rapports sexuels qu'ils connaissaient à l'issue d'attirances multiples avaient quelque chose de machinal, quelque chose qui, s'il ne les rendait pas plus mal en soi, du moins les occupait beaucoup sans qu'ils en tirent quelque avantage de rang social, et représentait donc une perte sèche. Les plus ambitieux décidèrent donc de se différencier du grand nombre en rentabilisant leur sexualité, cette occupation chronophage. Ils firent de leur penchant un spectacle visant à induire l'idée qu'ils appartenaient à la race de ceux qu'ils avaient observé vivre dans leur pureté innocente. Genèse du mariage. Le mariage est à l'Amour ce que la Santé est à la médecine. Alors que l'Amour commence par le mépris absolu, c'est-à-dire sans conscience, de la communauté, le mariage commence précisément parce qu'il porte le sceau d'une communauté. Par cela, le mariage, tandis qu'il se veut être l'antithèse de la prostitution, est la Sublime Prostitution. D'ailleurs, qui est capable d'en douter lorsqu'il considère la dot ? Ils s'accaparèrent également par cette ruse des spécimens de cette race pour couronner leur sombre entreprise. Ils mirent des générations à revenir de leur erreur par l'insurrection contre les instances qu'ils avaient désignées pour réguler leurs désirs. Ils ne pouvaient cependant pas renier totalement la tyrannie qu’ils s’étaient imposée - vivre conformément au modèle d’une nature étrangère, contre la sienne propre - sans tomber dans la catégorie épouvantail qu’ils avaient érigée, décalquée d’après leur réalité profonde : la prostitution d’ordre inné, soit, dans le référentiel qu'ils s'étaient absurdement imposé, la propension à commettre l'adultère. Ils commencèrent par créer le divorce, dont les conditions s'assouplirent progressivement, jusqu'à ce que tout ce que représente désormais un mariage soit transposable dans le non-mariage, dans le couple moderne, dans un contrat d'exclusivité amiable, rétractable à tout moment. Désormais, s'engager dans un « couple » indépendamment de son passé sexuel, se rétracter puis répéter l'opération à loisir est sérieusement considéré comme distinct de s'offrir au tout venant. Pire, cela se veut moins éloigné de la monogamie absolue que de la partouze.
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